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La face cachée de ma cousine – Chapitre 5

La face cachée de ma cousine - Chapitre 5



Ma mère vint gentiment me réveiller, ne m’ayant pas vu plus tôt dans la cuisine.

Bonjour chérie, c’est l’heure de se lever.

Bonjour maman, quelle heure est-il ? Je pense que je n’ai pas entendu le réveil.

Il est 8 heures, j’étais surprise de ne pas te voir manger ton petit-déjeuner. Tu te sens bien ?

Je suis très fatigué.

Ton front n’est pas chaud. Ce doit être une grosse fatigue.

Mes draps étaient tirés au maximum pour cacher mon corps nu.

Tu commences à quelle heure aujourd’hui ?

À 8h30. Je n’ai pas envie d’aller en cours maman, je préfère me reposer à la maison. Je rattraperais mon retard ce week-end.

Je dois aller au travail. Reste à la maison, tu es pâle. Je t’appelle à midi.

OK, merci maman.

Je me rendormis aussitôt, la porte fermée.

La sonnerie de mon téléphone me fit sortir de mon sommeil.

Allo !

C’est maman, comment vas-tu ?

Oui, je viens juste de me réveiller. Je me sens mieux que ce matin.

Très bien ! Tu dois être très fatiguée ! Peut-être tu as beaucoup travaillé ces derniers jours. Repose-toi ! A ce soir !

OK à ce soir.

Je partis prendre une douche pour me réveiller. Mes expériences d’hier n’arrêtaient pas de revenir en tête. J’avais senti une liberté que je n’avais pas ressentie jusqu’à présent. Une nouvelle étape dans mon épanouissement sexuel venait d’être franchie.

La sensation de l’eau chaude sur ma peau me fit beaucoup de bien. Je me sentis en harmonie et heureuse avec moi-même. Mes parents étaient au travail, et je voulais profiter de ce moment pour me balader nue dans la maison.

J’ai rapidement fait réchauffer des restes de repas en dansant nue dans la cuisine. Lorsque le repas fut prêt, je me suis assise sur le canapé en regardant la télé.

Plusieurs notifications étaient affichées sur mon téléphone. Marion, une amie de classe était surprise de mon absence. Je lui ai rapidement répondu et nous nous sommes convenus de nous voir plus tard en fin d’après-midi. Par contre, Paul avait appelé 5 fois et m’avait envoyé 8 messages. Il voulait me parler sur sa sanction qui s’était soudainement réduite à quelques heures de colle. Son message me fit sourire. Je me suis sentie manipulatrice. J’étais contente d’avoir pu enjoliver la situation à son avantage grâce à ma bouche.

L’expérience avec le proviseur ne m’avait pas laissée indifférente. C’était la première fois que je suçais une queue en présence d’autres personnes dans la pièce. En effet, j’étais cachée, mais le risque était toujours présent.

Au fur et à mesure que je repensais à mes récents ébats sexuels, une sensation de désir s’éveilla. Ma peau et mes seins commençaient à devenir plus sensibles.

Je parcourus mon corps avec une main, me caressais la poitrine, mon ventre et descendit lentement vers mon entrejambe. Les bouts de mes doigts caressèrent mon vagin, mes lèvres et mon clitoris. Je vis plusieurs fois des mouvements de haut en bas pour effleurer toutes mes parties de mon corps. J’avais envie de me faire l’amour. J’ai prolongé ce moment en m’allongeant sur le canapé et en écartant mes cuisses afin de m’introduire un doigt puis deux doigts puis trois doigts. Je ne voulais pas jouir, seulement me faire du bien, de sentir mon corps, la douceur de mes mains et l’humidité de mon vagin. J’aimais sentir mes doigts rentrer et sortir de mon intimité, j’adorais effleurer mon sexe, contourner ses formes, sentir son odeur, et sucer ma cyprine au bout de mes doigts. C’était la partie préférer de mon corps ! Une gourmandise que je ne pouvais me lacer !!

Ce moment intime dura quelques minutes, je l’interrompis pour partir récupérer mon colis au point relai. Je voulais continuer à entretenir cette attitude désinvolte, et optai à porter une robe sans sous-vêtement.

Je jetai un rapide coup d’il à la robe portée hier, cachée sous mon lit. Comment ai-je pu prendre le bus dans cet état ? Ce n’était plus une robe, elle était déformée, et des morceaux de tissu étaient collés par le sperme séché. Je l’ai mise à nettoyer dans la machine avant de partir.

