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Premier job, diplome en poche – Chapitre 1

Premier job, diplome en poche - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra

Avec mes 20 ans et quelques mois je me retrouvais jeune diplômé sur le marché du travail. J’ai profité de mes derniers deux mois de vacances pour aller prendre le soleil dans le Yucatan. Je vivais chez mes parents, je n’ai pas trop pressé; du coup en revenant, je me suis mis à la recherche d’un boulot dans mon secteur d’activité. La tâche n’a pas été bien dure, car en une semaine j’avais trouvé un boulot qui se trouvait 10 minutes en bus de chez moi le bonheur quoi. Je me retrouvais dans un service comptabilité où se trouvait sept femmes, le patron et moi. Toutes mes collègues avaient environ 45 ans, très bien conservées et mon patron devait en avoir un tout petit peu plus, mais il était très bel homme. Je remplaçais une comptable qui était partie dans le sud suivre son mari qui avait été muté

Vu l’ancienneté de chacune qui était en moyenne de 15 ans, je pense que travailler dans la boîte ne devait pas être si désagréable. Les salaires étaient au-dessus de la moyenne et en plus il y avait intéressement et participation. En fait nous dépendions d’un gros groupe de distribution alimentaire qui opérait sur Rungis. Nos bureaux étaient spacieux et très fonctionnels, nous n’étions pas tout à fait en open space car nous avions des baies vitrées par endroit; cela nous assurait quand même une certaine intimité pour chacun. Seul le bureau du chef qui se trouvait au fond de la salle était totalement fermé avec une porte, il pouvait occulter les vitres quand il en avait besoin. Mon bureau se trouvait juste à côté du sien; je ne sais pas si c’était plutôt un avantage ou un handicap. Tout le monde a été très accueillant avec moi, bref c’était le bonheur de venir travailler dans cette société.

Grande fut ma surprise de découvrir que tous les vendredis nous allions à la piscine tous les 9. Le patron allait même jusqu’à nous offrir une heure, cela nous permettait d’avoir deux heures pour la piscine. Autre grande surprise, nous n’allions pas dans des cabines pour nous préparer; nous allions dans une cabine commune. Les filles m’ont expliqué qu’en fait le patron les avait toutes honorées; du coup elles n’avaient plus grand chose à cacher, ni lui non plus. J’allais donc être obligé de me dénuder pour me changer devant tout le monde; j’ai hésité un instant à aller me changer en cabine, mais les filles m’ont dit que ce n’était pas très fair-play. Une fois mon pantalon défait, je me suis mis à retirer mon boxer et là; grosse honte, les 8 personnes me regardaient. En même temps je me disais que désormais nous n’aurions plus de secrets entre nous 9.

Ce qui me faisait tout drôle c’est que ces sept femmes avaient facilement l’âge de ma mère; du coup je me suis dit qu’elles avaient déjà dû en voir quelques-unes, des bites. J’étais jeune mais je n’étais pas puceau, mais ma confiance en moi n’allait pas encore jusqu’à me montrer à poil devant tout le monde avec une grande assurance. Je n’étais pas très viril, les cheveux relativement longs mais entretenus, plutôt imberbe, de la même taille que mes collègues féminines et je m’étais fait une raison quant à la petite taille de mon sexe au repos. À vrai dire j’avais perdu mon pucelage avec une cousine dans ma jeunesse et c’était elle qui était demandeuse, je n’avais fait que subir. J’avais revu cette cousine l’été dernier qui avait remis ça, il n’y a pas à dire elle savait y faire avec le sexe d’un homme. Je garde un très bon souvenir de sa prestation buccale pour me mettre en condition avant de l’honorer. En fait je pense que ma cousine était une coquine et qu’elle profitait de mon côté passif.

Le regard le plus gênant c’était celui de mon chef qui ne regardais que mon sexe, j’avais l’impression que ce dernier l’intriguait mais je ne savais pas pourquoi. Une fois tout le monde prêts pour aller au bain nous nous y sommes rendus en toute complicité. On avait l’impression que c’était le coq qui emmenait ses poules à la piscine mais le problème c’est que je faisais partie de ces dernières. Le chef se prénommait Claude et était d’une grande correction avec chacune de ses subordonnées. Nous sommes tous partis nous échauffer dans le petit bain avant que la plupart des filles ne partent dans le grand bain faire des longueurs et des longueurs. Je me suis retrouvé avec deux des filles et le chef à chahuter dans le petit bassin, j’avais l’impression que les filles étaient en train de chauffer un peu le chef. J’étais au milieu de ces trois personnes qui chahutaient et de temps à autre j’avais le droit à des petits attouchements, était-ce par maladresse ou voulu je ne sais pas; toujours est-il que cela ne laissait pas mon corps indifférent.

