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Notre nouvelle voisine a changé notre vie – Chapitre 1

Notre nouvelle voisine a changé notre vie - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra

Je suis Franck, relativement beau gosse, un mètre quatre vingt, marié à Sophie depuis cinq ans; tout les deux sommes âgés de trente ans. Du haut de son mètre soixante dix-huit, je suis très fier de la beauté de ma femme, elle en impose vraiment. Nous sommes très complices dans la vie et ne nous cachons rien, nous partons du principe qu’ainsi nous pourrons surmonter les affres de la vie. Elle m’a fait découvrir le plaisir et surtout la douceur du lycra et de la viscose, depuis Sophie se charge de m’acheter tout mon linge de corps toujours dans ces matières douces et moulantes. La plupart du temps nous allons faire le plein en maillot de bain une pièce, dans une grande enseigne dont le slogan est "à fond la forme". En effet le maillot premier prix ne coûte pas quatre euros et me va à merveille, il me fait office de body d’une grande douceur. Au total je crois que nous en avons cinq dans chaque coloris, bleu, violet et noir je vous laisse imaginer la quantité de bodys que j’ai à disposition. Ma femme se charge aussi de m’acheter des bodys manches longues et des collants et des leggings toujours en lycra, cela me sert de seconde peau mais surtout régulièrement elle porte les vêtements qu’elle me donne ensuite à porter.

Au début cela m’a fait tout drôle quand ma belle m’a proposé ce genre de plans, mais finalement la douceur et le frottement des textiles entre eux, m’a toujours fait beaucoup d’effet, il aurait fallu être ballot pour dire non. Sophie n’avait trouvé que cela pour que je pense sans arrêt à elle pendant la journée, elle avait tapé dans le mille. Pour vous faire une idée, à chaque fois que nous faisions l’amour, j’avais toujours un body et je n’en sortais mon sexe que pour pénétrer ma belle; après opération je rangeais ce dernier. Je ne vous raconte pas les odeurs de femme qu’il y avait dans le Body et c’est Sophie qui décidait de les laver ou pas. Pour m’embêter, me taquiner ou juste par oubli, il y a des fois où je sentais très fort des sécrétions féminines, même au boulot. Je ne sais pas si mes tenues y étaient pour quelque chose, mais ma femme et moi adorions faire l’amour où cela nous passait par la tête. Bien évidemment les cinémas, les parkings, les cabines d’essayage n’avaient plus de secret pour nous, par contre nous adorions faire ça dans un magasin. Quand il était sur le point de fermer, nous nous dissimulions et attendions que l’enseigne ferme, ensuite nous faisions l’amour toute la nuit. Récemment nous avions essayé encore mieux, à savoir les musées, le must étant dans les châteaux qui se visitaient.

Tout cela pour vous dire que nous étions assez coquins, mais surtout d’une grande complicité, le plus hard que nous ayons fait c’est nous faire enfermer dans un grand sexe shop où toute la nuit nous avons essayé les vêtements proposés. Tous les deux travaillions dans la communication, nos postes étaient relativement rémunérateurs sans pour autant nous manger beaucoup de temps personnel. Voilà, maintenant vous nous connaissez mieux, je vais vous raconter une histoire pas banale qui nous est arrivée voilà trois mois. Dans notre bâtiment est arrivée, quelques étages au-dessus, une femme une cinquantaine d’années très bien conservée, que j’ai croisé une première fois dans l’ascenseur. Avec ses talons, elle était légèrement plus grande que moi, cette femme était impressionnante par son assurance, sa classe, dans ce compartiment fermé son parfum très fin était enivrant. Cette femme, dont j’ai su ensuite qu’elle se prénommait Marie, était envoûtante par son regard, elle ne me laissait pas indifférent. Nous descendions ensemble au sous-sol pour aller récupérer notre voiture et aller bosser. Arrivés à destination, je l’ai laissée sortir la première, par politesse, ce qui m’a permis ensuite de pouvoir l’admirer marcher, pouvoir apprécier le galbe de ses jambes et surtout admirer ses jambes gainées avec une couture à l’arrière.

