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Je garde mes petites filles… – Chapitre 1

Je garde mes petites filles... - Chapitre 1



Sous prétexte que je suis veuf et retraité, mes filles mont confié leur progéniture à garder !

— Nous avons lopportunité de partir pour un mois à létranger à des conditions particulièrement avantageuses et nous sommes bien embêtés, mont-elles déclaré. Nos filles ne veulent pas venir avec nous. Bien quelles viennent datteindre leur majorité, il nest pas question de les laisser seules sans surveillance en ce début de vacances, nous avons trop peur quelles aient de mauvaises fréquentations. Papa, petit Papa, comme tu nas rien à faire, tu peux ten charger ? Elles taiment bien toi, et elles acceptent de venir chez toi pendant notre absence. Tu veux bien dis, nous partirions plus rassurées ?

Je nai jamais su résister à mes filles et jai donc hérité pour un mois dAnnelise et de Lysiane, sa cousine. Quest-ce que jai fait là ! Mon bon cur me perdra ! Je ne sais plus ce qui convient à des jeunes de leur âge. Conscient de mes responsabilités envers leurs parents jhésite à les laisser sortir seules. Je dois reconnaitre quelles semblent sen accommoder et ne réclament pas une liberté quelles seraient en droit dexiger depuis quelles sont majeures.

— Reste cool Papy ! On a bien compris que nos mères ont peur pour notre moralité et quelles tont demandé de veiller sur nous, me dit Lysiane. Sois tranquille, en venant ici nous lavons accepté et nous ne chercherons pas à nous soustraire à ta surveillance.

Cela me rassure pour la suite des vacances, la question de lextérieur est réglée. Par contre à la maison Je ne pensais pas que lintimité avec elles soit si éprouvante ! Les filles, surtout Lysiane, ne se gênent pas pour moi et se promènent dans la maison en tenue légère sans se cacher. On dirait quelles le font exprès ! Je ne me souvenais plus quelles étaient si jolies, sexys même. Davoir leur cul de déesse ou leur poitrine gorgée de sève se pavaner sous mes yeux, nest pas sans conséquence : un vrai supplice de Tantale ! Au bout de quelques jours de cohabitation, lenvie de leur sauter dessus devient obsédante. Ah si elles nétaient pas si jeunes et surtout, oui surtout, si elles nétaient pas mes petites filles ! La tête de leur mères si je leur annonçais que je les ai baisées sous prétexte quelles étaient trop bandantes ! Je calme mes pulsions incestueuses le soir après quelles se soient couchées, en visionnant des films pornos ou en surfant sur internet parmi les sites érotiques Pour linstant Dire quil me faudra tenir tout un mois !

Cest lheure de la sieste. Les deux filles sont dans leur chambre. En passant dans le couloir je crois entendre un gémissement. Cela minquiète, laquelle se plaint ? Et de quoi ? Elles ne vont pas tomber malade au début des vacances ! Pour men assurer, je pousse doucement la porte et Et je marrête sur le seuil étonné ! Elles sont bien là, mais toutes nues entrain de se caresser intimement, du moins je le présume daprès leur position en tête-bêche. Cétait des gémissements de jouissance que je percevais ! Ben ça alors ! Qui aurait imaginé une telle scène ? Pas moi en tout cas qui leur aurais donné le bon dieu sans confession ! Je comprends pourquoi elles ne réclament pas de sortir et se satisfont de la situation ! Elles nont pas entendu la porte souvrir et continuent à se donner du plaisir. Telles quelles sont placées jai sous les yeux des fesses roses. A qui sont-elles ? A Lysiane ou Annelise ? Je ne saurais le dire. Le spectacle est charmant et un petit démon me susurre que loccasion est trop belle pour la laisser filer ! Je me reprends et au lieu de minviter à partager leurs jeux je décide de les interrompre.

— Oh ! Quest ce que vous faites ? Vous navez pas honte !

Les deux filles lèvent la tête. Les fesses appartiennent à Annelise.

— Hiii !

