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La patronne de ma mère est une cougar – Chapitre 5

La patronne de ma mère est une cougar - Chapitre 5



Salut c’est votre folle de lycra

Dans les épisodes précédents, je vous racontais comment la DRH de ma mère s’était chargée de mon éducation intime à partir d’une soirée de fin d’année au boulot de ma mère. Ce soir-là elle m’avait déjà fait découvrir les plaisirs charnels puis ensuite nous avions fait ça chez elle. C’est aussi à cette occasion que j’avais découvert le plaisir de porter ses petites culottes usagées et surtout odorantes. Désormais quand j’allais travailler chez Muriel, je revenais avec une de ses petites culottes sur moi, ce qui me troublait toute la soirée et souvent je m’endormais dedans. J’avais aussi découvert le plaisir de porter de longues et douces robes fournies toujours par Muriel. À force de me parler de ma mère Christiane, Muriel m’avait fait regarder ma mère sous un il différent.

C’est ainsi qu’un soir tout est parti en sucette à la maison avec ma mère. Christiane était vêtue d’un body ainsi que d’un legging tous les deux en lycra, cela mettait magnifiquement son corps en valeur. Sous mon short et mon t-shirt je portais un tanga de Muriel qui sentait très fort la femme. Je ne sais pas ce qui s’est passé ce soir-là, mais ma mère me faisait méchamment bander et je ne sais pas pourquoi elle s’était fortement décoincée ce jour-là. La journée je prenais plaisir à la sentir collée à moi et manifestement il y avait réciprocité dans ce sentiment. Quand le soir elle a saisi mon sexe à travers mon short je n’en pouvais plus d’excitation. Pour la première fois de ma vie, ce jour-là j’avais une énorme envie de faire l’amour à ma mère.

Maintenant sa main me caressait littéralement le sexe et je me laissais faire, j’en voulais maintenant encore plus. À ma grande surprise elle savait y faire, de sa main droite elle me tenait le sexe, pendant que de sa main gauche elle m’a caressait les fesses et surtout la fente. Mes cuisses avaient maintenant aussi le droit à ses caresses et j’en arrivais à me tortiller tellement elle maîtrisait cet art. C’est vrai qu’il est incertain qu’à ce stade, la caresse peut se relever être de l’art, j’ondulais du corps et en arrivais à pousser des petits cris, tellement ma mère était une artiste. L’espace d’un instant ses deux mains se sont coordonnées pour faire descendre mon short.

J’étais désormais grillé, j’avais la honte de ma vie, car ma mère était là à constater que sous mon short, je portais un trophée de Muriel

— Alors comme ça tu portes des dessous féminins.

— Il est de très belle facture, mais il sent très fort la femme.

— Je comprends parfaitement que tu le gardes sur toi car cette odeur est enivrante.

En plus de voir que je portais un tanga féminin souillé, elle pouvait aussi constater que la moitié de mon sexe était hors du contenant.

— Quand je vois l’état de ton sexe, je peux en conclure que tu as envie de moi.

— Quand je sens l’odeur et la moiteur de ce tanga, je me dis que tu as fait l’amour aujourd’hui.

Je commençais à avoir peur qu’elle en tire la conclusion fatidique.

— Ne me dis pas que tu t’envoies en l’air avec Muriel…

Je me sentais comme une souris sur le point de se faire manger par le chat qui l’a coincée dans un coin. Lentement mais sûrement ma mère était en train de découvrir le pot aux roses. En même temps maintenant elle était en train de me caresser le sexe dans son intégralité dont une partie était à l’extérieur. Jamais je n’aurais cru que ma mère était à ce point experte, pour donner du plaisir à un homme juste avec ses mains. Maman avait l’air admirative devant la taille de mon prépuce et elle n’a pu se retenir de lui déposer un baiser. J’étais à deux doigts de lui prendre la tête pour lui coller mon sexe dans la bouche, mais c’était ma maman.

Maintenant elle avait complètement libéré la bête et quelques instants plus tard, ce dont je rêvais maman le réalisait. Christiane venait de prendre mon sexe en bouche, le fait que ce soit ma maman m’excitait d’une façon impensable, à tel point qu’il fallait que je me retienne fort pour ne pas éjaculer dans sa bouche. Maintenant mon sexe allait et venait dans sa bouche, j’étais complètement à sa merci et elle me regardait dans des yeux provocateurs. Il n’y a pas à dire, je ne savais que subir avec les femmes, mais en même temps cela était quand même source de grands plaisirs.