Son tailleur mettait en avant son corps irréprochable en valeur, il n’y a pas à dire elle se savait belle. Je l’ai suivie, à bonne distance, pour le plaisir des yeux jusqu’au moment où elle est rentrée dans sa voiture, quand elle a regardé dans ma direction, elle m’a bien fait comprendre qu’elle avait vu que je la suivais. J’ai regagné ma voiture et je suis parti bosser, toute la journée j’ai pensé à cette femme qui me paraissait fatale par sa beauté et son assurance. À ma grande surprise, quand je suis rentré ma belle était déjà là, et elle m’a raconté qu’elle avait croisé une femme d’une grande beauté dans l’ascenseur. J’étais assez amusé que ma femme emploi les mêmes termes que moi à son égard, désirable et fatale. Tout comme moi, son parfum ne l’avait pas laissée indifférente, et elle était impressionnée par son tailleur qui la mettait magnifiquement en valeur. Cette femme est devenue notre sujet conversation pour la soirée, cela me faisait tout drôle car j’avais l’impression que Sophie avait l’air plus sous le charme de cette femme que moi je ne l’étais; et ce n’était pas peu dire. Sophie n’a pas eu honte à m’avouer que le soir quand nous avons fait l’amour comme des fous, elle avait pensé à cette femme tout comme je l’avais fait et lui avais avoué, il n’y a pas à dire cette voisine nous troublait.

Le lendemain matin, comme la veille, je me suis retrouvé dans l’ascenseur avec elle pour descendre au parking. Durant ces quelques instants où nous étions confinés, je n’ai pu me retenir d’à nouveau l’admirer, pour le plaisir des yeux, je me suis à nouveau permis de la regarder se rendre jusqu’à sa voiture; elle avait une démarche féline. Le lendemain, c’est Sophie qui s’est retrouvée à son tour dans l’ascenseur avec elle pour remonter du parking, quand nous nous sommes retrouvés, elle m’a avoué qu’elle trouvait cette voisine envoûtante. Dans l’ascenseur elle se sentait déshabillée des yeux par cette voisine et en même temps très à l’aise avec elle. Un autre matin, c’est moi qui me suis senti déshabillé du regard dans la cabine, cette femme faisait maintenant l’unanimité de nos sujets de conversation le soir quand nous rentrions. Un matin alors que nous descendions cette voisine me dit:

— Votre femme à une poitrine magnifique.

J’étais un peu stupéfait qu’elle me tienne de tels propos sur la plastique de ma femme, mais ces derniers étaient flatteurs, du coup je n’ai pas relevé. Le soir, quand j’ai informé Sophie que notre voisine trouvait sa poitrine magnifique, elle a rougi.

Un autre soir c’est ma femme qui m’a dit que notre voisine avait constaté que j’avais une érection dans l’ascenseur. Les jours et les semaines allant, nous en parlions de plus en plus et elle avait un effet aphrodisiaque sur nos relations conjugales. Par curiosité nous avions vu que sur la boîte aux lettres qu’elle se prénommait Marie, nous pouvions désormais donner un prénom et un nom à cette personne qui nous troublait tant. Un matin Marie m’a confessé qu’elle adorait le parfum de ma femme, j’avais l’impression qu’elle faisait exprès de s’habiller un peu voyante. Sophie m’a avoué qu’elle trouvait notre voisine vraiment à croquer même si elle était bien plus âgée que nous. Un autre jour ma femme m’a fait savoir qu’elle pensait que la voisine l’attendait le soir pour se retrouver dans l’ascenseur avec elle. Je peux vous dire que c’était un spectacle magnifique, que de la voir le matin s’asseoir dans sa voiture, écartant ses jambes pour bien s’installer derrière le volant. À ce moment-là, grâce à son tailleur on pouvait apercevoir ses cuisses magnifiques qui brillaient quelques peu grâce à ses collants ou ses bas voile. Je vais même vous dire que, rien qu’à penser à elle, j’en gardais une érection jusqu’à lors du repas.