Affolée, elle se réfugie derrière un paravent, tandis que Lysiane sassied sur le lit et soutient mon regard avec un sourire goguenard.

— Entre Papy, entre.

— Si je mattendais Cest scandaleux ! Quavez-vous à dire pour votre défense ?

— Ben, nous sommes majeures pas vrai ? Nous avons le droit de faire ce quil nous plait ! Et puis, il ny a pas de mal à se faire du bien, nest-ce pas ?

— Euh

Je reste coi devant son impudence ! Je sais que je devrais continuer à manifester ma désapprobation, mais devant ma petite-fille nue qui me dévisage sans complexe, jen suis incapable. Malgré moi, mes yeux sattardent sur ses formes. Quelle est jolie ! Un irrésistible désir envahie et me paralyse. Elle lorgne vers mon bas ventre et sexclame en souriant :

— Oh Papy, tu bandes !

Je ne peux le nier, la bosse de mon jogging est révélatrice !

— Cest de nous voir toutes nues qui texcite ? Tu veux quon te caresse ? Dhabitude les hommes ils aiment ça quon leur tripatouille le zob.

Et moi qui depuis leur arrivée évitais daborder les questions sexuelles de peur de les scandaliser ! Jai une furieuse envie de la prendre au mot ! Néanmoins, un zeste de morale me retient.

— Euh Tu ne devrais pas parler comme ça.

Lysiane na pas ces scrupules. Brusquement, elle savance, tire sur mon survêtement en sagenouillant et dégage mon sexe.

— Waouh ! Quelle belle queue !

Avant que jaie le temps de me réajuster, elle prend la verge en main. Ouah ! Cette sensation ! Une onde de plaisir menveloppe. Ah que la chair est faible, je nai plus la force de bouger ! Je devrais gronder mon impudente petite-fille, lui dire que cela nest pas bien, que je suis leur grand-père, que de telles relations sont réprouvées par la morale, mais jen suis incapable. Je reste muet et immobile au milieu de la pièce, le jogging sur les genoux.

Sous la douce caresse mon sexe prend des proportions impressionnantes.

— Mais cest quil a lair daimer ça ! sexclame-t-elle. Annelise aide-moi Allez, viens ! Sois pas si timide, sil te plait sors de derrière le paravent.

— Mais je suis toute nue !

— Et alors ? Moi aussi ! Je ne crois pas que cela gêne Papy.

Elle a raison, cela ne me gêne pas, mais alors pas du tout !

— Alors ? Quest-ce que tu attends ? Que Papy se déshabille aussi ?Tu entends Papy ? Tu dois te déshabiller comme nous ! Dépêche-toi !

Malheureusement pendant quelle parle, elle a lâché ma queue qui hoquète de désappointement. Je ne suis plus en mesure de réfléchir et je suis prêt à accepter nimporte quoi pourvu quelle continue la caresse. La morale, la peur de perdre mon autorité, la grande différence dâge, tout cela senvole ! En un tour de main, mes vêtements jonchent le sol. Lysiane reprend mon sexe.

— Tiens, sadresse-t-elle à sa cousine, à ton tour.

Rougissante, Annelise consent à émerger du paravent tout en lorgnant vers mes attributs.

— Je Je Jai jamais fait ! se désole-t-elle.

— Ton petit copain ta jamais demandé de le caresser ?

— Jai pas de petit copain ! Tu le sais bien.

— Cest vrai, joubliais Pas dimportance, imite-moi ! dit Lysiane.

Elle présente mon sexe à sa cousine qui sagenouille à son tour. Le passage dune main à lautre marrache un premier soupir.

— Passe ta langue dessus, conseille Lysiane.

— Mais cest sale !

— Mais non, Papy se douche tous les jours, tu nas rien à craindre.

