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La fille de sa mère… – Chapitre 1

La fille de sa mère... - Chapitre 1



petite introduction avant de commencer

Je suis Annie, j’ai 52 ans, je suis mère d’une ravissante jeune fille de 21 ans. Je suis veuve, maintenant depuis 6 ans. Ma fille est étudiante et vit toujours avec moi.

— Mam’s, ça y est je suis prête si tu veux ?

— J’arrive ma puce.

Cela fait maintenant plus d’un an, depuis ses 17 ans, que j’épile le maillot de ma fille, et il nous arrive souvent de nous pouponner toutes les deux et de se faire belles. Je la retrouve dans la salle de bains, le pot de (la) cire chauffée au micro-ondes dans la main, elle s’est préparée, elle m’attendait allongée sur la serviette nue comme un ver. (elle est prête, m’attend allongée sur la serviette )

— Tu es prête ma puce ? tu es sûre que tu veux un ticket de métro comme moi

— Oui Mam’s, sûre !

— Ça va te faire mal un peu, c’est la première fois !

— Oui, je sais, me dit-elle en me souriant, elle avait envie depuis quelque temps maintenant d’avoir le même maillot que moi.

Je m’exécutais donc, à épiler joyeusement le petit minou de ma fille que je découvrais de plus en plus femme depuis ses 18 ans et je découvrais aussi ses grosses et petites lèvres de plus en plus intimement au fur et à mesure que je les épilais ; elle (est) était belle. J’ai toujours été attirée par les femmes, même si j’ai refusé mon homosexualité tard (4 ans après mon mariage), aujourd’hui j’assume pleinement aimer les femmes et surtout le sexe d’une femme que j’ai toujours trouvé beau et envoûtant.

Au fur et à mesure, que je progressais à dégager de tous poils la jolie petite chatte de ma fille, je lui demandais de replier ses jambes sur elles pour que je puisse épiler son périnée et son bleuet. Je découvrais la croupe de ma fille, splendide. J’essayais de reprendre mes esprits, c’était ma fille, que je regardais ainsi, mais un désir est monté en moi, je dois l’avouer.

Après avoir fini sa croupe, je fignolais un peu entre ses lèvres et je me retournais pour attraper une pince à épiler pour fignoler le travail. Alors que je revenais sur elle, je m’aperçus que ses petites lèvres avaient grossi et formaient un joli losange qui dépassait de ses grosses lèvres.

— Ma puce, tu es émoustillée je crois, on devrait arrêter, je vais te laisser fignoler toute seule.

Je me sentais mal à l’aise, je venais d’avoir un moment d’excitation, et ma fille, à son tour, en vivait un devant mes yeux, et l’excitation en moi remontait de nouveau.

— J’avoue Maman, que je suis un peu troublée là, je ressens des choses, que je n’ai jamais senties avant.

— Tu veux dire que tu n’as jamais mouillé et jamais caressé intimement ?

— Si, bien sûr, M’man, mais là je ne sais pas, une sensation particulière, et les petites douleurs, et tes moments doux de protection, je ne sais pas comment dire, c’est très agréable. En plus, mes émotions là sont étranges car je ne pense pas à un homme, c’est une femme en face de moi, et surtout ma maman…

— oui, c’est pas très orthodoxe en effet nous étions en fait toutes les deux excitées dans un contexte qui est vraiment dérangeant   Je te propose que l’on arrête un peu ma puce, je prenais l’huile pour ôter les quelques résidus de cire. Malgré notre excitation, je caressais doucement la petite chatte de ma fille qui devenait de plus en plus plus humide, et je lui proposais que nous allions boire un thé et prendre un petit goûté.

Nous nous sommes installées dehors, au soleil, sirotant notre thé et nos petits « Pim’s à la framboise » et nous avons discuté tranquillement de choses et d’autres. Après avoir parlé d’école, de son petit ami, le sujet des caresses intimes arriva.

— Mais je n’arrive pas à jouir confortablement Maman quand je me caresse, pas comme toi !

— Comme moi ? étonnée de cette affirmation, j’étais très complice avec ma fille mais il ne me semble pas m’être caressée en sa présence !

Tu m’as déjà vu me caresser Ma puce ?

— Oui, plusieurs fois, tu jouis si fort, j’ai essayé, de jouir comme toi, mais je n’ai jamais eu un orgasme comme le tien.

Nous continuâmes à parler masturbation, lui expliquant que je lui montrerais un jour si elle le désirait.

Puis, après cette pause bien agréable, la tension était retombée, je suis allée chercher la pince à épiler pour finir rapidement son épilation. Nous nous installâmes dans le jardin pour finir.

Après un nouveau petit massage à l’huile, comme à mon habitude, je lui fis un petit « peck » sur sa chatte douce fraîchement épilée. J’en profitais mois aussi du coup, pour fignoler mon petit ticket. Ma fille me proposait de s’occuper des endroits inaccessibles pour moi, j’acceptais, j’eus le droit moi aussi à mes caresses d’huile et à mon petit bisou. Nous restâmes allongées, nues toutes les deux, au soleil, avec un livre, écoutant un peu de musique.

J’étais bien !

Après le repas, ma fille passa un peu de temps sur Skype avec son petit copain, alors que je rangeais la table. Je parlais un peu à ma maîtresse au téléphone, elle me manquait, cela faisait trois jours qu’elle était partie avec sa famille.

— Ma puce ? il y a « Coup de Foudre à Notting Hill » qui passe ce soir, ça te dit ?

— J’arrive !

Je me glissais vite sous la douche avant que le film ne commence, ma fille me rejoint quelques minutes après, ça nous arrivait souvent de prendre une douche ensemble, surtout le matin quand nous étions toutes les deux pressées.

Nous nous lavâmes le dos comme à notre habitude, puis, naturellement, pour la première fois, nous nous lavâmes toutes entières, découvrant pour la première fois le corps de chacune et toutes leurs formes. Je pris l’« Intima » et en mis une noix dans la paume de la main de ma fille, et je fis de même, et nos mains qui d’habitude se dirigeaient entre nos cuisses pour laver notre intimité cette fois-ci, nos mains se dirigèrent vers le sexe de l’autre pour nous laver mutuellement

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