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La famille de ma femme – Chapitre 1

La famille de ma femme - Chapitre 1



Camille, la jeune sur de ma femme Laura, est venu passer les vacances de printemps chez nous, soi-disant pour réviser en vue du Baccalauréat quelle affronte en fin de trimestre. Cest la première fois que je découvre son existence, ma femme ayant soigneusement écarté sa famille de notre vie. Je ne lui ai jamais demandé les raisons qui lui ont fait quitter à 23 ans la maison de son enfance pour venir comme jeune informaticienne travailler dans la société qui memploie dans la capitale. Nous avons tout de suite sympathisé (je nai que trois de plus quelle) et quelques mois après elle est devenu mon épouse. Lorsque il y a deux ans nous nous sommes mariés jai été étonné quelle ninvite pas ses parents, moi qui suis orphelin et qui nai plus quune tante éloignée, je ne comprenais pas quelle refuse sa famille.

— Je ne veux plus avoir à faire avec eux, ma-t-elle rétorqué. Tu me suffis amplement.

Tout ce que je savais cest que son grand-père qui a 70 ans maintenant, était patron de lentreprise familiale dans le centre de la France et que son père qui a épousé la fille du patron, a pris sa succession. Il doit avoir dans les 55 ans aujourdhui. Sa mère, du même âge, travaille dans la même société comme son frère aîné qui sest marié à une institutrice. Aussi je suis tombé sur le cul quand elle ma annoncé quelle avait une jeune sur, Camille.

— Tu sais Julien (Je mappelle Julien), cest la seule que je regrette dans ma famille.

— Comment se fait-il que tu ne men aies jamais parlé ?

— Euh Je sais pas.

— Quest-ce quelle fait ?

— Elle passe son bac cette année.

— Si elle te manque, invite-là à nous rendre visite, pour les prochaines vacances de printemps par exemple.

— Julien, tu veux bien ?

— Puisque je te le propose

Cest ainsi que nous avons hébergé pour 15 jours Camille, ravissante adolescente de presque 18 ans. Elle ressemble à Laura en un peu plus jeune. Cest normal puisquelles sont surs et cest avec un plaisir non dissimulé que je ladmire virevolter dans lappartement. Je me surprends à regretter quelle nait pas quelques années de plus

— Noublie pas que cest moi ta femme, me taquine Laura.

— Je naurais garde de loublier ma chérie.

Nempêche, voir évoluer cette jeunesse est un enchantement Et une torture

Mon épouse a pris quelques jours de congés pour soccuper de sa sur pour qui lattrait de la capitale est plus fort que lobligation des révisions du bac qui sapproche. Un jour je surprends une conversation.

— Papa et Nicolas notre frère, parlent souvent de toi, disait Camille. Ils regrettent ton départ.

— Je men doute, répond Laura.

— Pourquoi tes partie ? Tavais une situation qui tattendais à lusine de Papa, tu sais.

— Tu comprendras peut-être plus tard.

— Tu veux pas me dire ?

— Je préfère oublier.

Que sest-il donc passé pour que Laura coupe ainsi avec sa famille ? Le soir je linterroge sans succès, elle refuse de me donner une explication.

Camille est retournée en province. Lappartement semble étrangement vide, même ma femme regrette son départ. Je me lance un soir après de tendres effusions.

— Pourquoi on nirait pas dans ta famille ?

— Il nen est pas question !

— Même pour fêter le succès de ta sur au bac ?

— Elle ne la pas encore je te signale.

— Mais elle laura cest sûr. Alors ?

Elle ne me répond pas. Je la sens perturbée et je ninsiste pas sur le coup, mais régulièrement je reviens à la charge. De guerre lasse, lorsque Camille nous annonce sa réussite et nous invite à son anniversaire, elle accepte que nous venions chez ses parents. Nous décidons dy passer nos prochaines vacances.

La famille au grand complet nous accueille à la gare. Laura fait les présentations :

— Voici Julien mon époux Et voici mon grand-père André, ma grand-mère Marie, Papa qui sappelle Philippe, Maman Sylvie, mon frère Nicolas, son épouse Aurélie et Camille que tu connais.

Celle-ci me saute dessus pour membrasser sur les deux joues, pendant que ma femme est accaparée par le reste de la famille.

Sur le chemin de la maison japprends que le grand-père André reste président du conseil de surveillance de la société dont Philippe est PdG, que Nicolas a 30 ans et que sa femme, institutrice, 27 ans et quils nont pas encore denfants, comme nous, au grand désespoir de Sylvie la mère. Je les trouve très sympathiques et ne comprends pas pourquoi ma femme les a évités jusquà ce jour.

— Je les trouve très bien tes parents, lui dis-je en rangeant nos affaires dans notre chambre. Je suis heureux de les connaître moi qui nai plus de famille.