Le point relai n’était pas loin, seulement à 15 minutes de chez moi. L’air frais me fit beaucoup de bien.

Depuis quelques jours, je me sentais différente, plus sûre de moi et épanouie. Je me sentais belle et désirable, nue sous cette robe mettant en valeur les formes de mon corps. J’appréciais le regard des hommes qui se posèrent sur moi. Je savais que j’avais le pouvoir de séduction, de donner un orgasme tout en pensant à ma jouissance. Le sexe m’était devenu une gourmandise, un espace où je pouvais m’amuser et m’épanouir. Le fait de penser à une verge rendit ma bouche désireuse d’en avoir une.

Le magasin était vide, la réception du colis fut rapide.

Bonjour Madame, je viens récupérer un colis, au nom de Caroline.

Bonjour Mademoiselle, pouvez-vous me donner votre carte d’identité, s’il vous plaît ?

Veuillez attendre un instant svp, me dit-elle.

Elle revient avec un carton plus imposant que j’avais imaginé.

Arrivé à la maison, je déballais le contenu sur mon lit. J’étais très excitée des jouets sexuels que j’avais achetés :

Deux godes classiques, une rose et un rouge. Le diamètre du premier est de 3,5 centimètres et le second est de 4,5 centimètres.

Un gode de 30 centimètres de long.

Un gode médium anal (3.5 centimètres de diamètre)

Boules de Geisha.

Un vibromasseur violet (4 centimètres de diamètre)

Je partis en courant dans la salle de bain pour les nettoyer. J’étais séduite par le gode anal qui avait un joli diamant rose à son extrémité. Il était magnifique !

Je les observai une nouvelle fois avec beaucoup de curiosité. Je regardais leurs longueurs, leurs largeurs, leurs textures et leurs formes. Ils étaient tous différents. Mon préféré restait le petit gode anal pesant 90 gr. J’avais envie de l’essayer en premier. J’étais curieuse de connaître les sensations de la pénétration anale. Je retirai ma robe, m’allongeai sur le lit et prit le gode. Je commençai à l’approcher lentement vers mon anus. Des frisons me parcoururent mon corps lorsqu’il fut au contact de mon orifice. Je le pris en bouche pour le lubrifier et le repositionna devant l’entrée.

Je l’enfonçai progressivement en faisant des petits mouvements circulaires. Les premiers millimètres étaient douloureux, mais rapidement, le désir et l’excitation ont pris le dessus. J’avais l’impression d’avoir découvert une nouvelle partie de mon corps. Les perceptions étaient différentes de celles ressenties lors de mes masturbations vaginales. Je pouvais sentir le muscle de mon sphincter forcer sur le gode. Instinctivement, mes hanches commencèrent à bouger en gardant le rythme de mon excitation. J’adorais sentir mon anus occupé !

Il m’était difficile de me reconnaître lorsque je me suis regardée dans la glace. Je vis une autre fille allongée sur le lit en train de se sodomiser. J’étais en transe, transpirant de plaisir. Je m’observai une nouvelle fois en laissant le gode dans l’orifice. J’avais les jambes écartées, seulement le diamant du gode était visible entre mes cuisses. Mon regard s’arrêta ensuite sur mon beau vagin, libre de tout objet. La sensation était étrange de le voir, le gode dans mon anus au lieu dans mon vagin. Je rapprochai ma main de mon premier orifice et y glissai deux doigts. Je commençais à me masturber tout en observant dans le miroir. Le poids du gode me rendit folle de plaisir.

Je devais accro à la masturbation anale !!

Je tendis mon bras pour prendre le vibromasseur, je voulais masturber mes deux trous à la fois. Au moment de l’allumer, je fus frustrée de constater qu’il n’y avait pas de pile. J’ai sauté du lit et couru toute nue vers la salle à manger pour prendre les piles de la télécommande.

Les mouvements d’ondulation de mes hanches firent glisser le gode anal de mes fesses et je le repositionnai avec le bout de mes doigts.

Un moment de panique me parcourut le corps lorsque j’entendis la sonnerie du portail. Quelqu’un était dehors !

La caméra de l’interphone me permit de reconnaître rapidement la silhouette de Marion. C’était une jolie fille toujours souriante avec de longs cheveux bruns qui faisait attention à son physique. Elle avait un corps que j’enviais.

Cette interruption m’embêta, car je devais reporter mon moment intime à plus tard. Je partis rapidement dans la chambre pour enfiler ma robe avant d’ouvrir le portail.

