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Joyeux anniversaire Élodie – Chapitre 1

Les amis de ma mère... - Chapitre 1



J’ai 20 ans quand cette histoire commence, Élodie, ma meilleure amie depuis la maternelle fête ses 18 ans, et c’est ce jour-là que tout a dérapé…

C’est une jeune femme magnifique certains garçons du lycée disent qu’elle « manque de tout ». Il faut dire qu’elle est petite très fine des petits seins, des fesses bien rebondies mais pas bombées… Elle est gymnaste et ce sport a vite stoppé sa croissance.

J’arrive chez Élodie vers 10h le matin pour préparer la soirée on commence à charger ma Saxo puis on se dirige vers la salle des fêtes communale pour installer le matériel, comme toujours on échange les derniers potins et en se lançant quelques vannes souvent obscènes, deux ou trois fessées taquines avec de grands sourires puis, la phrase de trop… Elle semble vraiment vexée. Je l’embrasse sur la joue pour me faire pardonner :

— Fais pas la tête je déconne.

— Tu crois t’en sortir comme ça ?

— D’habitude ça marche !

— Pas aujourd’hui ! C’est mon anniversaire et j’ai tous les droits !

— Bien : Que puis-je faire pour que vous acceptiez mon pardon Ma Dame ?

Elle explose de rire en sautant dans mes bras

— Jusqu’à la fin de cette soirée messire vous serez mon servant, mon écuyer.

— J’aurais préféré être ton étalon Princesse

Sur ces mots elle me traite de pervers, me filant une fessée particulièrement douce et retourne installer la tireuse à bière.

J’installe deux caméras numériques que je relie au serveur, je programme la playlist et tout est prêt. Pour me remercier, Élodie m’offre un verre de punch qu’on partage. Assis sur l’un des bancs en regardant la salle, elle s’allonge la tête sur mes cuisses.

Cette position me laisse entrevoir son soutien-gorge violet à pois multicolore, elle l’a depuis le collège au moins, ça me fait rire, même le jour de sa majorité elle porte ces sous-vêtements d’ado. La vue m’a toujours plu, j’ai admiré le développement de cette petite poitrine depuis tant d’années que je crois la connaitre par cur. Mon regard s’attarde un peu trop et j’en ai une érection.

— Ca fait « toc-toc » contre ma tête. Me dit-elle

— Désolé, j’ai laissé trainer mes yeux, et… Je ne suis qu’un homme.

— Ça te plait ?

Ses yeux sont plantés dans les miens, doucement elle tire sur son débardeur pour laisser apparaitre de plus en plus son soutif. Évidemment que ça me plait… Mon sexe fait des bonds dans mon caleçon et je sais qu’elle le ressent.

— On est amis depuis des années, on a été à la piscine des dizaines de fois et…

— Et tu m’as toujours fait autant d’effet. Seulement d’habitude je le cache mieux que ça !

— Alors, même si tu es en couple avec cette pouffe, tu m’aimes encore ?

— Bien sûr que oui… Malgré le fait que tu sortes avec un bon à rien. Et ne me mens pas tu disais toi-même qu’il n’a toujours pas réussi à, te faire jouir !!

— Parce que tu crois pouvoir y arriver toi peut-être ? Me lança-t-elle d’un air de défi que je lui connais si bien

— Ca on ne le saura jamais, tu veux pas de moi !

Je l’embrasse sur le front, avant de me lever, mon érection apparente à travers mon jean. Elle rigole…

— Puisque vous avez vu ses dessous, votre princesse exige de voir les vôtres !

— Ce n’est qu’un soutif de gamine votre excellence, mais soit !

Je baisse mon jean, lui montrant un boxer fantaisie rouge et noir, mon sexe étirant le tissu. Avouant que ce n’était pas équitable, elle me montre les siens, un shorty assorti au soutien-gorge qui moule ses formes, dessinant la forme de ses lèvres à travers le coton.