Au fur et à mesure j’avais l’impression qu’elle avançait ses pions, que ce soit avec moi ou avec ma femme à tel point qu’un soir, Sophie m’a dit qu’elle l’a trouvait collante dans l’ascenseur, au fond de moi je me disais que ce n’est pas moi qui m’en plaindrais. Un matin Marie se permet de me dire qu’elle trouvait ma femme vraiment très belle et que cela devait bien m’inspirer le soir en me couchant. J’ai trouvé ses propos un peu déplacés et je suis me suis même permis de le lui faire savoir. Ma femme m’a fait plusieurs fois la réflexion et j’en étais à me dire que j’allais faire une remontrance à Marie, quand un matin elle m’a donné une culotte. Sur le coup je n’ai pas osé la prendre mais j’ai reconnu que c’était une que ma femme portait régulièrement, sauf qu’elle était toute trempée et dans les mains de la voisine. Je ne pouvais qu’en conclure une chose, la voisine avait récupéré une culotte de ma femme sur elle. Du coup j’ai voulu récupérer la culotte, la voisine me l’a donnée après l’avoir portée à son nez et respirée profondément. Je ne savais pas trop ce que j’allais pouvoir faire comme commentaire à ma femme, car je pense qu’elle devait être mal à l’aise.

Quand je suis rentré à la maison, ma belle était là et à mon regard elle s’est tout de suite douté que je savais. Je l’ai prise par la main, nous sommes partis dans la chambre, nous nous sommes dénudés et nous sommes couchés. Là en lui prenant la main sous les draps, je lui ai demandé qu’elle me raconte comment cela s’était passé. C’était donc hier soir, quand elle est arrivée dans l’ascenseur, Marie s’y trouvait déjà c’est à ce moment-là que cette dernière s’est collée dans son dos. Ma belle était persuadée que notre voisine l’attendait. Une fois que les portes se sont refermées, elles se sont retrouvées toutes les deux, Marie est venue se coller à elle dans le dos, elle lui a fait un baiser dans le cou tout en prenant possession de sa poitrine. Tétanisée Sophie n’a pas su quoi faire, elle s’est laissée faire et a écouté Marie lui dire quelle avait très envie d’elle. La voisine avait bloqué l’ascenseur quelques instants une fois qu’elle avait pris possession de sa victime elle a relancé l’appareil. Une fois arrivées à destination à savoir notre étage, la dominatrice a glissé ses mains sous la jupe de ma femme, pour l’en défaire de sa culotte. Ma chérie s’est mise à pleurer en me disant qu’elle avait perdu les pédales, mais en même temps ça l’avait énormément excitée.

J’étais un peu honteux mais son récit m’avait aussi énormément excité, c’est ainsi que nous avons fait l’amour comme des fous ce soir-là. Deux jours après je suis retombé sur ma voisine en allant bosser, j’étais sur le point de lui dire qu’elle n’avait aucune manière, quand elle m’a devancé pour me demander si on avait bien fait l’amour voilà deux jours. Son assurance m’a complètement cloué le bec, à tel point que je lui ai répondu que oui, elle m’a donné une petite tape sur les fesses avant de quitter l’ascenseur en direction de sa voiture. Son aplomb était impressionnant, cette femme devait être une sacrée dominatrice dans l’intimité, tout comme ma femme, elle m’excitait. Maintenant je ne la regardais plus comme avant, je la désirais, je la déshabillais des yeux, je l’envisageais; c’est vrai que maintenant quand j’ arrivais dans l’ascenseur et qu’elle s’y trouvait déjà, mon érection partait au quart de tour. Plusieurs jours après un matin je suis retombé sur elle, et là elle m’a dit que ma femme embrassait formidablement bien, j’étais décontenancé, ma belle lui avait rendu un baiser la veille. Comme voilà quelques temps, je me disais qu’elle m’aurait fait la même chose je lui aurais rendu le baiser moi aussi. Bien évidemment quand je suis rentré j’étais chaud comme une puce et quand mon épouse est arrivée, elle m’a regardé avec un petit peu de culpabilité mais aussi avec un petit sourire.

