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la copine de ma femme enceinte par mes soins – Chapitre 2

la copine de ma femme enceinte par mes soins - Chapitre 2



Ce récit est une suite de « la copine de ma femme enceinte par mes soins ».

Avec Abdul, Salim et Abdel, nous parlions souvent de Maryline qui avait répondu à toutes nos attentes. Nous lui avions fait lamour pendant plusieurs heures tous les trois et son vagin dégueulait le sperme. Abdul avait gagnait le « gros lot » puisque Maryline avait accouché dun fils noir, avec le même grain de beauté sur lépaule gauche. Ce récit nous chauffait tous les quatre, et si, le soir venu, je pouvais baiser mon épouse pour me soulager, mes trois compères, dans leurs chambres respectives, navaient que leur main pour les réconforter.

Un jour, mon épouse, accompagnée de sa jeune sur Sophie, est venue me rendre visite sur le chantier. Sophie est âgée de 22 ans, mais elle est boulotte, timide et réservée. Avec des cheveux châtain très clairs mi-longs attachés en queue de cheval, elle a un visage quelconque, avec des lunettes qui laissent entrevoir un regard fuyant. Ses yeux sont gris vert, sans fard, et elle mesure 1.68 pour environ 60 kg. Mon épouse lui dit souvent quelle devrait mieux shabiller, se maquiller et sortir plus souvent, autrement, elle risquait de finir « tante à héritage ». En plaisantant, je disais à mon épouse quelle navait jamais du voir « le loup ». Aujourdhui, elle est habillée dun jean, dun pull gris, et de baskets. Pas très sexy la belle sur ! Et je parie que lhabitat des morpions ne risquait rien avec elle !

Pourtant, je me rendis compte quAbdul la regardait avec concupiscence, et lui souriait souvent en discutant avec elle. Elle semblait sous le charme dAbdul, bien quelle baisse souvent les yeux en lui parlant.

Après leur départ, Abdul me dit quil recommencerait bien lexpérience que nous avions faite avec Maryline, mais avec Sophie. Jéclatais de rire, en lui disant : « avec ton membre de 25 cm, tu ferais trop souffrir cette pucelle, et puis, je ne voudrais pas quelle se retrouve enceinte comme Maryline, car les soupçons pourraient se porter sur nous cette fois ci, et je ne fantasme vraiment pas sur elle ».

Abdul me répondit que Sophie avait de très grand talent damoureuse, mais quil fallait les révéler.

Le soir venue, je discutais avec mon épouse de sa sur, lui demandant comment se passer ses études à luniversité, si elle avait un amoureux, si elle avait discuté « sexe » avec elle. Mon épouse maffirma que sa petite sur avait connu une fois un garçon, pendant 1 an, mais quils sétaient séparés car, à chaque fois quils faisaient lamour, le jeune homme jouissait dès quil lavait pénétrée. Par ailleurs, il voulait lobliger à faire lamour avec ses copains pour pallier cette éjaculation précoce, mais, ils étaient moches et idiots. Cela lavait complètement dégouté des hommes et de lamour. Afin déviter tout contact avec eux, elle avait adopté un look plutôt repoussant, et pris quelques kilos ! Pourtant Sophie continue toujours de prendre la pilule, preuve quelle na pas fermé la porte à toutes relations amoureuses. Notre Sophie nest peut-être pas si innocente que je le pensais !

