Histoires de baise Histoires de sexe mobiles

Jenifer: J'apprends à être coquine – Chapitre 4

Jenifer: J'apprends à être coquine - Chapitre 4



Je suis sortie les semaines suivantes dans des endroits différents à chaque fois mais je me limitais à une soirée "cul" par week-end: je me préparais pour l’homme de ma vie, je n’étais pas une traînée qui a besoin de se faire sauter tous les soirs.

Les sorties suivantes ont été du même genre que ma nuit avec Marco et me permettaient de prendre un peu plus d’assurance à chaque fois. Seule la troisième rencontre avait été vraiment décevante: une simple séance de baise anecdotique, sans fioritures… aucun intérêt. C’était moi qui devenait exigeante et qui avait besoin d’exotisme !

J’avais bien dû me rendre à l’évidence: coucher juste pour le sexe, sans éprouver aucun sentiment ne me posait finalement pas le moindre problème; J’avais bien changé en quelques semaines.

Malgré ces rencontres, j’étais pourtant loin d’avoir tout expérimenté, les rencontres "one shot" ont leurs limites et même le type d’hommes que je fréquentais alors ne vous proposent pas certaines choses dès le premier soir. C’était tout à leur honneur mais, du coup, je restais totalement novice dans certaines pratiques, notamment la sodomie qui devait pourtant être un "gros morceau" de ma formation si je peux m’exprimer ainsi.

Seul Raphaël, le dernier en date m’avait caressé la corolle en me baisant en levrette avant de glisser le bout de son pouce entre mes fesses. Me sentant étroite, il avait cependant ôté son doigt rapidement et de mon côté, je n’avais pas osé lui demander de continuer. C’était bien plus facile de dire "ho oui, doigte moi le cul" toute seule en jouant dans ma chambre avec mes godes que face à un homme que je ne connaissais pas quatre heures plus tôt.

Mais un jour tout cela a changé: Pour mon plus grand bonheur, la semaine suivante, un événement inattendu s’est produit. Je rentrais de Paris le vendredi soir par le TGV après une journée de réunions pour le travail. Je suis allée prendre une boisson au wagon bar et je me suis installée dans un recoin de ce petit espace bondé. Une secousse m’a fait m’appuyer sur un jeune homme à côté de moi et je me suis excusée, il m’a alors fait un grand sourire. Il était vraiment beau: grand, jeune, le teint mat et doté d’un regard intense.

Nous avons discuté pendant tout le trajet, il s’appelait Mehdi, avait 25 ans et sa conversation me semblait aussi agréable que son physique. Quand j’ai compris que nous habitions à quelques kilomètres l’un de l’autre, j’ai préparé un papier avec mon numéro de téléphone et je le lui ai tendu avant de retourner à ma place à l’approche de mon arrêt. Je lui ai fait un clin dil avant de m’éloigner.

— Moi: "Appelle moi"

Le soir même il me proposait un dîner pour le lendemain, samedi. C’était parfait pour mon entraînement "sexe" de la semaine.

Je suis arrivée au restaurant, Mehdi m’a fait la bise mais il semblait gêné. Nous avons dit quelques banalités puis il a crevé l’abcès.

— Mehdi: "Je crois que nous nous plaisons et que nous pourrions nous revoir"

C’était direct mais il avait raison. Je l’ai laissé continuer.

— Mehdi: "Il faut que tu saches un truc sur moi. Tu vas peut-être flipper mais ce sera pire si je te le dis plus tard"

— Moi: "Vas-y, dis moi; je suis curieuse maintenant !"

— Mehdi: "J’étais à Paris pour un tournage. Je suis acteur…"

— Moi: "C’est très bien. Je ne vois pas le problème"

— Mehdi: " Dans des films pour adultes. Et pas du soft, du vrai porno"

Il a dit cela en rougissant comme un gamin pris en faute. C’était amusant de le voir avec cette attitude vue la façon dont il occupait ses journées pour gagner sa vie.

J’ai eu du mal à ne pas sauter de joie mais il fallait rester digne: Je venais de trouver le parfait coach pour faire de moi une amante "comme dans les films".

Je lui ai dit qu’il était courageux de me l’avoir dit et qu’il n’y avait rien de honteux. Nous avons continué le repas, lui soulagé d’un poids et moi toute heureuse d’avoir trouvé la parfaite solution à mon problème.

Nous sommes sortis ensemble plusieurs mois avec Mehdi. Je ne lui faisais pas de crise quand il revenait de tournage contrairement à toutes ses ex et lui m’apprenait sans s’en rendre compte tout ce que voulais découvrir. Notre arrangement nous satisfaisait tous les deux… même si j’étais la seule de nous deux à savoir que justement ce n’était qu’un arrangement.

