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Il n'y a plus d'enfants – Chapitre 2

Il n'y a plus d'enfants - Chapitre 2



Douchée, coiffée avec soin, habillée sexy, parfumée, Emma mavait demandé de la doigter et de la sucer très fort, jusquà lorgasme, avant de se rendre chez ses hôtes pour une soirée spéciale. Elle était fébrile depuis linvitation, chaque jour plus excitée à lidée de voir des hommes et des femmes échanger leurs partenaires et se livrer devant elle à toutes les fantaisies amoureuses. Ramenée à la maison par Fernand vers trois heures du matin, elle mavait réveillé pour me livrer ses observations à chaud. Il ny avait que les deux couples connus. De façon très classique Fernand avait chauffé sa femme Astrid en de longs préliminaires et Rémi avait préparé Denise des doigts et de la bouche. Ils avaient ensuite permuté pour se livrer à une pénétration en position du missionnaire. Lobservatrice avait relevé la taille exceptionnelle du pénis de Rémi, une sorte de massue à lextrémité impressionnante, avec un gland énorme de couleur prune. Astrid lavait choyé longuement, avait appelé Denise et avait présenté loutil à sa légitime propriétaire. Habituée à son mari, Denise, couchée sur le dos, des deux mains avait ouvert son sexe et Astrid avait guidé lengin impressionnant vers son port où il avait par secousses rudes frayé son chemin.

-Quelle belle queue, énorme à faire peur: je me demande si elle pourrait entrer chez moi. Oh! Cela ma beaucoup intriguée.

Lidée dun essai ne labandonne pas mais continue à faire son chemin.

-Astrid et Fernand ont inversé leur position, la femme chevauchait son homme. Cest une rude combattante, elle sébrouait violemment, levait ses fesses, laissait apercevoir la quasi-totalité de la hampe de Fernand, un gras morceau tout dur mais de taille normale. Et ils samusaient à rompre leur union pour changer de partenaire, complices, parfaitement entraînés. Astrid semblait craindre les pénétrations de Rémi. Chaque fois il poussait, franchissait les lèvres et finissait dans le vagin auquel il laissait, immobile, le temps de shabituer à sa taille formidable. A chaque retrait il faisait sortir, collé à son tube, un collier rose de la paroi du vagin, cette peau intérieure suintante faisait coucou entre les petites lèvres échancrée qui souvraient en fleur avant de se resserrer lors de la pénétration suivante. Les deux femmes sétaient mises face à face, à quatre pattes, Fernand se tenait derrière Denise, Rémi reniflait les fesses ou le sexe dAstrid. Les deux hommes ont avancé leur poitrine au-dessus du dos féminin, un bras de chaque côté des flancs, à la façon de chiens en train de saillir leurs chiennes. Sans mal Fernand a monté sa partenaire.

Rémi tenait son manche à pleine main, le faisait aller de haut en bas puis de bas en haut, poussait en avant mais ne franchissait pas louverture. Il mappela à laide. Je dus prendre sa massue en main et la diriger, non vers la vulve mais sur le petit trou dAstrid. Cétait la raison de léchec de ses tentatives précédentes. Avec son pieu surdimensionné, il voulait passer par le petit trou apeuré. Dans ma main ce pénis hors norme tressaillait, voulait se tourner vers le plafond, cétait terriblement excitant de tenir pour la première fois un bâton de chair palpitant de cette taille. Rémi ma demandé de lentretenir pendant quil portait son index, son majeur et son annulaire à la bouche, les recouvrait de salive et les vissait dans le trou du cul dAstrid où il les fit tourner contre les parois. Ce nétait pas sa première fois, cependant elle semblait appréhender la pénétration du mastodonte. Je devais faire aller mes doigts sur la tige, mais je nen faisais pas le tour, je dus y employer mes deux mains.

-Détends-toi, Alice, ce nest pas la première fois, cool. Toi, la nouvelle, prends-moi dans tes deux mains, ne me laisse pas plier et en place.

Il retira ses doigts et se poussa brutalement dans lorifice bâillant. Astrid cria, la moitié du pieu avait passé lanneau rectal. Lhomme sétait levé à la verticale et pesait de tout son poids pour avancer encore, centimètre par centimètre. Elle sous lui sétait écrasée des épaules sur le tapis et sefforçait de garder croupe haute. Je pus retirer mes mains dentre les deux corps et vis le poignard disparaître dans lanus douloureux.

Elle était sortie de son rôle dobservatrice, sétait émue du contact et avait participé à lintromission, ne parlait plus de gêne mais dexcitation. Jétais débordé par la rapidité de lévolution de son vocabulaire et de son attitude en face dun sexe étranger.