Bien évidemment, je fis part de cette conversation le lendemain avec mes trois compères, et Abdul me confirma quil lavait ressenti en la voyant et en échangeant quelques mots avec elle. Puis il dit : « nous pourrions réparer ces traumatismes tout en nous faisant plaisir ! ». En réfléchissant, il est vrai que si nous pouvions contribuer à faire épanouir cette fleur, non seulement cela nous permettrait de jouir, mais en plus, Sophie pourrait rencontrer dautres hommes pour leur plus grand plaisir et le sien. Je demandais à Abdul comment faire, lui qui était Marabout, et qui avait une connaissance sans limite de plantes et potions en tout genre. Abdul me demanda de pouvoir être seul avec Sophie pour lui redonner lenvie de faire lamour et de plaire aux hommes. Pour cela, il faut quelle soit inconsciente pendant au moins une heure. Nous décidons de droguer Sophie et de lamener dans le baraquement occupé par Abdul, Salim et Abdel. Je donne rendez-vous à Sophie au chantier après les heures de travail sous le prétexte de vouloir acheter un cadeau. Joffre un verre deau à Sophie, contenant le produit que ma donné Abdul. Quelques instants après, Sophie sévanouit dans mes bras et nous la portons dans le baraquement de mes trois compères. Sophie est vêtue dun jean, de baskets et dun pull noir, boutonnés sur lépaule. Nous allongeons Sophie inconsciente sur le lit dAbdul qui nous demande de fermer les volets, et il éclaira 4 bougies qui donnaient une lumière particulière où les ombres bougeaient. Il nous demanda de déshabiller Sophie. Salim défit les boutons du pull, quil retira aider par Abdel pour nous laisser voir un soutien gorge blanc, vite enlevé. Les seins de Sophie sont fermes, plutôt petits, mais avec des bouts très développés. Salim et Abdel ne purent résister à les embrasser goulument, et les pointes durcirent pendant que les lèvres de Sophie sentrouvraient pour laisser passer des soupirs. Je ne restais pas inactif, puisque jai ôté ses chaussures, défait les boutons du jean, en le tirant vers le bas. Sophie navait plus que sa culotte en coton blanc qui bien vite fut retirée. Elle était allongée nue et endormie sur le lit, Abdel et Salim lui léchant toujours les pointes de ses seins. Je regardais son sexe, qui, comme je le pensais, possédé une toison très fournie de couleur châtain comme ses cheveux. Le corps de Sophie était un peu lourd avec du surpoids aux hanches et sur le ventre, autrement elle était relativement bien foutue, notamment un arrondi des fesses très jolie. Je ne pus résister à la tentation de glisser un doigt dans sa fente que je sentis humide. Abdel avait récupéré sa culotte dont le fond était vraiment taché par des marques blanches abondantes et humides. Il la renifla, sorti son sexe et se branla rapidement jusquà jouir dans la culotte. Son sperme se mêla aux taches blanches, mouillant complètement le fond du slip. Salim nen pouvait plus dattendre, il voulu baiser Sophie, mais Abdul len empêcha, lui demandant de se branler dans sa bouche. Salim mit sa queue entre les lèvres de Sophie et se caressa. Rapidement, il arriva à la jouissance, et sa semence coula dans la bouche de Sophie qui, malgré quelle soit endormie, déglutit le sperme. Jétais totalement excité, et je me précipitais entre les cuisses de Sophie pour lécher sa fente. Un parfum se dégageait de son vagin totalement trempé. Ainsi, même inconsciente, elle ressentait du plaisir. Elle était très poilue, et sa mouille collait aux poils. Je me mis à lécher cette fente et à agacer avec ma langue son clito qui grossit considérablement. Il était de la taille dun pois chiche. Son vagin coulait tellement que je ne pouvais pas absorber toutes ses secrétions qui formées maintenant une tache sur le lit dAbdul. Pendant ce temps, Abdul préparait une potion liquide marron dans une écuelle en bois, en chuchotant des mots incompréhensibles. Il nous ordonna darrêter nos ébats avec Sophie, et de nous mettre assis en tailleur derrière lui en respectant le plus grand silence. Il sassit lui-même en tailleur au pied du lit, posa lécuelle en bois devant lui entre ses jambes, et il trempa son sexe dedans. Il marmonnait toujours des phrases dans un langage que je ne connaissais pas ; Salim et Abdel, eux aussi, se mirent à murmurer des mots. Une atmosphère particulière envahit la pièce : je ressentais une communion entre les trois hommes, et ces ombres qui bougeaient à la lueur des bougies accentuaient la fantasmagorie de linstant. Soudain, je vis lincroyable se produire. Le liquide du bol disparaissait, il était absorbé par le sexe de 25 cm dAbdul ! Bientôt, il fut vide, et Abdul psalmodiait toujours. Sa verge se dressa à lhorizontale, alors il se leva et sapprocha de Sophie. Abdel et Salim frappaient dans leurs mains, à un rythme de plus en en plus fort. Ils se levèrent tout en continuant à frapper des mains, sapprochèrent de Sophie et lui écartèrent les cuisses. Abdul se coucha sur Sophie, il glissa son membre dans elle avec lenteur. Ce sexe narrêtait pas de senfoncer dans Sophie. Lorsquil fut complètement en elle, Abdul simmobilisa. Environ 30 secondes plus tard, je vis Sophie ouvrir les yeux, soulevait son bassin pour essayer denfoncer encore plus le sexe dAbdul en elle. Abdel et Salim ayant lâché ses jambes, elle les enroula autour de la taille dAbdul. Sa tête bougeait dans tous les sens et son corps tressautait comme si elle était possédée par le diable. Jétais complètement subjugué par cette scène et en même temps, je bandais comme jamais. Dailleurs, Salim et Abdel aussi avaient une érection maximale. Sophie se mit à feuler comme un animal, puis elle laissa éclater un cri aigu et elle souleva de tout son corps Abdul qui pourtant devait peser pas loin de 100 kg pour presque 2 mètres de hauteur. Elle retomba lourdement sur le lit et sendormit à nouveau, entièrement détendue. Les traits de son visage étaient apaisés. Abdul se retira délicatement de son vagin, se redressa, tituba un peu avant de sassoir sur une chaise. Quelques gouttes de liquide marron coulaient du vagin de Sophie qui dormait paisiblement. Il nous demanda dhabiller Sophie. Salim lui remit son soutien gorge, non sans lui avoir mordillé le bout des seins, je ramassais sa culotte poisseuse pour lui remettre, mais mon envie était tellement forte que je my suis branlé dedans, giclant une grande quantité de foutre dessus. Je lui remis cette culotte qui colla à sa vulve en laissant voir une tache humide qui faisait apparaître par transparence ses poils châtains, puis son jean et ses baskets. Le pull remis, nous la ramenons au chantier où nous lassîmes sur une chaise. Elle se mit à bouger et commença à se réveiller. Elle me vit, se mit à sourire, regarder Abdel, Salim et Abdul, puis repris sa conversation la où elle lavait laissé avant de sendormir. Elle croisait et décroisait les cuisses sans cesse, et passait nerveusement ses mains dans les cheveux, faisant tendre ses seins contre son pull. Les tétons pointaient sous ses vêtements. Dix minutes plus tard, Sophie se leva, nous salua et sen alla. Nous la regardions partir, et son jean était mouillé entre les cuisses sous les fesses.

