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II – Plaisirs coupables – Chapitre 12

II - Plaisirs coupables - Chapitre 12



Une fois sa journée finit, Jenny rentre chez elle et dès qu’elle arrive, elle file directement prendre une douche pour l’aider à se détendre.

Sous la fine pluie d’eau tiède, elle ne peut s’empêcher de penser à Florian. Le baiser qu’il a déposé sur ses lèvres cet après-midi lui a fait bien plus plaisir qu’elle ne l’aurait pensé, car même si ça ne fait que quelques jours qu’ils ne se sont pas touchés, elle a l’impression que ça fait une éternité. À cet instant précis, elle n’a envie que d’une seule chose, c’est qu’il la rejoigne sous la douche, qu’il colle son corps tout contre elle et qu’il lui fasse l’amour.

Elle sait pertinemment qu’elle n’a qu’un coup de fil à passer pour qu’il soit dans ses bras en moins de dix minutes, mais elle se le refuse. Sa frustration par rapport à ce qu’il s’est passé dimanche dernier a beau être moins importante, il n’en demeure pas moins qu’elle s’oblige à tenir le délai d’une semaine qu’elle s’est fixée.

Au-delà de la punition qu’elle a voulu imposer à Florian pour lui faire comprendre son erreur, cette petite pause inattendue lui permet aussi de faire un petit point sur sa relation avec lui.

Première chose dont elle se rend compte, c’est que son homme lui manque, pas uniquement pour le sexe, mais aussi pour tout le reste ; elle est heureuse avec lui et se sent bien quand il est là. Elle prend beaucoup sur elle pour s’obliger à rester à l’écart, c’est très dur, mais ça lui fait aussi prendre conscience d’une deuxième chose : elle en est amoureuse, follement amoureuse, ce qui explique, en partie, la violence de sa réaction par rapport à ce qu’il a fait.

Un peu à l’image d’une mère qui va gronder son enfant sous le coup de la peur parce qu’elle l’a vu se mettre en danger, quand elle a vu Florian avoir des contacts physiques presque intimes avec Typhaine et y trouver du plaisir, elle a paniqué et se voyait déjà mise à l’écart par son petit ami qui se rendrait compte qu’en fait, il lui préfère la belle rousse.

Pourtant, hormis cette séance de passage de crème où il a peloté son cul et l’érection qu’elle l’a vu avoir, ce qui est somme toute tout à fait logique au vu du corps et des formes diablement excitantes dont est pourvue la rouquine, il ne s’est rien passé de plus. Rien.

Elle ne s’explique pas cette réaction probablement disproportionnée par rapport à ce qu’il a fait, d’autant plus qu’elle n’aurait eu aucun souci à le voir faire ce genre de chose avec tout autre femme, mais avec Typhaine, c’est différent et elle craint l’emprise qu’elle pourrait avoir sur Florian si elle lui autorisait à se laisser aller avec elle.

Et la question folle qu’elle s’est posée le soir même, c’est : est-ce qu’il m’aime vraiment ? Ce ne sont pas des choses qu’ils se disent tous les deux, Jenny n’est pas à l’aise au niveau de l’expression de ce genre de sentiment et Florian le sait bien, il évite donc de le lui dire histoire de ne pas l’embarrasser.

Pourtant, il n’empêche qu’elle le ressent, son amour, elle sait qu’il est là et si jusqu’à présent, cela lui suffisait, elle ressent maintenant l’envie de se l’entendre dire, d’entendre ces trois mots sortir de sa bouche, comme pour se sentir rassurée quant à l’importance qu’elle a pour lui.

Voilà des siècles qu’ un homme ne l’avait pas rendu à ce point dépendante sentimentalement et elle aime ça au moins autant que ça lui fait peur.

Histoire de se sortir tout ça de la tête, une fois calée dans son canapé, elle appelle Marion pour planifier avec elle le programme de leur après-midi du lendemain.

« – Oui Jenny, salut ! répond de suite Marion.

— Comment tu vas ?

— Très bien et toi ?

— Ça roule, merci ! Je t’appelle pour demain aprèm’, c’est toujours OK pour toi ?

— Oui, bien sûr ! Tu veux qu’on se retrouve où ?

— Chez toi. Si ça ne te dérange pas, j’aimerais qu’on choisisse ta tenue toutes les deux.

— D’accord, avec plaisir !

