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Mon copain Bernard – Chapitre 1

Mon copain Bernard - Chapitre 1



par : Philippe C de Harles

Un soir, au alentour de minuit, je me trouve seule dans une boutique, à la recherche d’une cassette vidéo. Je pitonne depuis quelques minutes sur le sélecteur automatique, lorsque j’entends entrer un autre client.

Comme je suis penchée au dessus du clavier, je n’ose pas trop me retourner. Mais ma curiosité, l’emporte. Ouf, je respire de soulagement en voyant un jeune homme dans la vingtaine. Un beau gars avec un petit air très spécial. Il me sourit en se dirigeant vers la seconde distributrice. Je me tourne une couple de fois en sa direction et chaque fois, je croise ses yeux qui fixent le haut de mes cuisses misent en valeur par une jupe en cuir qui me moule au corps.

Au bout d’une couple de minutes, il me demande si on peut changer de distributrice. Il gueule: Maudite machine, quand je trouve un film qui a de l’allure, il n’est jamais disponible. Après un certain temps, je sens sa présence derrière mon dos, il regarde par dessus mon épaule pendant que je continue mes recherches. Il fait le comique en commentant chacun de mes choix en se rapprochant assez près pour que je sens son souffle dans mon cou.

Ma curiosité est éveillée par ces tactiques maladroites et fière de toutes ces attentions, je m’attarde pour en savoir plus. Délibérément, je refais le tour complet des films inscrits. Mon attention est distraite par cette présence impromptue, tellement que je n’arrive pas à me décider sur un choix. Au bout d’un certain temps, le gars appuie sur le bouton sélecteur et l’amène directement à la série de films pornos.

Il lit les titres à haute voix et me commente le court texte. Je suis tordue de rire à ses commentaires saugrenus, le type est vraiment très drôle.

Le jeu dure depuis une couple de minutes. Une certaine affinité se crée entre nous. Lui, semble très à l’aise, il agit comme s’il était avec un vieux copain. Accidentellement, sa main me frôle un sein. Excuses trésor, qu’il me dit en me donnant un léger baiser sur la joue. Et, il demeure ainsi, sa tête appuyée contre mon épaule. Il siffle. Ouais, regardes ce film-là, c’a c’est à mon goût, il y a de l’action. Je comprends, c’est plus que subjectif, il y a l’image très explicite d’une femme entrain d’envaler le pénis de son partenaire.

Bon, cette fois, je suis certaine que ce n’est pas un accident, le gars se frotte la cuisse contre moi pendant que sa main frôle encore mon sein. Sa respiration me dévoile son haut niveau d’excitation. La femme en moi, se réveille. Mon cerveau analyse la situation à la même vitesse que mon instinct réagie. Guidée par une impulsion soudaine, mon corps trouve tout de suite, le mode d’emploi à adapter. Presque mécaniquement, je change le sélecteur de page en reculant un peu. Lentement, je commence à bouger le fessier en me collant à la chaleur de son corps.

Aussitôt, comme fouetté par une décharge électrique, le démon réagit.

Son membre prend forme et il me semble qu’il durcit rapidement.

Le gars fait la lecture de différent scénario, sa voix me relève que son excitation atteint son paroxysme. Sa main caresse ma cuisse. J’accentue mes mouvements pour ne laisser aucune équivoque. Pour m’indiquer qu’il a compris, le jeune homme, remonte sa main à mes fesses. Il me dit:

Continues à me lire les titres. Très active, sa main flatte mes fesses, elle se fait plus envahissante, elle est attirée par ma chaleur de femme. Audacieuse, elle pianote sur mon sexe qui s’épanouie sous les caresses expertes.

Un doigt s’enfonce en ma chatte. Je ferme les yeux, je soupire sous cette lente masturbation. Je mouille. Enivrée par ces attouchements, je ferme les yeux et je me concentre aux plaisirs qu’il fait grandir en moi. Après ces moments d’extase, sa main est remplacée par sa bouche de jeune affamé qui me fouille. J’en perds les pédales. Je prends appuie contre la machine.

Il me soulève et poursuit l’exploration de mon corps dans une attaque explosive et sauvage. Je me démène comme une déchaînée, sa langue me pénètre et l’animal me caresse en même temps du bout de ses doigts. Mon corps s’ouvre à tous ces délices. Il se relève, me caresse le cou, ses doigts se promènent sur ma bouche. Il les glissent délicatement entre mes lèvres. Je n’ose pas me retourner, je surveille souvent en direction de la porte de peur de voir arriver d’autres clients. Mais, malgré ma peur du scandale, je n’en peux plus.

