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La maison aux volets rouges – Chapitre 2

Le réveil des sens - Chapitre 4



Depuis cette rencontre, ma vie avait complètement changé. Je ne dormais plus, je ne mangeais plus, j’étais obsédé par cette histoire et je voulais absolument résoudre cette énigme !

J’avais vraiment cru, pendant un instant, reconnaître ma jeune inconnue dans les traits de cette mamie. Je décidais donc d’espionner cette maison et son habitante afin d’élucider ma fantastique aventure !

Cette surveillance se trouva vite fastidieuse, la vieille dame ayant des occupations bien banales. Elle n’ouvrait ses volets qu’en fin de matinée, puis je la voyais vaquer à ses tâches quotidiennes, ménage, repas, etc. etc. Elle sortait pour faire quelques courses et recevait des amies de son âge. J’appris lors de l’une de ces rencontres, alors qu’une voisine l’interpellait, qu’elle s’appelait Carmen. Elle ne quittait jamais son domicile la nuit et je devenais fou, mais je persévérais.

Et puis, un soir, mon opiniâtreté fut récompensée car la vieille dame sortit enfin et je la suivis.

À la périphérie du village, elle se dirigea vers les collines environnantes. Malgré la pente assez raide, elle avançait remarquablement vite et je peinais afin de ne pas la perdre de vue.

À un moment, une autre vieille dame, sortie de je ne sais où, la rejoignit, puis une autre au bout d’un moment et d’autres encore, si bien qu’ elles se retrouvèrent à une bonne vingtaine.

Nous étions assez loin de toute présence humaine et elles entrèrent dans un petit bois. Je les distinguais parfaitement bien grâce à la lune qui était pleine cette nuit-là et au ciel parfaitement dégagé. Les filant à pas de loup, je les vis se regrouper dans une clairière dont le centre était orné d’une grosse pierre plate et me jetait dans les herbes afin qu’elles ne me vissent pas. Toutes les femmes se mirent en cercle et Carmen s’adressa au groupe :

Mes surs, le temps est propice, la lune est pleine et à son zénith, il est l’heure !

Toutes les grands-mères commencèrent alors à se dévêtir, et je regardais, médusé, ces cheveux filasse, ces peaux ridées, ces seins flasques et pendants. Je ne pus m’empêcher de ressentir du dégoût devant ce tableau obscène. Une fois nues, elles commencèrent à fredonner un air au rythme syncopé qui me fit penser à une chanson indienne sioux que j’avais pu entendre. Tout en chantant, elles commencèrent à tourner autour de la grande pierre, d’abord doucement, puis de plus en plus vite.

J’observais ce spectacle, fasciné, envoûté par le rythme lancinant et, petit à petit, j’eus l’impression que leurs cheveux reprenaient de l’éclat, que leurs chairs se raffermissaient, que leurs seins se gonflaient et se redressaient. Je n’en croyais pas mes yeux, mais, au paroxysme de leur danse, je n’avais plus devant moi que des magnifiques jeunes femmes et je remarquais que Carmen s’était également métamorphosée. Je retrouvais enfin ma belle inconnue et j’avais eu raison !

Soudainement elles s’arrêtèrent de chanter et des couples se formèrent.

Carmen, ma Carmen, se retrouva entourée de trois de ses magnifiques compagnes. Une blonde l’embrassa goulûment à pleine bouche et je vis leurs langues s’entremêler lascivement. Une deuxième, lui suça les tétons tout en malaxant ses seins lourds et une troisième lui caressa le sexe. Tout autour d’elles d’autres duos ou trio étaient en pleine action et je n’entendais que soupirs, gémissements et cris de plaisir.

J’eus devant les yeux une scène digne de mes plus grands fantasmes ! Je commençais à caresser ma bite, très très dure, à travers mon pantalon et mon slip était trempé de liquide séminal. Je faisais bien attention de rester caché tout en ne perdant pas une miette de ce fabuleux spectacle.

Tout à coup, Carmen se cambra et jouit violemment. Quelques secondes plus tard elle repoussa ses tendres assaillantes et se tourna dans ma direction et ordonna :

Assez maintenant, allez le chercher !

À ma grande surprise, une meute de femmes se précipita vers ma cachette et je fus empoigné manu militari sans avoir eu le temps d’esquisser le moindre geste.

Elles m’amenèrent à proximité de la pierre plate, me déshabillèrent et me forcèrent à m’allonger dessus. J’essayai de bouger mais, à ma grande surprise, mes membres ne m’obéissaient plus.