Quand j’ai voulu sortir de l’eau pour aller dans le grand bain j’ai constaté que j’avais une énorme érection, au point que mon sexe sortait de mon maillot. À vrai dire je crois que je ne m’étais jamais vue une telle érection. Du coup j’ai attendu un peu avant d’aller nager de l’autre côté; de toute façon moi je ne faisais pas de longueur, j’étais plus à nager sous l’eau car je n’arrive pas à trop bien nager en surface. Une fois que mon appendice à réintégré son espace de stockage je suis parti plonger de l’autre côté. Sophie une des 5 collègue qui faisait des longueurs est venue me voir pour me demander comment je trouvais ce petit moment entre nous. Je lui ai répondu que l’idée était superbe que c’était sympa et surtout que cela contribuait à la cohésion de l’équipe. De mon côté je me suis permis de la féliciter pour sa condition physique, elle m’a répondu qu’il fallait s’entretenir pour garder la forme.

Nous sommes restés un petit bout de temps au bord du bassin à converser, elle était collée à moi ce qui du coup m’a à nouveau réveillé mon érection. Elle a fini par constater le phénomène et m’a dit que la piscine me réveillait mon petit oiseau. J’étais confus, je m’en suis excusé, et elle m’a dit que ce n’était pas grave; c’était la nature qui s’exprimait. Vu que mon érection air persistait, elle en a profité pour me caresser le sexe; elle m’a dit qu’elle était étonnée par la taille de mon érection, compte tenu de la taille de mon sexe au repos. Je ne savais pas vraiment comment je devais le prendre, j’en concluais quand même que j’avais une petite bite au repos. Étant très gêné par le sujet de conversation abordé, je suis parti nager histoire de me changer les idées. Je m’occupais plus à faire des largeurs ou presque des longueurs sous l’eau, pendant que les filles faisaient des longueurs en surface.

Quand deux des filles sont venues me chercher pour me dire que le temps de plaisir était passé, j’ai rejoint tout le monde dans la cabine collective pour que nous nous changions. À peine arrivé les filles et même le chef savaient que j’avais un énorme sexe quand il était en érection, je ne vous raconte pas ma gêne à ce moment-là. J’ai trouvé que la complicité allait un peu loin quand les filles m’ont demandé de leur montrer jusqu’où pouvait aller la taille de mon sexe. J’ai fait celui qui n’avait rien entendu et j’ai continué à m’essuyer, jusqu’à ce que l’une d’entre elles Sophie vienne me caresser le sexe pour me le mettre en condition. Je peux vous garantir que dans les quelques secondes qui suivaient, mon sexe était au garde-à-vous et qu’il y avait 8 paires d’yeux en train de l’admirer.

Le plus beau c’est que tous les 8 on voulu le toucher, même mon chef; ce dernier poussant même le vice jusqu’à me caresser la raie des fesses. Je n’ai rien trouvé à redire à ce cérémonial qui effectivement augmentait la complicité entre nous. J’avais bientôt fini de m’essuyer et je me disais que maintenant nous ne nous regarderions plus de la même façon au boulot. Quand il a fallu que je me rhabille j’ai fait une bêtise, à savoir faire tomber mon boxer dans la flaque d’eau qui était à mes pieds; ce dernier s’est retrouvé trempé en quelques secondes. Plusieurs filles ont vu la scène et moi j’étais embêté car je n’avais rien de sec à me mettre. Ces mêmes filles ont vu mon désarroi mais l’une d’entre elle a trouvé la solution en me proposant une douce culotte à enfiler en remplacement. Je ne savais pas trop quoi dire, j’étais très touché qu’elle se propose; mais j’avais peur que ma masculinité en prenne un coup.

Mon chef m’a regardé il m’a dit qu’il n’y avait pas de problème j’ai fini par accepter cette proposition on ne peut plus honnête. C’est Sophie qui me prêtait une de ses culottes et qui a poussé la gentillesse jusqu’à même m’aider à l’enfiler, en veillant personnellement à ce que mon sexe soit bien positionné dedans. Nous avons fini de nous rhabiller tranquillement, j’ai quand même eu le droit à quelques petites tapes sur les fesses de la part de chacune et même de mon chef. Il était 13h50 et nous étions dans les temps pour être au bureau à 14h. Arrivés au bureau nous nous sommes mis au boulot comme d’habitude, au bout de quelques minutes j’ai vu apparaître sur mon à Outlook un message de Sophie qui me disait que la culotte qu’elle m’avait donné était une culotte usagée. Elle m’a ajouté dans la phrase suivante que du coup j’allai sentir la femelle tout l’après-midi en y ajoutant un petit smiley.

