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Je baise ma vieille voisine – Chapitre 2

Je baise ma vieille voisine - Chapitre 2



Cela fait maintenant plusieurs semaines que je n’ai pas vu Murielle. Concernant Daniel je le croise bien de temps en temps quand je pars bosser ou à diverses occasions mais rien de plus.

Nous nous échangeons des amabilités, parlons de météo, mais aucune nouvelle de Murielle.

Je tente donc ma chance un matin en allant bosser en voyant Daniel et lui demande des nouvelles de sa femme. il me répond qu’elle est bizarre depuis quelques jours, comme une petite dépression, sans en rajouter plus que ca.

Je suis curieux mais pour éviter de me faire griller je lui dis :

"Dis Daniel, pour changer les idées de ta femme ca vous dirait pas de venir manger à la maison ce soir ?"

Ce à quoi il me répond volontiers.

C’est acté, je lui donne donc rdv pour 19h.

Ma journée de boulot se passe, j’ai en tête ce qu’il m’a dit sur le fait que Murielle semble déprimée et pas en forme, je me demande si ca un rapport avec moi.

Je rentre du boulot à 17h après être passé chez le traiteur et seulement quelques minutes après mon arrivée ca sonne à la porte.

Je me dirige vers celle-ci et ouvre. Je vois Murielle avec un regard assez sérieux.

Je lui dis bonjour avec un sourire enjoué, presque charmeur, un vrai plaisir de la revoir. Malgré son regard sérieux elle ne semble pas avoir de problème particulier.

J’ai tout de suite des envies qui me viennent…

Elle entre sans que je l’y ai invitée, ferme la porte et me dit :

"A quoi tu joues ? Pourquoi cette invitation ? Ca ne t’a pas suffit de m’humilier la dernière fois ?"

Je lui réponds de façon assez taquine que pour moi c’était un vrai moment fusionnel, que j’ai adoré lui faire l’amour,que je n’arrête pas de penser à elle depuis (ce qui est faux je vous rassure, je la trouve moche et elle m’a juste vidée les couilles).

Ces paroles semblent la perturber et son regard devient moins rude. Elle semble croire mes paroles car elle me répond :

"C’est vrai ? Tu penses à moi ? Je suis pas belle pourtant, je n’ai pas grand chose pour moi."

Je lui dis ce qu’elle veut entendre et continue en confirmant que oui je pense à elle et que ce qui s’est passé à changé ma vision d’elle.

Elle est tombée dans le panneau et baisse de nouveau sa garde. Elle a maintenant un regard tendre, elle est sous le charme. Elle doit se dire que finalement peut-être un bel homme est enfin tombé sous son charme.

Elle s’approche de moi pour m’embrasser. C’est un peu dur pour moi de lui rendre son baiser mais bon si je veux la baiser je dois en passer par là.

Après un court bisou je prends les choses en main et la retourne sur ma porte. Elle ne dit bizarrement rien et me laisse faire, se cambrant même un peu pour me tendre ses grosses fesses, comme un appel. Et je m’apprête à y répondre.

Je ne me fais pas prier et lui baisse son pantalon en emmenant sa culotte de grand-mère au passage. Mon sexe est déjà au garde à vous et après avoir glissé ma main vers sa fente, je me rends compte qu’elle est trempée. Ca va rentrer tout seul…

Je présente ma bite et entre comme dans du beurre. Mon dieu qu’elle est chaude et humide.

Je suis au fond, je lui attrape les cheveux, lui tire en arrière en continuant de la coller à la porte puis je commence mes vas et viens.

Pas de douceur, je suis très animal. Mes mouvements sont rapides voir bestiaux. Je la baise de longues minutes à un rythme élevé sans qu’elle ne rechigne ou se plaigne. Elle encaisse.

Au bout de longues minutes j’éjacule en elle. De longs jets de sperme l’envahisse.

Je me dirige vers son oreille et lui dis :

"Dis donc ma chérie, j’ai pas mis de capote, je me suis vidé en toi et tu ne me grondes même pas ?!"

Ce à quoi elle me répond :

"Non, tu peux bien faire ce que tu veux, je suis déjà enceinte."

