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Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise – Chapitre 4

Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise - Chapitre 4



Le lendemain de cette soirée, Sharon ne savait pas comment réagir face à son patron compte tenu de ce qu’il s’était passé. Quand elle s’est levée, elle remarqua que Jean-Luc s’était levé pour faire des brasses dans la piscine. Quand elle l’a vu de dos, elle s’est dit que, cet homme à l’allure rondouillarde mais quand même assez costaud pour la porter sans trop d’effort, s’il le décidait, il pourrait la violer comme il le voudrait. Il était évident qu’il avait envie d’elle. Le weekend venait de commencer et, d’ordinaire, ils vivaient amicalement l’un avec l’autre mais après ce qu’ils avaient fait la veille, Sharon s’inquiétait de la tournure que pouvaient prendre les évènements.

Plus tard dans la journée alors qu’elle préparait le déjeuner, Sharon senti le regard de Jean-Luc se poser sur elle. Elle n’a réagi à sa présence que lorsqu’il s’est approché d’elle, s’est collé à elle dans son dos. Sharon sentait parfaitement, dans le bas de son dos, le sexe de monsieur en érection. Allait-il tenter quelque chose ?

— Alors que nous prépares-tu de bon pour ce midi ? Demanda-t-il avec un sourire amusé par la situation.

— Une salade composée, quelque chose de simple.

— Mais dit moi, tu trembles. C’est moi qui te fais peur ? Remarqua-t-il en lui prenant la main.

— Si vous tenez à le savoir : oui un peu. Avant on était comme des amis. Après ce qu’il s’est passé hier soir .

— Je vois . Sache que pour moi, ce fut, à la fois, l’occasion de prendre du bon temps mais aussi et surtout l’occasion de te préparer à ce qui pourrait te traumatiser.

— Traumatiser ?

— Oui le mot est peut-être un peu fort mais ton futur mari pourrait très bien t’obliger à faire des choses qui peuvent être douloureuses ou désagréables. Prend le cas du sperme que tu as recraché. Ton mari aurait très bien pu t’obliger à avaler. Il aurait très bien pu te forcer à une fellation profonde qui t’aurait donné des haut-le-cur. Avec l’initiation que je te propose, tu y seras préparé et ce sera moins désagréable. Tu imagines ce que ça aurait pu donner ? Et en plus sans la lotion parfumée ?

— Oui, je comprends.

— Parfait.

— Hier vous aviez dit qu’on recommencerait. Régulièrement ?

— Ce serait préférable. Quand on s’entraine, on ne fait pas les choses qu’une fois. Que dirais-tu de Une fois par semaine ? ou plus si tu veux ?

— Non une fois par semaine ce sera bien.

— Je sais que la morale de ton éducation est en contradiction avec ce qu’on a fait hier. Tout ce qu’il s’est passé, tu aurais dû le vivre dans le cadre du mariage.

— C’est vrai que, même si j’ai changé, que j’ai évolué sur ce point, il est difficile de se défaire de toutes ces années d’une éducation stricte.

— Tu devrais voir ça autrement. Vois ça plutôt comme . Un divertissement.

— Comment ça ?

— Tu as surement entendu parler de tous ces mordus de sports extrêmes ? Toujours accros aux sensations fortes ?

— Oui

— Et bien le sexe c’est pareil. Un loisir fait pour ressentir des sensations fortes, pas les mêmes mais fortes quand même.

— C’est un point de vue qui se défend.

— C’est surtout la réalité. Sinon tous les couples ne le ferait qu’une fois pour avoir un enfant et plus rien après. Si tout le monde le fait régulièrement c’est aussi et surtout pour le plaisir. Moi je te dis ça comme ça. Si ça peut éviter de te faire culpabiliser .

Cette petite mise au point avait rassuré Sharon. Toutefois, il y avait un élément qui la gênait : ses montées de lait. Elle décida de suite d’arrêter d’utiliser la crème de jour que son patron lui avait donné. Quand Jean-Luc s’en est aperçu sur les images de son système de surveillance, il s’est dit « Oh bah non tu ne vas pas me faire ça ? Et merde ! Bon bah tant pis, au revoir gros nibards, je vous aimais bien ». Seulement, après une semaine, elle y retourna car cette sensation de plénitude et de bien être qu’elle ressentait lui avait manqué. Autant vous dire que quand Jean-Luc l’a su, il a sauté au plafond.