Je m’en voulais parfois de ne l’utiliser que pour sa queue et en ayant aucun sentiment pour lui mais je rationalisait en me disant que c’était une sorte de compensation pour tous les hommes qui font l’inverse avec les filles.

Mehdi m’a d’abord fait l’amour avec beaucoup de douceur, comme un gentleman et pas du tout comme un "hardeur". Il faisait parfaitement la part des choses entre son travail et sa vie réelle, j’avais même l’impression qu’après certains tournages vraiment hard ou il avait dû défoncer ses partenaires plus que de raison, c’était surtout de tendresse dont il avait envie avec moi.

Je lui ai tout de même fait comprendre qu’il pouvait se lâcher avec moi. Après tout c’était dans ce but là que je m’étais intéressée à lui.

Évidemment il était largement équipé et baisait très bien: Endurant, créatif, capable de totalement se contrôler, c’était un sacré amant.

C’est lui qui m’a sodomisée pour la première fois.

Ce soir là, je lui ai fait comprendre que j’avais envie qu’il s’occupe de mes fesses. Il m’a alors installée sur le ventre, un coussin sous le bassin pour que je tende mon cul naturellement et il m’a massé le dos longuement avant de m’embrasser tout le long de la colonne vertébrale. Ensuite, il a fait glisser sa langue entre mes fesses pour me prodiguer un annulingus qui m’a immédiatement ravie.

Autant, il m’a fallu du temps pour m’habituer à la sodomie, autant j’ai tout de suite adoré cela au moins autant qu’un "cunni" normal.

Mehdi m’a largement écarté les fesses avec ses mains puis il a fait le tour de ma corolle avec sa langue doucement. Il m’a rendue dingue en variant l’intensité de ses caresses avant de baver abondement sur l’entrée de mon petit cul. Je ne m’en suis même pas offusquée et j’ai miaulé de plaisir lorsqu’il a glissé sa langue en moi. Il s’est déchaîné et c’était divin, il a fait durer le plaisir longtemps mais j’aurais pu continuer des heures. A la fin, c’était moi qui cambrait mes hanches pour m’empaler sur sa langue qu’il gardait immobile: J’étais fin prête.

Il a voulu que je m’installe sur le dos pour voir mes réactions et ne pas me brutaliser mais justement je ne voulais pas qu’il voit mes grimaces lors de cette grande première: J’avais quand même ma fierté.

Je me suis positionnée en levrette, tendant mon petit cul à mon bourreau.

Il m’a embrassé dans le dos puis j’ai senti qu’il faisait couler du lubrifiant à l’entrée de mon rectum, enfin, il a appuyé la pointe de sa verge et je me suis cramponnée aux draps pour pousser mes hanches en arrière à sa rencontre.

Son gland m’a semblé énorme, j’avais l’impression qu’il allait me déchirer. J’ai crié et soufflé mais je soufflait "continu, continu" autant pour l’encourager lui que moi.

Ma corolle a cédé dans une douleur intense, j’ai senti des larmes couler le long de mon visage.

" Ha, aie, haaaa"

" Encore, haaaa"

Il a coulissé un peu puis il est ressorti et j’ai ressenti un immense soulagement. A force de voir des vidéos de filles se faisant sodomiser avec le sourire, j’avais totalement sous-estimé ce que j’allais endurer. J’avais été vraiment idiote: J’avais pourtant eu la sensation que Mehdi m’ouvrait en deux la première fois que nous avons fait l’amour "normalement", cela ne pouvait qu’être une épreuve de le laisser me prendre par derrière.

Quand il s’est enfoncé de nouveau, la douleur vivace et mes larmes sont revenues immédiatement. Il a fait tourner son gland et l’a manuvré sur une très faible amplitude permettant à mes muscles intimes d’un peu apprivoiser ce traitement. Après quelques mouvements supplémentaires, Mehdi a progressé encore un peu, m’enfonçant de nouveau son gland puis les quelques centimètres suivants.

Il m’arrachait le cul, je voulais lui dire d’arrêter mais je n’arrivais même plus à parler. Il a coulissé difficilement, j’avais l’impression que mes muqueuses étaient en feu. J’ai essayé de me reprendre: je ne voulais pas échouer.

Je me suis encouragée intérieurement: "Courage pétasse !".

