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La boîte à outils – Chapitre 11

La boîte à outils - Chapitre 11



Lamour punition!

Je décide, jéprouve un fort sentiment de puissance: je veux me venger.

Al continue ta pénétration, creuse, pioche, Marie ta supplié, ta vie est en danger. Oh, mais tu mollis. Marie, aide-le à vivre, fais lui ces anneaux que tu réussissais si bien avec moi. Sinon tu vas devoir lui tailler une pipe. C’est vital pour vous deux. Vous baisez comme des bêtes ou vous mourez. Au choix. Mais je sais ce que tu préfères, puisque c’est Al le meilleur. Profite bien de cette ultime occasion de me cocufier. Allez, bouge, soulève ton ventre à s rencontre, tends-toi.

Dans ma main droite, au bout des doigts de polyamide, je verse deux gouttes d’un petit tube de super glue de la main gauche, je tire en arrière la chevelure d’Alex.

— Tu dois avoir soif, humecte tes lèvres.

J’applique le liquide à prise rapide sur les deux extrémités de la bouche, vraiment en coin et je pince les deux lèvres ensemble pendant une minute.

— Attention, n’y mets pas la langue, tu ne pourrais plus lécher les chattes de tes conquêtes.

— Qu’est-ce que tu fais ?

Marie voit le tube, elle comprend. Ses yeux sont terrifiés tandis que s’éveille un lointain orgasme. Je relâche ma pression, les coins des lèvres d’Al sont partiellement cousus ou collés si vous préférez. Il peut imaginer pire. Sadique, jaime laisser limagination créer le pire.

-Marie, si tu veux l’embrasser une dernière fois, je te le permets pendant trente secondes.

Hébétée, elle tire sa tête et sa bouche le plus loin possible d’Al. Ha ! L’amour. Elle nest plus intéressée par ce baiser.

— Pourtant il me semble avoir entendu que tu étais d’accord pour vivre « à la colle » avec « Al mon amour » C’est bien vrai Al ? La super-glue est de bonne qualité. Alors Al, ça colle ?

— Hum

— Voulez-vous que je verse de cette colle sur vos sexes unis? Marie, si vous ne faites plus l’amour, vous allez mourir. Aide ton cavalier, excite-le que diable, enroule tes pieds sur son dos et secoue-le pour l’encourager, je veux assister à un orgasme. Tenez vos engagements, offrez-moi le spectacle promis au cocu. Dévoue-toi que diable

— Pascal, pitié. Pas ça. Pas la colle. Tue-moi plutôt avant.

— Ce n’est pas moi qui t’ai mise dans cette position. Tu l’as voulue, tu as supplié Al de te posséder, de te rentrer dedans, dapaiser lenvie qui te dévorait, déteindre le feu dans ton vagin, tu as voulu cette union, tu l’as eue ! Ne t’ai-je pas prévenue hier et aujourd’hui. Avec un peu de colle vous seriez unis à vie. Le spectacle est si fort.

Je relie les chaînes des pieds et des bras d’Al avec un nouveau fil de fer, en tirant de façon que ses pointes de pieds flottent à dix centimètres de la surface du lit.

— Bon, Marie, tu as réussi à joindre tes pieds dans son dos. Parfait. Fais rouler tes hanches, donne du roulis. Bouge pour le remettre en selle.

Je lie les deux pieds de Marie ensemble au-dessus du dos de son amant. Mes deux bourreaux sont liés pour le meilleur et pour le pire. Je sors de ma poche un second tube de super-glue, le montre à ma mariée infidèle.

-Je suppose que toi aussi tu as soif ?

— Non, non, non,

Elle ne cesse plus de pleurer et comme je n’ai pas encore lié ses bras, elle protège sa bouche avec ses mains.

— Ecoute-moi bien. Tu feras tout ce que j’ordonne. Si tu ne veux pas, ou si tu mens, je verse ce tube sur vos sexes. Pour bien faire, je vais lui ordonner de sortir à la limite, je lui enduirai le manche à plaisir avec ceci et je l’enverrai plonger le plus loin possible dans ton ventre si accueillant pour lui. Je me demande si le chirurgien capable de vous séparer est déjà né. Si tu refuses de répondre à toutes mes questions je répandrai cette super glue entre vos ventres, du haut en bas sur ton pubis rasé en signe dallégeance à ton chéri, dénudé comme un ventre de gamine pour créer lillusion de lextrême jeunesse dont a besoin ce sale individu pour bander, jen ferai couler sur tes deux mamelons, je te collerai les mains sur ses hanches et enfin je mettrai de la colle sur un doigt d’Al, et je te l’enfoncerai dans le derrière. Le supplice que je vous ai préparé est plus terrible que la mort. Mas-tu bien compris ? Vois, jai assez de tubes pour que vous restiez unis comme des siamois jusquà la mort.