Là où se trouve le bureau nous ne pouvions pas nous voir, par contre à chaque fois qu’elle passait j’avais le droit à un regard coquin et surtout complice. J’ai même eu le droit à un message de mon chef qui me demandait ce que cela me faisait de porter une culotte de fille, je lui ai répondu que c’était très doux. Sophie m’a envoyé un nouveau message pour me demander si cela me faisait bander que de porter sa culotte usagée, bien que trouvant la question un peu indiscrète je lui ai répondu par l’affirmative. En même temps c’était vrai que de sentir cette douceur et en plus cette petite odeur de femme avec une tendance à me chauffer un peu. Quelle n’a pas été mon malaise quand Claude m’a envoyé un petit message pour me dire qu’il était très heureux que la culotte de sophie me fasse bander. Je peux vous garantir que j’étais assez furieux contre Sophie qu’elle fasse circuler les messages que nous échangions.

Cela faisait un mois que j’étais dans la boîte toujours en période d’essai et voilà que j’étais en train d’échanger des messages à connotation sexuelle avec mes collègues et mon chef. mon téléphone a sonné c’était Claude qui voulait me voir dans son bureau, je ne comprenais pas pourquoi il voulait me voir compte tenu du fait qu’il y avait déjà Sophie dans son bureau. À mon arrivée, Sophie a occulté les parties vitrées de son bureau et nous nous sommes retrouvés tous les trois dans l’intimité. C’est Sophie qui est passée à l’action la première en me débarrassant complètement de mon pantalon, sans que je ne puisse réagir tant j’étais tétanisé par ce qui m’arrivait. La petite culotte rose que je portais avait bien du mal à dissimuler mon sexe en pleine forme. Quand Claude s’est levé de son bureau pour venir face à moi, j’ai pu apprécier la taille et la stature de l’homme; il n’y a pas à dire c’était un mâle dominant.

Je n’ai pas su quoi faire quand il m’a caressé les cheveux, la joue, avant de m’embrasser à pleine bouche avec gourmandise; sous les yeux de Sophie totalement complice. Comme un automate je me suis laissé faire, car mine de rien il s’y prenait très bien; en plus Sophie était en train de me caresser le sexe. Il m’a pris par la main pour m’emmener jusqu’à son fauteuil, s’est défait de son pantalon pour le garder à ses pieds. C’est Sophie qui m’a invité, sans trop me demander mon avis, à me mettre à genoux entre les jambes de Claude. J’ai obtempéré en m’agenouillant et en prenant appuie sur les cuisses fermes de mon chef, j’étais conscient que j’étais parti pour faire une pipe à mon chef mais je me laisser guider. Sophie est venue s’agenouiller elle aussi à côté de Claude puis elle s’est mise à le sucer devant moi, sans doute pour me montrer comment on faisait. Quelques instants après avec un grand sourire elle m’a invité à la remplacer en appuyant un peu sur ma tête, histoire de montrer quand même que je n’avais pas trop le choix.

J’ai fini par m’exécuter et c’est ainsi que pour la première fois de ma vie, je me retrouvais avec le sexe d’un homme, celui de mon chef en l’occurrence; dans ma bouche, dans le but de lui donner du plaisir. Au début je me suis laissé guider comme un autre matin mais finalement ce n’était pas si désagréable d’autant que Claude et Sophie étaient d’une grande douceur avec moi. Sophie m’a fait comprendre qu’il fallait que je fasse des grands aller et retour sur le sexe de notre chef. Je suis rappelé comment me faisait ma cousine, en espérant reproduire la chose. Au bout d’un certain temps Claude m’a fait comprendre que j’étais une bonne élève. Le fait qu’il parle de moi au féminin m’a fait tout drôle. Puis Sophie est venue s’asseoir sur le bureau du chef, elle a soulevé sa jupe, a baissé sa culotte et m’a donné son minou à brouter. Je ne savais plus vraiment où donner de la tête je savais juste qu’il fallait que je donne du plaisir à un homme et une femme en même temps. La situation n’était pas désagréable en fin de compte.

J’en arrivais à me demander ce qui était le plus désagréable à faire; pomper le dard de mon chef ou brouter le minou de ma collègue, tant je prenais du plaisir à remplir ces deux fonctions. Dans les deux cas je me sentais dominé ou pas mon chef ou par ma collègue. Compte tenu du fait que nous rentrions de la piscine, le sexe de mon chef était inodore si je puis dire; par contre celui de Sophie et tout trempé de cyprine et c’est vrai que je prenais grand plaisir à m’en délecter. Je comprenais maintenant pourquoi tous les collègues étaient complices, très complices entre eux. Je réalisais qu’en fait j’étais en train de me faire bizuter dans le bureau du chef. Honnêtement je pense que ce que j’étais en train de faire, je ne le faisais pas sous la contrainte; j’étais juste en train de découvrir de nouveaux plaisirs. J’étais juste en train de donner du plaisir à deux personnes de sexes différents en même temps.

Je pense que ce n’est pas un acte trop condamnable.

En espérant que cette nouvelle histoire vous ait plu si c’est le cas il y aura un nouveau chapitre

Bisous à vous

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