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Jalouse de lui – Chapitre 4

Jalouse de lui - Chapitre 4



— "C’est bien Antoine merci pour ta coopération. Tu auras donc une récompense pour avoir agit correctement et avec maturité".

Je l’avais laissé mariner dans son sperme pendant 2h tout en vaquant à mes occupations jusqu’à entendre la voiture des parents qui revenaient du boulot. 

2 jours passèrent où j’étais davantage en ville à m’amuser avec mes amis qu’à la maison.

Mais le vendredi après-midi, mon père étaient revenus à la maison avec ses parents, nos grands-parents, pour qu’ils profitent de l’air frais de la campagne et de la piscine durant cet été.

Ils habitaient Lyon, je ne les voyais donc que très peu, en vacances et aux anniversaires (car je ne compte pas les funérailles).

— "Ma plus belle petite fille !" s’exclama mon grand-père en me voyant de loin.

— "C’est la seule que tu as je te rappelle Didier" lui répondit avec tact ma grand-mère ce qui causa un grand rire entre nous tous. 

Ils adoraient blaguer et se vanner à longueur de journée, la bonne humeur était toujours présente avec eux.

Après des traditionnels blabla de comment était le voyage, comment se passait l’école, comment je voyais mon futur, etc, nous décidions peu avant 17h30 de profiter de la piscine avant qu’il soit trop tard.

Mon père préparant la chambre d’amis, nous étions que tous les 4 à se changer pour aller faire trempette :

— Antoine, qui avait enfilé un short de bain hawaiien, classique et totalement has-been.

— Didier, qui devait utiliser le même slip de bain depuis des années tellement il semblait usé.

— Anette, qui arborait un jolie 2 pièces d’une marque reconnue de couleur verte.

— moi-même également dans un 2 pièces rouge du plus bel effet. 

Pour les présentations physiques, Didier devait mesurer dans les 1m75, 90 kilos bien tassés, le ventre à bière "de papi" (il avait 73 ans) et le crâne dégarni. 

Du côté de ma grand-mère, Anette était toute petite, 1m57, très fine, surement dans les 50 kilos, blonde (avec une teinture, à 71 ans ce n’est plus naturel !), assez long et lisse. Un 70D qui devait sans doute être très beau à l’époque pendouillait surement maintenant mais avec son maillot, restait pour l’instant en place. 

En arrivant en maillot, je remarquais avec un sourire mi-moqueur mi-amusé que ma grand-mère n’avait pas pensé (ou s’en foutait) à s’épiler, des poils se baladaient de chaque côté de son maillot, ce qui était assez cocasse connaissant son degré de coquetterie d’habitude, elle qui était toujours "parfaite".

Après quelques minutes de jeux, mes grands parents sortirent pour se prélasser au soleil sur les transats autour de la piscine, je continuais à barboter pendant qu’Antoine nageait.

Il s’arrêta un moment et en arrivant sous l’eau, je m’agrippa sur son dos pour lui faire peur : mission réussie, il ne m’avait pas vu venir.

En étant dans son dos, ma main sous l’eau en profitant pour venir tater un peu son entrejambe, il tressailli en un instant.

— "Putain tu fais quoi là ! Ils sont juste là !" me dit-il les dents serrés.

— "Tu crois vraiment qu’à leur âge ils arrivent à voir d’ici ? Regarde, même mamie à oublié de s’épiler la chatte, il y a tout qui sort".

En regardant, pardon, en mattant sa grand-mère, le petit coquin d’Antoine commençait à bander dans son short.

— "Alors, tu veux que je prévienne mamie de l’effet que tu lui fais ?"

Il grommela quelque chose et ma main entra à l’intérieur du short pour commencer à le caresser. 

— "Tu peux faire semblant de bouger quand même tu sais pour pas qu’on soit cramé, si tu restes planté comme un I, ça va se voir Antoine !".

Sa petite bite était elle droite comme un I, enfin un i minuscule si vous voyez ce que je veux dire. 

En repensant à la dernière fois, je me demandais comment un si petit engin pouvait éjaculer autant, mais ce n’est pas la question aujourd’hui.

Didier avait écarté ses jambes comme un beauf sur son transat et sans le vouloir, d’où on était et surtout à cause de la position où l’on se trouvait, on pouvait apercevoir des testicules pendantes, ce qui était encore plus hilarant vis-à-vis de la situation. 

— "Antoine, sois un peu utile, caresse moi la chatte par dessus le maillot s’il te plait".

— "Mais … je ne l’ai jamais fait".

— "Improvise et je te guiderais au fur et à mesure".

En écoutant attentivement mes conseils, il se débrouillait pas si mal et j’appréciais suffisamment pour ne penser qu’à moi et à lui lâcher son pénis de ma main, ce qui apparemment, ne causa aucune plainte de sa part. Tant mieux. 

En continuant à barboter, mes deux grands-parents partirent à la douche et mon père filait chercher ma mère au boulot, il ne restait donc que nous dans la piscine. 

— "Antoine viens là, assis-toi sur le rebord de la piscine".

Il me regarde mais obéissait tout en se demandant pourquoi je lui posais cette remarque. 

Il était donc assis sur le rebord chaud de la piscine, les jambes dans l’eau et moi en face de lui, au niveau de son entrejambe. 

— "Descend ton short" 

— "Non ! Il y a les grands-parents !"

— "Tu ne veux pas avoir la récompense que je t’avais promise ?"

— "Dori, ils peuvent arriver n’importe quand …"

Je voyais bien qu’il hésitait.

— "Tant pis alors, je retire la récompense, tu peux l’oublier".

— "C’est injuste !" dit-il en commençant à "bouder".

Il ne lui fallu que 3 secondes de plus pour que son short tombe à ses chevilles. 

Il me regardait bouche bée pendant que je sortais mes seins du maillot de bain, tandis qu’une petite erection sortait elle de sa toison pubienne. 

Qu’est ce que pouvait-bien être cette récompense ?

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