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Un autre monde – Chapitre 1

Marie, soumise et rebelle - Chapitre 6



Lundi, 5h30, le réveil sonne

— Fini les vacances; C’est re-parti pour une semaine, un mois, un an de travail pense Denis, en sortant péniblement du lit.

Sans faire de bruit, pour ne réveiller ni sa femme ni ses enfants, comme tous les jours, il s’habille, boit son café, se lave, se coiffe…

Denis est certes un jeune père de famille, mais il est resté dans sa tête le "rebelle" qu’il était ados, il a conservé ses cheveux longs et son corps de sportif haut niveau. Il a mis au placard ses Tshirt d’Hendrix, Nirvana criblés de mystérieux petits trous, revendu sa moto et trouvé un emploi très sérieux, en bureau d’étude

Ce matin, impossible d’écouter un seul flash info, que des musiques en boucles.

Bizarre

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Une fois prêt, il va pour sortir, 6h45. Le soleil est levé de puis un certain temps, pourtant le ciel a toujours ses couleurs de l’aube, mais encore plus flamboyantes que ces grands jours de pollutions ! Du jaune aux rouges, bien vifs, le bleu est quasi inexistant.

Sur le trajet pour se rendre à son travail, pas une seule voiture ne circule.

Il pense alors s’être trompé d’heure, ceci expliquerait en partie les couleurs du ciel.

Aurait-il mal réglé le réveil hier soir Regarde sa montre:

— Non, il est bien 7h00 se dit-il.

— Pas de changement d’heure, on est en plein mois d’août !

Et cette chaleur !, Certes nous sommes dans le sud de la France, mais quand-même, le temps est lourd, humide, pesant.

Sans aller jusqu’à l’usine, Denis s’arrête, téléphone à sa maison: Personne ne répond. Il appelle alors la police: personne, son travail: Idem…

Mais comment est-ce possible ? Serait-il seul sur terre ? Pourquoi lui

Certains en cette situation auraient paniqué, d’autres se seraient mis à pleurer; Mais Denis semble fasciné, très vites des idées se bousculent dans son cerveau:

— Je peux faire ce que je veux, comme je veux, quand je veux !

Direction le centre commercial, tout ce qu’il veut il peut l’avoir !.

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Il passe alors devant une plage de sable fin, généralement bondé de touriste, mais là: Vide !.

— Si je piquais une tête !, Ça rafraîchira.

Il laisse sa voiture, en plein milieu de la route, sans même la fermer à clé, passe devant les boutiques de souvenir où il prend un grand drap de bain.

Arrivé au bord de l’eau, coup d’il à droite, à gauche: Personne; Autant en profiter, Denis se déshabille intégralement, puis s’avance lentement dans l’eau. Elle est moins chaude que l’air (plus humide).

Denis est habitué à se baigner nu, mais dans sa piscine, en pleine nuit, à l’abri de tous regards; Pas sur une des plages les plus connues et fréquenté de France !

Au moment où ses bourses allaient toucher l’eau, sans même s’en rendre compte il sent poindre une érection. Il pose alors sa main devant son sexe et se laisse glisser ainsi dans l’eau. Il se caresse très posément, frôlant de ses doigts de ses testicules, remontant en suivant ses veines Il prend alors le temps de se masturber tout en douceur, en amplifiant, exagérant les allés et retours, ralentissant, accélérant, tout en se laissant bercer par les flots, jusqu’à revenir là où les vagues viennent disparaître. Allongé face au large, son bassin à ce même endroit lui donne d’agréables sensations, sa main suit alors le rythme des vagues venant s’écraser sur sa verge, coulants jusqu’au-dessus du nombril puis s’en retournant, s’écoulant sur son corps, il sent les grains de sable passer entre ses fesses, le chatouillant au passage, alors qu’une nouvelle vague revient et ainsi de suite.

En fermant les yeux, il a l’impression de s’enfoncer dans le sable, il a maintenant envi de jouir, il accélère ses gestes pour enfin arriver à la délivrance, un puissant jet dépasse son épaule, puis le suivant atterri dans son nombril, le reste s’écoule sur sa main. Il reste ainsi quelques minutes avant d’aller faire quelques brasses.

Sans même se sécher, il met le drap de bain autour de ses hanches et retourne à sa voiture. En re-passant devant les boutiques, il en profite pour se prendre un tee-shirt, un panta-court et une paire de chaussure.

Un plein étalage de bonbons. Même s’il n’est pas spécialement gourmand, Denis en sélectionne quelques-uns, les mange tout en entrant dans sa voiture. Direction le centre commercial.

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Il est déjà midi, le parking est plein; Mais toujours aucune trace de vie.

— A quoi bon chercher une place, pense t’il.

Il se "gare" encore en vrac, juste devant une des portes du centre.