Durant quelques semaines, ce rythme nouveau fut pris : Comme d’habitude, Sharon s’occupait d’Oscar qui commençait à se tenir avec assurance sur ses jambes. Elle s’occupait des tâches ménagères et une fois le weekend arrivé, le samedi soir souvent, elle rejoignait son patron dans son bureau pour leur petite séance privée durant laquelle, après s’être déshabillé devant lui, Sharon se laissait caresser, téter puis, une fois assise sur le bureau, son patron la léchait. Enfin cette séance se terminait par une fellation. Sharon commençait à aimer ces nouvelles sensations et voulait en avoir plus. N’étant, toutefois, pas encore prête à sacrifier sa vertu, elle commença par augmenter la dose au niveau de la crème. La peau de son visage était douce grâce à elle, elle s’est dit qu’en en mettant sur ses seins, ils seraient également plus doux au toucher et que son patron apprécierait.

Quand Jean-Luc a vu ça, en consultant ce que ses caméras lui renvoyaient, et surtout le volume de crème qu’elle se tartinait sur les seins, il a paniqué. « Eh oh ! Ça va pas d’en mettre autant ? Tu sais ce que ça coute un pot de crème comme ça ? » S’est-il dit avant de se souvenir que plus de crème allait entrainer plus de volume au niveau mammaire. Il s’est également souvenu que la crème contenait un léger aphrodisiaque. « Si le peu qu’il y a là lui fait cet effet, qu’est-ce que ça va donner après ? Peut-être va-t-elle accepter de se faire déflorer ? Finalement c’est une bonne opération » a-t-il conclu.

Avec des montées de lait plus conséquentes et des seins plus gros, Sharon avait besoin de se faire téter plus souvent. Ce qui voulait aussi dire qu’elle allait pouvoir en profiter pour demander à son patron plus de cunnilingus. Tailler une pipe à son patron n’était finalement plus quelque chose qui la dégoutait. Au contraire. Dans un sens, elle ressentait même de la fierté de lui donner du plaisir et de le sentir prendre du plaisir en éjaculant dans sa bouche. Sharon avait remarqué autre chose. Depuis que ses rapports avec son patron avaient évolué, elle avait fait quelques bêtises qui lui auraient value une bonne engueulade en temps normal. Au lieu de ça, elle avait droit à un « oh ce n’est pas grave, on verra ça plus tard » et une petite tape sur les fesses. Elle en conclu donc qu’il devait être suffisamment satisfait pour accepter de passer l’éponge sur certaines choses. Sharon entrepris alors de le satisfaire plus souvent en lui accordant de temps en temps une fellation sans contrepartie. C’est comme ça qu’en commençant par une séance par semaine, Ils étaient passés à deux ou trois suivant les semaines. En plus de ça, Jean-Luc fut surpris des gâteries que son employé lui prodiguait. Il se souvenait encore de la première. Il était rentré fatigué d’une journée de négociation avec des clients Allemands. Il s’est écroulé sur le canapé et demanda une bière à Sharon. Quelle ne fut pas sa surprise quand il l’a vu arrivé seins nus devant lui. Sharon posa alors la bière dans la main de son patron qui ne réalisait pas encore. Puis elle se mit à genou devant lui, entre ses jambes et commença à défaire la ceinture de son pantalon.

— Sharon ? Tu fais quoi là ?

— Quand je vous ai vu arrivé fatigué de votre journée, je me suis dit que vous aviez besoin de vous détendre. Dit-elle avec un sourire coquin.

— Et donc ?

— J’ai pensé que vous ne seriez pas contre une petite douceur.

— Effectivement, Je ne suis pas contre. J’aime quand tu prends des initiatives.

— Merci . Où est la lotion ?

— Ah oui euh . Il y en a une bouteille dans ma table de chevet, le tiroir du haut.

— Je vais la chercher.

