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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 36

Les métamorphoses de Sylvie - Chapitre 36



36 – De nouvelles émotions.

Il était temps que j’arrive !

A peine dix minutes après mon retour, tous les meubles que j’avais demandé et qui n’avaient pas été livrés sont arrivés, démontés. Les livreurs les ont montés et les ont disposés là où je leur demandais. Ça les a occupés un bon moment.

Quand ils sont partis, je le suis rendu compte que j’avais tout juste le temps de refaire un tour de mon magasin pour vérifier que tout était en place – j’avais sorti mon plan dans ce but et je l’avais posé sur le petit meuble qui me servirait de caisse – puis de me préparer à recevoir son appel.

Je suis remontée chez moi.

Là, je me suis mise nue. Je me suis douchée et je me suis nettoyée à fond comme me l’avait appris Marc. Une fois sèche, je me suis allongée sur notre lit, les deux oreillers sous la tête, le téléphone près de mon oreille, retenu par une serviette comme il me l’avait expliqué mais surtout avec son gros cadeau, la ceinture qui allait avec et le tube de lubrifiant près de ma main droite.

Je n’ai pas eu à attendre longtemps avant que le téléphone sonne.

Comme j’ai décroché juste avant que la première sonnerie se termine, je l’ai entendu rire et il m’a dit doucement :

Bonsoir, ma douce ! Tu es mon amour impatient, non, pour avoir décroché aussi vite ?

 Oui ! Je t’aime trop, je deviens folle de toi.

Moi aussi je t’aime, ma douce. Ça me fait toujours bizarre quand je te dis ça, parce que je ne l’ai jamais dit, mais finalement c’est très doux à mon oreille.

 D’entendre ma voix ?

 Non ! Enfin, si ! mais ce qui est doux à mon oreille, c’est de te dire « Je t’aime ».

En entendant ses paroles, j’ai ressenti dans moi une joie profonde que ni l’« Alleluia » de Hændel ni le choral « Jesus bleibet meine Freude (Jesus que ma joie demeure) » de Bach, ni même – c’est tout dire – notre morceau préféré de Mozart n’auraient pu traduire. C’était le plus beau des feux d’artifice auquel j’aie jamais assisté et il provenait de l’intérieur de moi, de mon ventre, de mon sexe, de mon cerveau, c’était la plénitude totale, tout ça parce qu’il m’avait dit : « Je t’aime ». J’avais l’impression de vivre dans un autre monde, sur une planète où il n’y avait que deux habitants, lui et moi. Il a ajouté :

Dis-moi, mon amour (et il a insisté sur ce mot, me faisant repartir dans mon royaume enchanté), comment es-tu ?

Je suis dans l’attente de ton retour.

Je me doute, ma douce. Moi aussi j’ai hâte de revenir. Mais comment es-tu , en ce moment ?

Écoute, mon amour (et j’ai baissé le son de ma voix comme si j’avais eu peur que quelqu’un nous entende), je suis toute nue sur notre lit, j’ai mis nos deux oreillers sous ma tête, j’ai coincé mon téléphone avec une serviette comme tu m’as expliqué et surtout j’ai ton gros cadeau près de moi.

Il se mit à rire. Je l’entendis ensuite de demander :

Tu t’es bien nettoyée ? As-tu pris le tube de lubrifiant que je t’ai apporté avec mon « gros cadeau », comme tu dis ?

Oui je suis prête à tout !

Que voudrais-tu faire, ma chérie ?

Je n’ai pas hésité une seconde :

 Je voudrais que tu me dises comment je peux mettre ton gros truc dans mon petit trou et en même temps ma main dans mon sexe.

Il émit un petit sifflement :

 Dis donc, dis donc, Madame devient de plus en plus gourmande lorsqu’elle est loin de moi.

Oui, mais c’est par ta faute !

 Eh bien, ma chérie ! Tu es vite passée du statut de femme amoureuse à celui de folle du sexe. Il faudra que je trouve un homme qui a les mêmes dimensions que moi, si je veux que tu sois pleinement satisfaite.

Ne raconte pas de bêtises, mon amour ! C’est toi et toi seul que je veux.

D’un air satisfait, sûr de lui, il m’a répondu :

C’est bien ce que je disais !

Je lui ai rétorqué :

 Vantard ! Prétentieux !

Mais j’ai aussitôt ajouté, d’une voix suppliante :

 S’il te plaît, mon amour, explique-moi !

 Bon, on va passer aux choses sérieuses. Tu m’a bien dit que tu veux avoir mon remplaçant dans ton petit trou et que tu veux en même temps mettre ta main dans ton sexe ?

Oui ! Dis-moi comment je dois faire, je ne sais pas comment commencer.

Bon ! D’abord, il faut que tu prennes le tube de lubrifiant.

 C’est fait !

Tu l’ouvres, tu en prends une noisette et tu la mets sur ton petit trou, en insistant bien sur les bords. Tu peux en mettre aussi à l’intérieur, ma chérie, comme ça, ça passera bien mieux

Voilà, c’est fait !

Bien ! Maintenant, le plus gros : il faut que tu enduises toute ma reproduction. D’accord, mon amour ?

 Oui, surtout si tu me le demandes gentiment comme ça !

Tout en lui parlant, j’ai fait ce qu’il m’avait dit. Il a poursuivi :

Maintenant, le plus difficile pour toi, ma chérie, ça va être de guider ma… euh… représentation dans toi. Aide-toi du miroir, je ne veux pas que tu te fasses mal !