Oui, qui est-ce ?

C’est Marion, je t’apporte les cours !

OK, je t’ouvre.

J’ouvris le portail et je l’attendis à la porte d’entrée.

Salut, comment vas-tu ? me demande-t-elle.

Je vais mieux merci. Ce matin, ce n’était pas la grande forme. Comment étaient les cours ?

Une journée ordinaire, Paul était étonné de ne pas te voir. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais il a l’air d’être soulagé d’avoir des heures de colle comme sanction. Le proviseur adjoint l’aurait convoqué pour lui annoncer.

Ah bon ! Ce n’est pas le proviseur qui lui a annoncé, répondis- je avec surprise.

Non, il était même ravi d’avoir ses heures de colle, je n’ai pas compris pourquoi. Par contre, le surveillant Steven était très énervé aujourd’hui. Il n’arrêtait pas de s’énerver pour diverses raisons. Il était insupportable.

J’écoutais avec attention le déroulement de sa journée. J’étais fier d’avoir réussi à aider Paul. Le proviseur avait succombé à mes perversions et ne pouvait qu’accepter ce que je lui avais demandé.

Où veux-tu que l’on travaille ?

Ici ! lui dis-je sans hésitation, j’avais oublié de cacher ma collection godes exposée sur le lit.

Elle ouvrit son sac et me donna des photocopies de cours et d’exercices qui m’étaient destinées. Finalement, j’étais très contente de sa visite. Elle me montra et m’expliqua rapidement ses notes.

Le gode anal m’empêchait de rester correctement assise. Le contact du diamant sur le socle de la chaise accentue la pénétration.

Ça va Caroline ? Tu n’arrêtes pas de bouger !

Oui, ça va ? J’ai du mal à rester assisse ce soir.

Veux-tu que l’on continue à travailler, nous pouvons nous allonger sur ton lit si tu veux ?

Non ça ira, nous avons bientôt fini.

OK.

Ma mère rentra quelques minutes plus tard. Nous discutâmes toutes les trois pendant un petit moment. Elle était contente de me voir en forme, et ravie de la visite de Marion. La situation devenait incroyable, je discutais avec Marion et ma mère avec un gode dans mon cul depuis maintenant une bonne heure.

Je partis vite aux toilettes faire une petite inspection, il ne pouvait pas tomber en présence de ma mère. J’en ai aussi profité pour faire pipi, mais cette fois-ci, je mis un doigt dans mon vagin pendant que je pissais. La sensation de ce liquide chaud était agréable, j’étais surpris par sa température. Je finis par me masturber pendant quelques minutes. La sensation avec ce gode me rendait dingue de sexe, j’avais envie de retourner dans ma chambre pour reprendre mon passe-temps préféré. Les mouvements de mes doigts me déclenchèrent un orgasme. Une majorité des jets de ma jouissance coula dans la cuvette de mes toilettes. La sensation était très agréable, je gardais ma tête en extension jusqu’à la fin de mes spasmes musculaires. Ce moment de spontanéité me donna un sentiment de plénitude. Je me sentais détendue et joyeuse !

Ma mère fut surprise de me voir sortir des toilettes, ce qui me mit mal à l’aise

Ça va Caroline ? Normalement, tu ne passes pas autant de temps dans les toilettes ?

Oui ça va ?

Où est Marion ?

Elle est montée dans ta chambre.

Je partis rapidement dans ma chambre. Je vis Marion devant mon lit en train d’observer mes différents godes. Elle était immobile face à eux.

Marion, je peux t’expliquer ?

Pourquoi ? Tu crois que je ne sais pas ce que c’est, me répondit-elle en prenant un vibromasseur.

Je la vis devant moi avec un de mes nouveaux jouets dans sa main. Cette situation était devenue très bizarre. Je fermai aussitôt la porte pour éviter un autre drame.

Une sensation de honte se fit sentir lorsque mon gode anal tomba par terre. Je le regardais enduit d’un liquide visqueux puis, regardais Marion qui m’observait avec stupéfaction.

Je le ramassai rapidement et le cachait dans ma main.

Je ne sais pas quoi te dire, mais j’aimerais que cela reste entre nous. Je suis en train de découvrir ma sexualité et je suis très curieuse de découvrir de nouvelles sensations.

Depuis combien de temps as-tu ce truc ? me demanda-t-elle sans faire attention à ce que je disais.

Depuis une bonne heure, je l’avais mis avant que tu arrives.

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