-Rémi était tout rouge de visage, Astrid grimaçait affreusement et poussait des soupirs à faire pitié. De son côté Fernand pistonnait gaillardement Denise. Je me déplaçai et constatai quil était dans le vagin chuintant de bonheur mouillé. Quand lenculée et lenculeur reprirent leur souffle, Fernand quitta le vagin de Denise, vint relever le buste de son épouse empalée et demanda à ce couple collé de se laisser couler de manière à retrouver Rémi couché sur le dos à même le tapis et Astrid dos contre le ventre de son pourfendeur, jambes ballantes battant lair et sexe ouvert par lécartement des cuisses, emmanchée.

Cétait le clou du spectacle, le mari sagenouilla entre ces jambes pendantes, dirigea son membre gluant vers le sexe offert et sy perdit. Alors commencèrent des ondulations de serpent, les hommes se retiraient puis revenaient dans les deux trous et Astrid ne contenait plus ses gémissements où se mêlaient douleur et plaisir. Enfin après une longue période de va-et-vient les deux pénis abandonnèrent les places brûlantes. Je vis à leur suite sévader deux coulées blanchâtres animées par léclatement de grosses bulles .Elles se rejoignaient et se mélangeaient sous Astrid immobile. Denise, agenouillée, saccrochait aux jambes des deux hommes debout et nettoyait de la bouche avec une avidité stupéfiante les membres ramollis des deux rigolards enchantés. Fernand sétait tourné vers Emma:

-Alors Emma, ça ta plu? Tu naimerais pas être prise entre deux hommes? Ne teffraie pas. Si un jour tu le voulais, Rémi entrerait dans ton vagin et je te défoncerais le ptit trou: ce serait plus facile. Tout nest quune question dhabitude. Avec de la persévérance tu finirais par recevoir Rémi comme Astrid. Tu connaîtrais le plaisir absolu. Chaque femme devrait y goûter.

Les mâles avaient pris le temps de récupérer. Les femmes ne cessaient pas de les taquiner, montraient un entrain sans faille, se faisaient des langues, se passaient les mains sur les chattes, se suçaient les seins puis retournaient à leur conjoint pour une pipe ou une branlette vigoureuse. Denise à son tour avait été prise en sandwich. Chez elle Rémi avait ses habitudes, entrait et sortait à laise et elle affichait un bonheur béat, contente de montrer le résultat dun usage répété.

-Mon pauvre chéri tu te perdrais dans un monument aussi vaste.

Eh! Oui, elle me voit tout petit comparé à lexceptionnel, je suis dévalué et hélas absent à cause de mes blessures.

-Pourtant au repos elle se referme. Jai dû y introduire un doigt, car elle tenait à me prouver lintégrité du muscle annulaire qui ferme son canal. Jy suis parvenue très facilement, mon index dérapait dans le foutre déchargé par lénorme plantoir. Fernand lui-même donnait limpression de nager dans un gouffre trop large quand à son tour il a succédé brièvement à Rémi entre les fesses de Denise accoudée sur un fauteuil.

Personne navait attaqué Emma, les quatre sen étaient tenus à donner le spectacle, à quelques exceptions près dont cette investigation dans les profondeurs anales de Denise. Elle avait vu et touché des étrangers. Et elle répéta, comme si de lavoir dit une fois nétait pas suffisant, sa troublante émotion de sentir palpiter dans ses doigts le prestigieux bâton damour de Rémi. Elle en bavait de plaisir des heures plus tard. Je prévoyais des demandes prochaines.

Je reprenais des forces, mes fractures se soudaient. Affamée de sexe, la récente découverte devait y contribuer, Emma avait réussi à me chevaucher sans brusquerie et mavait pompé longuement, bras tendus, le ventre dansant au-dessus du mien, lié au mien uniquement par les sexes emboîtés. Elle mavait fait éjaculer quelques gouttes mais grâce à sa persévérance sétait accordé un orgasme dintensité moyenne. Nous avions eu recours à nos jouets. Devant moi, sans gêne désormais, comme si le mot et le sentiment avaient disparu lors de la démonstration chez Fernand, Emma se livrait aux vibrations mécaniques avant de me présenter son entrejambe pour des caresses buccales et linguales dont son clitoris était friand. Hélas, toute mon application de mari handicapé ne chassait pas de son regard cette tristesse, reflet de son insatisfaction et de son envie de nouveauté. Le souvenir de la queue de Rémi la hantait. Elle nen parlait pas, mais sa soirée spéciale avait réveillé son fantasme assurément.

Cétait le grand jour, le jour de son anniversaire. Restaurant à midi. Au cours du repas je lui annonçais la surprise mise sur pied pour laprès-midi: deux hommes viendraient lui faire lamour et lui faire réaliser son fantasme de pénétrations simultanées. Cétait mon cadeau un peu spécial certes, mais destiné à chasser lidée de frustration que javais relevée, elle devait sen souvenir, après un film sur canal +. Je mattendais à lentendre protester, il nen fut rien. Elle me remercia en termes chaleureux. Comme moi elle pensait voir sévanouir les images et les désirs de coïts multiples avec deux partenaires grâce au passage à lacte. Elle se voyait à la place des actrices de films pornographiques prise et reprise, coincée entre deux mâles, envahie, fouillée et souillée, tremblante du double plaisir. Lexpérience vécue, on nen parlerait plus, elle ny penserait plus! Décidément cétait un cadeau danniversaire original et génial. Elle men serait reconnaissante et son amour pour moi en serait ravivé, je naurais pas à regretter mon geste inspiré par le souci de son bonheur. Comme lavait dit mon collègue Fernand, toute femme devrait y goûter.

Elle ne pensa même pas à me demander si je néprouverais pas un pincement au cur en la voyant jouir avec dautres hommes. Pour elle jallais profiter du spectacle. Elle ne se soucia pas de me savoir écarté de laventure par mes blessures. Naturellement le mari assistait mais ne participait pas. Et pourtant dans mon plan initial javais prévu dêtre lun des deux mâles. Un peu vexé quelle nen ait pas évoqué la possibilité, je lui indiquais que jaurais aimé vivre en même temps quelle cette découverte unique. Elle en rit

-Mon pauvre amour, tu me vois blessée par tes plâtres! Non, cest très bien comme ça: deux anonymes que joublierai, ce sera parfait. Après, délivré de tes protections encombrantes, tu deviendras mon unique amour. Je ne suis pas sûre dêtre aussi audacieuse que toi, je suis trop jalouse pour toffrir en cadeau danniversaire deux femmes! Même pas une.

Javais annoncé de la visite pour16 heures. Sophie était partie jouer chez sa grand-mère. Je recommandai à ma femme de prendre particulièrement soin de sa toilette et de sa tenue. Javais agrafé moi-même son soutien-gorge et ajusté au mieux entre ses fesses le fin ruban du string-confetti assorti. De mon fauteuil roulant je lavais aidée à choisir une robe, donnant la préférence à un décolleté profond pour exposer les courbes magnifiques de ce corps de femme mature soignée. Elle piaffait dimpatience, devant le miroir de lentrée, redressait une mèche de cheveux, regardait son profil.

— Tu crois quils vont apprécier. Jaurais peut-être dû mettre ma robe verte?

De plus en plus la crainte davoir commis une énorme erreur me donnait une impression détouffement.

-Ma chérie notre visite arrive. Veux-tu poser ce bandeau sur tes yeux. Je tai préparé une surprise, mais il va falloir patienter en aveugle avant de la découvrir.

-Je veux bien jouer le jeu, puisque cela tamuse. Bisou, mon amour. Courage, cest une épreuve à passer. Je te souhaite bien du plaisir. Mais si tu texcites trop, je te chasserai.

Un doigt sur la bouche, je fais entrer Fernand, Rémi, Denise et Astrid en silence. Dans ma chambre à coucher, ils se déshabillent et accrochent leurs rares vêtements aux patères de lentrée, ils ne se sont pas encombrés de sous-vêtements. Assise dans son fauteuil Emma froisse les rides de son front, essaie dentendre, de deviner. Elle craint que je ne lui aie joué une farce.

Ce nest pas une blague, dis. Tu nas pas invités la famille? Ma-t-elle demandé quand jai placé le bandeau sur ses yeux.

Je regrette déjà de ne pas lavoir fait comme les autres années. Dans ma maison se déplacent deux couples nus. Au repos la verge de Rémi est étonnante. Celle de Fernand a un air de famille avec la mienne. Astrid et Denise ne se formalisent pas de lexamen attentif et curieux auquel je me livre. Ce sont deux belles plantes, aux seins généreux, aux hanches pleines bien dessinées et larges de presque quinquagénaires délurées. Astrid a les cuisses plus épaisses et plus courtes, Denise est plus élancée et porte son pubis aux poils noirs taillés court plus haut que larrondi grassouillet de celui dAstrid. Pour moi, en souriant, elles font un tour sur place, me montrent leur dos. Evidemment le fessier de la blonde Astrid, plus lourd se trouve en contrebas de lautre, plus fin et plus resserré dapparence. Je ne suis pas insensible à leur charme, bien que jaie des préférences pour les popotins jeunes et joyeux des jeunes filles en fleurs. Par politesse je les remercie dun geste avec une mimique dadmiration. Contre toute attente leur nudité provocante ne me laisse pas indifférent: je sens monter lémoi dans ma verge.