Mes mains tâtent son membre pendant qu’il introduit un doigt dans ma bouche. Mes mains tremblent autant d’impatience que d’excitation en détachant la ceinture de son pantalon. Elles caressent son pénis. Il me dit: T’es super, pendant que mes doigts parcourent son membre en pleine érection. Mes doigts sont tellement nerveux que j’ai du trouble à descendre le zipper de son pantalon. Impatiente, je m’empare de son pénis et le mords avant de le sortir sous le caleçon. Mes mains parcourent sa verge, elles touchent ses testicules. La respiration de mon bel inconnu, change vite de rythme. Ses gestes deviennent plus brusques, il me soutient sous les fesses pour me porter à la hauteur de son membre. Ma main guide son pénis qui me pénètre d’une seule poussée.

Un vent de tempête me frappe de plein fouet, le tonnerre gronde en moi, mon coeur bat à l’épouvante. L’orage éclate, si soudaine, si subite. Je vis une tornade, tous les éléments me secouent, mon corps est ballotté par l’ouragan qui se déchaîne. Les éclairs se succèdent pendant que le tonnerre vibre, assourdissant. Je hurle: C’est bon, c’est bon. C’est sûrement ce lieu insolite, mais, je veux vivre chaque seconde intensément. Subitement, il se retire et sort complètement. L’animal me laisse sur ma faim. Il ne bouge plus, je dois le reprendre, le guider à nouveau. C’en est trop, le salaud fait exprès pour me maintenir à distance. Cela devient insupportable, je veux le sentir en moi. Ma main serre son pénis.

Il me dit: Caresses mon gland entre tes lèvres, c’est cela, vas-y très lentement. Je me concentre, instinctivement, j’adapte le bon rythme en suivant son conseil. C’est le calmant que mon corps à besoin. Enfin, mon corps recommence à vivre, il a sa drogue. Lentement, le male revient en moi et s’enfonce à nouveau, sur son passage, il déclenche un autre feu d’artifices. Je monte au septième ciel.

L’animal se retire encore. Je supplie, mais je dois le reprendre à nouveau pour le guider en moi. Je crie: Non, non attends, tu fais exprès salaud, reviens. Il me dit: Si tu en veux, bouges ma vieille, ce n’est pas toujours mon tour de faire tout le travail. Le message tombe dans la bonne oreille, je reprends sa verge entre mes doigts et je me hâte de la guider en moi. Ce type est vraiment macho. Le doux supplice continue, il recommence toujours le même manège. Il me pénètre pour se retirer aussitôt et il attend que j’en demande encore. Je dois insister à chaque fois pour qu’il me pénètre.

Ce jeu, qu’il contrôle à sa guise, me rends de plus en plus dingue.

Comme jamais, mon corps me révèle qu’il a besoin de sa dose de caresses.

Je ne me reconnais plus. Il me dit:

Ca t’as pris du temps à apprendre, mais c’a devient bon, tu me fais jouir. Je lui griffe les fesses. Malgré moi, je regarde souvent en direction de la porte. La boutique est située sur le coin de rue, le plus achalandé de notre petite ville. Les passants et tous les automobilistes peuvent nous voir. Il me dit: ?nerves-toi pas pour rien, tu dois savoir que c’est bon de prendre son temps. Cynique, il rajoute:

Elles me disent toutes que c’est bien meilleur ainsi. Je le pince dans ma rage de ses commentaires enfantins.

Il semble agacé de me voir surveiller régulièrement du coté de la porte d’entrée, s’il n’arrive pas d’autre client. Il me fait rire en disant:

Casses-toi pas la tête, même s’il entre quelqu’un d’autre, tu n’as pas à t’inquiéter, la place est prise. Tendrement, ses yeux me sourient, l’animal me berce sur son membre, notre rythme devient beaucoup plus saccagé. On est en sueur tout les deux. Infatigable, encore plein de fougue, il maintient la cadence. Comblée, je vis orgasmes par-dessus orgasmes.

Nos yeux se font l’amour. Nos bouches affamées s’unissent pendant que nos langues se découvrent et qu’il me pistonne de toute son énergie de jeune fauve. J’en perds les pédales, je jouie intensément. C’est bon, il doit souvent me soulever pour me replacer dans l’axe. Il revient toujours plus gourmand, me pistonne comme un déchaîné, je suis épuisée mais je me force a rester suspendue à son corps.