— Tu seras chez toi à quelle heure ?

— Viens sur les coups de midi et demi, au moins, tu seras pas obligée de poireauter devant la porte.

— Ça marche, à demain alors !

— À demain, Jenny, bonne soirée ! »

La volonté de Jenny d’aider Marion à choisir sa tenue n’a rien d’innocent du tout. Lorsque la jeune femme était chez elle ce fameux soir où Florian l’a baisé, Jenny, malgré le fait qu’elle préfère les femmes plus plantureuses, a été très excitée par ses formes menues et elle aurait voulu en profiter largement plus qu’elle ne l’avait fait. Elle compte donc sur ce petit moment d’essayage vestimentaire pour se rattraper.

Le lendemain, après ses rendez-vous de la matinée, Jenny file directement chez Marion. À cause de ses obligations professionnelles, elle ne s’est pas habillée comme elle comptait le faire pour aller s’exhiber, ce genre de tenue n’étant pas vraiment adéquat à une visite chez des clients. Elle a donc mis, dans un petit sac à dos, quelques affaires bien plus adaptées au programme de l’après-midi.

Elle arrive chez Marion à midi et demi pile. Cette dernière est rentrée quelques minutes avant et est encore habillée dans sa tenue de travail, à savoir un leggings blanc et un petit top de la même couleur où se trouve, encore accroché au niveau de sa poitrine, un petit badge à son nom.

Jenny a le regard instantanément attiré par le petit boule bien rond de son hôte que son pantalon met joliment en valeur et ce tableau alimente encore une excitation déjà présente en elle depuis le début de la journée.

— Salut, Jenny, tu vas bien ? lance Marion avant d’aller faire la bise à son invitée.

— Ça va et toi ?

— Au top ! Wahou, t’es super classe dis-donc ! s’exclame Marion en admirant Jenny.

Cette dernière est habillée en parfaite businesswoman. Elle est vêtue d’un ensemble gris anthracite composé d’un pantalon et d’une veste cintrée qui recouvre un chemisier blanc soigneusement boutonné jusqu’au cou. Cette tenue plutôt stricte fait malgré tout bien ressortir ses formes tout en restant très sage.

— Merci, ma chérie !

— Ce style te va super bien mais c’est peut-être un peu austère pour ce qu’on va faire, non ?

— Je sais, mais t’inquiète pas, j’ai pris ce qu’il faut pour me transformer en parfaite gourgandine ! dit Jenny en rigolant tout en montrant son sac.

— Ça va alors ! Et pour moi, tu as des idées pour ma tenue ?

— Oh que oui ! Tu vas déjà commencer par me virer tes vêtements.

— Bien, Madame !

Marion ôte une à une toutes ses affaires, sous-vêtement compris, sous le regard gourmand de Jenny.

Elle s’approche ensuite de la jeune femme complètement nue et en fait le tour en laissant courir le bout de ses doigts sur la belle peau douce.

Jenny enlève sa veste et vient ensuite se placer devant Marion, à une poignée de centimètres d’elle. Elle la surplombe d’une bonne tête et les deux femmes se fixent avec un regard qui ne laisse que peu de doutes sur leurs intentions communes.

Jenny place un de ses doigts sous le menton de sa partenaire et relève son visage vers le sien, puis, lentement, elle se penche et vient doucement déposer ses lèvres sur la fine bouche de Marion.

Voilà que leurs langues et leurs lèvres partent dans une danse sensuelle, le tout dans un silence seulement entrecoupé du bruit de leur baiser. Tout en continuant leur étreinte passionnée, Jenny fait reculer Marion de quelques pas jusqu’à arriver à son lit où elle pousse la jeune femme qui s’étale sur le matelas sans chercher à se retenir.

La femme d’affaires toise, avec un sourire carnassier, sa proie qui finit par écarter ses compas. Jenny s’agenouille lentement avant de passer ses mains sous les cuisses de sa partenaire pour l’attirer au bord du lit. Elle vient ensuite déposer sa bouche sur le sexe dont les nymphes dépassent à peine de ses grandes lèvres qui protègent encore cette adorable petite vulve.

La langue de Jenny s’immisce entre les lèvres qu’elle écarte soigneusement, de bas en haut, jusqu’à arriver à son clitoris qu’elle titille du bout de sa langue.