Foin de la morale, je suis aux anges, meilleur que dans mon imagination ! Mes petites-filles sont à mes genoux, à ma coupable dévotion ! Je sens une langue lécher le gland, puis une autre la rejoint Cest fabuleux ! Elles se partagent la tâche, alternant caresses avec les mains, sucettes et introduction entre les lèvres. Annelise est une bonne élève : elle imite avec succès sa cousine. Cest un plaisir divin quand une bouche entoure la verge et que des mains habiles manipulent avec douceur les testicules. Brusquement je me rends compte que jatteins le point de non retour.

— Aaah ! Atten Aah ! Attention je vais jouir !

Elles négligent lavertissement et cest entre leurs lèvres et sur leur figure que je me répands.

— Aarrgghh !

Lysiane, avale sans broncher, ce nest pas la première pipe quelle pratique ! Annelise nest pas aussi évoluée et semble surprise par le jaillissement de foutre.

— Theu ! Theu ! Theu ! Quest-ce que tu as fait Papy ? Quest-ce que cest ce liquide ? Ce nest pas du pipi ça.

Sa cousine la renseigne :

— Non, cest du sperme, la liqueur à lorigine des bébés.

— Oh ! Je Je vais avoir un bébé ? Je veux pas !

— Quest-ce que tu as retenu des cours déducation sexuelle ? la gourmande sa cousine. Souviens-toi, on nous a appris que cest seulement si tu le reçois dans le minou que ça peut avoir des conséquences, et encore, à condition de ne pas prendre la pilule !

— Si Mais Jy pensais plus.

Lysiane lèche goulument ses doigts.

— Nest-ce pas que cest bon ?

Celle-là en redemanderait, mais la source est provisoirement tarie !

Un peu groggy, je massieds sur les draps froissés. Ayant gouté aux douceurs dune relation incestueuse, je nai pas lintention de marrêter en si bon chemin.

— Venez à coté de moi que nous bavardions.

Annelise hésite à mobéir mais Lysiane dun bond sinstalle sur le lit.

— Viens, Papy ne nous mangeras pas !

Non, je ne leur veux aucun mal, juste les tenir prés de moi. Annelise consent à imiter sa cousine. Jattire mes deux petites-filles par lépaule. Lysiane se colle contre moi tandis quAnnelise, plus craintive, narrive pas à se décontracter et je dois forcer un peu pour quelle sappuie. Leur peau est agréable sous mes doigts, quel plaisir de les câliner ! Il y a longtemps que je nétais à pareille fête ! Des épaules, mes mains touchent naturellement leur poitrine. Jempaume un sein à chacune. Que cest tendre ! Du bout des doigts, jessaye de saisir un téton.

— Pourquoi vous vous caressiez ?

— Ben parce quon aime ça, pardi ! dit Lysiane.

— Il y a longtemps que ça dure ?

— On fait ça depuis le collège, admet Annelise.

— Vos parents sont au courant ?

— Non, réplique Lysiane, ils comprendraient pas, cest un secret. Tu leur diras rien, hein ?

Quelles sont naïves ! Évidemment que je ne peux les dénoncer après mêtre fait sucer le jonc !

— Non, rassurez-vous, cela restera entre nous.

— On pourra continuer alors ? Ça te dérange pas ? sinquiète Annelise.

— Euh Non, du moment que vous restez discrètes Mais Euh Les garçons ? Jolies comme vous êtes, ne tentent-ils pas de vous séduire ?

— Euh Si, admet Lysiane.

— Ils voudraient bien mais je leur interdis ! sexclame sa cousine. Si on les embrasse, les garçons ils veulent tout de suite baiser.

— Ah ?

— Oui ! Ils nont que ça en tête !

— Et toi tu ne veux pas

Tout en parlant, je lâche leurs seins et passe la main dans leur dos, puis sur les reins, mes doigts atteignent leur postérieur, fouillent dans la raie et chatouillent leur anus. Si Lysiane se dérobe, Annelise grogne de plaisir.

— Non, je Aah ! Je veux rester vierge, dit-elle.

— Toi aussi Lysiane ?