— Je suis contente quils te plaisent.

— Je sens que nous allons passer de bonnes vacances.

Elle ne me répond pas. Aurélie et Camille proposent de nous faire visiter les environs.

— Allez-y tous seuls, Papa veut me voir.

Je passe un excellent après-midi en compagnie de ces deux jolies femmes. De retour à la maison je cherche mon épouse.

— Elle est sûrement avec son père minforme Sylvie.

Elle ajoute avec un petit rire sarcastique :

— Tu peux les rejoindre, ils sont dans ma chambre.

A létage je crois reconnaître la voix de Laura mais je nétais pas préparé au spectacle qui mattendais quand jai ouvert la porte : ma femme nue, à quatre pattes sur le lit, et son père, le pantalon sur les chevilles, qui la pilonnait avec des « Han ! » de charretier pendant quelle gémissait à chaque coup de rein. Je referme brutalement la porte complètement abasourdi. Ma belle-mère qui mavais suivi me demande dun air goguenard :

— Ils sont là nest-ce pas ?

Je ne réplique pas et cours me réfugier dans notre chambre où je maffale sur le lit. Ma femme et son père ! Je suis tombé sur une famille incestueuse, je ne laurais jamais imaginé ! Laura vient me rejoindre quelques minutes après.

— Tas vu ?

Je ne réponds pas, inutile. Elle sassied à mes côtés sur les couvertures et parle en regardant le mur.

— Tu sais, le jour de mes 18 ans, mon grand-père ma dépucelé Depuis, lui, mon père ou mon frère me faisaient lamour. Ils mont déclaré avoir attendu ma majorité car, mont-ils dit, ils nétaient pas des pédophiles Ma mère et ma grand-mère étaient au courant mais ne leur disait rien Elles nont pas su me protéger Lont-elle voulu ? Ça me dégouttait et en même temps jétais incapable de leur résister Ça a duré quatre ans Quatre ans que quand lou lautre me coinçait dans un couloir ou me rejoignait le soir dans ma chambre je les laissais disposer de mon corps Brutalement à 22 ans, jai pris conscience que le sexe devenait une drogue pour moi, que ça ne pouvait plus continuer ainsi alors jai pris mon courage à deux mains et jai fuit malgré mon envie de continuer à les subir. Jai abandonné la situation qui métait promise dans la société et suis venue à Paris Voilà pourquoi je ne voulais pas les revoir. Javais peur de ne pouvoir me refuser à eux Puis tu as tellement insisté pour venir ici Je me suis cru plus forte que je ne suis Je croyais Mais quand Papa a posé ses mains sur moi, je navais plus de volonté Je taime tu sais Ils ont beau utiliser mon corps, cela naltère en rien mon amour pour toi, je tassure Tu men veux ? Parles-moi Dis moi que tu me comprend, que tu pardonnes

— Pourquoi ne mas-tu rien dévoilé. Je naurais pas tant insisté pour que tu renoues avec ta famille.

— Je Javais honte. Je ne savais comment tu réagirais Tu veux quon parte ?

Je massied à coté delle.

— Dis moi Laura ? Ça tas fait plaisir de revoir tes parents ?

— Ou Oui, je les aimes quand même.

— Si jaccepte de rester cela te fera plaisir ?

— Tu es un chou. Viens que je tembrasses pour la peine.

De baisers en caresses nous nous sommes retrouvés nus, lovés lun contre lautre faisant lamour

— Alors ? Cest mieux que ton père ?

— Tu es un merveilleux amant mon chéri.

— Mais cela nempêche pas que si je te laisse seule je risque fort de te retrouver baisant avec ton père, ton grand-père ou ton frère, nest-ce pas ?

— Euh Je ne peux pas les empêcher, ils ne comprendraient pas.

Nous restons enlacés, silencieux.

— Dis Quest-ce que tu penses dAurélie, la femme de mon frère ?

— Elle est presque aussi jolie que toi. Si je ne tavais pas épousé jen ferai bien mon casse-croûte ! Mais pourquoi me le demandes-tu ? Tu tiens à me la fourguer pour pouvoir fricoter à ton aise ?

— Pas du tout ! Mais vu ce que mon père ou Nicolas exigeront de moi, je naurais rien à redire si Euh Avec Aurélie Euh

— Petite compensation nest-ce pas ? Pourquoi pas avec Camille aussi ?

— Tu ny penses pas, elle est trop jeune. Ôtes-toi ça de lesprit ! Viens descendons, les autres doivent se demander ce que nous fichons.