J’ai serré les dents et je me suis concentrée pour prononcer un "Encore" à peu près compréhensible. De nouveau, Mehdi s’est retiré pour me laisser respirer et j’ai ressenti le même soulagement que précédemment. Je n’en pouvais déjà plus; pourtant il avait à peine commencé.

J’ai pensé à ma fameuse préparation: mes petits doigts tous fins et le gode miniature que je m’enfonçait à peine: Il fallait être vraiment stupide pour croire que cela pouvait être suffisant avant d’affronter la queue XXL d’un acteur porno. J’avais péché par optimisme et j’en payais le prix. Toute proportion gardée, j’étais comme ces joggeurs du dimanche qui courent 15 minutes par semaines et croient malins de s’inscrire au marathon de Paris: ils finissent généralement étendus sur le sol, incapables de bouger et boitent pendant trois semaines; je me disais que c’était sans doute à peu près ce qui m’attendait.

Vu ou j’en étais, je voulais tout de même continuer: Je n’ai pas tourné mon visage pour que mon amant ne voit pas mes larmes et j’ai regroupé tout le courage qui me restait. Avant d’immédiatement le regretter, j’ai lancé à mon amant:

" Encore chéri, ça ne me fait presque plus mal".

De nouveau Mehdi m’a envahie. Il a poussé sa colonne sur une dizaine de centimètres, je la percevais comme une batte de base-ball bouillante qu’on m’aurait enfoncé de force… aussi éloigné que possible de l’idée que l’on peut de faire du plaisir. J’étais toute contractée et c’était quasiment insupportable tant mon cul me brûlait. Pourtant, il fallait en passer par là, j’ai mordu le coussin pour étouffer mes cris et j’ai pris mes fesses à pleines mains pour les écarter et tromper mon amant sur mes sensations.

Mehdi a fait aller et venir son calibre malgré mon refus physique. Je poussais des "han" noyée dans mes larmes pour l’accompagner et l’encourager à me ravager le fondement.

Cela a été les 5 minutes les plus longues de ma vie mais sous ce traitement brutal, mon anus à fini par céder, se dilater et épouser la forme de la verge qui l’agressait. La douleur a diminué mais j’avais vraiment dégusté, je tenais à peine sur mes jambes et mes larmes comme mon nez continuaient à couler; je ne devais pas être belle à voir.

Heureusement, Mehdi me maintenait fermement par la taille et je parvenais à ne pas m’affaler sur le lit. Je me suis demandée s’il sentait mon corps se gonfler à chaque pénétration comme j’en avais la sensation. J’ai poussé quelques soupirs pour encourager mon coach, il en a profité pour pousser sa queue un peu plus loin. De nouveau, la douleur m’a submergée et j’ai poussé des "ha haaa" en bavant à chaque pénétration.

J’étais fière malgré les circonstances. J’ai tendu ma main en arrière pour caresser la bite de Mehdi et je me suis rendue compte qu’il gardait une dizaine de centimètres en dehors de mon corps. Je me demandais comment il était humainement possible de se la prendre en totalité.

Mehdi a lentement fait coulisser sa queue dans mon anus dompté plusieurs minutes et j’ai fait mon cinéma en miaulant malgré la douleur toujours bien présente. Mehdi a fait durer le "plaisir", trompé par mes simagrées, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et finisse par sortir de mes chairs pour m’arroser le dos jusqu’au cheveux. Au moins, lui, cela lui avait plus !

J’ai eu mal aux fesses pendant 4 jours et j’avais perdu une partie de ma dignité mais c’était une bonne chose de faite. Je pensais que le plus dur était derrière moi (sans jeu de mot).

Malheureusement, les saillies suivantes m’ont fait presque aussi mal et il m’a fallu de nombreuses répétitions pour que mes sensations évoluent vraiment.

Cela a duré comme cela 6 mois: Je laissais mon amant me faire tout ce dont il pouvait avoir envie et je l’encourageais à me sodomiser régulièrement. La seule chose que je ne faisais pas, c’était d’avaler son sperme, je voulais garder cela pour mon futur prince charmant.

Dès les étreintes suivantes, je me suis forcée à accepter la queue de Mehdi un peu plus loin dans ma gorge et mon petit cul à chaque fois. C’était douloureux et difficile mais après quelques temps j’ai eu comme un déclic et petit à petit, c’est devenu un jeu.

Cela m’a pris de longues semaines mais je suis finalement parvenue à tout accepter: sucer jusqu’à la garde et me faire enculer au ras des couilles. J’y avais même pris goût et je savais apprécier l’intensité de ces moments. En rigolant, Mehdi m’avait même dit un jour que j’étais prête pour l’accompagner sur les tournages.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire