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Justine – Baby-sitting de rêve – Chapitre 9

Justine - Baby-sitting de rêve - Chapitre 9



Jentre dans la chambre, Benji me sourit il est assis dans le fauteuil à coté de mon grand miroir.

— Alors Benji tu mas trouvé une tenue pour la soirée ?

— Oh mieux que çà surette, je nen reviens pas de ce que jai trouvé dans ton armoire.

— Vraiment alors montres moi

— Tu es sure dêtre prête à la porter ce soir ?

— Cest promis

— Voila cest sur le lit

Je me retrouvais nue face à mon lit.

Il y avait étalé comme de précieux bijoux les premiers dessous sexy que mavaient offert Chrystelle et Xavier, lensemble en dentelle noire brodée dor. Il y avait là un délicieux balconnet, le string assorti minimaliste, et le divin porte-jarretelles, je me sentais rougir en même temps que lexcitation grimpait tout comme lenvie de « mhabiller » de suite.

— Très bon choix

— Oh ma puce tu vas être divine ainsi parée

Je me tournais face à lui, je me savais légèrement rougissante mexhibant à Benji et au grand miroir. Je regardais mon reflet.

Mon piercing strass au nombril scintillait, je remarquais mes seins aux tétons dressés que je pris soins dexciter encore davantage en les pinçant entre mes pouces et index, les caressant jusquà venir jouer avec ma langue dardée alors que je tirais le téton vers ma bouche.

Mes yeux glissaient sur le reflet de mon corps nu jusquà mon pubis totalement épilé.

Je me saisis du délicieux porte-jarretelles le posait sur mes hanches avant de le fixer prenant soins de positionner les jarretelles de parts et dautres de mon abricot. Puis je posais le balconnet sur mes seins les couvrant de cette précieuse dentelle, ce 90b était parfait sur moi. Dans le tiroir de ma commode je trouvais une pochette de bas neufs en nylon noirs avec une couture (des Carnation de chez Gerbe pour les puristes et je sais quil y en a parmi vous).

Je déroulais les fins voiles de nylon noir sur mes jambes en prenant soin de bien les lisser, et de bien positionner la couture au centre du dos de chacune de mes jambes. Je pouvais constater que le spectacle plaisait à Benji qui se contorsionner sur le fauteuil pour laisser se développer ce qui semblait être une érection de belle taille.

Enfin de mes doigts fins aux ongles longs french manucurés je prenais soins de fixer les jarretelles tendant mes bas en haut de mes cuisses de sorte à ce que le revers plus sombre ne laisse que quelques centimètres de peau nue avant la naissance de mon petit cul rebondi.

Je me chaussais des escarpins noirs vernis que Chrystelle mavait également offert ce soir là et ainsi perchée, cambrée, offerte jajustais le tout face au miroir. Sur le lit il restait le minuscule string assorti je me dirigeais pour le saisir, me tournant avec mon air le plus coquin face à Benjamin.

— Avec ou sans ?

— Comment çà avec ou sans ?

— Tu sais il marrive, et je dois reconnaitre adorer cela, de sortir sans culotte mais en générale je porte une jupe ou une robe dans ces moments là

— Et alors ?

— Eh bien je ne vois rien de tel sur le lit jen déduis que tu souhaites que je ne sois que sous-vêtue pour cette soirée.

— Tu exagères Justine tu nas que te choisir une jupe, à une condition se sera la plus courte possible et sans culotte donne moi ce string.

— Très bien

Je lui tends le petit bout de dentelle noire brodée dor en lui souriant, et me dirige vers la penderie où je trouve très vite lun de mes autres trésors.

Je me saisis dune micro jupe en vinyle noire très courte, à peine 25 centimètres, que je pose sur mes hanches, couvrant ainsi le délicieux porte-jarretelles, et dévoilant largement le revers sombre de mes bas. Toujours face au miroir je passe un minuscule chemisier en voile noir totalement transparent que je noue au dessus de mon nombril exposant ainsi par transparence mon balconnet.

— Je suis prête

— Divine, une vraie petite salope jadore

— Oh Benji tu nas pas honte

Un coup de sonnette à la porte dentrée. Je me retourne face à Benji qui cela peut-il bien être ?

Benji me fixe de ses yeux malicieux. Je le connais si bien je sais quil est là guettant son effet.

— Va ouvrir Benjamin

— Oh non mois je ne suis même pas sensé être là, vas y ma belle

— Je ten prie je ne peux pas y aller dans cette tenue cela peut-être nimporte qui.

— Justement cest là que cest excitant, nimporte qui, la peur de linconnu, ne plus rien maîtriser, nest ce pas ce qui texcite le plus surette ?

— Très bien tu lauras voulu si cest quelquun que les parents connaissent je dirais que tu mas forcée

— Si tu veux ma belle mais va ouvrir

Perchée sur mes talons hauts qui claquent sur le parquet de ma chambre, outrageusement cambrée sur ses talons aiguilles je sors de la chambre et descend lescalier pour me retrouver dans le hall dentrée juste au moment où un second coup de sonnette retenti.

Jouvre la porte et me retrouve face à un jeune homme denviron 25 ans, brun craquant avec des yeux verts un style de baroudeur bronzé, grand est musclé. Je le devine puisque sa grande chemise de coton blanche est ouverte sur des abdominaux biens dessinés.

Il me fixe de ses yeux dignes du loup de Tex Avery.

— Bonjour. (prenant lair le plus mutine que je puisse)

— Heu bonjour je suis Fred, un ami de Benji

— Bonjour Fred, Justine sa petite sur

Il me tend la main, touchant. Je lui souris et lui fait la bise sur la joue, çà pique. Du bas je crie à mon frère :

— Benji cest Fred

— Jarrive ma puce

Il a passé une chemise blanche lui aussi et après avoir dévalé les escaliers fait la bise (sur la joue) à son pote. Puis me tenant par les hanches nous dis :

— Bon puisque tous le monde est là on peut y aller tu es garé loin ?

— Non je viens de faire des courses, un peu de champagne pour nos hotes, jai laissé la voiture dans le parking du centre commercial.

— Bon et bien on y va, tu es prête Justine ?

— Heu oui enfin non je ne peux pas aller jusquau centre commercial comme cela

— Mais si tu es divine allez lâches toi un peu, profites tu as deux beaux mecs que pour toi ce soir.

— Oh vraiment je pose mes mains sur la taille de chacun deux et bien allons-y

— Waouh mais tu nous avais caché avoir une petite bombe pour sur Benji

— Fred ne boudes pas tu seras le premier à en profiter

— Eh les gars faites comme si jétais une potiche, ne me demandez pas mon avis surtout.

— Arrêtes Justine tu nes pas une potiche mais notre bimbo pour la soirée, alors tu arrêtes de poser des questions, tu fais ce que lon te demande, Ok ?

— Humm excitant le rôle de la femme objet, mais dis moi je ne suis pas une call-girl non plus

— Ah nous y voila avec un peu de fric tu serais prête à tout, et au moins tu naurais pas le choix et donc tu ne te sentirais pas responsable de tes actes, nest ce pas ?

— Oui cest un peu cela, et je dois reconnaître que çà cest excitant rien que dy penser

— Soit, Fred quen penses-tu ?

— Pas mal elle est plutôt sexy, à lair coquine, elle me plait

— Sexy cest moi qui lui ai choisie sa tenue, coquine quand tu sauras que je lai découverte jouant avec un Sex Toys tout à lheure tu seras convaincu non ?

— En effet, cest vrai Justine ?

— Eh oui, je massume moi Messieurs, alors disons 500 chacun

— Ok pour moi, dis Fred alors que nous pénétrons dans le centre commercial, dont lair frais diffusé par la climatisation me rappelle labsence de toute culotte sur mon sexe fraichement épilé.

— Ok pour moi également, dis Benji mais à la condition que tu nous montres tes talents dans le parking sous terrain

Je peux vous dire que les quelques mètres faits dans le hall du centre commercial dans ma tenue de Bimbo sexy ne sont pas passés inaperçus. Tous les regards étaient sur moi les hommes envieux visiblement troublés, les regards réprobateurs des filles et autres ménagères outrées. Et la remarque dune petite fille à son papa qui me mâtait :

— Elle est belle, je pourrais avoir un déguisement de Barbie moi aussi ?

Cela à bien amusé mes deux compères. Au bout du hall devant lautomate de paiement pour le parking il y a la queue, et je peux vous assurer que certaine se sont dressées en mapercevant

Nous descendons trois étages et Fred ouvre la porte donnant sur lallée où quelques voitures sont garées sous les néons.

— Cet étage est calme il y a toujours des places disponibles, nous dit Fred

— Parfait comme cela nous ne serons peu être pas dérangés

— Que veux-tu dires ? Tu ne voudrais quen même pas que je

— Mais si ma belle rappelle toi tu es à notre service. Que dirais tu dune petite pipe Fred ?

— Humm beau programme mais pour nous mettre en forme jaimerais bien voir un peu plus la marchandise que nous avons louée.

— Tu as raison, Justine tu vas te déshabiller entre les voitures.

Je regarde autours de nous, à la fois excitée, troublée mais aussi effrayée à lidée de mexhiber dans ce lieu. Fred a garé sa Jeep 4×4 cabriolet à coté dun énorme 4×4 noir. La chance est avec moi je me glisse entre les deux véhicules mes talons claquent, le son raisonne dans le parking. Au loin une autre voiture se gare ses pneus crissent sous le béton de la dalle.

Je fixe les garçons dans les yeux, ils sont dans lattente. Va-t-elle oser ?

Je me fais chatte, câline, coquine, lascive face à eux. Je porte mon index à ma bouche, mes lèvres sentrouvrent, je laspire. Je le suce en les fixant, ils bandent, ils sont touchant. Je suis la dominatrice ils sont à ma merci. Je vais faire deux mes jouets de plaisir. Lentement sans les lâcher du regard mes doigts dénouent le chemisier en voile noir découvrant le balconnet en dentelle noire brodée dor où mon 90b semble à létroit. Les deux garçons sont figés comme sous lemprise de leurs sens. Je fais passer par-dessus mon épaule le chemisier le dépose sur le siège arrière de la voiture décapotée de Fred. Puis je passe mes mains dans mon dos leurs yeux quittent les miens pour tomber quelques centimètres plus bas sur ma poitrine. Je dégrafe la dentelle noire mais la garde sur mes seins, je me mords la lèvre inférieure, puis ma langue pointée passe sur ma lèvre supérieure. Les bretelles glissent sur mes épaules, les deux corbeilles sont prêtes à libérer le fruit de leur désir. Je me retourne leur dévoilant maintenant mon dos nu et dépose le balconnet aux cotés du chemisier. Jondule des hanches, juste un peu pour accentuer encore lérotisme de la scène.

Mes mains glissent le long de mes flancs pour venir se poser sur mes hanches, sur le vinyle froid de ma micro jupe. Je devine le relief du délicieux porte-jarretelles de dentelle dessous. Mes doigts glissent sur mes hanches pour se rejoindre au milieu de mon dos ou se situe le zip de cette jupe minimaliste. Délicatement de mes doigts fins aux ongles french manucurés je la fais glisser découvrant la barrière de dentelle et mon petit cul nu dessous. En me tortillant, toujours de dos, je fais glisser le vinyle noir sur mes fesses, les dévoilant totalement parfaitement encadrées par le porte-jarretelles noir et or et les revers des bas. La mini glisse sur mes jambes, les bas crissent, des bruits au loin nous ne sommes pas seuls dans le sous-sol.

Je suis dans un état second, lexcitation de la scène et de ce qui va suivre est à son comble. Jenjambe ma jupe de mes talons aiguilles en me baissant sans plier les genoux, mes deux admirateurs sont aux anges. Elle rejoint le reste de mes vêtements sur le siège de la voiture.

Enfin je vais avoir leffet que je fais à ces deux beaux males auxquels je vais moffrir.

Je me retourne face à eux passant ma langue dardée ostensiblement sur mes lèvres maquillées, mes doigts jouent avec mes seins dont les pointes sont dardées. Jambes légèrement écartées je leur fait face ils me mâtent, derrière eux dans lallée un voiture passe, sans me voir enfin je lespère.

— Je suis prête et vous Messieurs ?

Ils ne se font pas prier, et tous les deux de concerts ôtent leurs chemises laissant à mes yeux leurs torses musclés. Puis cest au tour de leurs braguettes de laisser sortir leurs sexes déjà dressés qui semblent revivre en quittant leurs boxers de coton.

Ma main droite glisse sur mon corps, passe sur mes seins, glisse sur mon ventre plat joue avec le piercing puis passant la seule barrière de dentelle qui me reste passe à plat sur mon sexe lisse. Humm je suis déjà délicieusement excitée, déjà mouillée. Je remonte un peu mon index trainant glisse sur ma fente qui sentrouvre. Lorsque celui-ci effleure mon bouton je frissonne de plaisir. Les deux garçons se branlent en fixant ma main. Debout devant eux mes doigts sactivent je me caresse mon index joue avec mon clito. Je pourrais jouir, ici devant eux, en quelques minutes à peine mais je veux plus, et eux aussi. Jambes écartées plus largement je maccroupie à quelques centimètres de leurs sexes dressés, quils branlent face à moi.

Humm jadore ce moment où lattente, lespoir les transporte vers les sommets de la frustration. Den bas je les fixe à tour de rôle, jouant de mes yeux de ma langue sur mes lèvres ouvertes.

Par lequel vais-je commencer ?