Comme la dernière fois, je ne lui en voulais pas, nous avons fait l’amour comme des fous rien qu’à penser à ça, d’autant qu’une fois de plus Marie lui avait piqué sa culotte; qui selon les dires de ma femme, était toute trempée. Elle m’a aussi avoué que maintenant, le soir, quand elle rentrait du boulot, il mouillait dès qu’elle approchait de la maison; elle mourait de désir de retrouver notre voisine. Jusqu’où allait aller notre voisine avec ma femme, qui avait l’air d’y prendre goût, dès que j’y pensais, j’avais une énorme gaule en imaginant les détails. Puis un soir, quand ma belle est rentrée, lorsque je l’ai embrassée, elle n’avait plus la même odeur que d’habitude.., que s’était il passé.

— Mon chéri, il faut que je te dise, je suis rentrée tard ce soir.

— Marie m’attendait dans sa voiture.

— Quand je suis arrivée, elle m’a fait un appel de phare.

— J’ai garé la voiture et suis venue la voir.

— Elle a ouvert sa porte, est restée assise mais s’est tournée vers moi.

— Elle a bien écarté les jambes puis m’a tendu une planche en mousse expansée, comme celles qui servent pour faire des longueurs à la piscine.

— "Viens me manger mon abricot ma chérie" m’a t’elle dit…

— Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai écoutée et me suis exécutée.

— J’ai posé la planche par terre et me suis agenouillée.

— Là, j’avais une vue formidable sur sa moule car la bougresse ne portait pas de culotte.

Pendant que Sophie était en train de me relater les faits, j’avais commencé à me palucher, tant les détails qu’elle me donnait m’excitaient. Je constatais, à cette occasion, que la voisine avait une emprise totale sur ma femme; cette dernière lui était soumise.

— En m’approchant, j’ai pu constater une toison très bien entretenue et dont l’odeur m’a fait tourner la tête.

— Son entre-jambe suintait de mouille et je mourrais d’envie d’y gouter.

— Sa robe en viscose était d’une grande douceur et elle sentait aussi la marée…

— J’avais les mains posées sur ses cuisses, quand Marie a saisi ma tête pour la plaquer contre sa figue.

— Ca y est, je goutais au minou d’une femme pour la première fois.

— Après y avoir donné un coup de langue pour y gouter, je me suis mise à la lécher avec gourmandise.

— Ce qui me plaisait, c’est que ma prestation avait l’air de lui plaire car je commençais à l’entendre gémir.

— Elle me traitait de soumise, de salope, de gougnote, de brouteuse de minous, de chienne obéissante…

— Tout ces propos auraient du me mettre hors de moi, mais aujourd’hui, ils m’excitaient.

— Il lui a fallut une bonne dizaine de minutes pour finir par jouir sous mes coups de langue, puis elle s’est effondrée sur le siège de sa berline Tchèque.

— J’ai continué un peu jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter.

— Voilà mon chéri, maintenant tu sais pourquoi j’ai une odeur bizarre sur les joues et les lèvres.

— J’ai fait jouir notre voisine avec ma langue.

Moi aussi, j’étais sur le point de jouir et quand ma femme a vu ça, elle a pris mon sexe en bouche pour récupérer ma semence qui commençait à jaillir.