— Euh

— Elle ? Je parierai pas dessus ! sexclame Annelise. Quest-ce que tu faisais avec Marco, hein ? Cest le fils de ses voisins, précise-t-elle à mon intention Oui, lautre jour, quand tu es partie avec lui je tai suivie. Jai bien vu ce que vous fricotiez.

Je regarde Lysiane qui détourne la tête pour ne pas avoir à me le confirmer.

— Ne te fais pas de mauvais sang ! Je ne raconterai pas tes exploits à tes parents Mais toi, Annelise, si je comprends bien, tu veux arriver intacte à ton mariage.

— Oui. Je me réserve, moi Aah ! Pour mon futur Aah ! Époux, moi !

Elle bafouille, car pendant que je linterroge ma main ne reste pas immobile et jenfonce lindex dans son cul. Je souris en moi-même : ça veut rester vierge jusquà la nuit de noce, mais ça accepte de sucer mon sexe et tolère mes attouchements pour le moins osés !

— Qui est-ce ? Je le connais ?

— Non, moi non plus Aah ! Je parlais en général et pas Aah ! Pas dun garçon particulier Aah ! Mais cest à lui que je ferai Aah ! Cadeau de ma virginité Aah ! La nuit de mes noces.

— Tandis que Lysiane

Celle-ci se défend avec véhémence.

— Daccord, je suis plus pucelle Et alors ? Quest-ce quil y a de si étonnant ? Cest plutôt Annelise qui est anormale !

Pendant que je les caresse, le picotement annonciateur du plaisir envahit mon bas ventre, ma verge enfle et se développe. Si tôt après une éjaculation ? Il y a longtemps que cela ne métait arrivé, il faut en profiter ! Tant quà succomber à linceste, faisons-le complètement ! Laquelle va y passer ? Jai encore le souvenir des fesses roses dAnnelise devant mes yeux. Cest décidé, cest son cul que je vais me payer, ça tombe bien puisquelle ne veut pas baiser ! Euh Si elle est daccord, car il nest pas dans mon intention de la violer Comment savoir si elle si elle se laissera faire ? Pour le moment, elle accepte lintrusion de mon doigt dans son fondement, bon présage !

— Bah Lysiane ! A ton âge, fréquenter des garçons est compréhensible. Mais toi Annelise, tu as décidé de rester vierge, cest ton choix, mais nas-tu jamais eu envie de faire lamour ? Tu peux me le dire, je ne te dénoncerai pas.

— Euh Aah ! Je tai déjà dit que je veux pas Aah ! Aller avec un garçon !

— Cela ne tempêche pas, avant lhypothétique date du mariage, de prendre du plaisir avec Lysiane.

— Ce nest pas parce quelle ne veut pas baiser quelle na pas de besoins sexuels, argumente celle-ci se portant au secours de sa cousine. Tu peux comprendre ça, nest-ce pas Papy ?

— Si je vous suis, si Lysiane caresse intimement sa cousine cest par bonté dâme, nest ce pas ? Pour calmer ses hormones peut-être ?

— Euh

— Et sil y avait un moyen de faire lamour avec un garçon sans perdre ta virginité, Annelise, tu ne serais pas contre nest-ce pas ? Avoue que sil ny avait cette crainte

— Euh

Jôte mon doigt de son cul, mattirant un soupir de dépit.

— Je le connais moi ce moyen !

— Oh dis-le nous Papy ! sexclame Annelise.

Ça a beau vouloir rester pucelle, cest une assoiffée de sexe cette fille ! Ce serait un crime de ne pas en profiter. Lysiane ne pipe mot. Peut-être a-t-elle compris où je veux en venir ? Cela ne me gêne pas, pourvu quelle ne mempêche pas denculer sa cousine ! Jenfonce à nouveau le doigt dans le sphincter dAnnelise. Elle grogne de plaisir.

— Si une queue pénètre par là, une vierge ne perd pas son pucelage.

— Oh Papy !

— Je tassure !

Je fais aller et venir lindex dans le cul, ce qui la fait gémir.

— Je parie que Papy est volontaire pour ten faire la démonstration, nest-ce pas ? se moque Lysiane.