Ce fut un peu laborieux, mais j’y suis arrivée. Je lui ai appris :

 Tu sais, mon amour, je vais passer ma nuit avec toi là et pas dans mon sexe. Et je vais faire ma cuisine et manger comme ça.

 Ça me donne une idée : la prochaine fois que je serai là, je me mettrai dans ton petit trou pour la nuit. Tu veux ?

 Si tu savais… !

 Dis-moi, ma douce, tu as mis la ceinture ?

 Non, j’ai oublié.

 Fais-le, ma douce ; avec ça, je ne sortirai pas de toi, car c’est bien bloqué après toi autour de ta taille si douce et ça laisse libre toute ta féminité.

 Flatteur !

Il me faisait tout de même bien plaisir en me disant ça. J’ai donc fixé la ceinture dans la sorte d’anneau qui figurait sous le postiche qui le représentait, puis je l’ai passée comme il m’avait montré, en faisant le tour de ma taille et en la fixant là. J’étais pleine de lui, heureuse de l’avoir dans moi, même si j’aurais préféré de très loin l’original.

Je lui ai appris :

Ça y est, c’est fait. Tu ne risques pas de sortir de moi, tu sais !

Je me doute, ma douce, mais je n’en ai pas l’intention… enfin mon remplaçant.

Nous nous sommes tus quelques instants, chacun pensant certainement à quel point nous aurions aimé être réellement l’un en face de l’autre, puis je lui ai demandé :

Et attendant, je voudrais mettre main main comme tu me l’as expliqué puis fermer mon poing.

Il va falloir que tu remettes du lubrifiant, ma chérie. Mets-t-en sur la main et enfonce-la doucement dans ton sexe. Essaie, va-y, je t’attends. Surtout, ne force pas, d’accord ?

D’accord !

J’ai fait comme il m’a expliqué. Je me suis rendu compte que c’était plus facile pour moi si, au lieu de garder les jambes tendues, je les repliais. Petit à petit, avec l’aide du lubrifiant, j’ai réussi à mettre ma main droite, paume vers le haut, à l’intérieur de mon sexe. J’ai frotté à plusieurs reprises sur le petit point fripé qu’il m’avait indiqué ; à chaque fois, j’ai eu l’impression que me liquéfiais encore davantage de l’intérieur. Je sentais que je pénétrais dans une véritable fournaise gluante et, sous le dessus de mes doigts, je sentais son gros postiche qui était dans mon derrière. Lorsque j’ai réussi à enfoncer ma main en entier, jusqu’au poignet – et je n’en suis pas revenue – les doigts tendus, je lui ai dit au téléphone :

 Ça y est, mon amour.

 Je t’ai entendue, je suis sûr que tu as chatouillé le petit point que je t’ai indiqué.

Oui, mon amour, c’est délicieux. A chaque fois, j’ai eu l’impression que je me faisais pipi dans moi.

 Ce n’est pas de l’urine, tu sais, ce sont tes liqueurs les plus intimes.

Il a ajouté :

Si j’étais là, je mettrais mon nez dans ton sexe tellement j’aime ton odeur !

J’ai fermé les yeux en rêvant qu’il le faisait. Inquiet, peut-être, par mon long silence, il m’a interrogée :

 Mon amour ?

Oui ! Je suis toujours là ! Et pas prête à en partir !

 J’espère bien ! Tu crois que tu vas réussir à refermer ton joli poing dans toi ? Essaie de ne pas te faire mal, parce que tu as de fortes chances de partir très vite.

 Tant mieux ! Si je crie, tu sauras pourquoi. Ce sera pour nous deux, tu sais, je veux que tu jouisses aussi.

Oui, mais va doucement, mon amour !

J’ai suivi son conseil, j’ai ramené l’extrémité de mes doigts vers la paume de ma main, en prenant des tas de précautions. Je me sentais ouverte, encore plus gluante à l’intérieur, mes chairs se réjouissaient des frottements et j’ai fini par refermer mon poing. Là, c’est devenu du délire. J’ai fait aller mon poing fermé de haut en bas dans mon sexe,et, avec ma main gauche, j’ai remué sa grosse imitation dans mon cul. Je me suis mise à hurler, à tel point qu’il a dû l’entendre de Londres sans le téléphone.

Je me suis quasiment évanouie autour de toutes mes liqueurs.

J’ai entendu – longtemps après et de loin – sa voix inquiète qui m’appelait dans le téléphone. Il m’a demandé :

Ma douce, ça va ? Ça va ?

Oh mon amour, si tu savais ! J’ai joui comme une folle. Je me suis imaginée que tu étais là, en face de moi et que je me montrais à toi, totalement déchaînée, ouverte, coulant de partout… Oh, mon dieu !

 Qu’y a-t-il, ma douce Sylvie ?

Je viens de me regarder dans le miroir. Si tu voyais les cernes que j’ai sous les yeux !

 C’est normal, mon amour. Maintenant, il faut que tu te reposes. Si j’étais là, je te ferai un bon petit repas et après…

 Je crois que je vois la suite. Tu as raison, je vais me reposer un peu puis je vais faire mon repas et manger avec toi dans moi.

Je vais raccrocher, ma Sylvie. Reposes-toi. Dès que tu seras bien, rappelle-moi !

Oui,mon amour !

En fait, je me suis sorti la main de mon sexe, je l’ai léchée amoureusement en imaginant que lui, depuis Londres avait réussi à projeter sa semence dans moi et tout bêtement, je me suis laissée glisser dans le sommeil, sans rien manger.

Je ne me suis réveillée que le lendemain matin.

(à suivre)

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