Je divague, cest ma vengeance:

— Demain, quand il fera jour, jappellerai une ambulance, les voisins attroupés, Léa, Corinne, Gisèle et autres vous verront partir pour lhôpital. J’espère qu’l n’y aura pas d’enfants dans la rue à ce moment là. Tu vas devenir une star dans ta ville ; avant d’avoir pu goûter aux joies du putanat qu’Alex t’a promises. Et quand tu seras la putain que tu as accepté de devenir pour lui, tu seras une curiosité régionale, tes clients se bousculeront pour contempler tes cicatrices ..Comme c’est samedi, il n’y aura pas de chirurgien et vous pourrez rester collés l’un dans l’autre jusqu’à lundi. Je crois que vous verrez défiler tous les infirmiers, toutes les filles de salle de l’hôpital, le personnel administratif et des malades aux urgences : La gloire !

— Pitié, pardonne-moi, je ne recommencerai plus.

Larmes, sanglots et poids de l’amant, angoisse mortelle de la honte, peur de mourir, peur du regard des autres. Sa protestation est dérisoire.

— Je ne compte plus tes serments et tes parjures. Avec ou sans pardon, grâce à tous ces tubes je ne crois pas que tu retrouveras la possibilité de recommencer. Pourquoi aurais-je pitié de lépouse qui voulait faire de moi l’esclave de son amant, qui lui a promis de me piéger ce soir en m’enfermant dans son corps pour mieux me livrer ?

— Tu as entendu tout ça ? Mais depuis quand es-tu dans la maison ? Je veux t’expliquer, mais sors moi de là.

— Non, pas avant votre orgasme commun. J’exige qu’il décharge sur ton stérilet. Et après c’est lui qui léchera son sperme à la sortie de ton sexe, pas moi, comme tu croyais que vous m’obligeriez à le faire. Marie, hier et aujourd’hui je t’ai répété que si tu me trompais avec Al, je vous tuerais tous deux: ce soir je te trouve au lit, sous lui. Que dois-je faire ? Il y a une chose que je ne te pardonnerai jamais : Tu étais disposée à confier à ton futur souteneur l’éducation de nos deux enfants. Et pour cela, je suis décidé à vous punir: Je vais vous mettre dans un tel état que tu seras dans l’impossibilité de te prostituer et que lui n’aura plus rien d’un séducteur.

— Pitié. Pardon. Tu sais que je t’aime.

— Pas possible. Tu m’obéiras ?

— Oui, je le jure. Je ferai tout ce que tu voudras.

— Tu as juré la même chose à Al. Comment te croire ? Et Al, ton dieu tout puissant, il ne bouge plus ? Dis, tu veux mourir ? Creuse et crache fainéant ! Pompe mieux que ça. Félicitations, ma femme, tu as bien commencé ton nouveau métier, comme une professionnelle, tu l’as vidé, lessivé. Cest une pauvre loque effondrée, un bon à rien.

— Sors-moi de là. Il est si lourd.

— Il nétait pas lourd plus tôt ? C’est seulement maintenant que tu le constates. A mon arrivée tu ne voulais pas le lâcher. Alors, si je te dégage il faut que je le tue. Et que je te tue. Tu le veux? C’est tout simple. Je te fais une offre, mais une seule fois: tu auras la vie sauve si tu me demandes de le tuer. Veux-tu que je le tue maintenant? Si tu veux sortir, donne moi l’ordre de tirer. Mais je vois que tu tiens trop à lui, reste donc où tu es.

— Fais ce que tu veux, je n’en peux plus.

— Al, as-tu entendu ?

Al essaie de protester « brrr hum ».

— Tu l’aimes toujours ? Dis lui encore : « Al mon amour, je n’aime que toi. » Ca lui fera tellement plaisir.

Les larmes coulent à flot. J’attends qu’elle prenne une décision.

— Sors moi delà; pitié.

— Alors dis: « Tue-le. »

— Tu ne me tueras pas ?

— Si ma parole vaut la tienne, tu n’auras pas de certitude, hé!

S’il te plaît, Pascal, mon amour, délivre-moi. Je ferai tout ce que tu voudras, je n’aime que toi.

