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Joëlle au sex-shop – Chapitre 5

Joëlle au sex-shop - Chapitre 5



On reprend la route.

— Tu es quand même une belle salope, je nai pas compté mais tu en as sucé une vingtaine !

— Moi jai compté, 17 exactement.

— Tu te rends compte, 17 paires de couilles qui se sont vidées dans ta bouche.

— Non, ça cest celles que jai sucées, mais pour la dernière séance vous mavez gavée sans que je vous pompe. En tout ça fait 22 paires que jai avalées.

— Et tu es contente de toi salope, on dirait que tu mouilles rien quà y penser.

— Cétait génial, je naurais jamais cru quil y avait des endroits pareils. Vous êtes vraiment des salauds, les mecs. Mais quand je pense à tous ces mecs entre eux, vous êtes plus vicieux que nous les filles.

— Cest votre faute, vous nous montrez presque votre cul et appelez la police dès quon vous approche. Alors on se soulage entre nous.

— Vous aimez les hommes ?

— Quand je suis en manque, ça dépanne. Une bouche ou un cul, mâle ou femelle, cest la même chose.

— Et entre chatte et queue ?

— La chatte sans hésiter. Mais il mest arrivé de sucer des bites, jamais à fonds ou alors avec préservatif, et javoue que cest très agréable.

— Vous êtes pédé ?

— Non, je suis bi, comme toi, mais plus porté sur le sexe opposé.

On arrive chez elle.

On prend une douche ensemble, et on se lave réciproquement. Je la saisis par la toison :

— Il va falloir que je te rase salope.

— Vous naimez plus ma petite touffe ?

— Ce nest pas çà, je ladore. Il ny a rien de plus beau quune femme nue, avec la chatte poilue à la couleur de ses cheveux. Mais pour la lécher cest mieux sans.

On va sur internet pour voir diverses vulves, peu ou pas ou entièrement rasée. La majorité des filles sont entièrement rasées, les autres gardent une petite toison, rares sont celles bien poilues. Elle convient au vu des vidéos quelle prendrait plus son pied la chatte rasée, mais réalise en même temps que beaucoup des mecs sont eux aussi rasés et cest pour cela quelle a craqué devant le vieux, parfaitement épilé.

Je la rase façon ticket de métro pour conserver un peu de sa toison sans empêcher mes coups de langue gourmande. A son tour elle prend plaisir à me raser, pubis, couilles, raie anale, la totale.

Il est lheure où lon faisait lamour par téléphone, et on décide de le faire face à face.

Je la vois enfouir une banane pelée dans son huître, manger le bout, et recommencer jusqu’à tout avoir dévoré. Elle me voit cracher à flots sur mon gland, jouir dans ma main et tout bouffer.

On est fatigué de cette séance qui fait suite à plusieurs heures dans le sex-shop.

On se sert un apéritif et on se branle tendrement, face à face. Ma queue lui fait autant deffets que sa chatte men fait. Je lui parle des sex-toys que lon a achetés, et pour me prouver quelle sen sert elle senfile le gros rouge dans la fente et le tube mince dans la raie. Elle récupère son short humide et se lenfile pour maintenir ses deux joujoux en elle.

On termine lapéro et mange quelques conneries, charcuterie, fromage et fruits.

On se couche et je suis en panne pour lhonorer. Elle ne men veut pas, étant elle-même épuisée.

Elle enlève son short mais garde les deux godes en elle pour sendormir. Elle est en chien de fusil, comme à chaque fois, espérant que je me love à elle, ce que je fais avec bonheur :

— Encule moi.

— Tu peux répéter.

— Encule moi, casse moi le cul.

— Je veux bien chérie, mais tu es sûre de ne pas avoir trop bu, et de regretter.

— Je savais que tu préférais les mecs, pédé.

Je sais quelle nest pas dans son état normal, la laisse délirer quelques instants encore avant quelle ne sendorme. Je bande comme un âne, retire son jouet, plaque mon manche contre ses lèvres brûlantes et mendort à mon tour.

Je suis réveillé en pleine nuit et sens sa main sur ma queue. Elle cherche à se faire enfiler mais est encore inconsciente. Je ne veux pas abuser delle, me retire, et vais me branler à la salle de bain, avant de revenir épouser son corps jusquau matin.

Je suis réveillé et attend quelle séveille :

— Jai un peu trop bu hier soir, jespère que je nai pas dit de conneries.

— Non, à part que tu voulais que je tencule.

— Et vous lavez fait ?

— Non, sinon même saoule tu ten souviendrais.

— Dommage. Et maintenant vous voulez bien ?

— Si tu es prête, oui. Mais hier tu me tutoyais pour cette demande, alors ce serait bien que tu continues. Demande moi à nouveau.

— Jai envie de ta bite dans le cul, tu veux bien me la mettre ?

