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La mère de ma copine Elodie – Chapitre 1

La mère de ma copine Elodie - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà peu je venais de trouver un poste d’opticien dans une grande enseigne. J’étais fraîchement diplômé et je n’ai pas eu trop de mal à m’insérer dans l’équipe. En fait j’avais à faire aux clients, ils venaient choisir la monture et nous leur préparions les verres adaptés à la monture et nous nous arrangions à tout régler avec la sécu et la mutuelle surtout. Je venais d’avoir 20 ans et je me suis retrouvé avec une cliente d’environ 45 ans qui était une grande beauté et surtout d’une grande assurance. J’ai eu l’impression que chaque fois qu’elle passait avec moi, elle prenait plaisir à me faire perdre la face. Un coup elle me demandait si sa poitrine me plaisait tant je la regardais, une autre fois elle me demandait si les dessous qu’elle venait d’acheter me plaisaient, une autre fois elle me disait qu’elle adorait les petits jeunes innocents comme moi. À mes yeux cette femme était une cougar et j’étais une cible potentielle d’après moi.

Elle connaissait mon petit nom et prenais grand plaisir à me tutoyer avec mon prénom. Cette femme me plaisait tant que quand ma copine n’était pas là, je me faisais un petit plaisir en pensant à elle. Un samedi soir elle a même poussé le luxe jusqu’à me dire qu’elle était sûre que j’allais me palucher en pensant à elle ce weekend. Elle me disait toutes ces choses-là tout bas; de telle façon à ce que personne n’entende, juste elle et moi. Au bout d’un certain temps dès que je la voyais arriver en magasin je me retrouvais avec une érection que j’essayais de dissimuler en restant assis. La coquine était prête à passer son tour pour être sûre de passer avec moi. Du coup quand j’étais avec ma copine et que j’avais vu ma cliente quelques instants auparavant j’étais toujours émoustillé. Si ma copine avait su que c’était une cliente qui me mettait dans cet état-là.

J’étais fou de ma copine, cela faisait plusieurs années que nous nous connaissions; nous avions fait une partie du collège ainsi que le lycée et ne nous étions pas perdus de vue pendant nos études supérieures. Ma copine Élodie s’était retrouvée dans le commercial elle s’en sortait pas mal pour l’instant. Avec le recul je me disais que son boulot allait être plus rémunérateur que le mien, mais personnellement j’adorerais m’occuper de mes patients. Je préférais les appeler mes passions plutôt que mes clients car dans le terme client il y a toujours une notion de business, chose qui m’embête pour un dispositif médical. J’avais réussi à me trouver un petit studio juste à côté de mon boulot dans une ville pas vraiment bien cotée mais je n’avais pas de transport à prendre. Un jour madame Leclerc le nom de famille de ma cliente qui me faisait tourner la tête m’a dit, alors que nous étions ensemble au comptoir, qu’elle aimerait bien me dévergonder. Une fois de plus elle venait de me faire perdre la face mais surtout elle venait de franchir une étape supplémentaire.

Je suis devenu tout rouge et je ne savais pas trop quoi lui répondre du coup je n’ai rien dit, j’ai fait celui qui n’avait rien entendu. Madame Leclerc était assez haut placé dans une société pharmaceutique et elle manageait pas mal de monde… cette femme était sûre d’elle et je pense qu’elle était capable de faire perdre la face à n’importe quel homme; alors je ne vous dis pas avec un petit jeunot comme moi… Ce jour-là elle a poussé le vice jusqu’à me faire un petit cur avec son rouge à lèvres en me laissant son numéro de portable que j’avais déjà dans mon dossier. Je peux vous garantir que j’ai fait attention à ne pas jeter ce numéro, mais surtout le laisser au vestiaire pour ne pas que ma chérie tombe dessus. J’en étais arrivé maintenant à ce que juste le fait de penser à Madame Leclerc me mettait dans tous mes états.

Je pense qu’elle était un tout petit peu plus grande que moi, en sachant que moi je fais un mètre 81 pour 80 kg; elle roulait en Audi, je l’ai vu grâce à son porte-clés. Tous les matins quand jarrivais au boulot je me mettais maintenant à penser à cette madame Leclerc. À côté de ça je me faisais toujours un point d’honneur à être le plus serviable possible et satisfaire au mieux mes clients. Un jour elle passe me voir et me dépose sur une petite feuille un numéro de portable, en le pliant, je prends rapidement et discrètement le morceau de papier et je me dis elle doit en avoir beaucoup des numéros de portable. À ma pause que je regarde le numéro et à ma grande surprise je constate que c’est mon numéro. Là je m’interroge et je me demande comment elle a bien pu la voir; après une petite enquête j’ai fini par apprendre que c’est un collègue qui lui a donné mon numéro. Je l’ai un peu réprimandé mais en même temps il n’y avait pas de mal.

Ainsi elle savait tout de moi ou presque. Puis un soir alors que j’étais de fermeture les magasins ferment à 8h30 je partais vers 8h45, je suis tombé sur elle en sortant du magasin. Elle m’a avoué qu’elle connaissait mes horaires et qu’elle m’attendait avec impatience. Elle a été très insistante pour me ramener à la maison, au pied de mon bâtiment; c’est ainsi que j’ai pu rentrer pour la première fois de ma vie dans une magnifique Audi A8 dernier cri et manifestement toutes options. Cela m’arrangerait bien car ce soir-là il pleuvait, je n’ai pas eu besoin de me faufiler entre les gouttes. Au moment de sortir de la voiture j’allais sortir comme ça tout bêtement mais elle m’a demandé "vous ne me fait pas la bise pour me remercier". Du coup je me suis repositionné sur le siège et me suis penché vers elle pour lui faire la bise. Elle s’est approché de moi a posé sa main sur ma cuisse gauche, puis évidemment la bise s’est transformée en un roulage de pelle en règle.

C’était la 3e femme que j’embrassais dans ma vie mais surtout la première qui avait largement l’âge de ma mère et en plus c’était la première fois que j’étais infidèle à ma chérie Élodie. Maintenant elle me tenait par la nuque et c’est elle qui dirigeait ce baiser, je me laissais faire totalement soumis à cette femme qui savait ce qu’elle voulait. Quand elle a relâché la pression pour me laisser partir elle m’a dit qu’un jour nous ferions l’amour. Je lui ai répondu que j’avais une chérie que je l’aimais très fort et que je n’avais pas envie de la peiner. Elle a fini par me laisser partir et je me suis empressé de rentrer à la maison complètement choqué par ce qui venait de m’arriver. À peine arrivé à la maison que je recevais un SMS de sa part on ne peut plus coquin comme quoi elle avait envie de me faire mon éducation et surtout de me dévergonder.

J’ai préféré ne pas lui dire, mais dans la voiture j’avais une érection de malade; surtout quand elle m’a embrassé. Je suis assez flatté de me faire draguer de la sorte par une femme de l’âge de ma mère et je peux vous garantir que cela me perturbait bien dans ma relation avec Élodie. Il y a un truc qui est bien sur les téléphones d’aujourd’hui c’est qu’on peut très bien archiver les SMS de telle façon à ce qu’ils ne soient pas visibles au premier abord. C’est ainsi que j’ai caché les SMS on ne peut plus coquins pour ne pas dire hards de ma cliente. Sur ses sms elle signait régulièrement Geneviève et elle m’a même autorisé à l’appeler par son prénom. Vous vous doutez bien qu’une fois bien installé à la maison je n’ai pas pu me retenir d’aller me faire un petit plaisir en pensant à elle et au programme qu’elle me proposait.

Je me suis endormi un peu apaisé après m’être fait du bien; mais la tête bien encombrée par cette Geneviève. Au petit matin quand je me suis réveillé j’avais déjà un SMS de sa part qui me souhaiter une bonne journée dans des termes un peu olé-olé mais surtout elle me faisait savoir qu’aujourd’hui c’était son anniversaire. Elle me fit comprendre qu’elle aimerait bien que l’on se voit, après mon boulot en sachant qu’elle connaissait mes horaires. Heureusement que je ne voyais pas ma chérie Élodie en semaine mais seulement le weekend car il n’aurait pas été vraiment évident de se justifier mon absence. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai fini par accepter son invitation, j’étais en train de me dire que je devenais un escort boy pour une cougar qui savait ce qu’elle voulait. Toute la journée au boulot je n’ai cessé de penser à elle et comment allait tourner la soirée. Il n’y avait pas d’aspect financier mais je ne me voyais pas lui offrir un cadeau pour son anniversaire; je trouvais cela un peu déplacé quand même.

Je travaillais à la naissance de l’autoroute a10 dans le 91. À 18h quand elle est venue me chercher dans sa grosse berline, j’étais quand même assez fier de m’installer dedans. Là à ma grande surprise elle m’a dit qu’elle préférait que je prenne le volant, j’avais mon permis depuis quelques temps mais je n’avais pas eu beaucoup l’occasion de conduire. C’est donc avec très peu d’assurance que j’ai démarré la voiture et à mon grand étonnement on nentendait pas le moteur. Elle m’a dit que l’on allait prendre l’autoroute direction Chartres; c’était histoire de nous excentrer de la vie en région parisienne. Rapidement j’ai pris confiance en moi au volant et j’étais assez impressionné par la douceur de conduite. Je me sentais un peu Franck Martin dans le film le transporteur. De temps à autre sans m’en rendre compte je me retrouvais à 200 et du coup instantanément je levais le pied. Bien évidemment au bout de quelques minutes Geneviève est venue déposer sa main sur ma cuisse droite puis elle est venue constater l’effet qu’elle me faisait.

Je peux vous garantir que dans ces cas-là le cerveau ne se trouve pas sur les épaules mais entre les jambes. Elle m’a dit qu’elle était honorée de constater qu’elle me faisait beaucoup d’effet et c’est en disant cela qu’elle a libéré mon sexe de mon pantalon. J’avais entre les mains une voiture de plus de 300 chevaux et il fallait que je reste concentré sur la route; mais en même temps, ma passagère faisait tout pour me déconcentrer. Une fois qu’elle a saisi mon sexe pour me masturber tout en douceur, avec beaucoup de délicatesse et surtout avec beaucoup d’expertise. Elle savait parfaitement où se trouvaient les parties sensibles d’un homme, où est-ce qu’il fallait caresser, où est-ce qu’il fallait faire attention; j’étais vraiment bien innocent à côté d’elle. Un peu avant la sortie de Chartres elle m’a fait sortir sur l’aire de repos puis nous sommes partis nous mettre dans un endroit calme et sombre.

Là elle s’est penchée sur moi elle a été appuyer sur quelques boutons du siège qui s’est reculé, puis elle est venue prendre mon sexe en bouche. C’était la première fois de ma vie que j’avais le droit à une turlutte dans la voiture, il fallait que je fasse attention il fallait que je me retienne de ne pas partir dans sa bouche trop vite. Geneviève m’a tellement bien excité que quand j’ai voulu éjaculer, j’ai voulu qu’elle se retire et elle a insisté et tout est parti dans ta bouche. Elle a continué à me sucer de longues minutes à tel point que cela commençait à devenir infernal; tellement c’était bon et insoutenable. Elle n’a pas laissé une goutte de sperme sur mon sexe, quand elle me l’a restitué il était tout propre; par contre elle avait une haleine à l’odeur de sperme, et je peux vous dire qu’après un baiser son haleine était aussi au goût de sperme. Après ce petit plaisir sur cette aire d’autoroute nous sommes sortis pour nous rendre dans le centre-ville de Chartres.

Pour l’occasion j’ai découvert combien cette ville était magnifique, je peux vous dire que j’étais fier de me déplacer dans la ville avec une si belle voiture et une passagère aussi désirable. J’étais encore complètement retourné parce que venait de me faire Geneviève quelques instants auparavant. Elle n’arrêtait pas de me regarder avec des yeux coquins des yeux provocants des yeux désireux. Une fois la voiture garée à l’aide de lassistance électronique, nous sommes partis nous promener quelques instants dans la ville avant de nous rendre restaurant. Cela me fit tout drôle quand elle m’a pris la main et que nous nous promenions comme un couple amoureux. À voir comment elle s’arrêtait à toutes les boutiques, je pense qu’elle devait être une bonne cliente dans tous les magasins. Puis nous avons trouvé un petit restaurant bien convivial, tout près de la cathédrale; nous avons trouvé une place au fond du restaurant de façon à voir sans être vu.

Geneviève était une femme très distinguée, il a fallu que je fasse des efforts de tenue à table pour ne pas lui faire honte. Moi qui avais l’habitude de regarder les prix avant ce qu’on me propose à manger, là c’est Geneviève qui a choisi pour moi et j’étais effrayé par les prix. Elle m’a dit de ne pas m’inquiéter que cela passerai en frais professionnels. Pendant tout le repas je l’ai senti me frotter les jambes avec ses escarpins et il lui arrivait même de prendre ma main. Il n’y a pas à dire c’est elle qui dirigeait les événements, de mon côté je ne faisais que subir; je me sentais un peu soumis. Elle a été un peu étonnée que je ne boive pas; par contre elle, elle s’est offert une bouteille qui valait le prix du repas. La lumière tamisée et l’ambiance chaleureuse firent que nous passâmes un très bon moment dans ce restaurant. Puis en sortant de ce resto, nous sommes allés traîner dans les rues de Chartres pour admirer bâtiment qui en valait le coup. Manifestement ma cliente connaissait bien la ville car elle me racontait l’histoire de chaque bâtiment devant lequel nous nous arrêtions.

