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La leçon de piano – Chapitre 1

La leçon de piano - Chapitre 1



Tout a pourtant bien commencé : lorsque je suis arrivée chez Mario, il m?attendait, comme d?habitude, très guindé dans son costume sombre. Il m?a galamment aidée à enlever mon manteau et, après l?avoir suspendu à la patère du hall, il m?a accompagnée jusqu?au piano, un superbe piano à queue blanc qui trône dans l?immense pièce du rez-de-chaussée.

Mario est mon prof de piano. Je fréquente le conservatoire de Nice depuis huit ans et je me perfectionne maintenant pour pouvoir faire des concerts un peu partout en France. Mario m?a été chaudement recommandé par le conservatoire et c?est vrai que c?est un bon professeur, très exigeant et très sévère avec ses élèves, mais que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir !

Je me suis donc assise sur la banquette basse et j?ai commencé à jouer. D?abord le prélude n? 2 de Schubert, comme d?habitude. Mais là, ça n?a pas marché.

Mario est venu s?asseoir tout près de moi, il a mis sa main gauche sur la mienne et m?a montré comment il fallait que j?attaque la tierce mineure : beaucoup plus ? Moderato Cantabile ?. Je suis pleine de bonne volonté, mais il ne me lâche pas la main.

Au contraire, il la serre encore plus fort et je sens soudain sa bouche dans mon cou !

Mon dieu, que fait-il ? Sa main droite remonte déjà sur ma cuisse bronzée. Je suis pétrifiée de peur, n?osant bouger. Je n?ai rien fait qui puisse l?encourager à croire que j?éprouve quelque attirance pour lui.

Ma tenue est sage, même si ma petite robe est assez courte.

Pourtant une grande chaleur commence à m?envahir. Je ne le connais pas ! Sa main droite s?aventure sur ma poitrine et enserre mon sein.

Sa caresse est douce et je sens mon mamelon y répondre très vite en durcissant. Sa bouche remonte vers la mienne, je ferme les yeux et sa langue force le rempart de mes lèvres.

Les sensations qui m?envahissent font voler en éclat mes dernières barrières.

Ma langue s?enroule autour de la sienne et répond à son baiser. Ses mains ont franchi le rempart du tissu et progresse sur ma peau, déclenchant une multitude de frissons.

Il me déshabille complètement , ne me laissant que mes bas.

Je ne réagis pas, complètement à la merci de sa main plaquée sur mon sexe. Lorsqu?il me soulève pour m?asseoir sur le piano, je suis déjà toute mouillée.

Mes seins se dressent orgueilleusement sous ses yeux. Il en lèche délicatement les pointes, m?arrachant de petits soupirs de satisfaction, puis sa bouche descend vers ma fente et sa langue s?empare de mon clitoris qu?elle se met à titiller voluptueusement.

Je ne peux pas résister longtemps à une telle caresse.

Il est toujours habillé, et nos deux corps se reflètent dans le miroir qui tapisse le mur de la pièce. Je me laisse tomber en arrière, écartant les partitions et le verre qui garnissent le piano.

J?écarte le plus possible les jambes, consciente de m?offrir totalement et sans éprouver la moindre pudeur.

Au contraire, cette situation m?excite prodigieusement.

Je me prépare à me laisser emporter par la jouissance, lorsque je ne peux retenir un cri de dépit : il m?abandonne brusquement et se relève, plus sérieux que jamais.

— Mademoiselle, vos gammes !

Non mais, il me prend pour une conne ou quoi ? Je me redresse, l?attrape par le pantalon et le ramène vers moi.

D?un geste prompt, je descends le zip de sa braguette et mets à jour un membre fièrement érigé.

— Mes gammes ? Allons-y, Monsieur Mario !

Et je prends délicatement son membre dans ma bouche. Je le presse, le tête, l?aspire, l?entoure de ma langue. De la main droite, je soupèse ses testicules que je sens bien pleines.

Mario halète déjà et ne semble plus penser à mes gammes. Je continue mon petit manège un court instant, puis je l?abandonne à son tour, me tourne sur la banquette et lui jette un petit regard coquin :

— Moderato Cantabile, Monsieur Mario ?

Je manque de suffoquer lorsqu?il m?investit.

Son sexe monstrueux s?empare de moi et se met à me dévorer. Je l?enserre de toutes mes forces.

Je sens cette hampe glisser le long des parois distendues de mon vagin.

Mario imprime à son mouvement un rythme lent et profond.

Je l?accompagne et m?empale de plus en plus tandis que ma main descend et trouve sans peine mon clitoris gonflé de désir.

Je jouis une première fois sans rien manifester, entièrement concentrée sur mes doigts et ce pilochair. Mario ralentit un peu, puis se retire.

Le bout de son sexe hésite, puis tâtonne avant de remonter et de se placer face à l?anneau resserré de mon anus.

Je ne suis pas trop adepte de la sodomie surtout avec un sexe de ce calibre. Pourtant je le laisse faire, curieuse de ressentir de nouvelles sensations. Et je ne suis pas déçue !

Tout doucement, son gland force l?étroit passage. L?anneau cède lentement, son sexe s?introduit un tout petit peu puis se retire, avant de revenir plus profondément, déclenchant une vague de frissons voluptueux dans tout mon corps.

Sa bite est maintenant entièrement plantée en moi, mais si serrée dans l?étroit conduit que Mario ne bouge plus. C?est moi qui ne peut pas supporter cette immobilité.

Je me mets à remuer, glissant le long de sa tige humide et lorsque je sens sa semence chaude gicler hors de lui, je ne peux m?empêcher de gémir de plaisir.

Finalement, j?ai réussi à jouer tout le morceau, mais je n?imaginais pas ce qui m?attendait à la leçon suivante !

Orianne

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