Elle essaie de m’attendrir, je suis redevenu son amour.

— Tu feras tout ce que je veux ? Alors dis : « Tue-le » Si je suis ton seul amour, délivrons-nous définitivement de lui. Il a pourri ma vie. J’ai assez attendu, Je vais faire couler la colle sur vos sexes imbriqués. Il faut que je me repose quand vous serez unis.

— Non, tue-le !

— Pourquoi veux-tu que je le tue ? Est-ce qu’on demande la mort de son amant ?

— Ce n’est pas mon amant, je le déteste, je le hais. C’est lui qui m’a forcée en me faisant chanter à faire et à dire les choses honteuses. A coup de cravache il ma réduite à létat desclave et a tué ma volonté. Si tu veux, je vais le tuer moi-même ce salaud. Mais tire-moi de là, il est encore une fois en train de bander. Ne le laisse pas me remplir le ventre. Je suis ta femme.

— Tu t’en souviens maintenant ? Après tout le mal que tu as juré de me faire ? Là, couchée sur le dos, cuisses ouvertes, ventre plein de sa matraque. C’est ça être une bonne épouse ?

— Pascal, crois moi. C’est toi que j’aime. Lui c’est un violeur. Aujourd’hui, il m’a surprise et m’a prise de force et après je n’ai plus réussi à lui résister. J’étais sans volonté et toute chaude.

Je ne le dis pas, mais je sais comment sest déroulée cette rencontre.

— Et tu m’aurais livré traitreusement à lui, comme il te l’a demandé ? Tu es une girouette.

— J’ai honte de le reconnaître, je crois que oui, tout était brouillé dans ma tête mais je savais qu’il ne réussirait pas à tout te faire accepter. Je te connais assez pour savoir que tu sauras toujours résister. Je te demande pardon. Mais dépêche-toi, il va bientôt éjaculer, je le sens et je refuse de jouir avec lui.

Je dégage ses pieds, je saute sur le lit et fais basculer Alex, bite en l’air, contre Marie, à ras du bord de lit. Sur le dos, il envoie en l’air des jets de sperme qui souillent son ventre gras en retombant.

Marie assiste à l’éjaculation, sur le dos. Je lui tends une main pour l’aider à se redresser après cet écrasement. Elle est debout courbaturée, mais libérée et libre. Elle me regarde et se demande ce qui va suivre

— Retournons-le. Je veux que tu lui fasses un suçon sur chaque fesse.

— Non. Ah, bon ! Puisque tu le veux.

Comme avec dégoût, elle suce pendant que je reprends la cravache.

Maintenant, efface ces deux suçons avec cette cravache

— Comment ?

— Comment son amour a-t-il eu raison des tiens ? Prends la cravache et frappe jusqu’à disparition de la trace de ta bouche.

Al s’agite. L’humiliation d’être battu par une femme est insupportable pour ce mâle dominateur. Et pourtant, Marie se venge un peu, un peu plus, laisse sortir sa rage, strie les fesses de raies rouges. Elle semballe, je dois arrêter le massacre. Il ny a pas loin de lamour à la haine. Si je mesure sa haine à la violence des coups de cravache, je peux être satisfait du retournement des sentiments de Marie.

— Bien. Je vois là un jouet particulier : Le fameux plug qui devait t’élargir et faciliter la sodomie. Marie, tu vas le lui « enfoncer dans le cul», comme il dit. Mettons un peu de colle.

Sans retenue Al hurle de frayeur. En réalité je l’enduis de vaseline trouvée dans le bric-à-brac du séducteur.

— Marie, appuie. Tu as promis d’obéir.

Avec difficulté elle introduit l’instrument entre les fesses poilues. Cest un comble! Marie sourit enfin entre ses larmes.

— Où est la cage ? Souviens-toi, Marie, il voulait m’enfermer le zizi. C’est ça Al ? Voyons comment ça se pose. C’est le haut ?

— Oui.

— Marie, aide-moi à enfermer le sexe d’Al. Tiens-le, ne fais pas la dégoûtée, il sort de ton vagin! Nous jetterons la clé. Quand nous ferons lamour devant lui, son oiseau tentera de senvoler, en vain.

Le gros ours pleure. La participation de Marie le vexe. Quelle humiliation pour ce macho.

— A nous deux, Al. Tu vois ces tubes de colle. Ou tu réponds vite et bien à mes questions ou je te colle le zizi aux bourses et si ça ne suffit pas je t’encolle entièrement la langue, les lèvres et le trou du cul. Tu as déjà mesuré ma détermination, ne m’énerve pas davantage. Tu comprends ?

