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Incident de parcours – Chapitre 1

Incident de parcours - Chapitre 1



La voiture avalait les kilomètres et son propriétaire se laissait porter par la musique crachotée par lautoradio. Heureusement, les bouchons relevaient de lhistoire ancienne en cette dernière semaine daoût. Le plus gros des vacanciers sétaient déjà remis au turbin et il redevenait possible de voyager tranquillement sur cette petite départementale du sud-est de la France. Et quoi de plus sain et reposant que de profiter de la campagne environnante en cette période encore estivale ?

  Soudain, un concert de klaxonne le tira de sa demi- torpeur. Jetant un coup dil au rétroviseur intérieur, Thomas .F aperçut une puissante voiture bleue qui le collait dangereusement.

  « Eh ben merde, encore des excités. A chaque fois il faut que je me les gaule » pensât-il tandis que le tintamarre se poursuivait. Regardant avec plus dattention, il aperçut le conducteur, ou plutôt la conductrice. A ses côtés se tenait une autre femme. En loccurrence, il sagissait de deux filles denviron vingt ans daprès ce quil pouvait en voir. Et plutôt jolies à première vue.

  A cette constatation, il se radoucit un peu et serra à droite, facilitant ainsi le passage des demoiselles trop pressées. Elles le dépassèrent en trombe tandis quil leur adressa un signe amical accompagné dun clin dil évocateur.

  Les filles se rabattirent brusquement devant son propre véhicule, lobligeant à donner un coup de frein qui faillit lenvoyer dans le décor.

   Bordel, mais elles sont cinglées ou quoi !?Jai bien envie de relever leur numéro ! Elles ont dû encore fumer de la saloperie.

Le puissant véhicule séloigna rapidement, bientôt point bleu confondu dans le bleu clair de la ligne dhorizon.

  Thomas commençait à oublier lincident quand peu après un virage assez serré, il dû de nouveau freiner en catastrophe. La voiture bleue se trouvait en travers de la route, au mépris de toute règle de prudence.

   Mais bordel, vous êtes connes ou quoi ?!Regardez ce que vous faites ! Vous jouez à quoi là ?

  Thomas descendit de voiture et sapprocha du véhicule des deux filles. Celles-ci agirent de même et, nullement impressionnées, allèrent à la rencontre de lhomme qui ne décolérait pas.

« Très jolies filles »pouvait-il constater à cette distance. Minces, habillées avec goût et soigneusement coiffées. Elles donnaient limpression dappartenir à une classe sociale assez aisée, comme le confirmait leur véhicule de marque briqué comme un sous neuf.

  La blonde linterpella de façon désinvolte.

   Tas un problème, pauvre mec ?

Décontenancé par cette nonchalance et cette apostrophe, Thomas sentait sa colère tomber en même temps quil perdait ses moyens.

   Quand-même, jaurais pu avoir un accident grave.

   Et quest-ce que tu veux que ça nous foute, raclure ?

   Mais je

   Mais rien du tout, espèce de tocard.Ca tapprendras à nous faire ton numéro quand on te dépasse. Tu crois quoi, sérieux ? Tu penses que tu as une chance avec nous avec ta tronche et ta bagnole de smicard ?

   En plus, il nest pas très soigneux, renchérit la brune. Regarde là, il a rayé la carrosserie. dit- elle en balafrant une aile avec son trousseau de clefs.

   Et là Pauline- boOom -il a froissé la taule.

   Alors là, vous nallez pas vous en tirer comme ça. dit Thomas en tendant de se saisir de la blonde Camille.

  Abandonnant subitement sa nonchalance, elle saisit lhomme par le bras et le projeta sur le bitume ou il se réceptionna douloureusement.

Ne voulant pas savouer vaincu, il remit ça et dune balayette, son antagoniste le renvoya au sol, déchirant son pantalon et lécorchant au genou.

   Tu nes pas de force, mauviette. Alors, tu te soumets ou je te colle une vraie raclée ?

Thomas se ramassa sur lui-même et bondit sur la fille qui se déporta et lui asséna un violent direct dans le foie. Le souffle coupé, le côté de son ventre irradiant une douleur insupportable, Thomas tomba lamentablement au sol.

   Cest vraiment une crevure ce mec, un seul coup et le voilà hors de combat.dit Pauline.

   Cest vrai quil est plutôt naze. A tel point que jai envie de mamuser un peu avec lui.

   Super, tas raison ! Il servira au moins à quelque chose, ce loser.

   Je crois que tu lui as trouvé un nom qui lui va bien. Cest comme ça quon va lappeler. Pas dobjection, loser ?

Elle souligna sa question dune tape sur la tête de Thomas qui némit quun halètement pitoyable. Pour lheure, il tentait de reprendre son souffle.

Camille posa son pied sur ses cheveux, lui écrasant la tête sur le bitume.

   Alors, comment me trouves-tu en chasseresse de losers ?