Je me retournais vers Abdul dun air interrogateur. Il sourit et me raconta ce quil avait fait : « le filtre damour, tu connais ? Et bien, jai administré un filtre damour à Sophie. Ma verge a absorbé ce liquide marron et la déposé au fond de son utérus qui la complètement absorbé. Dans les jours qui viennent, Sophie va se transformer. Elle va devenir nymphomane, et surtout, elle va être amoureuse de moi. Je pourrais en faire mon esclave sexuelle pendant plusieurs mois, jusquà ce que les effets du produit injecté cessent ». Et il partit dans un rire tonitruant. Jétais sonné par ce discours, me rendant compte de limmense pouvoir de ce Marabout. « Mais tu ne lui as pas joui dans le ventre ? » lui demandais-je. « Non, juste le liquide mais le plaisir que jai retiré de cet acte est infiniment plus fort quune jouissance classique. De toute façon, pour que cela marche, il ne faut pas mettre de sperme dans le vagin en même temps que ce produit. Cest pourquoi, jai veillé à ce quaucun de vous ne remplisse son ventre de sa semence ». Je lui fis part quAbdel et moi avions joui dans sa culotte remise après, mais, apparemment, cela ne prêtait pas à conséquence, car le sperme ne peut pas alors entrer dans le vagin.