— Euh Si nécessaire A moins que vous ne pensiez à quelquun dautre

— Quest-ce que tu en dis Annelise ?

— Oh ! Tu voudrais Aah ! Que je Avec Papy ?

— Pourquoi pas ? Lexpérience te tente pas ?

— Euh

La perspective de se faire enculer ne rebute pas ma petite-fille ! Vite, battre le fer pendant quil est chaud ! Jintroduis deux doigts dans son anus pour élargir lorifice. Elle gémit, bafouille, mais ne se dérobe pas.

— Aaah ! Tu garantis Aaah ! Que cest sans Aaah ! Sans danger ?

Elle a vraiment envie dêtre pénétrée celle-là ! Rassurons-là !

— Oui ma chérie. Tu nauras pas à rougir la nuit de tes noces. Ta rondelle sera intacte pour ton futur mari.

— Tu es sûre Aah ! Que cest Aah ! Sans conséquences Aah ! Pour moi ? interroge-t-elle sadressant à sa cousine.

— Sûre ! Monte sur le lit, dit Lysiane.

Mes caresses dans son cul font bafouiller Annelise. Demanderait-elle cela pour masquer son impatience ? Il semblerait que oui, vu son empressement à obéir à sa cousine ! Un reste dappréhension quand même la fait hésiter :

— Euh Jai peur.

— Mais non ! Papy fera attention, nest-ce pas Papy ?

— Tu as lhabitude, toi

— Grand dieu non ! Ça fait pas plus mal que de perdre son pucelage Euh Daprès ce que des copines mont dit.

Ouais, elle a déjà été enculée celle-là, mais nose lavouer ! Sur les indications de sa cousine, Annelise se met à quatre pattes, le postérieur en lair.

— Détends-toi ! conseille Lysiane A toi maintenant, elle est prête ! confirme-t-elle à mon intention en écartant les fesses de sa cousine découvrant le petit trou fripé.

Je suis impatient de me payer un aussi joli cul ! Plus rien ne compte pour moi ! Les (faibles) remords de profiter delle alors quon lavait confiée à ma garde, sont balayés. Après avoir enduit mon sexe de salive, jescalade la couche à mon tour et me positionne derrière ma petite-fille. Je mavance, chatouille la raie du gland cherchant le bon emplacement.

— Ça va ma chérie ?

Un gémissement me répond. Incapable de me maitriser, je menfonce dun seul coup jusquà la garde.

— Aooouh !

— Du calme Papy ! Pas si fort ! Tu as mal Annelise ? sinquiète Lysiane.

— No Non, pas trop.

Je me calme. Je reste immobile, le temps quelle shabitue à la présence de mon sexe puis je donne en douceur quelques coups de rein Annelise gémit mais accompagne mes mouvements Ma main écarte les lèvres intimes à la recherche du clitoris que je sais trouver là. Tout en continuant mes vas-et-viens, je le chatouille, bonne initiative qui plait à ma petite-fille.

— Aaah ! Ouiii ! Continue Papy ! Cest ça lamour ? Jaime Ouiii ! Jaimeuuh ! Ouiiiiiiii !

Lysiane monte à son tour sur le lit. Elle câline sa cousine qui lui sourit. Je rencontre ses doigts sur la vulve humide. Je lui laisse la disponibilité du sexe dAnnelise qui continue de bramer :

— Aaah ! Ouiii ! Aaah ! Cest merveilleux ! Aaah Cest booooon ! Je jouiiiiiiiis !

Je nai pas à prendre de précaution. Même si Annelise ne prend pas la pilule il ny a rien à craindre. Je la tiens aux hanches, la pilonne jusquà la conclusion et me déverse dans le cul.

— Aarrgghh !

Nous mettons quelques secondes à reprendre nos esprits.

— Alors ma chérie on dirait que tu as pris ton pied ? interroge Lysiane.