Carmen s’est alors approchée de moi :

Bienvenue à notre grande fête, je devrais dire notre sabbat !

Un sabbat ! Vous voulez dire comme pour les sorcières, répliquais-je.

Appelle-nous comme ça si tu veux, peu importe, l’essentiel est que tu sois là !

Je ne comprends pas, vous étiez vieilles, et puis soudain…..

Mais nous sommes toutes vieilles, très vieilles et… très jeunes à la fois comme tu peux le constater !

N’êtes vous pas censées plutôt vous accoupler avec un bouc ou avec Satan bredouillais-je.

Ha ha avec un bouc ! Et pourquoi pas un cochon ou un âne tant que tu y es ! Non ! Tu es là pour ça mon mignon.

Mais pourquoi moi ?

Pur hasard, me répondit-elle, n’importe qui d’autre aurait pu convenir.

Elle se retourna et une de ses acolytes lui tendit un petit flacon. Carmen poursuivit :

Tu vois, ce flacon contient un filtre qui va te permettre de pouvoir nous satisfaire toutes, les unes après les autres !

Je jetais un il apeuré autour de moi. Tous ces seins, ces minous poilues, taillés ou rasés ne me faisait vraiment plus d’effet et mon sexe était maintenant tout rabougri.

Mais vous êtes une vingtaine, dis-je angoissé.

Non 22 exactement me répondit-elle, mais n’ait pas peur, ta petite zigounette va devenir un vrai braquemart en quelques instants. Allez bois ça !

Incapable de résister, j’avalais le breuvage qui avait un goût infect.

Au bout de quelques secondes, mon sexe commença à gonfler puis se dressa magnifiquement sans que mon esprit n’ait eu la moindre intervention à faire.

Ahhh c’est prêt, allons-y les filles, déclara Carmen.

Elle vint tout prêt de moi, monta sur la pierre et s’empala directement sur mon dard en gémissant et se trémoussant de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle jouisse au moment où je me giclais en elle.

Elle se releva et une blonde aux petits seins vint vite prendre ma bite dans sa bouche et me suça goulûment. C’était l’extase ! Elle vint ensuite s’embrocher sur ma bite toujours au garde-à-vous. Elle était très serrée et je jouis rapidement en elle.

Une autre la remplaça rapidement et elle me tourna le dos pour me chevaucher et je put admirer son petit cul magnifique !

Mon sexe restait toujours fringant, mais la fatigue commençait à me gagner au fur et à mesure que j’éjaculais.

Je restais conscient pour la quatrième, une rousse flamboyante et la cinquième, une brunette menue puis me sentit partir dans un profond sommeil……..

Monsieur, Monsieur, réveillez-vous !

J’émergeais doucement du sommeil, allongé dans un lit et je vis l’homme qui me parlait.

Bonjour Monsieur, je suis le docteur Carbonnel et vous êtes à l’hôpital me dit-il.

Que m’est-il arrivé demandais-je.

Suite à un appel, les secours vous ont trouvé sur le bord d’une route, complètement nu et inconscient ! Vous ne vous rappelez de rien ?

Le souvenir de ma soirée arriva à la vitesse d’un TGV mais annoncer à un docteur que j’avais été drogué et violé par une bande de sorcière m’aurait valu l’asile directement.

Depuis combien de temps suis-je ici ? Demandais-je.

Depuis 3 jours ! Vous étiez dans un état d’épuisement comme je n’en avais jamais vu auparavant ! Vous souvenez vous de votre identité ?

Oui oui pas de problème.

Bien. Les gendarmes attendent dehors pour vous interroger.

Merci docteur.

Dites-moi, je ne sais pas ce que vous avez trafiqué, mais vos parties intimes sont vraiment enflammées !

Ha bon ? répondis-je piteusement.

Que m’était-il donc arrivé à la suite du « gang bang » de l’autre nuit ?

Le docteur arriva à la porte et se retourna.

Ah oui au fait, C’est une vieille dame qui vous à trouvé sur la route !

Elle était très gentille et est venue vous voir. Elle a même laissé un petit mot pour vous, sans doute pour vous donner son adresse.

Je me tournai vers la tablette à côté de mon lit et vit une enveloppe. Je la décachetais fébrilement et en sortis une petite carte de visite. Sur le recto, il y avait juste un chat noir et au verso était écrit :

« Nous sommes parties et tu ne nous retrouveras jamais !

Merci encore pour tout !

Carmen »

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