— Oui, mais mes lèvres sont pincées aux deux bouts.

— Eh! OuiTu peux imaginer ce que je peux encore t’infliger. Tu as sali ce que j’ai de plus cher, ma femme. Alors, dis-moi

Qu’est-ce que cette poudre blanche ?

— Je ne sais pas.

-Marie peux-tu mamener un verre deau et un entonnoir?

Tu te promènes avec ces sachets dans ta boîte à outils, mais tu ne sais pas. Jen verse un sachet dans ce verre, tu goûteras et tu sauras. Je pourrais même doubler la dose.

— Non, tu veux me faire mourir ?

— Ah ! Tu sais ! Qu’est-ce que c’est ?

— Une sorte de viagra pour femme. Tu leur donnes un sachet et elles sont en chaleur.

Après tu leur fais tout ce qui te plaît, elles deviennent de vraies salopes, des éponges à sperme insatiables. Si tu veux je ten procurerai.

Marie a saisi la cravache et frappe violemment le visage de ce dégoûtant. Elle a compris.

— Tu en as donné à Marie ?

— Non, non, non.

— Tiens, tu veux une goutte de colle sur le zizi.

— Si, je lui en ai fait boire. Pas la colle

— Trop tard, ça colle Aujourd’hui ? Quand et comment ?

— Oui, dans son café.

— Les autres fois ? Parle.

— Euh

— Encore une goutte. C’est fait. Tes clochettes collent à ton pénis rabougri. Quand tu banderas, tu tamuseras à les faire sonner.

— Non, arrête, je ne pourrai plus aller pisser.

— Ni bander, si tu ne veux pas te souvenir. Ca sera gênant. Au moins tu ficheras la paix à Marie ! Alors ?

— Chaque fois, dans leau, dans la bière ou le café. Elle en a bien profité. Tu as peut-être entendu comme elle m’aime. Mais jamais plus d’un sachet. En grande quantité c’est dangereux.

— Autre chose, réponds vite et bien, sinon, cette fois, je verse un flacon complet sous ton zizi. Où voulais-tu emmener Marie, vendredi dans une tenue de pute. Aucun restaurant ne l’aurait acceptée.

— Euh à Broigny-sur-Tej

— C’est tout ? Ah ! Tu veux de la super-glue? Tu es servi Je continue ?

— Non, j’avais loué une chambre pour faire l’amour.

— Et tu avais besoin de cet attirail ? Tu ne pouvais pas faire ça ici ou en tenue décente et de saison, ou plutôt comme aujourdhui, à poil dans mon lit? ? Bon tu parles ou je te cloue le bec.

Marie tend loreille. Elle se prépare à frapper encore.

-Tu vois, il anéantissait ma volonté. Salaud, violeur.

— Oui, il te droguait pour obtenir de toi ce quil voulait ? Attends la fin. Al dépêche-toi, je m’impatiente. Marie ne prends pas sa défense ou je lie votre sort, je te refais une virginité à la colle.

Il pleure. Je rajoute une goutte au zizi et j’appuie.

-Parle. Que voulais-tu faire à Broigny-sur-Tej ? Cette fois tu seras invalide du zizi, parle. Tu auras droit à une carte dinvalidité!

-J’avais loué une chambre et invité trois copains pour partouzer avec Marie. Le matin en passant nous avions bu un café, javais réussi à lui verser de la poudre, elle aurait adoré se faire prendre longtemps, par quatre gaillards bien montés. Quand cette salope est lancée rien ne l’arrête. Marie, c’est toujours possible. Tu as encore un tas de choses à apprendre. Viens vivre avec moi. Tu auras une vie bien plus gaie avec moi et mes amis.

Dans mon dos, Marie a ouvert un petit tube de colle. Je ne lai pas vu faire. Elle me pousse sur le côté, veut-elle exprimer un choix? Elle se penche sur son chéri. Je ne comprends pas son attitude. Elle attrape la quéquette et avant que jaie pu my opposer elle presse sur le tube et le vide entre la verge et le scrotum

-Je te souhaite de bien tamuser à lavenir, pourri. Maintenant tu vas goûter à ta poudre, bois. Je me demande si cela te remettra en état de nuire. Va-t-en.

Depuis des années nous navons plus revu Al. Marie a retrouvé sa joie de vivreavec moi. Je nai pas besoin de jouets ou de poudre pour la rendre heureuse.

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