Pendant le peu de temps où il resta seul, il se pinça la main et Aïe ! Oui il était réveillé. Quand il l’a vu arrivé avec la lotion et qu’elle en a mis plus que nécessaire, Il s’est dit « Bon bah si elle double les doses de tous les produits, ça va me couter cher tout ça. Par contre je sens que je vais prendre mon pied ». Et effectivement, ce fut le cas. Il fut d’autant plus surpris quand il a vu Sharon avaler le sperme, en masquant le gout avec un jus de fruit mais elle avalait. Ainsi Jean-Luc, qui se faisait sucer presque tous les jours dorénavant, était également satisfaisait de son employé et de ses coups de langues. Il se désaltérait à ses seins pour le petit déjeuner, et pouvait toucher son joli corps à la poitrine si douce et si gonflée. Croyant l’affaire acquise, il lui demanda un jour si il pouvait enfin faire d’elle une vraie femme mais, ayant compris où il voulait en venir, elle ne le laissa pas finir sa phrase et lui répondit un grand « NON » dans la figure.

Sharon était peut-être excitée, elle acceptait avec le sourire tous ces attouchements, mais elle gardait quand même en tête la préservation de sa virginité. Elle avait gardé à l’esprit que, pour elle, tout ça n’était qu’une préparation à ce qui pouvait l’attendre lors de sa nuit de noce. Déçu, Jean-Luc relativisa ce vent qu’il venait de se prendre en se disant « bon bah c’est raté mais c’est déjà pas mal ce qu’elle me fait. Je vais m’en contenter jusqu’à la fin de son contrat alors ».

Ainsi les jours et les semaines passaient. Jean-Luc pouvait enfin profiter de faveurs de son employé, pas complètement comme il le voulait mais c’était déjà pas mal. Un jour Il décida qu’au lieu de faire ça dans le bureau, ils allaient le faire dans une chambre : la sienne ou celle de Sharon peu importe. C’était là l’occasion de lui faire essayer le 69. Sur le fond, ça ne changeait rien à ce qu’il se passait déjà entre eux. C’était juste qu’au lieu que chacun s’occupe de l’autre chacun son tour, ils allaient pouvoir le faire en même temps. Jean-Luc avait vendu ça à Sharon comme « un instant de partage unique ». Ainsi, les deux partenaires se déshabillaient mutuellement tout en s’embrassant et se retrouvaient nus pour profiter de ce moment de plaisir. Le soir quand Jean-Luc revenait du travail, avant il se mettait à l’aise et se changeait. Avec l’évolution de ses rapports avec sa jeune fille au pair, il restait en costume cravate. Quand il se faisait sucer ainsi habillé, assis dans son fauteuil, Sharon à genou seins nus devant lui et lui en train de lui caresser la tête, il voyait le reflet de la scène dans la baie vitrée du salon. Il se voyait tel un maître avec sa soumise. C’était ce qu’il cherchait : devenir un mâle dominant.

Ça faisait maintenant quelques mois que Sharon partageait des moments intimes avec son patron. Elle n’avait plus aucun scrupule avec ça car, à l’origine, elle était venue en France pour expérimenter des choses qu’elle n’aurait jamais faite chez elle. Bien évidemment, elle s’était imaginé autre chose mais bon .

Un jour, les grands parents du Petit Oscar sont venus lui rendre visite. Ce couple, Georges et Eveline, était les parents de la défunte Cécile. Les ayant déjà vus, même si ils ne venaient pas souvent à cause de l’éloignement, Sharon les aimait beaucoup. Jean-Luc, n’ayant plus ses parents, les appréciait aussi et particulièrement son beau-père qui voyait en son gendre, le fils qu’il n’avait jamais eu. Les deux hommes avaient des conversations parfois . Grivoises. Même si Le beau-père tutoyait son gendre, Jean-Luc, lui, n’arrivait pas à se résoudre à lui donner la réciproque. Pendant que Sharon était avec la grand-mère, Jean-Luc s’enferma dans son bureau avec son beau-père pour discuter autour d’un verre.

— Ça va ? Ça se passe bien depuis que Cécile nous a quittés ?

— On fait au mieux. Oscar a pleuré en cherchant sa mère pendant un temps. Maintenant il l’a surement oublié.