On rentre chez ses parents pour nous préparer. Elle prend sa douche en première pendant que je charge la voiture de jus de fruit et d’alcool. Quand elle m’annonce avoir fini, j’entre dans la salle de bain. Elle porte une serviette rouge enroulée autour du corps, J’ai beau la connaitre depuis longtemps je ne l’avais jamais vue ainsi, elle semble plus grande, plus élancée et ses cheveux encore mouillés lui donne un air sauvage que je ne lui connais pas. J’attends qu’elle sorte pour me déshabiller mais elle commence à se coiffer.

— C’est bon tu peux te laver.

— Tu sors peut-être ?

— J’ai déjà vu des hommes nus tu sais…

— Vous l’aurez voulu Ma Dame !

Cachant ma gene, j’enlève mes vêtements et prends ma douche sans même tirer le rideau, fier de la réaction de surprise que je lis dans le miroir, elle ne s’attendait pas à tant d’audace.

On se prépare sans trop se presser, et à plusieurs reprises elle a regardé mon corps. Je lui plais alors ?

J’enfile ma tenue de soirée : Costume, cravate, bijoux en argent… Oui, avec la saxo verte ça fait très kitch.

Elle en revanche est… Sublime, elle a coiffé ses cheveux en chignon, ornementé d’une broche argentée avec des perles, collier et boucles d’oreilles assorties. Un maquillage léger qui fait ressortir le rose de ses lèvres, le vert de ses yeux et le blanc de sa peau. Des bretelles fines en dentelles forment un décolleté sexy mais pas vulgaire. Sa petite poitrine lui permet de se passer de soutien-gorge, mais le bustier est légèrement rembourré, un corset recouvert de dentelle noir tranche avec la robe blanche comme une colombe qui descend de ses hanches à ses pieds. Elle porte des escarpins à talons hauts qui lui donneraient presque une taille normale pour une femme de 18ans… En dessous de cette robe se cache un simple shorty un peu trop petit pour elle.

Si je ne fais pas un arrêt cardiaque sur le champ c’est parce que j’ai dû l’aider à enfiler tout ça… Être une femme n’est pas de tout repos, mais ce soir c’est elle la reine, et je suis son écuyer.

Nous arrivons à la salle, les premiers invités sont là, chargés de cadeaux, et surtout de mets raffiné tel que des pizzas industrielles, petits fours, bonbons, et des boissons que l’on se dépêche de mettre au frais.

Je lance la sono, les caméras… quand Élodie arrive vers moi le visage rouge.

— J’ai besoin de toi, interdiction de rire !

— OK, dis-moi ?

— Viens…

Elle me conduit vers les toilettes.

— Je peux pas… Toute seule

— Quoi ?!

— Ben oui la robe est trop grande… j’peux pas la tenir et baisser ma culotte en même temps.

— Mais… Demande à une copine pas à moi !

— La seule à qui j’oserais demander c’est Léa mais elle n’est pas là, et tu es le seul en qui j’ai vraiment confiance. Puis tu dois obéir c’est mon anniversaire !

— Bien…

Ça ne menchante pas vraiment, mais un ami c’est un ami. Elle tient sa robe tandis que je baisse son shorty, je dois. Elle se relève pour s’essuyer mais malgré nos efforts les jupons l’empêchent de faire ce qu’elle veut… Je sens la connerie venir quand elle reprend sa robe…

A moi de le faire… Je suis vraiment gêné mais surtout il faut pas que les autres imaginent des choses.

J’attrape du papier, et descends sous sa robe, et je découvre son sexe pour la première fois :

Elle s’est épilée quelques heures avant alors tout est un peu rouge, seul subsiste un buisson rasé très court au-dessus de cette petite fente humide et brillante. Je fais ce que j’ai à faire, non pas que la vue soit désagréable mais ce genre de délire n’est pas le mien, et on est pressés.

J’ai une érection monumentale, je suis dur comme la pierre, j’attendais de découvrir cet endroit depuis des années, mais jamais je naurais imaginé que ça se passerait comme ça !

Je ressors des toilettes un peu avant elle pour rejoindre la soirée… Cette escapade est passée inaperçue.

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