Quel dommage que ma petite belle-sur ne soit pas majeure. Depuis sa visite chez nous jai le béguin pour elle et puisque jai lautorisation de faire un coup de canif dans le contrat de mariage, jaurais préféré que ce soit avec elle Si elle était daccord, évidement. Mais on ne peut tout avoir

La famille a lair déçue de nous voir descendre lescalier bras dessus bras dessous. Il sattendaient à une autre réaction de ma part.

Après le repas, Nicolas sapproche de mon épouse. Ostensiblement, il lentraîne vers une chambre espérant un scandale de ma part. Je fais celui qui na rien vu.

La vie sorganise. La journée quand les hommes de la famille sempressent auprès de ma femme, je ne dis mot comme si je ne le remarquais pas. Jen profite pour sortir en compagnie dAurélie et Camille qui a lair de se plaire en ma présence. Dommage, oui quel dommage quelle ne soit pas encore majeure, jen ferai bien mon ordinaire puisque Laura permet que je découche. Le soir je lui fais le compte rendu de ma journée et lui demande qui de son grand-père, son père ou son frère a bénéficié de ses faveurs.

— Aujourdhui cest grand-père. Mais tu sais, sils me baisent cest avec toi que je fais lamour, mon chéri.

Je ne sais pas si elle la fait exprès mais Camille cet après-midi est seule avec moi. Que ne donnerai-je pas pour pouvoir en profiter mais elle est trop jeune

— Tu passes de bonnes vacances, me demande-t-elle.

— Oui, oui !

— Tu ne tembêtes pas trop, parce que Laura a lair de te laisser tomber.

— Mais non quest-ce que tu timagines !

Un silence

— Je ne te plais pas ? me demande-t-elle.

— Oh si !

— On dirai pas, jai limpression que tu me fuis. Je te fais peur ?

— Oui, jai peur de ne pouvoir me maîtriser et ce ne serait pas bien puisque tu nas pas encore 18 ans.

— Cest que ça qui tempêche de maimer comme jen ai envie ? Mais je les ai eu mes 18 ans, pas plus tard que hier.

— Mais, je croyais que cétait dimanche.

— Non, ce sera ma fête danniversaire mais cela ne mempêche pas dêtre majeure depuis un jour. Tu peux membrasser sans crainte.

Elle tend les lèvres. Un coup dil à gauche et à droite : personne. Je ne résiste plus et pose la bouche sur la sienne

— Viens ! me dit-elle quand nous nous délions.

Elle mentraîne dans sa chambre et, dès la porte fermée, se jette dans mes bras.

— Embrasse-moi encore !

De nouveau ballet de nos langues. Puis fébrilement nous nous dévêtons et je la couche sur le lit. Quelle est belle ! Jai limpression de me retrouver quelques années en arrière lorsque jai fait lamour pour la première fois avec Laura Laura Elle doit être en ce moment entre les bras de son père ou de son frère. Cela efface les faibles remords de faire lamour avec sa sur. Jembrasse une nouvelle fois Camille.

— Tu sais me dit-elle, cest la première fois avec un garçon Tu me feras pas mal dis

— Mais non je ne te ferai pas mal, ait confiance.

Jembrasse sa poitrine. Les tétons roulent sous ma langue. Des seins jatteins le nombril.

— Hiii ! Tu me chatouilles !

Jécarte ses jambes et pose la bouche sur les poils qui voilent son pubis. Que cest doux ! Jextrais son petit clitoris que jexcite des lèvres.

— Ouiii !

Un baiser sur les petites lèvres et je me redresse. Ma verge, tendue à lextrême sarrête à lorée du vagin dans lequel elle pénètre dun petit centimètre. Javance, butte contre une résistance.

— Ouiii ! Fonds-toi en moi !

Jhésite, une jeune fille cest fragile. Elle donne un violent coup de rein, ma queue franchi lobstacle.

— Ouch !

— Tu as mal ?

— Ou Non Non !

Je me retire de quelques centimètres.

— Non, reste là !

Je me renfonce dans le vagin tout neuf. Cest serré, un délice !

— Ça va ?

— Oh que cest bon !

Je nai plus de crainte pour la suite et entame la danse damour.

— Camille tu Oh ! Quelle honte ! sécrie le grand-père sur le seuil de la porte. Philippe, Nicolas ! Venez maider !

Dun bond, la jeune fille se dégage et se réfugie sous les draps. Je me relève et cherche des yeux mes vêtement pour couvrir ma nudité. Plus vif que moi André les met hors de ma portée et je dois rester les bras ballants le sexe en berne au milieu de la pièce. Toute la famille est là, même Nicolas et ma femme qui nous rejoignent en se réajustant.

Sur un ordre dAndré, Philippe et son fils mimmobilisent, me tenant fermement chacun par un bras.

— Descendez-le au salon. Toi, poursuit-il en direction de Camille, habille-toi et rejoins nous.

A suivre

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