Dehors, Denis écoute; Ce silence S’ajoutant aux couleurs du ciel, toujours sur naturelles, la chaleur lourde, suffocante même. La situation est à la fois existante et angoissante.

Le magasin est ouvert, toutes lumières allumées et même la clim fonctionne ! Quel soulagement, une bouffée d’air frais lui donne des frissons, a moins que ce soit autre chose…

Il grignote ci & là quelques produits très haut de gamme: délicieux, déçu par certains. Puis il arrive aux alcools, choisi la bouteille la plus chère, l’ouvre et Non, il ne va quand-même pas boire à la bouteille. Il part donc à la recherche de verre en cristal. Il passe alors par le rayon enfant:

— Un skate board ! Ca fait presque 20 ans que j’ai pas mis un pied là dessus et sur ce sol, trop cool !. Sitôt dit, il s’empare du meilleur modèle, le déballe et roulez jeunesse !.

Le bruit de la planche casse sensiblement le silence pesant de ce magasin.

Quand soudain, un bruit encore plus fort. Denis s’immobilise, son sang se glace. Que faire ?

Instinctivement, il se cache, guettant le moindre bruit.

— J’ai peut-être fait tomber un truc, pense t’il.

Puis il entend des rires: Il y donc d’autre humains !, Se dirige vers eux, la planche à roulettes sous le bras.

———— OO ————

Il entre aperçoit alors 2 superbes femmes entièrement nues, papotant, divagant dans les rayons comme si de rien n’était, rien de l’absence d’humain, rien de leurs nudités. Il les suit, les traquent, soulagé d’une présence humaine sur cette terre et subjugué par leurs charmes, les deux ont des cheveux longs, très longs, l’une blonde, l’autre châtain, toutes deux très grandes, aux formes idylliques. La blonde tient un panier déjà bien rempli, sa copine, tout sourire lui tient la main.

Elles flânent dans ce magasin, dans un monde littéralement dé humanisé. Puis, elles se dirigent vers la sortie. Sans hésiter, Denis les suit, se faufile entre les rayons, constate qu’elles ont fait comme lui, elles sont "garées" juste devant une autre porte. Elles ont un gros pick-up, il en profite, contourne & s’agrippe au pare choc arrière, pose sa planche au sol, prêt au départ. Il se demande s’il arrivera à tenir, ça fait si longtemps qu’il n’a plus fait ça !.

Par chance, elles roulent vraiment très mollement.

— Même pas marrant se dit Denis.

Après seulement quelques kilomètres (avec une pointe maximale à 40Km/h !), elles s’arrêtent devant un imposant portail, qui s’ouvre lentement.

La petite route sinueuse, bordée d’une pelouse verte, paliers, pins, olivier mène à une somptueuse villa.

Dans un virage, Denis lâche le Pick-up pour se jeter sur le bord, les bras décomposés et les doigts tout engourdis.

Il crapahute sur ce gazon, entre ces plantes exotiques, à l’ombre d’un grand pin, pour arriver en haut d’un monticule où il a une vue imprenable sur la fastueuse propriété.

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A plat ventre dans l’herbe verte, sous ses yeux & à seulement quelques mètres, une dizaine de femmes, toutes plus belle les unes que les autres, entièrement nues aux abords d’une grande piscine; Alors que certaines sont simplement allongées sur des transats, d’autres flânent & discutent.

Soudain, l’arrosage automatique se déclenche. Surpris, il se redresse et se précipite derrière le tronc du grand pin. Toutes les 5 secondes, un jet d’eau vient l’asperger. Ceci est certes agréable par cette chaleur (réelle & morale), mais il ne peut plus admirer le spectacle qui lui est offert juste derrière. Il décide de monter à l’arbre. Ca aussi ça fait un bail qu’il ne l’a plus fait, mais c’est sans problème qu’il parvient jusqu’à la première branche donnant sur la villa.

Tel un commando militaire, il rampe le long de cette branche. Une fois calé, il contemple le spectacle, quand soudain, ces yeux s’écarquillent. Parmi les sublimes créatures qui défilent sous ses yeux, il croit reconnaître:

* En premier lieu sa femme, Marie, pas de doute c’est elle: Grande blonde aux yeux très clairs, elle n’a certes pas la taille mannequin, mais au moins elle a une superbe poitrine qui rehausse la beauté de son visage d’ange.

* 2 collègues de bureau; l’une sa supérieure directe: Natacha, de taille moyenne, brune aux yeux noisette son visage comme tout son corps d’ailleurs est parfaitement proportionné, sauf peut être la poitrine que Denis imaginait à travers ses vêtements bien plus gros (sacré Wonder bras !).La seconde est indubitablement Estelle, secrétaires au service des ressources humaine, sous ses lunettes fines, son air sévère, cette petite femme a le dont d’exciter tous les hommes de l’entreprise.