Putain ! J’ai les jambes coupées. Je ne m’attendais pas à une annonce aussi brusque, soudaine, surtout venant d’elle.

Je lui dis que ce n’est pas drôle, qu’elle a 45 ans et qu’en une seule fois c’est impossible.

Elle me sort une fiche d’analyse médicale de la poche de son pantalon qu’elle me tend. Je la lis et constate effectivement qu’elle a 99% de chance d’être enceinte.

Sur le coup ca m’excitait de la sauter, la remplir, mais là la situation m’angoisse un peu.

"Tu vas faire quoi ? Tu comptes pas le garder ?"

Elle me répond qu’elle ne sait pas, qu’elle est folle de moi et que malgré le risque élevé de vivre une grossesse à son âge, si je lui demande et que je prends soin d’elle, elle le gardera.

Je lui demande :

"Et pour Daniel ? "

"Il ne sait pas encore. Avec les formes que j’ai déjà, il n’a pas encore pu se rendre compte. Et puis j’ai aussi eu des rapports avec lui quelques jours après toi, donc quand il le saura il sera surpris mais pourra croire qu’il est de lui"

"Si tu as couché avec lui comment es-tu sûre qu’il est de moi ?"

"Je n’en sais rien, je le sens juste. On verra bien quand ce bébé sera là, non ?"

Je ne sais plus trop quoi répondre. Je lui dis qu’on aura le temps d’en reparler, lui promets de régler ca.

Elle remonte sa culotte, son pantalon, me regarde avec amour puis sort de chez moi.

Je suis un peu perturbé par l’annonce. Putain j’ai réussi à foutre enceinte cette "vieille"… en même temps si j’avais été moins con et que je mettais des capotes ca n’arriverait pas. Dans tous les cas elle compte le garder. Il va falloir que je trouve une solution.

Je ne peux m’en prendre qu’à moi…

Bref, maintenant qu’elle est partie je dois vite fait préparer le repas de ce soir, il me reste 1h.

19h arrive, ca sonne.

J’ouvre et vois Daniel qui s’est fait tout beau, il a mis un costume. Derrière lui, Murielle a une robe légère rouge qui arrive à mi cuisses avec un grand décolleté. Surprenant et tellement sexy quand on sait les tenues qu’elle porte habituellement.

Elle me regarde comme une femme amoureuse. Ils entrent, elle me caresse la main en passant à côté de moi.

Daniel lui, est comme d’habitude, et commence à parler de tout et de rien. Il va passer la quasi totalité à parler, ne nous laissant de la place que pour de courtes réponses.

La soirée se passe, Daniel a de nouveau bien bu, il commence à parler d’anecdotes de cul qu’il a entendu ou bien vecu, que ce soit avec son ex femme ou avec Murielle, ce qui a pour résultat de la mettre mal à l’aise.

Il est minuit, Murielle semble presque frustrée que je sois resté sage. Elle decide de se lever et dit à son mari qu’il est temps de rentrer, qu’il a assez bu et qu’ils vont dormir.

Ils quittent ma maison. J’en profite donc pour me déshabiller et aller prendre une douche avant d’aller me coucher, quand tout à coup ca sonne de nouveau.

Je prends une serviette que je mets autour de la taille et me dirige vers la porte encore tout ruisselant, et là je vois Murielle qui est toujours dans sa robe rouge.

Elle rentre, ferme la porte et sans rien dire retire ma serviette de ma taille.

Sans un mot elle se met à genou devant moi et prend ma bite en bouche. Elle la suce comme une vraie chienne. Elle la suce, la lèche, joue avec le gland, puis quand je suis bien raide, elle se met à 4 pattes toujours sur le sol et me dit :

"Prends moi,  je te veux. Baise moi de toutes tes forces, je suis ta chienne."

Je n’ai pas l’habitude qu’une femme me donne des ordres mais devant la situation je m’exécute.

Je m’approche de son gros cul, remonte sa robe et m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte. Chose encore plus surprenante par apport à nos précédents rapports, elle est entièrement rasée.

Je présente mon gland à l’entrée de sa caverne et comme il y a 2 heures, elle est trempée, si bien que je rentre avec une facilité déconcertante. Mes 23cm semblent n’en faire que 15 tellement elle encaisse sans broncher mon chibre, qui fait ses vas et viens.

