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La bourgeoise et ses amants. – Chapitre 5

La bourgeoise et ses amants. - Chapitre 5



François part aujourd’hui pour Rome et il m’a demandé de l’accompagner en taxi jusqu’à l’aéroport où nous dînerons ensemble avant qu’il embarque. Il est 18h30 lorsqu’il me dit que son taxi est là et que nous devons descendre. Une fois arrivé dans la rue, il serre la main du chauffeur de taxi qu’il semble bien connaître.

Bonjour Ricki, en forme aujourd’hui ? Ma femme m’accompagne à l’aéroport où nous allons dîner sur place.

Le chauffeur, trente ans environ, style costaud, 1m90, près de 100 kilos à vue d’il lui répond :

Bonjour Monsieur de Saint Jouy, bonjour Madame. Oui, ça va aujourd’hui, mais je sais que samedi, ça va encore être la galère dans Paris à cause des gilets jaunes.

Nous nous installons à l’arrière de la Mercedes et nous voici en route pour Orly. François m’explique qu’il a l’habitude de prendre ce taxi et le réserve à l’avance chaque fois que c’est nécessaire. Il m’explique que le chauffeur connaît parfaitement Paris et sait parfaitement éviter les bouchons.

Tandis que nous sommes sur le périphérique et allons arriver à la Porte d’Orléans pour prendre l’A6 qui nous mène direct à Orly, François pose une main sur mes cuisses et commence à me caresser. Il remonte lentement et sa main se glisse sous la jupe de mon tailleur pour accéder à mon string. En veillant à être la plus discrète possible, j’écarte un peu plus les jambes et ce coquin de François en profite pour écarter le tissu de mon string et me glisser un doigt dans la chatte. Il sait y faire et bien vite, je mouille comme une jeune pucelle. Je remarque alors que le chauffeur du taxi a orienté son rétroviseur intérieur de telle sorte qu’il puisse profiter de mon entrejambe. François connaît bien mes penchants exhibitionnistes et il entrouvre maintenant mon chemisier. Dessous, je porte un soutien-gorge demi-balcons qui ne cachent rien de mes tétons. Sa seconde main s’empare alors de l’un de mes seins et il se met à me pincer légèrement le téton qui durcit sous ce traitement.

Lorsque nous arrivons à l’aérogare d’Orly, je suis dans tous mes états et je réajuste vite ma tenue avant de sortir du taxi. Ricki souhaite un bon voyage à mon mari et nous nous dirigeons vers le restaurant pas très loin du hall des départs.

Le dîner passe vite et nous parlons de nos futures vacances qui approchent à grands pas. Alors que le dessert vient de nous être servi, François me demande d’aller aux toilettes, car il a envie d’emporter mon string avec lui pour se masturber dessus le soir à l’hôtel. Je vais aux WC et reviens quelques minutes après. Discrètement, je glisse dans sa main mon petit string rose. Il le porte à son nez, hume le parfum de femelle qui s’en dégage et me dit :

Ton string sent la petite salope. Je suis sûr que tu te serais bien fait baiser dans le taxi si nous avions eu le temps.

Glissant mon pied à la hauteur de son sexe pour lui presser un peu les bourses, je lui réponds :

Bien sûr chéri, tu m’as bien excitée et tu sais que tu peux me prendre à ta guise n’importe où.

Une fois la note réglée, nous sortons du restaurant et nous dirigeons vers les départs. François sort son téléphone, s’éloigne un peu de moi et passe un appel. Il revient vers moi et me dit :

Nous avons de la chance, Ricki n’est pas encore reparti d’Orly. Il va te raccompagner.

François sort avec moi jusqu’à la zone taxi, m’embrasse sur la bouche et m’ouvre la porte pour que je m’installe, toujours à l’arrière, sur la banquette en cuir du taxi de Ricki. Puis, s’adressant à ce dernier, il lui dit :

Merci Ricki de ramener Hélène à la maison. Je te mettrai un SMS dans deux jours pour t’indiquer l’heure de mon retour.

Puis il regagne le hall de départ tandis que nous reprenons la route vers Paris.

Pendant le voyage retour, je vois que Ricki continue à me mater dans le rétroviseur. Je veille donc à bien serrer les jambes pour qu’il ne remarque rien. Soudain, son téléphone bip et il regarde le SMS qu’il vient de recevoir. Tout en conduisant, il me tend son portable par-dessus son épaule et me dit :

C’est de la part de votre mari. Vous voulez lire ?

J’attrape son téléphone et je lis le texte qui vient effectivement du portable de François « Dites à ma femme qu’elle a oublié ça au restaurant. Je lui rapporte à mon retour » et une photo de mon petit string rose accompagne le message.

Connaissant très bien François, je comprends tout de suite qu’il a manigancé une petite surprise pour son ami chauffeur de taxi. Je vais donc jouer le jeu.

Je rends le téléphone à Ricki, me positionne bien au milieu de la banquette arrière et lui dit :

Je ne comprends pas comment cela a pu arriver !

Tout en écartant bien les jambes pour qu’il puisse voir la toison de ma chatte dans son rétroviseur. Puis, ma main droite descend entre mes jambes et je commence à me caresser le clitoris.

Nous sommes maintenant dans les rues de Paris et nous approchons du XVIème où Ricki doit me déposer. Soudain, il ralentit et entre dans un parking souterrain. La voiture suit la direction vers les étages inférieurs et Ricki se gare dans un coin sombre un peu isolé. Une fois la voiture arrêtée, il descend et vient me rejoindre sur la banquette arrière. Sa Mercedes est spacieuse et, malgré sa grande taille, il parvient à se contorsionner pour glisser son visage entre mes jambes. Je sens son souffle chaud sur les poils de ma chatte puis c’est la chaleur de sa langue qui s’insinue dans mon intimité. Je me laisse aller et je dois avouer que c’est bon. Une fois que Ricki considère que je suis bien ouverte, il s’assoit la braguette grande ouverte et la queue fièrement dressée. Il me soulève et je me retrouve empalée sur sa bite en moins de deux secondes. Il a un bel outil, la tige est longue et épaisse, le gland est énorme.

Il me remplit parfaitement et quelques mouvements du bassin rendent rapidement le passage un peu plus large. Tandis que sa bouche s’empare de la mienne, il défait tous les boutons de mon chemisier. Maintenant, il me tient bien par la taille et sa bouche gourmande me dévore les seins. Il est tellement costaud que j’ai l’impression de n’être qu’une poupée entre ses mains. J’ondule maintenant de la coupe pour que sa queue se glisse au plus profond de moi. Il apprécie autant que moi, car il n’arrête pas de m’embrasser, joue avec ma langue, me cajole la croupe, me caresse les seins, me mordille les tétons et me donne régulièrement de grands coups de queue qui m’arrachent des gémissements de plaisir. Soudain, il me colle fort contre lui, soude sa bouche à la mienne, plaque ses mains sur mes fesses et répand en moi de longs jets de foutre. Une fois bien vidé, il se retire et j’en profite pour me pencher vers sa queue pour la prendre en bouche.

Il reste encore quelques gouttes de sperme à l’extrémité du gland et je ne souhaite pas le gaspiller. Je le pompe encore un peu tout en lui malaxant les bourses. Il se cambre et me récompense d’un léger jet de jus bien frais.

Une fois remis de ses émotions, Ricki sort la voiture du parking et quelques minutes plus tard, me dépose devant notre immeuble. Je le remercie et il me dit qu’il a été ravi de faire connaissance dans ses conditions. Une fois au lit, j’envoie un SMS à François « J’avais oublié mon argent à la maison. J’ai payé Ricki en nature. »

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