— Alors ma chef, est-ce qu’il te fait ça comme ça ?

Je n’osais pas trop relever ce genre de commentaires, même si au fond de moi, ma mère n’avait rien à envier aux performances buccales de Muriel.

Maintenant sa main gauche était en train de me caresser la vallée de mes fesses, il n’y avait juste que le tissu du tanga qui séparait ses doigts de mon petit trou. J’avais honte à me tortiller dans tous les sens, mais sa caresse me faisait un effet monstre, j’avais envie qu’elle aille encore plus loin. J’avais vraiment l’impression de découvrir ma mère sous un autre angle, et si ma maman que je croyais innocente était en fait une grande gourmande.

— Muriel t’a quand même bien dévergondé, car elle t’a fait rentrer de chez elle avec un de ses tangas poisseux.

— Je sens que tu te retiens mon fiston, laisse-toi aller, je serais vraiment très heureuse de recevoir ta liqueur au fond de la gorge.

Maman venait de franchir une étape en saisissant mes deux globes fessiers et les écartant au maximum.

À la voir agir, ainsi elle n’en était pas à son coup d’essai. Quelques instants plus tard, elle était en train de me chatouiller la rondelle, décidément les femmes en voulaient à mon petit cul. Elle a stoppé quelques instants la fellation, qu’elle me pratiquait, pour déposer de la salive sur ses doigts. Quelques instants plus tard, le lubrifiant naturel se retrouvait à l’entrée de mon issue de secours et ma maman était en train de me caresser mon illet.

— On dirait que mon fiston est bien sensible de la rondelle.

Que pouvais-je répondre à cette constatation, c’était une réalité, j’adorais me faire titiller mon petit trou. Maintenant maman avait pris possession de mon anus et elle y avait au moins rentré trois doigts et même peut-être quatre. J’étais assez surpris par la capacité d’accueil de ma face cachée.

Décidément les femmes de l’âge de Muriel et Christiane ont pas mal d’expérience, même si certaines le cache bien. Jamais je n’aurais cru ma mère capable de faire ça et encore moins à moi. J’en étais arrivé à un stade où je ne savais plus si c’était le côté pile ou le côté face qui me donnait plus de plaisir.

— Je ne pensais vraiment pas te mettre dans un tel état avec ces caresses.

— Manifestement ce n’est pas la première fois que l’on vient te caresser là.

— Ne me dis pas que ma chef est aussi venue te caresser à cet endroit.

C’est par des petits mots que je lui répondais maintenant par l’affirmative, elle constatait ainsi que sa chef m’avait totalement pris en main au niveau de ma sexualité. Elle était sans arrêt en train d’interrompre la fellation, pour déposer de la salive sur ses doigts et ainsi me lubrifier le petit trou ce qui lui permettait de mettre ses doigts toujours plus loin.

Ma mère était maintenant en train de me faire jouir mais pas une petite jouissance comme ça, une jouissance dont on se souvient très longtemps. Vous allez me dire quen même temps, au niveau expérience sexuelle, je n’avais pas beaucoup d’antécédents, mais mon petit doigt me dit que je partais sur de bonnes bases. Je sentais sa langue jouer avec la base de mon prépuce, mais aussi jouer avec les veines gonflées de mon sexe. J’étais complètement perturbé et retourné que ma maman me fasse ça, mais en même temps elle me le faisait si bien. Maintenant elle se limitait à ne me mettre que trois doigts dans mon intimité et de son autre main elle me caressait l’arrière des cuisses où j’ai découvert une zone hyper érogène.

De cette manière, elle venait aussi me pincer les tétons, c’est à cette occasion que j’ai découvert que c’était douloureux mais aussi source de plaisir. Maman, que je croyais coincée, était en fait une femme formidable pour faire l’amour, et nous n’en étions qu’aux préliminaires. J’étais parfaitement conscient qu’au rythme où nous allions, cela allait finir au lit mais j’avais quand même un blocage. De son côté ma mère ne se posait pas de question, elle se laissait aller à me donner du plaisir et manifestement l’étape suivante à ses yeux, était l’acte sexuel au lit. Je ne savais pas trop si j’allais tenir jusqu’à ce que nous nous retrouvions dans sa chambre, j’essayais de savourer l’instant présent et je vous garantis qu’il y avait à faire. À force de me besogner de cette façon et malgré mes efforts à me retenir j’ai fini par éjaculer.