-Chérie, veux-tu ouvrir et tendre tes mains. Je vais y déposer quelque chose qui te renseignera sur lidentité de tes visiteurs.

Sur un signe Rémi et Fernand savancent. Je dépose dans chaque main un pénis. Après une seconde détonnement Emma sécrie

-Rémi, cest Rémi!

Elle na pas hésité sur le contenu de sa main gauche. Cest le cri du cur. Jarrache le bandeau et elle se retrouve nez sur pines. Elle rougit de sêtre trahie aussi facilement. Elle lavait tenu, se souvient, le morceau exceptionnel est gravé dans sa mémoire et hante ses rêves. Nous sommes cinq à rire de sa confusion. Pour reprendre ses esprits elle dépose un léger bisou sur chaque tête de nud, se lève, va pour embrasser les femmes et reçoit de lune et de lautre un baiser inattendu sur la bouche.

-Mon amour, voici ton cadeau danniversaire. Fernand, Rémi, Astrid et Denise viennent te faire partager leur goût du sexe. Tu as manifesté de la curiosité pour lamour à trois, tu as déjà assisté à leur union. Je toffre aujourdhui, en cadeau danniversaire et de façon tout à fait exceptionnelle le plaisir de participer. Tu vas pouvoir leur demander tout ce que tu veux, ils se sont mis à ta disposition pour te laisser un souvenir impérissable de tes trente-huit ans. Je regrette de devoir me contenter dêtre spectateur. Pendant que tes compagnons vont te mettre en tenue, je mabsente pour déposer mes propres vêtements. Pardon davoir encore les jambes plâtrées. Astrid et Denise se précipitent et jai tôt fait de me retrouver nu jusquaux genoux. Je dois faire pitié. Emma est désolée, lair de dire:

-Voyez à quoi je suis réduite.

Denise a un petit geste damitié, prend en main mon escargot recroquevillé, lastique puis lembrasse et sétonne de lui voir prendre des proportions somme toute respectables. Astrid applaudit:

-Mais nous nallons pas nous ennuyer.

Jadmire lérection phénoménale de Rémi, embrasse Emma dont cest ou ça va être « la fête » et je peux rouler dentrée une pelle aux deux belles qui réclament un accueil chaleureux, heureuses de mon élan Elles en profitent pour reprendre en main ma lance quelles caressent et embrassent comme si jétais un habitué de leur cercle. Deux belles femmes nues, chaudes et bienveillantes retirent prestement à la mienne ses derniers remparts de dentelle. Maintenant elle est offerte nue pour la première fois à lassemblée: ma gorge se serre, je viens de perdre une exclusivité. Cest excitant, plus excitant que prévu, mais avec une pincée de doute, dangoisse, une gêne à la gorge. Mon privilège de mari sest évanoui, son corps devient public. Je dois être le seul ici à connaître ce mélange de sentiments contraires. Elle est très jolie, je le savais. Dautres désormais le voient. Elle ne se donnait quà moi: cest terminé, ils vont en user, sen servir sous mes yeux. Emma, épanouie, ravie vient menlacer, membrasser et me remercie solennellement. Où est sa gêne?

-Jai un mari formidable, cest déjà en soi un merveilleux cadeau danniversaire. Il vient de moffrir le cadeau dont je rêvais. Il transforme un fantasme en réalité. Applaudissez-le. Merci de lui avoir permis de me prouver son amour, son souci de mon bonheur, sa générosité et son ouverture desprit. Encore un bravo pour sa tolérance.

Je ne lui dirai jamais quelle somme importante jai versé pour obtenir ce contrat. Jaurais pu lui payer une belle bague pour le prix. Quelle continue à rêver, à supposer quils sont là pour ses beaux yeux uniquement puisque cela la rend heureuse. Peut-être se fâcherait-elle dapprendre que cest un contrat à durée déterminée. Ce sont des professionnels, ils louent leurs services et sengagent à se retirer une fois la mission accomplie. Aujourdhui ils doivent multiplier les positions à trois. Plus tard, si Emma le souhaite ils lintroduiront au club et ne la toucheront plus. Il y va de leur réputation de recruteurs sérieux.