Ce soir là, à la maison, jétais songeur, repensant à cette fin daprès midi avec ma belle sur, et cette partie de sexe hors norme. La sonnerie du téléphone me tira de mes pensées. Mon épouse décroche, au bout du fil, sa surette Sophie. Quelques minutes plus tard, mon épouse me passa Sophie qui voulait me parler. Je pris le téléphone, et après les politesses dusage, je sentis un blanc et Sophie me sembla gêner. Puis elle me dit : « Robert (cest mon prénom), lorsque je suis venue te voir au chantier, jai des souvenirs confus. Jai ressenti une plénitude et de lapaisement. Je suis totalement détendue et sereine. Pourtant, le soir, lorsque je me suis déshabillée, mon jean était taché et ma culotte complètement saturée par des sécrétions. On dirait du sperme ». Un silence se fit puis elle rajouta : « vous mavez violé ? » Complètement pris au dépourvu par cette conversation, je réfléchis quelques instants, le temps de me déplacer dans une pièce où mon épouse ne puisse pas entendre notre conversation, avant de lui répondre : « Si lon tavait violé, tu ten rappellerais, et tu ne serais certainement pas détendue comme tu le prétends. » Je sentais quelle réfléchissait à ce que je lui disais. Elle me répliqua ensuite : « Je ne me souviens que du plaisir, mais je ne prends plus de contraceptions depuis que je me suis séparée de mon ex il y a deux ans, donc je ne voudrais pas tomber enceinte. Il est encore temps de prendre une pilule du lendemain si vous avez joui dans mon vagin ». Bien évidemment, je savais quaucun spermatozoïde navait pu féconder Sophie, et je lui soutins que nous navions pas abusé delle. Et puis une idée me traversa lesprit. « Tu sais Sophie, je me suis rendu compte que tu regardais sans cesse Abdul. Et comme il y a longtemps que tu nas eu dhomme, peut-être ton corps ta joué un tour en te faisant jouir sans ten rendre compte » lui dis-je perfidement. Un nouveau blanc, puis elle répondit : « Tu tes rendu compte de mon émoi ? Abdul est très beau, je ressens plein de choses rien que de parler de lui. Peut-être as-tu raison, mon corps est trop longtemps resté en jachère. Il faut que je me secoue et que je recommence à plaire. Abdul est magnifique, et je crois que je ne peux pas lui résister. Rien que de penser à lui, jai mon minou qui coule abondamment. Comme je suis vêtue que de ma chemise de nuit, ma chaise est totalement trempée. Je ne croyais pas pouvoir ressentir de tel plaisir. Je ne peux empêcher de me caresser. Humm, Abdul, ton sexe, il me le faut, ouiiiiiiiiiiiiii, je jouis comme une folle avec mon beau frère au bout du fil. Je suis une vraie salope, mais cest si bon de se faire remplir par Abdul ». Je commençais à transpirer pour ce langage si crue et cette jouissance que venait de prendre Sophie rien quen évoquant le prénom dAbdul. Je lui dis quil fallait que je raccroche le téléphone, et quelle devrait venir au chantier demain vers 17 h 00. « Oh oui, je viendrais » me répondit-elle dans un souffle, et elle raccrocha.