— Oui je vois ça . Dis-moi ça se passe bien avec ta petite américaine ?

— Pourquoi ça se passerait mal ? Elle travaille bien et je n’ai pas à me plaindre.

— Elle travaille ? Elle n’est que ça pour toi ? Tu es sûr ? La jeune fille au « paire », comme paire de gros nibards ? Demanda le beau-père de Jean-Luc en mimant le soupesage d’une grosse poitrine avec ses mains.

— Ça veut dire quoi ces insinuations ?

— Oh allez Soit honnête. Tu la baises c’est ça ?

— Non pas du tout.

— Ne me prend pas pour un con. J’ai bien remarqué ses nichons. La dernière fois qu’on est venu ils étaient moins gros. Tu sais, tu peux me le dire. Je ne t’en voudrais pas de chercher une autre femme. Je sais que tu ne vas pas te faire moine et que tu as des besoins charnels à assouvir. Tu lui as donné la crème de jour ? La même que Cécile, celle qui donne des gros seins ?

— Comment vous savez pour la crème ?

— Cécile en a parlé à Eveline qui m’en a parlé ensuite.

— OK, Oui je le lui ai donné . Mais non je ne la baise pas. Elle est mormone et elle veut rester vierge pour son futur mari.

— Donc si elle t’a dit ça c’est que vous avez abordé le sujet. Si ça se trouve t’as même tenté ta chance et tu t’es fait rembarrer.

— C’est presque ça.

— Ah bah voilà ! . Bon, OK, elle veut rester vierge. C’est tout à son honneur bien qu’un peu démodé dans notre société moderne, mais il y a moyen de prendre du plaisir sans pénétration. Tu le sais. Ne me dit pas que t’as pas trouvé un moyen pour te faire sucer et lui ploter ses Roberts ?

— ..

— Tu ne dis rien ? Ahahah ! Je crois que j’ai vu juste on dirait. Continua-t-il en voyant son gendre esquisser un sourire

.

— Oui Oh ça a dû arriver une ou deux fois . Bon Ok, plus souvent qu’une ou deux fois . Bon d’accord vous avez gagné, je me fais sucer plusieurs fois par semaine, ça vous va ? Vous êtes content ? Fini-t-il par répondre en voyant son Beau-Père se mimer jouant du pipo.

— Ahahah ! Mais je ne te demande rien. Tu n’as pas de compte à me rendre. C’est ta vie, t’en fais ce que tu veux. Je comprends que tu sois gêné d’en parler. Peut-être as-tu pensé qu’on allait mal le prendre ? On ne t’en veut pas de vouloir te recaser.

— Il y a des chances que ça ne se fasse pas. D’après ce qu’elle m’a dit, elle est déjà promise à un autre. Un mormon déjà marié et dans sa communauté, c’est une honte totale de ne pas être vierge au mariage.

— Et alors ? Tu le sais Il y a toujours une solution de secours.

— Ah oui ? Et laquelle ? Je la baise et après je la fais opérer pour lui refaire son hymen ?

— Mais non gros béta. Tu sais, Eveline était aussi comme ça mais ça ne nous a pas empêché de coucher avant le mariage et pourtant, le lendemain de notre nuit de noce, quand le drap a été exposé, comme il était de tradition dans sa famille, on voyait bien qu’elle avait saigné.

— Et comment vous avez fait ? Ça m’intéresse.

— Réfléchis. J’ai dit qu’il y avait une « solution de secours ». Comme on le dit chez moi : « quand on n’arrive pas à passer par la porte d’entrée, on passe par la porte de derrière ».

— « La porte de derrière » hein ? Ok j’ai compris. C’est plutôt « la porte du derrière ».

— Exactement. Dis-moi, Elle est là encore pour combien de temps ?

— Presque six mois selon son contrat, mais je sens qu’elle a de moins en moins envie de rentrer chez elle.

— Et ben voilà ! tu lui proposes la bagatelle et elle pourra rester.

— Je ne suis pas sûr que ça fonctionne avec elle. Je vais tenter ma chance mais elle risque d’être difficile à convaincre. « La porte de derrière » . Comment j’ai fait pour ne pas y penser.