Lentement, il s’assagit, sa verge se balade en mon sexe. Mon intuition me révèle une éjaculation prochaine. Comme de fait, je sens sa montée de sperme, il éjacule, sa chaude semence coule en moi. Tendrement, sa bouche me caresse dans le cou, elle me chatouille sous le lobe de l’oreille gauche. Je vis chaque seconde de plaisir partagé. Mais, le rêve a une fin abrupte, le male se retire et sort complètement. Il me dépose doucement sur mes jambes en me tapotant les fesses. Le gars se choisit une casette porno pendant que je replace ma jupe. Il m’invite à la visionner avec lui. Je décline son offre. Il me fait bye-bye et disparaît sans que je sache son nom.

Quatre jours plus tard, ce jeune homme me surprend à la pharmacie, pendant que je suis penchée dans une rangée de cosmétique. Il me fait sursauter en passant les deux bras autour de ma taille. Aussitôt, il me donne un doux baiser dans le cou. La mémoire de ses lèvres me fait revivre notre aventure. Je lui dit:

Grand fou!, va.

Il me répond:

J’ai envie de toi. Ne sois pas casseuse de party, et, suis moi?

Ce jeune homme ne me donne pas le temps de réfléchir. Il m’arrache tous les articles que j’ai choisi. Les dépose par terre au milieu de l’allée. Il prend ma main, et, il cherche à m’entraîner avec lui.

J’hésite à le suivre, je veux replacer les articles à leur place. Il proteste, me dit:

Chut!, chut! Il y en a qui sont payer pour cela!

Et, il m’entraîne à sa suite. Rendu près du comptoir où les clients donnent leur prescriptions, il me dit d’attendre avec lui. Et, pour me récompenser, il me donne un baiser à pleine bouche. Pour quelques instants, nous nous becquetons comme deux jeunes amoureux, ce qui semble agacer les quelques clients. À un moment donné, le fou rire me prend. Le jeune homme me demande:

Qu’est-ce qu’il y a de si drôle?

Je lui réponds:

Je ne sais même pas ton prénom.

Il me réplique:

Ce n’est pas grave. Aie!, moi, ça fait au moins quatre jours que je me demande: C’est à qui le beau cul que j’ai baisé. Aie!, fille!,

j’étais impatient, mais, je savais que je te reverrais.

Comment cela, que je lui réplique.

C’est bien simple. Tu es la seule femme à qui j’ai fais l’amour, et, qui ne n’a même pas montrée ses seins.

Je lui mord une lèvre pour lui faire savoir mon opinion. Pendant que nous placotons, il commence à y avoir une légère foule au comptoir de service. Bernard, car, j’ai fini par savoir son mon, en profite pour déranger la préposée devant tout le monde, pour lui demander des renseignements sur les condoms.

Je te dis que nous ne passons pas inaperçu. Bernard cherche à se renseigner sur tous les genres de condoms. La préposée, elle, semble agacée par toutes ses questions? Elle devient plus nerveuse, et, lui, il continue de lui en poser de tout genre pour essayer de savoir qu’elle est la meilleur marque à choisir. Malheur!, pendant tout ce temps-là, moi, je sens des yeux scandalisés qui m’examinent et me jugent.

Nous avons fini l’après-midi dans le lit de sa mère. Après s’être aimer comme de jeunes fous, nous ne prenons même pas le temps de refaire le lit. Je proteste encore. Bernard me dit:

De cette manière, elle va sûrement savoir que je suis passé.

Malheur!, en sortant, nous la croissons. Les quelques secondes, qu’elle m’a vu avec son fils, je sais qu’elle a eu le temps de me détailler. Et, avec ma mini jupe et un simple corsage, je devais avoir l’air d’une vraie fille de bicycle lorsqu’elle m’a regardé grimper sur la Kawa.

Une semaine plu tard, Bernard me demande de l’accompagner chez son coiffeur. Bernard se fait coupé les cheveux pendant que je l’attends assise confortablement sur un fauteuil. Bernard regarde souvent en direction de mes cuisses et moi, je me place pour qu’il puisse profiter du paysage. Faut dire que je suis en mini-jupe et que durant cette période de ma vie, je ne porte pratiquement jamais de petite culotte.

En discutant avec le coiffeur, Bernard amène la conversation sur les femmes et il fait exprès pour parler de sexe. Bernard étrive le jeune coiffeur en lui demandant s’il a déjà fait l’amour à une femme. Le gars devient plus nerveux et lui répond qu’il est homosexuel et qu’il en est heureux. Je vois venir Bernard avec ses idées pour lui faire dire qu’il n’a jamais vue de femme nue. Bernard regarde trop vers mes cuisses, je sais qu’il mijote quelque chose. Je le vois bander dangereusement et moi je fais exprès pour leur révéler le haut de mes cuisses.

À ma surprise, Bernard dit au coiffeur que j’ai besoin d’une coupe. Le gars lui répond que sa journée est terminée et qu’il est trop tard pour aujourd’hui. Bernard sort un bon montant d’argent et lui dit: Avec de l’argent, il n’est jamais trop tard. Fais-nous un spécial, je t’ai dis qu’elle a besoin de tes services et je vais te payer ce qu’il faut.

Après une courte discussion où le gars fait monter les prix, le coiffeur fini par dire O.K. Je m’avance sur la chaise du barbier et je laisse le coiffeur commencer à me jouer dans mes cheveux.

Bernard nous surprend tous les deux en disant au coiffeur: Tu ne comprends pas du tout, c’est les poils de son sexe qu’elle veut faire couper. Bernard me dit: Tu sais pourquoi tu m’as demandée de t’amener ici. Lèves-toi, enlèves ta jupe. Je vois une flamme pétiller dans ses yeux. Le barbier proteste et s’étouffe presque, lorsqu’il constate que je commence à détacher le bouton qui retient ma jupe à ma taille. Je me dépêche, c’est en pouffant de rire que je m’exécute. Je veux faire plaisir à Bernard, je m’étends impudique, nue jusqu’à la taille sur la chaise.

Le coiffeur veut tout abandonner. Bernard lui dit: Un deal, c’est un deal, montes-pas sur tes grands cheveux et fais comme on a décidé. Après une forte discussion, où même la gérante doit intervenir. Celle-là, Bernard la gèle avant qu’elle n’est le temps de s’en apercevoir. Et, il fait taire ses scrupules en lui donnant un généreux pourboire. Le pauvre coiffeur n’a d’autre choix que d’exécuter sa besogne.

Il maugrée mais, finit par appliquer une crème mousseuse sur mes poils.

Je suis chatouillée par la savonnette. Avec d’infimes précautions, le jeune coiffeur commence à me raser. Je retiens mon souffle tout le temps que dure l’opération. J’ai peur d’être blessée et en même temps je me réjouie de l’évènement, je me dis: Franchement, tu as des talents d’exhibitionniste. Bernard, la gérante et une deuxième coiffeuse surveillent attentivement tous les gestes de l’artiste qui s’exécute avec d’infimes précautions.

Veut, veut pas, le jeune homme doit regarder attentivement ce qu’il fait. Minutieux, il se penche la tête pratiquement entre mes deux cuisses. Excité par toutes ces attentions, mon sexe bande et s’ouvre à la vue de ces voyeurs. Souvent, je regarde du coté de Bernard. Le salaud bande à l’extrême. Il fait les commentaires les plus saugrenues, ce qui fait rougir le coiffeur. Bernard et les deux coiffeuses sont mort de rire tout le temps que dure l’opération. Enfin, il m’a complètement rasé. J’ai la peau nue comme avant ma puberté.

Bernard avec la recommandation de la gérante, oblige presque, le coiffeur à passer ses doigts sur le contour de mon sexe pour vérifier s’il n’y a aucun poil oublié. Le jeune homme est en sueur, mais le métier prend le dessus et il fait comme il lui est demandé. Il a les mains douces comme celles d’un bébé et elles me procurent de merveilleux frissons. Intérieurement, je ris tellement que j’en ai mal au ventre.

Avant de replacer ma jupe convenablement, Bernard demande à la gérante de me faire essayer différente marque de parfum. La femme que je sais de plus en plus excitée, en essaie au moins cinq modèles différents en les appliquant sur mon corps. Je perçois, la délicatesse d’un toucher féminin sur ma peau.

On fini la soirée à l’appartement de Bernard, je vous dit qu’on a rit comme des enfants en se remémorant chaque geste du coiffeur. Bernard a inventé un nouveau jeu. Pour plus d’une heure, il m’a appliqué des pommades sur le contour de mon sexe. Très surexcitée, on a fini la nuit dans une véritable orgie de caresses.

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