Sur le coup je voulais me retirer de la bouche de maman, mais cette dernière s’est fermement accrochée à moi pour récupérer toute la liqueur que j’étais en train de balancer. J’étais en train de regarder ma mère qui continuait à aller et venir sur mon sexe et continuait à me donner de précis coups de langue. Christiane n’en gaspillait pas une goutte et elle avalait tout avec sans aucun doute beaucoup de gourmandise vue l’attention qu’elle continuait à avoir pour ma queue. À force de rester accrochée à mes cuisses et surtout, de continuer à me sucer, cela commençait à devenir insoutenable. Maintenant le contrecoup de mon éjaculation se faisait sentir, j’avais envie de m’asseoir ou m’allonger pour reprendre mes esprits. Heureusement que maintenant j’étais adossé au plan de travail de la cuisine.

Quand maman a estimé que la pipe était finie, elle s’est relevée pour me regarder dans les yeux et surtout pour venir m’embrasser. Pour la première fois de ma vie ma langue rencontrait celle de ma mère et nos lèvres faisaient de même.

— J’ai réussi à discerner le goût de la cyprine de Muriel.

— Je comprends parfaitement que cette odeur te trouble, car même moi, l’odeur du Minou de ma DRH me perturbe.

Le temps de me confesser ces quelques mots et maman se remettait à m’embrasser, au début j’étais réticent mais vu son talent à embrasser, j’ai fini par l’embrasser aussi avec passion. C’est ma mère qui menait les opérations, je prenais grand plaisir à ainsi me faire diriger par ma maman dans de telles circonstances.

Bien que ma génitrice m’ait vidé le dard, voilà quelques instants, ses caresses faisaient que mon kiki n’avait pas dégonflé. Elle m’a pris par la main pour m’emmener dans sa chambre, et là j’ai su qu’elle allait passer à la casserole. Elle s’est assise sur son lit pour se débarrasser de son legging, avant de s’y allonger les jambes bien écartées. La vue que j’avais sur le corps de ma mère était magnifique même si je ne voyais ni sa poitrine, ni sa moule ; le fait d’avoir à tout deviner à travers son body en lycra ne faisait que m’exciter encore plus. Il y avait une énorme auréole de mouille au niveau de son entrejambe, et je ne vous raconte pas l’odeur totalement identique à celle de sa culotte que j’avais sentie récemment.

— Viens me butiner mon abricot mon petit cochon.

Étant littéralement dans un état second, je ne me suis pas fait prier pour venir me positionner en haut de son entrejambe.

J’étais maintenant à genoux sur le lit, entre ses cuisses et de ma main gauche, j’écartai la partie basse du body de ma maman. Maintenant j’avais une vue parfaite sur le sexe de ma mère il était très bien entretenu et me faisait très envie. C’est le désir et l’excitation qui m’ont poussé à commencer à lui lécher l’abricot, Muriel avait le coup d’il car maman était vraiment un bon coup. Juste à saisir la partie basse du body de maman, les doigts de ma main gauche étaient tout humides de nectar féminin. Mes petits coups de langue timides et explorateurs étaient en train de devenir des coups de langue experts. Je prenais d’autant plus confiance en moi, qu’à chacun de mes coups de langue, je sentais ma maman sursauter ou soupirer de plaisir. J’étais en train de découvrir l’anatomie intime de Christiane. J’avais d’autant plus de mérite, que je le faisais les yeux fermés et juste avec la pointe de ma langue je ne découvrais que les parties sensibles et je peux vous garantir qu’il y en avait beaucoup.

J’étais en train de donner du plaisir à la femme qui m’avait donné la vie, je découvrais l’odeur et le goût de son minou. J’étais en train de donner des coups de langue, à l’endroit où j’étais passé voilà un peu plus de dix-huit ans. Christiane avait l’air très heureuse que le fruit de ses entrailles soit en train de lui donner du plaisir. Elle avait maintenant redressé ses jambes, tout comme si elle les avait dans les étriers de la table de travail lorsque je vis le jour. Cela me faisait tout drôle car lors de mes moments d’égarement, je voyais des photos de moi petit dans les bras de maman sur la table de nuit, ou un peu plus grand sur ses genoux sur une commode et là maintenant à cet instant j’étais en train de lui faire du bien. J’étais en train de constater que le corps de ma mère n’était qu’une zone érogène, partout où je la touchais cela la faisait sursauter de plaisir, maman était chaude comme les braises.