Là entre les voitures je me saisis de leurs sexes dressés, ils sont durs, ils bandent pour moi jadore cette sensation de domination sur ces deux mâles. En les fixant dans les yeux japproche celui de Fred de ma bouche et dépose un bisou au bout de son gland. Il apprécie lorsque ma langue le parcours sur toute la longueur puis senroule autour du gland. Jaime le moment précis où mes lèvres vont souvrir pour accueillir mon invité, immanquablement je le fixe dans les yeux alors que son sexe senfonce entre mes lèvres sur le berceau que forme ma langue baignée de salive.

Puis lentement je referme mes lèvres, les yeux toujours plantés dans les siens. Je le garde en bouche immobile, juste le ballet de ma langue autours de son gland. Humm il bande encore plus, ses yeux viennent de se fermer, il pose ses mains dans mes cheveux blonds. Il est à moi, je suis la Maitresse de la situation. Lentement je recule, son sexe glisse sur ma langue, le gland force mes lèvres pour retrouver sa liberté, mais je le tiens de mes doigts fins. Puis, tout aussi lentement je le reprends dans ma bouche, lentement, très lentement, venant jusquà buter mes lèvres contre son pubis. Oh un haut le cur me gagne lorsque son gland touche mes amygdales. Je le ressort il dégouline de salive. Je le branle de mes doigts le gland posé sur ma langue sortie, dans le même temps je branle lentement le sexe de Benji. Ce dernier semble dailleurs apprécier mais aussi envier la position de Fred. Ne voulant pas faire de jaloux entre mes deux clients, je change en mappliquant à faire subir au membre de Benji le même traitement quà celui de Fred. Leffet est immédiat, il gonfle sous ma langue alors que mes yeux plongent dans les siens, je continue de branler Fred. Au même moment une voiture passe en ralentissant devant le spectacle de ces deux messieurs aux prises avec ma bouche.

La scène continue un bon quart dheure, laissant à tour de rôle celui qui sapprochait trop prés du point de non retour. Mais les bonnes choses ont une fin et larrivée inopinée (si, si) dun vigile nous oblige à abréger là.

Le temps pour moi de massoir sur la banquette arrière en enfilant mon chemisier en voile à même mes seins nus, et de poser sur mes cuisses ma micro jupe sans même avoir le temps de lenfiler. Les deux garçons ne perdent pas de temps, et beaucoup moins fière que quelques instants plus tôt, ils sont tous les deux rhabillés et assis sur les sièges de devant. Fred démarre son 4×4 et nous voilà déjà quittant la place de parking sous le projecteur de la torche du gardien.

Nous rions tous les trois, et les garçons mindiquent en cur que je ne perds rien pour attendre.

En stoppant sa voiture devant la barrière Fred me traite de vraie petite salope. Seulement voilà, notre partie de gâterie, nous a beaucoup attardée et la borne de paiement refuse notre titre de parking payé il y plus de 20 minutes.

Seule solution appuyer sur le bouton daide, ce que Fred sempresse de faire oubliant complètement ma tenue improvisée, et alors quune voiture est déjà immobiliser derrière nous.

Le gardien rejoint la cabine vide, coté conducteur, et ouvre le vitre.

— Alors Monsieur, on na pas vu lheure passer dans la bouche de la petite dame ?

— Heu

— 2.30 une heure entamée et due.

— Flute je nai pas de monnaie dis Fred. Vous prenez la carte ?

— Ah non pour cela il faut retourner en haut monsieur.

— Benji file moi 2.30

— Mais je nai rien moi, tu sais pour ce style de soirée je prends le minimum de chose sur moi.

Ils se tournent tous les deux vers moi.

— Stop les garçons, moi je nai rien dautre que ce que vous mavez promis de me payer. Dabord si javais quelques choses sur moi je vois mal où je pourrais le cacher.

Lautomobiliste derrière simpatiente, il klaxonne.

— Cà va si, la demoiselle veux bien nous montrer ses trésors je lève la barrière.

— Non mais çà ne va pas

— Allez Justine, de toutes façons regarde lécran derrière lui il a déjà du te voir toute à lheure.

— Non ce nest pas drôle

La situation devient surréaliste lorsquun homme dune quarantaine dannée en costume gris superbe, intervient.

— Mais que se passe-t-il enfin ?

— Monsieur regagnez votre voiture

— Mais de quoi sagit-il ? Oh mais Justine cest vous ? que faites-vous dans cette tenue ?

— Bonjour Monsieur S. (mon professeur de droit international)

— Vous êtes si

— Oui je sais nous allons à une soirée, vous pouvez sans doutes nous aider, il nous faut 2.30 pour Monsieur.

— Mais bien sur Justine quel plaisir de vous rendre service.

Là-dessus il paye le gardien, et la barrière souvre comme par enchantement.

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