— Oh oui hummmm, lâche Marion dans un souffle alors que Jenny fait tourner sa langue autour de son bouton de rose.

La langue vient ensuite forcer l’entrée du minou qui commence à transpirer d’excitation, elle tourne doucement dans l’intimité de la jeune femme dont les petits couinements s’envolent dans le petit studio.

Tout en continuant de visiter l’abricot juteux de sa langue, Jenny vient enduire son pouce de cyprine avant de poser ce dernier sur le clito gonflé pour le caresser. Marion se crispe légèrement sous les caresses précises et délicieuses dont elle est victime ; son rythme cardiaque s’accélère à mesure que le traitement qu’elle subit est de plus en plus poussé.

Jenny a, à présent, sa bouche complètement collée à la vulve inondée de plaisir, sa langue tourne en elle comme une tornade et son pouce ne cesse de faire se tortiller le petit clito parfaitement sorti de son capuchon.

— Han han oui oui continue, souffle Marion en faisant onduler son corps sensuellement.

Jenny accélère, sa bouche ne faisant maintenant qu’un avec le sexe qu’elle recouvre et sa langue allant toujours plus loin dans l’intimité bouillante. Puis, elle vient ensuite emprisonner le clito de ses lèvres et se met à jouer avec, encore plus rapidement, à l’aide de sa langue, ce qui donne le coup de grâce à Marion qui se crispe brusquement avant de se perdre dans un puissant orgasme tout en appuyant encore plus le visage de Jenny entre ses cuisses en plaçant sa main sur sa tête.

— Oui oui OUI OUI OUIIIII ! hurle la jeune femme.

Jenny libère le sexe de sa bouche et se contente à présent de le caresser du bout des doigts en regardant Marion se tortiller comme un lombric. Puis elle remonte vers le visage de la jeune femme pour l’embrasser à pleine bouche afin de lui faire profiter de la délicieuse saveur qu’elle a dégustée durant de longues minutes.

Après un long moment à s’embrasser langoureusement, Marion fait basculer Jenny sur le dos et la voilà en train de la chevaucher. C’est à présent la jeune femme qui mène la danse et elle commence à déboutonner tranquillement le chemisier de Jenny, dévoilant au fur et à mesure la belle poitrine engoncée dans un joli soutien-gorge blanc. Une fois le vêtement complètement ouvert, Marion se penche et effleure de ses lèvres la peau douce des seins qui lui sont offerts.

Jenny regarde Marion la frôler de sa bouche en se mettant à soupirer doucement, ses mains caressant les cuisses de sa cavalière. Cette dernière finit par se redresser puis se recule légèrement pour commencer à déboutonner le pantalon ; elle l’enlève ensuite, dévoilant un joli string assorti au soutien-gorge. Elle ne s’embarrasse pas plus longtemps de sa présence et le retire à son tour pendant que Jenny fait de même avec son haut.

Marion va de nouveau chevaucher sa maîtresse et vient caresser le sexe déjà copieusement humide de sa petite main fine. Quelques-uns de ses doigts se faufilent rapidement dans le cratère en ébullition et Jenny accueille cette intrusion en poussant des gémissements affirmés. Marion fait onduler ses hanches comme si elle pénétrait Jenny, ses doigts faisant office de queue pendant que la paume de sa main se colle contre le clitoris pour le stimuler. La jeune femme se sert de son autre main pour agripper un des seins et se mettre à le malaxer plus ou moins fort au gré des couinements de Jenny.

— Hummmm oui plus vite plus vite, réclame Jenny en suppliant Marion du regard.

Cette dernière ne se fait pas prier pour accéder à sa demande et elle colle sa main sur le pubis de Jenny pour remuer sa main et ses doigts de plus en plus vite en pétrissant la belle poitrine de son autre main.

— OUI OUI OUI HAN OUI, se met à brailler Jenny en fermant les yeux.

Marion sent sa main qui se trempe de plus en plus et elle accélère encore plus avant de la retirer pour libérer le sexe qui laisse s’échapper quelques petits jets de jouissance. Les cuisses de Jenny se mettent à trembler alors que la preuve de son plaisir imbibe généreusement la couette du lit.

Marion se penche vers Jenny et se met à l’embrasser, les deux femmes se prenant mutuellement dans les bras en se caressant tendrement.

— Voilà ce que j’aurais voulu faire lors de la petite soirée de l’autre fois, chuchote Jenny avant de se remettre à embrasser Marion.