— Oh cétait Cétait Je savais pas que cétait si bon Sentir cette grosseur dans le derrière Cétait

— Tas aimé ? Dans le cul ? Oui ? Tu serais daccord pour recommencer ?

— Avec Papy ?

— Euh Pourquoi pas ? Je pense quil serait pas contre, lui !

— Merci mes chéries mais pas tout de suite, leur dis-je, laissez-moi prendre du repos ! Lysiane mon chou, pour moi aujourdhui cest fini. Je ne serai plus capable de Euh De thonorer comme tu le mérites.

— Tu sais, je ten veux pas pour ça, au contraire.

— Je te promets quun autre jour je moccuperai de toi comme je me suis occupé de ta cousine.

— Oh non ! Pas comme elle, pas dans le cul !

— Cest vrai, tu nas plus peur de perdre ton pucelage, toi !

— Euh

Le reste de laprès-midi se passe dans le calme, du moins pour moi car à mon âge, éjaculer deux fois de suite me met sur le flan pour la journée !

Le lendemain, jai retrouvé tous mes moyens. Après le repas de midi, jessaye disoler Lysiane. Cest que jai toujours envie de la baiser celle-là ! Mais séparer les deux jeunes filles à lheure de la sieste savère mission impossible. Tant pis, on fera avec ! Je mapprête à les rejoindre quand, au moment dentrer dans leur chambre, jai la surprise de les entendre discuter entre elles.

— Tu veux pas quon quitte nos vêtements ? Cest plus pratique pour se caresser, dit la voix de Lysiane.

— Mais Papy peut nous surprendre ! sexclame la voix dAnnelise.

— Jespère bien ! Tas pas aimé hier quand il est venu dans la chambre ?

— Euh Tas raison On se déshabille.

— Crois-moi, il appréciera !

Braves petites qui sefforcent de mêtre agréable ! Je patiente une minute, le temps quelles se mettent en place, avant dentrouvrir la porte sans bruit. Comme prévu, elles sont sur le lit, nues comme la veille, entrain de se brouter le minou. Le spectacle est charmant. Je reste sur le seuil à les admirer. Tout à coup Lysiane perçoit ma présence.

— Oh Papy ! Tu es là depuis longtemps ?

— Assez pour voir que vous savez vous donner du plaisir !

— Tu nas quà entrer si tu veux être caressé à ton tour, invite Annelise.

Une proposition comme celle-là ne se refuse pas ! Je les laisse me déshabiller et me cajoler, sans oublier quand même mon but principal : baiser Lysiane ! Aussi, avant quelles me fassent éjaculer, ce qui amoindrirait dangereusement mes capacités, je me retire de leurs bouches.

— Oh Papy ! Tu naimes plus ? sexclame Annelise étonnée par mon recul.

— Si, mais ce nest pas comme ça que je veux terminer. Cest Lysiane qui doit recevoir mon offrande Nest-ce pas mon chou que cest ton tour ? madressant à celle-ci.

— Euh

Ah non ! Elle ne va pas se dérober celle-là ! Pas maintenant ! Je lenlace et fouille son sexe. Elle résiste pour la forme, puis écarte les genoux et ne soppose pas à mes investigations. Je retire mes doigts trempés ! Malgré lenvie manifeste de faire lamour, elle tente une dérobade.

— Tu veux maintenant ? Ici ? Devant Annelise ?

— Ça na pas lair de la gêner, nest-ce pas Annelise ? Puis hier je lai bien enculée devant toi ! Alors ?

— Euh Mais pas dans le derrière

— Tu naimes pas ?

— Non, pas trop. Je préfère devant.

Elle confirme avoir déjà été enculée mais nen garde pas un excellent souvenir ! Dommage quelle soit tombée sur un mauvais numéro ! Pour la première fois avec moi, il ne faut pas la brusquer, baisons-là puisquelle le demande mais je ne désespère pas de lui faire apprécier la sodomie et remets à une date ultérieure le plaisir de lui faire découvrir les joies de cette pratique

— Je ne veux pas te causer de la peine. Il en sera fait comme tu le désires Pousses-toi ! dis-je à Annelise.