Comment ai-je pu émettre cette hypothèse sous linfluence de Fernand. Quirait-elle faire dans ce club déchangistes? Pour avoir les deux hommes ici, je leur ai laissé croire à une possible inscription, persuadé que lidée daller se faire mettre par nimporte qui déchaînerait la colère dune femme fidèle depuis si longtemps. Ma surprise est la compagnie des deux épouses non prévues dans le contrat. Jai fait part aux deux associés des travaux préparatoires à cette rencontre, notamment de lutilisation des jouets destinés à préparer les voies de pénétration. Une femme de trente huit ans a une expérience certaine à laquelle, du fait du nombre dintervenants, ils vont ajouter un chapitre.

Pour débuter nous dégustons un champagne rosé bien frais. Coupes entamées, Astrid et Denise entraînent Emma sur le canapé. Astrid sagenouille à ses pieds, ouvre langle des jambes en pesant avec ses seins, passe ses deux bras derrière les genoux dEmma, les relève, porte ses mains derrière ses fesses et attire le ventre à la limite du siège, à portée de sa bouche immédiatement posée sur la vulve close. Elle y crache la gorgée de champagne gardée en bouche. Astrid sincruste et se met à dévorer le fruit à saveur de coquillage maritime. Denise debout sur le canapé entoure de ses jambes le buste de ma femme et présente à sa bouche sa féminité. Impressionnée par le travail de la bouche et de la langue dAstrid, Emma comprend vite ce que Denise lui réclame. Elle pose ses mains sur le fessier, le cramponne avec force et fait avancer le sexe pour y répéter la leçon donnée plus bas. Des bruits humides de lapements et de succions imposent le silence. Nous, les trois hommes, spectateurs pour le moment, au garde-à-vous, faisons silence et admirons cette mise en bouche des tribades: encore une révélation pour Emma et déjà du piment pour les deux héros du jour.

Ils quittent leur siège et lun après lautre vont pénétrer le vagin dAstrid toujours aux pieds dEmma, pour y puiser en quelques allers retours le lubrifiant naturel dont-ils vont avoir besoin. Au signal, la triplette femelle se désunit, Astrid et Denise senlacent et sembrassent pour partager les secrétions de ma femme et vont prendre place dans les fauteuils des maris et se rincer la bouche au champagne. Les hommes ont disposé Emma devant le canapé. Elle nous tourne le dos, ses deux mains prennent position sur le haut du dossier. Rémi relève la jambe gauche et en dépose le genou sur lassise. La raie des fesses dessine une courbe déviée à gauche. Rémi se penche par le côté et va embrasser la bouche dEmma quil courbe vers le dossier en appuyant de son bras droit sur les épaules. Fernand passe sa main gauche entre les cuisses écartées et flatte la vulve en allers retours appuyés puis par petites claques. Emma ouvre langle pour mieux être touchée. Rémi à gauche, Fernand à droite, nous avons, entre les deux, vue unique sur le sexe exposé dont les grandes lèvres voudraient se décoller. Dun doigt expert Fernand parcourt la fente, monte, redescend en ouvrant le sillon, déniche les petites lèvres fines et, avec la deuxième main pesant sur la fesse droite, il fait béer le sexe tout rose et trempé par les préliminaires dAstrid. Ma femme est complètement dévoilée, ouverte aux regards concupiscents de la petite troupe. Le sait-elle? Elle paraît si occupée à lutter langue à langue avec Rémi. Elle est parfaitement à laise, on dirait une habituée, je nen reviens pas.

De deux doigts puis de trois Fernand vérifie le diamètre de lentrée du vagin sous le méat urinaire et le clitoris caressé. Il se prend en main, durcit son envie en tapotant sa verge sur une fesse ou sur la vulve. Il se met en place, écarte et tout lentement entre, sintroduit dans la mouille et pénètre avec mille précautions une Emma dont la seule réaction a été un mouvement léger de croupe pour se prêter à lentrée en matière. Elle a en bouche la langue de Rémi et vient dêtre envahie sans broncher ou presque par un phallus aguerri et néanmoins étranger. Elle se disait incapable de limaginer: elle le subit avec délectation. Mieux placé, Rémi se retire pour lui laisser savourer la présence unique en elle de son comparse. Fernand est en balade, il va, il vient, musarde, sattarde au fond du conduit, frotte les berges internes à allure lente. Emma tourne la tête, me cherche du regard, sourit heureuse, attend un signe dapprobation. Je souris jaune, mais je souris, il le faut, ce nest pas le moment de gâcher un début de cadeau apprécié.

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