Le récit de ma femme était d’un érotisme torride, c’est ainsi que nous avons mangé rapidement et sommes vite allés nous plonger sous les draps; décidément Marie n’arrêtait pas de nous exciter. Nous nous sommes endormis en sueur et surtout épuisés par tout ce que nous venions de faire. Au petit matin, nous étions encore chaud mais nous n’avions pas trop le temps de faire des folies, nous avons pris notre petit déj, nous nous sommes préparés et je suis parti bosser comme d’habitude le premier. Bien évidemment quand j’ai pris l’ascenseur je suis tombé sur notre voisine qui m’a fait plein de commentaires sur la qualité de la prestation buccale de ma femme.

— Vous devez bien être gâté avec votre femme.

— Moi elle m’a fait monter au septième ciel, hier avec sa langue.

Bien évidemment en quelques instants ces propos m’ont filé une gaule monstre et quand elle m’a saisi le sexe j’étais à deux doigts d’éjaculer dans mon boxer en lycra.

— Toi aussi il va falloir qu’un jour, tu me montres ce que tu sais faire avec ta langue.

C’est sur ces mots qu’elle m’a saisi la nuque pour me tirer à elle et me rouler une pelle d’anthologie, tout comme ma femme je ne fis que subir. Mais je pense que cela faisait déjà un bon moment qu’elle avait pris un ascendant psychologique sur moi, juste le fait que je ne me rappelle pas quand elle parlait de ma femme; cela voulait tout dire. Je pense que notre baiser a duré plusieurs minutes car une fois arrivés en bas, elle a bloqué l’ascenseur pour continuer à faire virevolter sa langue dans ma bouche.

— Toi aussi tu es un soumis.

— Toi aussi je vais te dresser à me donner du plaisir.

C’est sur ces mots que Marie m’a quitté pour aller à sa voiture, tout en sachant que j’allais la regarder longtemps, elle a fait attention à bien rouler des hanches. Le pire c’est que pendant la journée, maintenant je ne pensais plus à faire l’amour à ma femme mais à notre voisine, je bandais pour notre voisine, je fantasmais sur notre voisine. Le soir quand je suis rentré à la maison, ma femme n’était pas là et il y avait un petit mot sur la table qui me disait que elle serait très en retard. Au bout d’une heure de retard sur son heure habituelle je lui ai envoyé un sms pour lui demander ce qui lui arrivait, elle m’a juste répondu comme quoi elle était chez Marie. J’étais sidéré ma femme était en train de faire l’amour chez notre voisine et elle ne s’en cachait pas, vers vingt heures, je suis parti à la recherche d’où habitait Marie puis j’ai sonné à la porte. J’ai attendu plusieurs minutes avant que Sophie vienne m’ouvrir, elle était nue et avait les yeux amoureux, elle sentait aussi très fort le sexe. Ma femme tenait une robe longue à la main et me l’a tendue; Marie n’accepte que les femmes chez-elle, si tu veux rentrer tu te déshabilles complètement et tu enfiles cette robe. Bien évidemment, j’ai refusé la proposition et je suis reparti à la maison un peu en colère d’être rentré tout seul.

Au bout de deux heure, je trouvais que les deux femmes abusaient un peu et je suis remonté, ce coup-ci c’est Marie qui m’a ouvert sans pudeur, elle était nue devant moi, mais en ayant quand même fermé la porte.

— Ta femme redescendra quand elle aura fini de s’envoyer en l’air avec moi.

— Si tu veux assister ou participer à nos ébats, la robe est là et tu fais ce qu’elle t’a dit.

Quand j’ai voulu prendre la parole je me suis pris une paire de claques qui m’a laissé sans voix.

— Déshabille-toi, époux de soumise et fais vite.

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis exécuté, je l’ai écoutée au doigt et à l’ il, je me suis déshabillé devant elle, elle en a profité pour constater que mon sexe était en pleine forme et une fois nu elle m’a fait enfiler la robe. En quelques minutes je venais de devenir sa soumise tout comme ma femme l’était, je ne sais pas où je mettais les pieds mais mon petit doigt me dit que ça sentait bon le sexe.

En espérant que ce premier chapitre vous ait bien chauffé.

Bisous à vous

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