Il disparait dans sa chatte. Le rythme s’accélère, elle gémit de plaisir. Je décide de changer de position en lui tirant les jambes. Elle se retrouve à plat ventre.

J’adore cette position dans laquelle la domination est maximum. Vous l’aurez compris je suis très dominateur.

Avec ma main gauche je lui écrase la tête sur le sol pendant que je la bourrine de plus en plus fort.

Bizarrement cette situation qui devrait lui déplaire la fait couiner de plaisir. Elle ne cesse de me dire d’y aller plus fort, encore et encore.

Je me laisse entrainer et ne me contrôle plus. Le rapport devient presque violent tellement je lui tape dedans. Je la retourne sur le dos, place ma main autour de sa gorge tout en ralentissant mes coulissements, je serre sa gorge. Elle est surprise et se trouve entre stress et excitation, puis après quelques derniers allers retours, je me décharge une nouvelle fois dans son intérieur.

Je desserre mon étranglement, tout en restant en elle. Elle est toute rouge, elle semble épuisée, mais me regarde sans rien dire.

Je me relève et lui dis de rester où elle est, que je reviens, chose qu’elle fait.

Pendant ce temps, je file en cuisine pour prendre un verre d’eau tout en la regardant. Ca m’excite de voir cette grosse vache allongée par terre attendant que je lui dise quoi faire.

Je me sens revigoré et me redirige vers elle. Je m’assois sur ses seins pour lui fourrer ma bite en bouche. Je lui force la mâchoire pour reprendre de la vigueur. Avant de la laisser partir j’ai une dernière envie à assouvir.

Je suis de nouveau dur comme de l’acier. Sans rien lui dire je la retourne sur le ventre et présente mon membre vers son cul.

Dès qu’elle sent que je vais l’enculer elle se met à pousser un cri de peur et dit :

"Non stp pas ca. J’ai peur, j’ai jamais fait, tu vas me faire mal."

Ce à quoi je rétorque :

"Tu m’aimes ou pas ? Tu me fais confiance ?"

Elle me répond que oui.

Je prends ses fesses avec mes mains pour les écarter et dirige doucement ma bite vers son petit trou.

Elle ne cesse d’essayer de me dire d’arrêter, qu’elle a peur, mais je compte bien lui dépuceler son petit orifice. Bientôt il ne sera plus petit.

Je lui dis que si elle veut être à moi elle doit accepter ca, qu’elle aimera, qu’il faut qu’elle en passe par là pour que nous puissions être compatibles sexuellement.

En lui faisant croire à un avenir commun, elle n’arrive pas à me dire non.

Je sais malgré tout que sa 1ere va être douloureuse car elle se crispe. Quand je regarde mon engin devant son trou sec, je sais qu’elle va le sentir.

Je pourrais bien évidemment la préparer, lui simplifier la pénétration, mais je veux qu’elle sente chaque centimètre qui la perfore.

Je commence à appuyer et sans arrêter je rentre petit à petit. Elle se crispe de plus en plus. Elle n’arrive même plus à parler, ses seules forces lui servant à s’empêcher de crier.

Mon gland est maintenant entré. J’appuie de nouveau sur sa tête tout en lui relevant le cul pour faciliter la pénetration, puis je continue de rentrer jusqu’à la garde.

Une fois au fond, elle se relâche complétement et se laisse tomber au sol sans plus aucune combativité.

Ca y est, elle a passé son épreuve. Je la lime quelques fois puis au moment d’éjaculer, je me retire et finis sur son cul.

Je lui fais un bisou sur le dos, me relève et file dans la douche en lui disant que si elle veut elle peut venir.

Je commence à prendre ma douche et après quelques minutes, elle me rejoint.

Elle est toujours avec sa robe et me regarde en attendant que je l’autorise à entrer. Chose que je fais.

Elle se déshabille et entre. Elle est face à moi, plus amoureuse que jamais. Je vois ses énormes seins devant moi, que je caresse. Elle m’embrasse et me dit qu’elle m’aime.

Merde qu’est ce que j’ai fait ?! Cette situation est en train de tourner bizarrement…

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