Jaccepte et elle va à la salle de bain pour une toilette intime. Elle revient, et je la fais mettre à quatre pattes au bord du lit. Je magenouille derrière elle, écarte ses fesses, et lèche sa raie délicatement parfumée. Je la doigte en douceur, enfile son gode fin dans son petit trou et la lime. Elle sen est tenue à ce gode lors de ses séances en solo et na pas tenté le gros rouge. Je la doigte plus largement, deux doigts, puis trois, puis quatre, et elle maccepte malgré quelques petits cris. Je suce le gode, lèche son trou pour tout lubrifier, et je tente linsertion. Le gland nest pas encore entré quelle demande une petite pause puis minvite à continuer. Je pousse à nouveau son joujou, le bourgeon pénètre et le manche suit sans formalité.

— Ca va ?

— Oui, cest bon. Vous me lavez tout mis ?

— Tu me las tout mis, tu me tutoies.

— Excusez, excuse moi. Tu me las tout mis ?

— En entier, ça ne te fait pas mal, je peux lactiver ?

— Oui vas-y, défonce moi le cul.

Je fais aller et venir cette grosse bite souple dans son tuyau, et elle gémis de plaisir.

— Cest bien salope, je vais pouvoir te prendre avec ma queue. Elle a la même taille et tu ne risques rien. Cest vrai que tu ne tes jamais faîte sodomiser ?

— Oui je vous jure, oh pardon je te jure. Tu vas être le premier à menculer.

— Tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir, lidée de dépuceler ta petite rondelle.

Je remplis ma bouche de salive et déverse tout sur sa chute de reins en même temps que je retire le gode. Mes filets prennent son sillon, et dès quils sintroduisent dans son illet dilaté je glisse mon manche. Mon gland franchit son petit anneau sans souci, et je menfonce au plus profond, et reste immobile.

— Ca va ma chérie, je suis tout en toi.

— Génial, javais peur pour rien. Cest vrai que cest bon de se faire mettre par derrière.

Je la lime, la ramone, en douceur avec de temps en temps un coup de rein plus violent. Elle semble apprécier et je renouvelle mes coups de boutoir, à intervalles irréguliers pour mieux la surprendre. Elle jouit à flots, et je plonge dans sa chatte inondée pour me lubrifier avant de la reprendre analement. Elle est aux anges et mencourage pour la prendre plus fort.

Je pose un pied sur le lit, puis le deuxième. Je suis sur elle, emmanché jusquaux couilles :

— Salope, je suis un chien qui te monte comme une chienne, et tu aimes ça. Tu es mon enculée, dis moi que tu es mon enculée, et plus encore.

— Oui je suis votr..

— Tu salope, tu me dis tu ou je téclate le cul.

— Oui je suis ta pute, ta salope, et maintenant ton enculée. Cest trop bon ta queue dans mon fion, défonce moi, je ne suis quune chienne bonne à se faire mettre.

— Pour être chienne, ça tu les. Tu vas me faire jouir salope. Tu préfères ton cul ou ta bouche ?

— On ne ma jamais joui dans le cul, je veux savoir ce que ça fait.

— Ok, va pour ton cul, mais ensuite tu recraches et tu bouffes, comme dans les vidéos.

— Vous êtes, excuses moi jai du mal à my faire, tu es un salaud mais je suis ta pute obéissante, je fais ce que tu veux.

Je la monte comme une bête et décharge en abondance dans son anus innocent. Je me retire et lui demande de ne pas bouger. Je reviens, la fais saccroupir et déverser tout le foutre dont je lai remplie. Son cul pisse du sperme, et je lui doigte le cul pour écouler les restes. Jaime mon sperme et me suce les doigts. Elle se retourne pour manger mon offrande et sarrête stupéfaite. Ce nest pas une assiette que jai placée sous son illet, mais un miroir décroché de la salle de bain. Elle va tout lécher, tout avaler, et se voir pute finie.

Elle a bien nettoyé la glace et on va à la salle de bain. Je nettoie ma queue, elle son cul. Il nest même pas 9h, et on se recouche dans les bras lun de lautre.

— Ca ta plu ma chérie ?

— Super, si javais su jaurais essayé avant.

— Et quest ce qui ta faite te décider ?

— Cest un tout. Mes copines qui aiment ça. Patricia que vous, que tu as enculée pour son plus grand plaisir et qui ma aussi vanté les joies de lanal. Enfin ce pédé du sex-shop qui prend des bites à volonté.

— Je vais te faire une confidence. Le cul ce nétait pas mon truc. Jai enculé quelques mecs par manque de filles, mais je navais sodomisé de filles avant ce week-end. Ma première ça a été Patricia qui ma allumé pas possible. Cest mon premier cul féminin, et sans préservatif. Toi tu es le premier cul dans lequel jai jouis, et sans mentir le premier cul qui ma donné autant de plaisir. Pour moi cétait super, jespère que tu as aimé.

— Trop bien, tu mencule quand tu veux.

— Salope !

— Salaud !

— Pute !

— Fumier !

— Enculée !

— Pédé !

— Chienne !

— Porc !

Elle est en confiance, ose me traiter de tous les noms, et on se régale de ce petit jeu.

On arrête de parler, pour se reposer et faire une grasse matinée bien méritée.

A suivre

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