— Ça je n’en sais rien. Mais c’est à toi de te demerder.

Jean-Luc venait d’avoir une solution pour coucher avec Sharon. Rien n’était gagné mais s’il y parvenait, ça pouvait être pour lui et pour elle une autre source de plaisir. Il allait juste falloir la jouer fine.

Il allait falloir la jouer fine mais pas maintenant. Les grands-parents d’Oscar étant là pour le Week-end, rien ne pourra être tenté durant leur séjour. Cette situation dérangeait Sharon. En effet, ayant pris l’habitude de se faire téter régulièrement, elle commença à ressentir de nouveau de petites douleurs dans les mamelons. Elle aurait bien voulu passer du temps avec son patron mais elle ne voulait pas prendre le risque de se faire surprendre.

Quand les grands parents sont partis, Le soir même, Sharon exprima le besoin de rester seul avec Jean-Luc. Il leur fallu attendre la sieste d’Oscar pour ensuite se retrouver dans la chambre de Monsieur. Durant cette séance, Sharon ne perdit pas de temps à se déshabiller et à plaquer la tête de son patron sur ses seins gonflés. Après qu’il se soit désaltéré, elle aida son patron à retirer ses fringues, elle le poussa sur le lit, allongé sur le dos, pour ensuite se mettre au-dessus de lui prête à se faire lécher et à le sucer comme jamais.

Jean-Luc fut surpris mais également ravi que Sharon prenne les devant. « Bon, bah devant tant de bonne volonté autant lui donner tout ce qu’elle veut » s’est-il dit. Il s’est alors lancé dans un cunnilingus comme il savait si bien les faire. Comme souvent il éjaculait souvent avant que Sharon n’atteigne l’orgasme. A ce moment-là il entendait sa partenaire gémir sous ses coups de langue experte. Il n’était pas rare, pendant qu’il était à l’uvre, qu’il maintienne sa partenaire en place en lui plotant les fesses. Ce coup-ci, il ne fit qu’écarter ses globes fessier afin d’admirer la rosette de la demoiselle. A la vision de ce petit trou étroit, il s’est dit en se rappelant de sa conversation avec son beau-père : « Bientôt, j’y mettrais ma queue. Et crois-moi ma jolie, je vais t’en donner du plaisir ».

Le lendemain, Sharon voulu sortir pour aller au cinéma. Jean-Luc ne travaillant pas, il la laissa partir. Pendant ce temps-là, il allait pouvoir en profiter pour jouer avec son fils. Ce gamin de presque deux ans maintenant était ravi. Il était tout sourire. A un moment durant l’après-midi, Jean-Luc lui faisait le jeu de « devine ce que c’est ». Il montra quantité de photo et d’image, de personne et d’animaux et Oscar devait dire ce que c’était ou qui c’était.

— C’est qui ça ? Demanda-t-il en montrant une photo de sa grand-mère.

— Mamy

— C’est quoi ça ? Demanda-t-il en montrant une image d’un chien.

— Chien

— C’est qui ça ? Demanda-t-il en montrant une photo de lui.

— Papa

— C’est qui ça ? Demanda-t-il en montrant une photo de Sharon

— .

— Bah alors ? Tu ne sais pas ?

— . Maman ?

Jean-Luc fut surpris sur le moment mais avec le recul il comprit la confusion. Sharon était la seule femme qui vivait avec lui au quotidien désormais. Quand elle l’emmène au parc pour jouer dans le bac à sable avec les autres enfants, il doit voir les autres accompagnés chacun d’une femme qu’ils appellent tous « maman ». Il a dû en déduire que Sharon était la sienne. Il le prit alors dans ses bras et lui demanda « Tu aimerais que Sharon devienne ta maman ? » Demanda-t-il en voyant son fils avec un sourire jusqu’aux oreilles. « Je ne peux pas te le promettre mais je vais tout faire pour que ça arrive » dit-il alors à son fils.

Jean-Luc avait donc une motivation supplémentaire pour réussir et pour cela il avait un peu moins de six mois. Lui qui au départ ne voyait en elle qu’un jouet sexuel était plus que motivé. La prochaine étape : initier cette jeune pucelle à la sodomie.

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