Encore bouleversé par cette conversation, je retournais dans le salon où mon épouse regardait la télévision, en robe de chambre et nuisette, comme dhabitude. Elle me dit : « que te voulait Sophie ? » Je lui fis part de son béguin pour Abdul, bien évidemment sans lui indiquer les raisons pour lesquelles Sophie est tombée amoureuses de ce géant noir ! « Cela peut-être lui permettra de tourner la page de son ex, et de redevenir une jeune fille comme toutes les autres. Elle ne peut pas rester sans baiser toute sa vie ! » me dit mon épouse. Pendant ce temps, elle écartait doucement les cuisses pour me montrer son minou bien net (quelle différence avec Sophie !). Je me précipitais vers elle pour lembrasser à pleine bouche. Nos langues se mêlaient, et elle me dégrafa le pantalon pour sortir ma queue tendue à lextrême après cet après midi torride et la conversation téléphonique avec Sophie. Elle prit ma queue dans sa bouche et commença une fellation profonde. « Pas besoins des produits dAbdul pour elle » pensais-je. Je sentais le plaisir monter et jenvoyais toute ma semence dans la bouche de mon épouse qui avala jusquà la dernière goutte. « Et bien, tu en avais vraiment envie ! Et moi alors que dois-je faire pour connaître le plaisir » me dit-elle avec un sourire moqueur sur les lèvres brillantes de mon sperme. Je la pris par la main et la conduisis dans la chambre. Elle fût nue très rapidement, couchée sur le lit, ma bouche collée sur sa vulve qui avait un goût différent de celui de sa sur, mais au moins, je ne risquais pas davaler des poils ! Elle me caressait les couilles avec ses doigts et jeu une nouvelle érection. Je quittais ses lèvres vaginales pour embrasser ses lèvres, sa bouche souvrit et nos langues se mêlèrent, et le parfum de son intimité et de mon sperme accentua mon envie delle. Je la pénétrais dun coup, lui arrachant un cri de plaisir. Elle mit ses jambes autour de ma taille et me dit : « baise moi fort, chéri, je taime ». Je la limais en faisant sortir et entrer mon sexe dans son vagin en alternant rapidité et lenteur. Elle se mit à feuler comme sa sur et poussa son ventre vers moi en me criant daller vite maintenant. Elle me suça les lèvres puis me mordit le cou avant de crier sa jouissance. Elle me bloqua de ses bras et de ses jambes contre elle, mempêchant tout mouvement. Je lui dis : « Lâche-moi. Je viens. Il ne faut pas jouir dans ton ventre car tu peux être enceinte ». Ne pouvant me retenir, je giclais ma semence au fond de son ventre fertile. Et elle criait : « donne moi tout, cest trop bon, jouis mon amour, fertilise moi. Je le veux ». Une fois nos sens apaisé, jembrassais tendrement mon épouse le sexe toujours dans elle. Elle remuait encore son bassin et son baisé ravivait mes sens. Je sentis mon sexe reprendre de la vigueur, et je recommençais à aller et venir dans le vagin de mon épouse et une nouvelle jouissance nous prit tous les deux. Deux fois de suite, son vagin fertile avait été fécondé par ma semence. Nous nous endormîmes profondément. Puis je me mis à fantasmer mimaginant en train de baiser Maryline ou Sophie Je sentis quelques choses de chaud contre mon ventre. Mon épouse venait dentamer une fellation pour me donner de la vigueur. Elle sinstalla sur moi et conduisit mon sexe dans son vagin. Elle montait et descendait sur ma bite alors que jétais dans un demi sommeil, mais cet état était fort agréable. Je sentis mon épouse se contracter lorsquelle enfonça ses ongles dans mes bras, et beau joueur, je lui envoyais une copieuse ration de sperme au fond de son utérus. Elle plaqua ses fesses contre mes cuisses en me disant tendrement : « Rien ne doit ressortir, laissons tes graines agir petit salaud ». Elle eu un petit rire et membrassa amoureusement. « Je veux être maman, et ma plus grande fierté, ce sera de porter notre enfant ». Je ne pus que sourire, en attirant ma femme contre moi afin de lui déposer un tendre baisé sur ses lèvres. Puis elle se redressa en mettant sa main sur sa vulve, se recoucha sur le dos pour enfiler sa culotte, un tanga noir à dentelle, en disant radieuse : « pourvu que tout reste dans mon ventre ». Nous nous levons pour aller déjeuner et nous rendre à nos travails respectifs.

Au chantier, je fis part à mes compères de la nuit avec mon épouse et de la conversation avec Sophie. Abdul rigolait en me disant que je serais certainement père dans 9 mois, car, lorsquil a vu mon épouse accompagnée de sa sur, il avait pressenti quelle était en pleine période fertile. Comme elle le lui avait demandé, Il lui avait donnée une petite fiole lui permettant de tomber enceinte dès la première goutte de sperme en elle. « Alors, avec tout ce que tu lui as mis, pas de soucis à avoir » rajouta-t-Il. Cet Abdul est vraiment diabolique avec son grand savoir. Il fut ravi que Sophie vienne en fin daprès midi, et il nous affirma que son emprise sur elle risquait dêtre totale, mais quil se réservait son vagin.