* Enfin, une de ces femmes alanguies dans le jardin de cette villa ressemble à une des jeunes mères qui attendent leurs enfants, comme Denis, le soir à la sortie de l’école. Il était impossible de ne pas prêter attention à ses longues jambes, toujours montées sur talon haut et ses fesses: hypnotisantes; Tout comme ses longs cheveux noirs.

Marie est allongée, endormie dans une chaise longue; Denis est stupéfait de voir sa femme ainsi nue et insouciante, elle qui avait déjà du mal à faire l’amour avec de la lumière !.

Natacha est aussi allongée dans un transat, elle a aussi les yeux fermés, mais elle ne dors pas: une autre femme est à genoux, la tête entre ses jambes, ses mains (tout comme sa langue certainement) la caressant doucement.

La petite secrétaire sirote tranquillement un coquetel, accoudée à un bar, discutant avec une autre femme, toutes deux perchées sur des tabourets hauts, les jambes croisée pour Estelle alors que l’autre les a légèrement entrouvertes, une main sur son intimité se mouvant par des gestes très naturels d’autosatisfaction, comme si de rien n’était.

La jeune maman, dont Denis ne connais même pas le prénom, est allongée, enlacée dans les bras de deux autres femmes. Elles semblent s’être toutes endormies; Il n’y a pas de doute possible quand à leur activité ayant précédé cette sieste !.

Denis bande "comme un âne"; Mais sur une branche, c’est franchement pas confortable, c’en est même douloureux; Il soulève tant bien que mal son bassin, quand soudain:

— Crrrrrrrrraaaaac.

Ce n’est pas la chute qui blessa Denis, mais en roulant, il est stoppé par la bordure en pierre que sa tête vient heurter de plein fouet.

Inconscient, il gît sur le bord de la piscine, très vite entouré de toutes ces splendides créatures.

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Quand Denis ré-ouvre les yeux, c’est Estelle, la secrétaire des ressources humaines, qu’il voit en premier. Elle est assise à coté de lui.

Calfeutré sous de luxueux draps de soie, ce lit lui semble immense.

Il se redresse sur les coudes, touche son front.

— Ca c’est de la bosse, s’exclame t’il.

— T’as de la chance que Chantal soit diplômée en médecine, lui rétorque Estelle, ajoutant:

— T’a dormis plus de 24h d’affilés, il est 18h30 !.

Alors qu’elle allait partir, Denis l’interpelle:

— Estelle, attend; Tu pourrais peut-être m’expliquer ce qui se passe !.

La jeune secrétaire se retourne stupéfaite;

— Comment connais-tu mon prénom ?.

— Bé quand-même, on se voit presque tous les jours au travail, on discute On se connaît quoi !

— Non, je crois pas, lui répond Estelle.

— Bouge pas, je vais chercher Chantal, soit ce qu’elle t’a donné te fait délirer, soit le choc t’a causé de plus graves séquelles qu’on pensait !.

Elle quitte alors la pièce, que Denis prend le temps de contempler. Elle est très grande, une ambiance "mille et une nuit", dans les tons rouges, oranges & jaunes. La lumière, filtrée par des rideaux de fines lamelles, y pénètre par une immense baie vitrée donnant directement sur la piscine. Moquette au sol et tenture suspendue au plafond, rendent ce lieux particulièrement accueillant.

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Toutes les femmes entrent alors dans cette pièce; En tête, probablement "Chantal", qui prend la parole.

— Il a fait un beau dodo ce grand garçon !. Estelle nous expliquait que vous travaillez avec elle ?.

Etonné par cette question, Denis réplique:

— Bien sur !, Explique leur Marie.

— Tu connais Marie aussi ? lui lance le docteur surprise.

— Forcement, c’est ma femme ! Et Natacha (la désignant du doigt), c’est ma chef et madame, là aux long cheveux noir: Elle attend tous les soirs son enfant à la sortie de l’école…

Voyant le regard de ces femmes, Denis panique, s’inquiète; Il implore:

— Aide-moi Marie, t’est ma femme, et  !?

— Je le saurais si nous étions mariés se défend celle-ci.

La jeune mère s’approche de Denis, ses longs cheveux cachent son sein droit, elle s’assoie tout contre lui, pose sa main sur son front avant de lui parler tout doucement.

— Alors: un, je n’ai pas d’enfant et deux, si je t’avais déjà vu, je m’en souviendrai !. Beau gosse; Lui lança t’elle accompagné d’un clin d’il.

Denis se tourne alors vers Marie, l’observe. Elle n’a pas son alliance ! C’est pourtant bien elle !. Comprenant qu’elles ne le connaissent (reconnaissent) réellement pas, il laisse tomber, lance un grand sourire à la maman (sans enfant donc !) assise contre lui.

— Je plaisantais !, bien sur que je ne vous connais pas !; En vous observant en cachette j’ai juste relevé vos prénoms et improvisé

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