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Jalouse de lui – Chapitre 6

Jalouse de lui - Chapitre 6



— Oh mon dieu que c’est bon …

Je nettoyais avec plaisir son gland et remontai son short.

Il avait toujours la queue de Didier dans la main, qu’allait-être la suite ?

En me regardant dans les yeux, il comprit qu’il allait, qu’il devait recommencer à branler son grand-père.

Mais qu’il le faisait avant avec timidité ou encore crainte, il semblait heureux maintenant d’astiquer avec un grand sourire cette verge très dominante qui se tenait devant lui.

— Dori, regarde ! Je le fais bien ?

Son euphorie l’empêcha de réfléchir et de se rendre compte qu’il avait parlé avec entrain mais surtout à voix haute.

Il "tilta" au moment où Didier ouvrit les yeux et avec son regard embrumé par le sommeil, l’aperçu le cul à l’air, la bite pendante, le short baissé en train de masturber sa bite.

— Mais … que … quoi, tenta d’articuler Didier.

Antoine était pétrifié et avait totalement stoppé son geste, un grand silence régnait dans le salon du vice.

— Papi, j’essaye d’apprendre les rudiments à Antoine, les bases du sexe qui lui à 18 ans n’y connait pas grand-chose. Et quand on a aperçu ton entre-jambe tout à l’heure dans la piscine, on te voulait vraiment comme modèle, car rien n’est mieux que d’apprendre avec les gens qu’on aime non ?

Je me surprenais moi-même après cette tirade qui sortait de je ne sais où, presque convaincante mais totalement loufoque.

— Tu te rends compte vraiment Dori de ce que tu fais là ? me demanda mon grand-père. C’est très grave, c’est même n’importe quoi !

Il commençait à s’énerver mais sa bite ne désenflait pas entre les mains d’Antoine.

— Papi, ne sois pas bête, regarde comment tu réagis à ces petites caresses pleine d’amour, en plus il faut bien montrer à Antoine ce qu’est un vrai pénis.

— Antoine lève-toi et montre à papi.

Honteux, il se leva et plaça devant le nez de Didier sa queue recroquevillée sur elle-même après l’orgasme survenue un petit peu plus tôt, le gland toujours à l’air libre.

— Ah oui, en effet …, lâcha Didier, surpris de la taille de son petit-fils.

Après quelques secondes de réflexion, il se repositionna dans le fauteuil, la bataille était presque gagnée !

— Allez Antoine, ne recommence pas à faire le timide !

Mon ton était un peu strict qu’il redémarra son va-et-vient sur le membre de Didier, qui lui commençait déjà à respirer très fort maintenant qu’il était éveillé.

— Dori … ma chérie … je n’ai pas dit que j’étais d’accord …, il tentait de se convaincre qu’il était maître de la situation mais son pénis coulait de liquide séminal et donc de plaisir.

— Antoine, il va falloir passer une étape, goute moi cette beauté !

Il s’approcha délicatement de l’engin pour le renifler puis y déposer ses lèvres, comme pour tâter le terrain.

— Antoine ! Qu’est-ce que tu fabriques nom de dieu ! s’exclamait (presque trop fort) Didier qui n’en croyait pas ses oreilles.

J’insistais pour qu’Antoine poursuive avant que Didier change d’avis et il continua : les lèvres embrassaient avec romantisme et sensualité les couilles, la tige et le gland qui se dévoilait pendant le va-et-vient. Une véritable peinture vivante devant mes yeux que je ne pouvais pas m’empêcher de profiter avec la main dans la culotte.

Je titillais mon clitoris tandis qu’Antoine goutait à son premier pénis, qu’il attaquait maintenant avec rapidité mais imprécision, il ne descendait pas très loin, mais on commence bien étape par étape non ?

Antoine toujours à quatre pattes en train de sucer Didier, lui-même dans son fauteuil la tête en direction du ciel, profitant au maximum de la situation, j’en profitai pour me décaler derrière Antoine et lui malaxer l’anus.

Il sursauta mais n’arrêta pas pour autant son repas qu’il dévorait avec grand appétit le salaud !

Mon doigt se fit rapidement remplacer par ma bouche. Je vins à mon tour embrasser son auréole jusqu’à lécher cette partie sensible qui le faisait gémir en quelques allers-retours rugueux sur ses fesses.

Après un très court temps d’adaptation, je lui broutais dorénavant le cul, quitte à insérer ma langue dans son intimité qui s’ouvrait avec grand plaisir devant mes assauts oraux.

Ces assauts rendit de nouveau toute sa vigueur à la bite d’Antoine, qui se dressait et cognait contre le bas du fauteuil au gré des mouvements des acteurs de cette splendide scène.

J’ajoutais un doigt à ma bouche, qui rentrait de temps en temps en lui, presque trop facilement. Son cul acceptait sans problème ce premier doigt comme si c’était une habitude pour lui.

On l’entendait plus le Didier pendant qu’Antoine lui suçait le membre depuis quelques minutes maintenant.

— Eh Papi, t’as déjà touché une bite ?

Il ouvrait les yeux et comme à son réveil un peu plus tôt, balbutia :

— Heu … quoi … heu … non jamais, je suis pas pédé quand même.

— Tu ne veux quand même pas mourir bête non ?

J’étais tellement prétentieuse, je n’avais jamais parlé comme ça avec Didier mais la situation me rendait humide, même si le mot était bien trop faible vis-à-vis de l’état de ma chatte à ce moment-là.

— Antoine lève-toi, je prends le relai, va te faire plaisir !

Avant que les deux réfléchissent, je le souleva et le plaça de façon à ce que la main de Didier touche sa queue, tandis que je descendais gouter moi aussi à cette belle verge.

Antoine était rouge comme à son habitude ces derniers temps mais droit comme un I, Didier lui tâtait le terrain, ne sachant pas trop où donner de la tête en masturber son petit-fils et regarder sa petite-fille le sucer, difficile comme choix n’est-ce pas ?

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