La journée se termina, et nous étions dans la baraque de chantier dAbdul lorsque nous avons entendu frapper à la porte. Abdel alla ouvrir, et nous sommes tombés « sur le cul ». Une splendide femme rentrait dans le baraquement. Chevelure ondulée châtain mi longue, des escarpins de 10 cm de haut affinant le galbe des jambes longues, gainées de bas couleur noir, une robe noire en velours sans manche avec un cur dessiné au milieu de la poitrine, fendue sur le côté droit, des yeux marron brillants soulignés par un maquillage impeccable, des lèvres pulpeuses mises en valeur par un rouge à lèvre rouge vif, un parfum envahissant se répandit dans la chambrée dès son entrée : Sophie venait de surprendre tout le monde. Le papillon avait quitté la chrysalide ! Elle sapprocha de Salim pour lui déposer un léger baisé sur la joue, elle fit de même avec Abdel, puis elle savança vers moi en me prenant dans ses bras en membrassant sur les deux joues, un sourire au lèvre, en me demandant si javais passé une bonne nuit. Enfin, elle se dirigea vers Abdul, baissa les yeux, les releva pour soutenir son regard, lui pris sa tête entre les mains et lattira contre elle, elle déposa un fougueux baisé sur ses lèvres. Elle lui susurra ensuite à loreille : « je taime, je suis toute à toi ». Nous sentions la tension érotique montée dans la pièce. Puis, sagement, Sophie sassit sur le bord du lit dAbdul, en croisant les jambes. Elle découvrit la dentelle des dim-up. Sa robe avait remonté et nous aurions pu apercevoir sa culotte si elle navait pas croisé les jambes. Abdul sapprocha delle et lui murmura quelques mots à loreille. Elle sourit, se leva et sapprocha de Salim quelle positionna à coté dAbdel. Elle se mit à genou et sortit leur sexe de leur pantalon. Les deux queues, encore molles, furent vite englouties par Sophie qui suçaient alternativement Salim puis Abdel. Je les entendais haleter puis je vis Salim se raidir. Il jouissait à grand flot dans cette bouche accueillante. Puis ce fut le tour dAbdel de lâcher sa purée dans la gorge de Sophie qui avala tout. Elle se leva, vient devant moi, passa sa main sous sa robe entre ses cuisses, me mit ses doigts sous le nez en riant et me dit : « voilà la salope que tu as fabriqué avec tes amis. Maintenant, je vais me faire baiser à nen plus finir. Jespère prendre en moi des kilomètres de bite pour mon plus grand plaisir ». Elle savança vers Abdul, lembrassa à pleine bouche, et le poussa sur le lit. Elle lui ôta ses vêtements. Abdul présentait une belle érection. Elle sassit sur cette queue en remontant sa robe, écarta son string rouge, et glissa la queue dans son vagin. « Je suis à toi, prend moi, fais moi jouir, fais de moi ton esclave. Je ferais tout ce que tu veux » dit-elle avant dembrasser Abdul quelle chevauchait avec frénésie. Elle a eu deux orgasmes avant quAbdul ne balance sa semence au fond de son utérus. Elle sallongea ensuite sur le lit, écarta les cuisses et me demanda de venir la nettoyer, en enlevant tout ce sperme qui risquait de la mettre enceinte. Je mapprochais de cette fente, et comme le voulait Sophie, je léchais tout le sperme qui coulaient et aspirait celui qui était encore dans son vagin, aujourdhui parfaitement épilé. La salope a eu encore deux orgasmes sous mes coups de langue. Ma queue me faisait mal dans mon pantalon. Elle saperçut de cet état et me dit : « branle toi sur mon sexe, mais tu ne me pénètres pas. Ce privilège est pour Abdul. Je ne me ferais baiser que sil me le permet ». Japprochais ma queue de son vagin, et commence à mastiquer. Elle glissa ses mains sur mes boules quelles caressaient tout en se passant la langue sur les lèvres. Ma semence sécrasa rapidement sur les lèvres de son vagin et sur son mont de vénus. Puis elle mit ma queue dans la bouche pour la nettoyer, en précisant quelle devait être propre pour sa grande sur ! Abdul la regardait et se marrait de cette situation. Elle demanda à Abdel et Salim de venir à leur tour la débarrasser de mon sperme sur son sexe. Ils se précipitèrent tous les deux et eurent vite fait de la laver. Ensuite, Sophie vient se blottir contre Abdul, en lui demandant un baisé. Pendant quils sembrassaient, Sophie caressait la bite dAbdul qui avait repris sa raideur. Elle souhaitait encore recevoir cette bite en elle, absorber ce sperme qui la faisait tant jouir, offrir tout son corps et son âme à cet homme qui la comblait tant. Abdul lui demanda de faire jouir dans son vagin encore Salim et Abdel qui avait leurs queues dressées à la verticale. Elle sallongea sur le lit écarta les cuisses, et héla les deux hommes qui se précipitèrent sur elle. Salim fut le premier à la prendre. Il se mit à la limer avec frénésie. Sophie regardait dans les yeux Abdul et lui dit : « regarde chéri comme il me baise. Il me fait jouir le salaud. Oh ouiiiii, je jouis et il se vide en moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ». Salim venait de jouir, il sortit sa queue et Abdel pris sa place, pendant que Salim se faisait nettoyer la queue par la bouche gourmande de Sophie. Cette dernière prit une nouvelle fois son plaisir lorsquAbdel lui envoya sa sauce au fond de lutérus. Abdul sapprocha delle et la félicita pour sa prestation. Elle se mit à ronronner comme une chatte !