   Super ! Je vais prendre une photo !

  Pauline sortit son portable et tira un cliché assez réussit.

   Attend, on peut faire mieux !

Camille retira une de ses ballerines et posa son pied moite de sueur sur le visage de Thomas, lui déformant douloureusement le visage sous limpitoyable pression exercée.

La brune pauline éclata de rire et réalisa une série de clichés tandis que Camille prenait des poses plus avantageuses les unes que les autres.

   Trop bien ! Maintenant, je vais faire un gros plan de ton pied en train de lui écraser sa bouille de con.

  Pour loccasion, Camille accentua autant que possible la pression de son pied sur le visage de sa victime qui poussa un cri étouffé. La pression infernale lui déformait complètement le côté du visage, lautre côté étant douloureusement écrasé sur le bitume de la route. Thomas pouvait sentir la sueur du pied lui humidifier la joue tandis que lodeur forte lui agressait les cellules olfactives.

Camille consulta les photos avec ravissement.

   Super. Je vais les poster sur mon site internet. Celle en gros plan, je vais la mettre en image de fond pour mon téléphone portable et mon ordi. Bon, cest pas tout ça mais il faut dégager la chaussée. Pauline, va garer les voitures sur le bas-côté puis viens nous rejoindre. Moi, je vais emmener ce loser dans le bois. Il faut quon discute.

  Pauline exécuta sa tâche tandis que Camille emmenait sa victime pantelante en la tirant vigoureusement par une oreille jusquà une petite clairière à labri des regards indiscrets. Pauline ne tarda pas à les rejoindre.

   On va attacher ce loser à cet arbre, file -moi tes bas.

Pauline retroussa sa mini-jupe, dévoilant des jolies jambes fuselées le long desquelles elle fit glisser les bas- nylon.

   Fais gaffe, cest quand même de la marque !

   Fais pas chier, caurait été tes bas de soie, je dis pas. Mais là, cest quand même pas du grand luxe quoi.

  Pendant que Pauline le maintenait fermement, Camille entrepris dentraver les poignets puis les chevilles de Thomas, lattachant le dos au tronc avec des mouvements souples et précis. Elle éprouva la solidité de lensemble et, satisfaite, se tourna vers sa proie.

   Alors, loser, tu nas pas lair un peu con, là ?

   Daccord, cest bon, vous avez gagné. Je mexcuse pour tout à lheure. Mais maintenant, laissez-moi partir.

   Tu entends ça Pauline ? On lui fait une queue de poisson, on le frappe, on lattache, et il sexcuse ce connard.

Elle le gifla aussitôt avec violence, déclenchant les rires de Pauline.

   Par contre, tu a raison sur un point. Nous avons gagné. Gagné le droit de te corriger comme bon nous semble. Nest-ce pas Pauline ?

   Ouais, et même quon va te soigner looser. Tu représentes tout à fait ce que jexècre le plus, pauvre nullard.

Elle gifla à son tour lhomme entravé qui se mit à crier à pleins poumons.

   Mais cest quil gueule comme un porc égorgé ce con ! Pauline, passe-moi ta culotte.

Lintéressée retroussa de nouveau sa mini-jupe et ôta sa culotte de dentelle noire.

Thomas continuai dappeler à laide. Camille lui enfourna dautorité la culotte dans la bouche puis, retroussant sa mini-jupe elle retira sa propre culotte dont elle se servit pour le bâillonner et lempêcher de recracher celle de Pauline.

   Voilà, maintenant tu vas fermer ta gueule, loser.

Elle farfouilla dans les poches de son pantalon et en retira un portefeuille bien garni quelle décida de conserver.

   Jespère que tu as un plan B pour tes vacances, sinon tes mal barré.

  Les deux filles cassèrent ensuite deux rameaux flexibles quelles effeuillèrent afin dobtenir deux verges dont elles se servirent pour flageller leur victime, déclenchant des borborythmes étouffés par la double épaisseur des deux culottes appliquées dans et sur la bouche.

   Je pense quil sentirait mieux sa punition sans sa chemise, tu ne crois pas Pauline ?

Dun commun accord, les deux filles arrachèrent la chemise, faisant sauter les boutons et déchirant le reste.

   Ouaaaah, vise un peu le physique du mec, cest vraiment le malabar intégral.dit Pauline en passant sa main sur la poitrine creuse du quadragénaire.

Celui-ci frissonna au contact de cette main soignée qui lui prodiguait cette caresse sensuelle, éveillant une bouffée de plaisir coupable qui fit gonfler son membre dans son pantalon.

Cela néchappa nullement à la sagacité de Camille.

   Regarde, le cochon sexcite sur toi !

   Je vais te faire payer ça immédiatement, sale porc !

Pauline entreprit aussitôt de lui baisser son pantalon aux chevilles avant de se saisir de lélastique du slip.

   Et maintenant, dit-elle en le regardant dans les yeux, lestocade finale.

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