— Nos hommes avaient d’autres projets pour nous, répond la jeune femme.

Les deux amantes s’étreignent sans discontinuer, collées l’une à l’autre comme deux aimants que rien ne semble pouvoir séparer, jusqu’à ce que la sonnerie de la porte ne les force à sortir de leur bulle de plaisir.

— Tu attends quelqu’un ?

— C’est sûrement Nathan, il passe me voir parfois avant d’aller en cours, dit Marion avant de se lever.

— Faut-il que j’aille me cacher ? demande Jenny, un brin d’espièglerie dans le regard.

— Je pense que ce n’est pas nécessaire !

Marion se dirige vers la porte en tenue d’Ève.

— Tu vas ouvrir à poils sans être sûre que c’est ton mec ? lui lance Jenny.

— Bof, on est censée s’exhiber cet aprèm’, non ? Si c’est pas lui, ça sera un bon début !

Jenny rigole de bon cur pendant que Marion ouvre la porte. C’est bel et bien son petit ami qui se trouve derrière et ce dernier ouvre des yeux grands comme des soucoupes en voyant sa copine qui l’accueille, complètement nue et avec un grand sourire.

— Ben alors chérie, on se promène toute nue ? lui demande Nathan.

— Ouais, ça te dérange ?

— Oh non, tu penses bien !

Il va embrasser tendrement sa petite amie tout en la caressant.

— Tant mieux, dit-elle, parce que je ne suis pas la seule à être nue !

— Hein ?

Nathan rentre dans l’appart’ et voit rapidement Jenny, toujours allongée sur le lit.

— Oh, Jenny ! s’écrie Nathan avec un grand sourire.

— Salut beau gosse ! lance-t-elle en se levant pour aller enlacer le jeune homme.

Jenny ne se gêne pas pour lui rouler une belle pelle. D’abord un peu étonné, Nathan suit rapidement le mouvement et leur baiser dure de longues secondes sous les yeux d’une Marion amusée.

— Ça va ? ajoute Jenny après ce langoureux baiser.

— Euuuuh ben, euh, oui, ça va. Quel accueil ! s’enthousiasme-t-il avant de poser son sac au sol.

Marion et Jenny pouffent de rire.

— J’espère que je ne vous ai pas dérangées au milieu de quelque chose, demande Nathan.

— Non, t’inquiète chéri, on venait de finir, répond Marion.

— Ah, dommage alors !

— Je vais squatter ta salle de bains si ça ne te dérange pas, lance Jenny en attrapant son sac.

— Fais comme chez toi ! lui dit la jeune femme.

Jenny va dans la petite salle de bains et ferme la porte, non pas par peur d’être dérangée, mais pour laisser un peu d’intimité au jeune couple.

Elle arrange un peu sa chevelure légèrement ébouriffée par son étreinte avec Marion, puis elle ouvre son sac pour y prendre la tenue qu’elle a choisie pour cet après-midi un peu spécial.

Elle habille tout d’abord ses jambes avec un collant porte-jarretelles noir. Pas d’autres pièces de lingerie afin de faciliter les attouchements auxquels elle compte bien s’offrir. Pour le reste des vêtements, elle a opté pour un top noir plutôt court, largement échancré afin de faciliter les mains baladeuses qui voudraient s’attarder sur sa poitrine et pour le bas, c’est une jupe blanche très légère qui lui arrive au-dessus des genoux. C’est une tenue somme toute assez passe-partout, du moins tant qu’elle ne se met pas dans des positions trop suggestives.

Elle arrange un peu son maquillage puis sort de la salle de bains.

Elle aperçoit Nathan, assis confortablement sur le canapé avec Marion, à genoux entre ses jambes, en train de lui prodiguer une fellation.

— Ça va ébène et ivoire, je vous dérange pas trop ? demande Jenny avec un grand sourire.

Marion ne s’occupe pas de répondre et seul Nathan lève les yeux sur elle.

— La petite pipe avant de retourner en cours, ça n’a pas de prix ! lance le jeune homme.

— Tu m’étonnes !

— Si tu veux participer, n’hésite pas ! lui propose Nathan.

— Ça ira, je vais avoir ma dose de queue cet aprèm’ donc je vais me contenter de vous admirer pour ce coup-ci !

Jenny va s’asseoir sur le lit pour observer le travail de Marion.