Par moment elle me tenait la tête fermement, sans doute pour que la pointe de ma langue appuie avec plus d’insistance à un endroit bien défini. Je prenais un plaisir indicible à lui caresser le corps recouvert de lycra, la douceur de cette matière ne me laissait pas indifférent et manifestement, maman non plus. Bien évidemment mon sexe était toujours sorti de mon tanga, maintenant il ne rêvait plus que d’une chose pénétrer sa génitrice. Christiane m’a ensuite tiré à elle pour que je l’embrasse, il allait de soi que mon visage allait être recouvert de son nectar intime. Au vu du baiser passionné que nous avons échangé cela n’avait pas l’air de la déranger. Le problème c’est que maintenant j’étais remonté sur son corps et mon sexe était à la hauteur du sien. Mon désir faisait que je n’arrêtais pas de donner des coups de reins dans le vide avec mon sexe rigide comme une barre de fer.

Avec tout le nectar que produisait maman, mon sexe s’en est retrouvé enduit en quelques secondes, l’avantage c’est qu’au moment de la pénétration il n’y aurait aucun frottement. D’une main maman me tenait le visage et de l’autre elle jouait à se caresser l’entrejambe avec mon sexe. Moi qui avais éjaculé voilà peu dans la bouche de ma mère, j’en étais à me demander combien de temps j’allais pouvoir tenir à nouveau avant d’éjaculer.

— Cela faisait tellement longtemps que j’attendais ce moment.

— J’aurais juste voulu avoir ton pucelage mais c’est ma DRH qui te l’a pris, je suis jalouse.

Après ces quelques mots et s’est remise à m’embrasser avec toujours autant d’application et de gourmandise. C’est vrai qu’avec le recul j’aurais préféré que ce soit Christiane qui me fasse homme, plutôt que Muriel, même si je ne regrette pas ce que j’ai fait avec la patronne de ma mère.

Moi, qui jusqu’à maintenant, je n’avais fait qu’entendre parler du terme inceste, j’étais maintenant tête baissée dedans et je ne savais pas trop quoi en dire. Maintenant maman se frottait avec de plus en plus d’insistance son sexe avec le mien, de mon côté je continuais à donner des coups de reins dans le vide car j’étais vraiment en chaleur. Puis maman a saisi mes fesses, m’a bien plaqué contre elle et les coups de reins que je donnais sont arrivés ce coup-ci dans son minou. Je venais de pénétrer ma maman, pour notre plus grand plaisir, je découvrais l’étroitesse de son vagin mais surtout sa capacité de contraction qui me faisait un bien fou.

— Tu es vraiment un bon étalon et tu es en train de me faire un bien monstre.

J’ai pris ça comme un compliment et cela m’a motivé à donner des coups de boutoir toujours plus intenses et plus puissants au fond de ma maman.

Pendant que j’étais en train d’aller et venir dans ma mère, je repensais à ce que me disait Muriel comme quoi ma génitrice devait être un bon coup. Manifestement elle avait le coup d’il, je ne sais pas si j’oserai lui dire que j’ai fait l’amour à ma mère, même si je savais que si elle venait à me travailler, je ne saurais pas garder le secret bien longtemps.

— Baise-moi mon fiston, fais-moi du bien.

— J’ai l’impression que les dimensions de ton sexe sont parfaites pour mon vagin.

Maintenant maman m’embrassait avec passion et de temps à autre, elle me griffait le dos. En petit con que j’étais encore, plutôt que me concentrer à donner du plaisir à ma mère ; j’étais en train d’essayer de comparer les prestations de Muriel et celle de ma maman. Nos corps se collaient l’un à l’autre car Christiane était maintenant en sueur et elle était accrochée à mon corps qui ne faisait que remuer de haut en bas.

À force d’un si besogner maman, je réalisais que ce mouvement me faisait travailler les abdos car je commençais à avoir mal à ces derniers. Devais-je en conclure que c’était une technique pour se faire de belles tablettes de chocolat… Maman a commencé à contracter, par saccades, tout son corps en même temps que son vagin, c’était vraiment divin. Cela annonçait surtout une jouissance prochaine et en même temps cela m’arrangerait, car moi aussi j’avais envie de partir en maman. Je me suis mis à paniquer quelques instants quand elle s’est mise à crier, je n’ai trouvé d’autre solution que de l’embrasser pour étouffer ses cris. Après être parti dans la bouche de ma mère, je venais maintenant de la féconder de la plus belle des façons. Je me sentais honteux mais heureux en même temps était-ce à ce point condamnable ou réprimandable que de donner du plaisir à sa maman.

Ce chapitre prend fin en espérant qu’il vous ait plu

Bisous à vous

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