Puis nous sommes retournés à la voiture et là, Geneviève m’a expliqué qu’elle aimerait que nous allions à l’hôtel Ibis qui se trouve à deux pas. Je lui ai dit que cela m’embêtait car je commençais à 9h30 le lendemain; elle m’a rétorqué qu’il n’y avait pas de crainte à avoir. En nous levant à 7h nous serions largement à mon travail à l’heure dite, elle m’a alors pris la main sans trop me demander mon avis, c’est elle qui a pris le volant pour aller se garer quelques centaines de mètres plus loin sur le parking de l’hôtel. Quand nous sommes arrivés à l’accueil et elle a demandé une chambre, la meilleure; j’avais vraiment l’impression d’être un gigolo, son gigolo. Je n’avais strictement rien pour me changer et elle non plus me semble-t-il; mais en même temps dans le sac à main d’une femme il y a plein de trésor. Il était 21h30 et nous sommes rentrés dans la chambre cette dernière était magnifique, c’était un minimum vu le prix de la nuitée. Il était amusant de voir le contraste entre moi qui manquait d’assurance, qui était perdu, comme si j’avais été enlevé; et Geneviève qui se sentait comme chez elle et qui décidément dirigeait les opérations.

Quand je l’ai vu s’approcher de moi me prendre par la main pour m’emmener dans la chambre j’avais vraiment l’impression de perdre la face. Elle a commencé à se déshabiller lentement mais sûrement et moi par pudeur je n’osais rien faire. Elle était vêtue d’une magnifique guêpière avec porte-jarretelle intégré en lycra noir et rouge, un magnifique regard noir et rouge complétait la tenue; ses bas étaient noirs légèrement transparents. Cette femme était d’une classe hors normes et savait vous mettre le feu rien qu’en se déshabillant. Je ne sais pas ce qui m’arrivait mais j’étais l’heureux élu pour passer la soirée avec elle, je me demandais si j’allais être à la hauteur. Vu que je tardais à me déshabiller c’est elle qui s’en est chargé mon petit pull et ma chemise en premier mon pantalon et je me suis retrouvé en boxer devant elle avec une érection que je ne vous connaissais pas. En fait j’avais la pétoche que ma chérie Élodie m’appelle à ce moment-là.

Elle a commencé par passer sa main sur mon boxer pour me caresser le sexe et de l’autre main elle me caressait les fesses. Son parfum me montait à la tête, ils m’enivraient mais surtout il l’excitation, je pense que cela devait être J’adore de Dior. Puis elle est partie s’asseoir sur le lit en m’y accompagnant par ma main, elle a largement écarté ses cuisses et son tanga pour me libérer l’accès à son abricot luisant de mouille. Ce n’était pas la première fois que je descendais à la cave mais la première fois que je le faisais dans de telles circonstances. Élodie aussi adorait que je lui mange ton petit abricot, ça la mettait dans tous ses états et de mon côté j’étais toujours assez fier du résultat. Elle m’a invité à venir m’agenouiller entre ses jambes, chose que je fais avec plaisir mais surtout avec timidité. Elle sentait bon le désir, elle sentait bon la femme; l’odeur distinguée qui s’en dégageait me donnait vraiment envie de lui faire une langue. Son minou était impeccablement taillé, il n’y a pas à dire Geneviève prenait vraiment beaucoup de soin d’elle.

Bien que j’aie été un peu long à me décider de passer à l’action, j’ai fini par venir déposer ma langue sur sa toison humide. À ma grande surprise le goût de son minou était très proche de celui d’Élodie il était sucré raffiné; j’étais en train de me dire que j’allais passer beaucoup de temps entre ses cuisses. Ses lèvres étaient de grande taille, comme son clito, il était très sensible aux caresses de ma langue. Maintenant Geneviève s’était allongée sur le lit et moi j’avais passé mes mains sous ses cuisses; j’en profitais pour caresser la douceur de sa guêpière. Pendant que j’étais en train de lui manger l’entrejambe, Geneviève m’a dit qu’elle ferait de moi une bête de sexe; elle m’a promis qu’au bout d’une longue relation je finirai par impressionner ma copine officielle. À force de lui brouter le minou, je finissais par apprendre les parties sensibles de son entrejambe et je me permettais d’insister bien évidemment dessus. Je ne vous raconte pas mon moment de fierté quand elle m’a dit que pour un petit débutant et m’en sortais vraiment bien.

En espérant que cette petite histoire vous ait plu si c’est le cas j’y mettrai une semaine

Bisous à vous

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