Abdul nous dit alors : « Prenons la voiture et allons à lentrée de la ville au parking routier. Je pense que Sophie peut satisfaire encore quelques queues. Sophie se câlina contre Abdul en lui disant « tout ce que tu veux mon Abdul, mais cest de ta queue quil me faut ». Abdul rigola en lui tapotant les fesses et lui affirma que sa bite était à elle, mais quil adorait la voir jouir dans les bras des autres.

Sophie pris une douche et se refit une beauté. Elle grimpa dans la voiture à larrière entre Abdul et Salim qui en profitaient pour la doigter à tour de rôle. Elle gémissait, et Abdel baissa un peu le dossier du siège pour ce faire pomper le dard. Il lui balança toute la sauce au moment où nous arrivions sur le parking. Abdul me fit garer dans un coin, il descendit puis alla discuter avec quelques routiers. Il ouvrit ensuite le coffre de la voiture où une couverture avait judicieusement été posée, puis il létala par terre et fit assoir Sophie, non sans lui avoir ôté ses habits. Elle était nue ne gardant juste que ces dim up noir. Les routiers commençaient à samasser vers la voiture. Au nombre de 15, il reluquait Sophie en la traitant de sac à bite de salope et autres fioritures. Calmement, Abdul leur dit quil pourrait la baiser contre une petite participation. Abdul empocha les billets (environ 300 ), et les routiers se ruèrent sur Sophie. Le premier se mit sur elle et la baisa sauvagement. 30 secondes plus tard, il avait éjaculé dans son vagin. Un deuxième pris sa bouche alors quun troisième se mit à lembrocher de son dard. Il jouit très vite. Et ainsi de suite, les quinze routiers prirent leurs plaisirs dans la bouche et le vagin de Sophie. Une fois partie, Sophie était dans un piteux état, couverte de bleu et de sperme sur tout le corps, le vagin dégueulant de sperme, laissant une grande tache sur la couverture. Après avoir rhabillé Sophie, nous repartîmes au baraquement. Abdul nous demanda de le laisser seul avec Sophie pour la nuit. Cette dernière allait encore être baisée toute la nuit par Abdul.

Quant à moi, jeu droit au grand jeu de mon épouse qui me fit jouir en elle trois fois dans toute la nuit. Ce nest plus des gouttes quelle a eu, mais des litres ! Si après cela, elle nest pas enceinte, cest que je suis infertile !

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