La jeune femme est très appliquée dans ses gestes, elle alterne les caresses rapides et plus lentes, se calant sur les soupirs de son petit ami. Jenny ne peut s’empêcher de s’allonger à moitié pour remonter sa jupe et commencer à se caresser.

Elle se délecte d’admirer la belle verge sombre et luisante de salive se promener entre les fines lèvres de la bouche de Marion qui arrive à faire une gorge profonde sans même un petit haut-le-cur. La gamine est sacrément douée malgré son petit four !

Elle se met à se servir de ses deux mains pour masturber rapidement son petit ami qui soupire de plus en plus, puis elle emprisonne son gland entre ses lèvres tout en continuant ses va-et-vient manuels et véloces. Ses joues se creusent à mesure qu’elle aspire toujours plus fort le gland d’un Nathan à présent perdu dans une autre dimension, celle de la jouissance qui, à n’en point douter, n’est clairement pas loin d’arriver.

Loin de se fatiguer, Marion ne cesse pas ses gestes d’une précision chirurgicale et elle remplace bien vite ses mains par sa bouche ; la voilà maintenant en train de le sucer en faisant osciller sa tête si vite qu’on pourrait presque entendre ses cervicales se plaindre du traitement qu’on leur inflige. Malgré tout, ça ne semble pas la gêner tant son cou se tord avec une certaine souplesse.

Rapidement, Nathan se retrouve dos au mur et n’a d’autres choix que de rendre les armes, les yeux fermés et la bouche ouverte, comme si on venait de lui injecter une drogue surpuissante dans les veines.

Marion s’immobilise alors, la queue de son homme entièrement dans le gosier, elle pousse des gémissements étouffés à mesure que la tige, dont on peut voir les quelques millimètres qui ne sont pas bien au chaud dans la bouche de Marion, palpite à chaque giclée de foutre qu’elle libère.

La jeune femme fait lentement remonter ses lèvres le long de la queue turgescente en laissant échapper quelques fines traînées de sperme qui s’écoulent jusqu’au pubis parfaitement rasé du jeune homme. Elle libère, de l’étau de ses lèvres, le sexe de son petit ami en avalant la semence encore dans sa bouche avant de sourire en plongeant son regard dans les yeux de son compagnon.

Jenny admire le jeune couple dont le côté fusionnel qu’elle ressent en les regardant lui fait penser à sa propre relation avec Florian. Si elle ne se voit jamais avec lui, elle se dit que si elle le pouvait, le tableau ne devrait pas être bien différent de celui qu’elle a en ce moment même devant les yeux.

Après avoir bien pris soin de nettoyer parfaitement la queue et le pubis de Nathan, Marion se relève et se tourne vers Jenny.

— Voilà, désolée !

— Mais tu n’as pas à être désolé, merci pour le spectacle ! répond Jenny en laissant retomber le tissu de sa jupe.

Marion lui envoie un clin d’il pendant que Nathan se lève en remettant son pantalon.

— Bon, désolé les filles, mais je dois y aller, je vais être à la bourre sinon !

Il récupère son sac à dos et l’enfile sur ses épaules avant de se pencher vers Marion.

— Au revoir mon amour, lui dit-il avant de l’embrasser tendrement.

— Bye chéri, bon courage pour les cours.

— Merci. À bientôt Jenny, prends bien soin de Marion cet aprèm’, d’accord ?

— T’en fais pas !

Le jeune homme sort de l’appartement en laissant les deux femmes seules.

Jenny se met alors à fouiller dans les affaires de Marion afin de trouver les fringues idéales pour leur passe-temps coquin du jour. Après plusieurs essais, un consensus est trouvé pour une petite jupe plissée qui arrive à mi-cuisse accompagnée d’une petite veste fine et un peu moulante qui fait délicieusement ressortir ses tétons.

Si pour le haut, elle n’a pas mis de soutien-gorge afin de laisser sa poitrine se dessiner sur le tissu, pour le bas, elle a choisi le string le plus minimaliste qu’elle a.

Marion ne sachant pas encore comment elle réagira lorsqu’elle sera en train de se faire mater, elle préfère se laisser tout loisir de rester sage en gardant son intimité un minimum caché aux regards lubriques.

Une fois les deux femmes apprêtées, elles lèvent le camp pour enfin commencer cet après-midi de luxure.

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