Celle-ci me fait de la place. Jinstalle Lysiane sur le lit, enfin sur la partie du lit disponible. Quelle est belle toute nue ! Ses cuisses écartées laissent voir sa chatte rose. Elle est toute humide de désir, cest un appel auquel je ne résiste pas ! Je me précipite entre ses jambes pour lécher la cyprine qui sourd du vagin.

— Oh Papy ! Aaah !

Je ne mets pas longtemps à lamener à la jouissance.

— Ouiii ! Aaaaah ! Ouiii ! Meuuuh !

Lysiane est à moitié dans les vaps mais me sourit. Moi je suis toujours en forme.

— Consens-tu à faire mon bonheur ?

— Oui Papy Viens, baise-moi !

Je ne me le fais pas redire. Je menfonce avec délectation dans la chatte accueillante. Aah ! Faire lamour à une tendre jeune fille est un vrai délice ! A nos cotés Annelise mencourage.

— Vas-y Papy ! Pine-la ! Elle demande que ça ! Hier, elle était jalouse que tu te sois occupé de moi ! Elle narrêtait pas de minterroger.

— Cest pas vrai ! rouspète Lysiane Aah ! Je nétais pas Aah ! Jalou-ou-ouse ! Je Je massurais Aah ! Que tu allais bi Bieeeeeeen !

Son orgasme déclenche le mien.

— Aaggrrhh !

Jespère quelle prend la pilule car nous navons pris aucune précaution !

Je mets quelques temps à retrouver mon souffle. Je suis vidé ! Dans un brouillard, je vois Annelise sapprocher.

— Tu vas bien Papy ? Tu veux pas que je te caresse ?

Brave petite ! Je nai pas le courage de la renvoyer.

— Si tu veux mon chou, ça me fera grand plaisir, mais ne tattend pas à des miracles. Je ne suis plus aussi jeune que vous et ai besoin de temps pour récupérer.

Annelise sagenouille devant moi et porte la verge molle à ses lèvres.

— Oh ! Ta queue as le goût de Lysiane !

— Normal puisque je viens de la baiser !

Le déroulement des futures siestes est tout trouvé : dabord leur permettre de sisoler dans leur chambre, puis les « surprendre » en pleine séance de caresse ; ensuite pour « prix de mon silence », enculer lune ou baiser lautre suivant lhumeur du moment. Pour varier les plaisirs, jinitierai Lysiane à la sodomie Quel dommage quavec de telles petites-filles je sois limité à une seule étreinte par jour Les inconvénients de lâge

Ce fut un excellent mois de vacances : Annelise sest révélé une ardente adepte du sexe sans perdre pour autant son précieux pucelage, Lysiane a vaincu sa prévention contre la sodomie et moi, jai trempé ma quéquette tous les jours dans un con ou dans un cul. Bref, tout le monde a été content ! A la fin du mois, cest avec la satisfaction du devoir accompli que jai remis leurs progénitures à mes filles : ne les avais-je pas préservées avec succès des mauvaises influences du monde extérieur ?

— Nous espérons quelles ne tont pas embêté ? mont-elles demandé.

— Pas du tout !

— On a été très sages et on a bien obéi à Papy, ont approuvé les deux cousines.

— Vous voyez, tout sest très bien passé. Si vous avez encore besoin de les faire surveiller vous pouvez faire appel à moi, je suis volontaire.

Mes filles échangent entre elles et leurs maris un regard intéressé. Une dentre elles se lance et sadresse aux enfants :

— Euh La rentrée de la faculté est loin, vos vacances ne sont pas finies, on pourra pas soccuper de vous Ça vous ennuierez de rester chez Papy encore un peu ? Vous seriez daccord ?

Lysiane regarde sa cousine puis moi avant de déclarer sans rire :

— Cest vous qui décidez, vous savez mieux que nous ce qui est bon pour nous.

— Nous obéirons, affirme Annelise.

Mes deux petites-filles me lancent un clin dil complice

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