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La table cassée – Chapitre 1

La table cassée - Chapitre 1



Cette histoire s?est déroulée il y a un an. Elle a bouleversé notre vie de couple, comme un électrochoc. Vous faire partager ces instants est pour moi comme un nécessaire exutoire.

    Sonia est une femme étonnante : discrète, svelte, pas très grande, on la prendra encore pour une jeune fille dans dix ans. Victimes du train-train quotidien, nos rapports s?apparentaient plus depuis quelques années à une sorte d?éternelle répétition sans fin. Je m?étais plié aux exigences de ma femme qui avait du mal à supporter certains de mes désirs. Ainsi je ne pouvais plus la caresser de ma langue; évidemment, en retour je n?avais plus droit aux douces fellations dont elle avait pourtant le secret. Nous ne faisions l?amour qu?épisodiquement, uniquement le soir, et nous endormions chacun de notre côté sans un mot. Si j?en avais parlé avec quiconque, on m?aurait suggéré qu?elle me trompait, ou que je devais remettre en question ma virilité, mais c?eût été méconnaître Sonia, qui m?aimait profondément, d?un amour sincère et par ailleurs réciproque. De nos étreintes, elle jouissait assez souvent, mais elle n?avait aucune exubérance dans son plaisir. Depuis environ un an, j?avais décidé de tout faire pour sauver notre couple de cet état qui ne pouvait durer éternellement : notre ménage était en danger.

    Je commençai donc à réfléchir aux différentes causes de cette lente déchéance. Il semblait que cette situation semblait toucher un grand nombre de couples et qu?une introspection était nécessaire avant de commettre l?irréparable. Je m?étais d?abord remis en cause, probablement de façon trop catégorique, ce qui me plongea dans une dépression sévère que j?eus du mal à dissimuler. Sans l?aide d?un ami psychologue auquel je me confiai, je ne sais ce que je serais devenu. Il me conseilla de chercher plutôt dans les points communs de notre histoire, et c?est probablement ce qui m?amena à mettre en évidence notre inexpérience réciproque dans le domaine sexuel. En effet, ni Sonia, ni moi n?avions eu de véritable vie sexuelle avant de nous connaître, notre rencontre, puis notre mariage avaient scellé une sorte d?amour pur, telle une image d?Epinal du couple idéalisé. Petit à petit germa en moi l?idée que je devais offrir à ma femme une forme de récréation sexuelle, à même de réveiller le potentiel que je lui connaissais. Cette pulsion était cependant pondérée par la peur de la perdre, et je la considérai comme un honteux fantasme qu?il valait mieux refouler.

    Malgré une réflexion de plusieurs mois, rien de bien sérieux ne permit d?opérer un sensible changement de cap dans le cabotinage de nos ébats nocturnes. Malgré moi, j?en revenais toujours à la même option. Qui étais-je donc pour imaginer mettre ma femme dans les bras d?un autre ? Je pense que je mis réellement ce projet en ?uvre lorsque je compris que cette expérience profiterait au moins, sinon plus à ma propre libido. En effet, imaginer ma douce épouse se faire pénétrer par un autre m?excitait étrangement, et je dois dire que j?en éprouvais une sorte de culpabilité redoutable.

    Un autre problème survint lorsque j?ébauchai mon plan : je voulais profiter de cet adultère, être spectateur indiscret de cet acte, ressentir à plein la dualité des sentiments de mon épouse, qui, j?en étais sûr, serait torturée par une pareille situation de tromperie. Car ce que je voulais au delà de tout, c?était de la voir jouir, plus fort, autrement, qu?elle en profite. Je voulais la voir hurler, pleurer de plaisir. Je voulais qu?elle découvre enfin son véritable jardin secret. Malheureusement, Sonia n?aurait jamais accepté une relation à trois : nous en avions parlé très indirectement à l?occasion d?une soirée entre amis et je n?avais jamais osé à nouveau aborder le sujet.

    Il me fallait donc trouver un homme, une occasion, et le moyen d?en profiter aux premières loges. En comparaison avec la longue réflexion qui m?avait amené à cette décision, finalement, je résolus très rapidement ces trois problèmes.

    L?homme sur lequel je jetai mon dévolu était Antoine, une relation de longue date avec lequel je n?entretenais pas de véritables rapports d?amitié. Nous nous étions connus au travail, il effectuait l?assistance technique pour des appareils de biologie que j?utilisais à mon cabinet médical il y a plus de quinze ans. Même si je n?avais plus besoin de ses services depuis de longues années suite à une restructuration, nous partagions de loin en loin le plaisir d?un match de tennis, ce qui était plus pour nous l?occasion de passer un moment entre hommes. Sa vie conjugale avait pris une tournure dramatique depuis que son épouse avait été terrassée par une attaque cérébrale qui l?avait rendue définitivement paralysée. Il avait accepté cette situation avec un admirable courage, qui en disait long sur l?amour qu?il portait à sa femme. A son domicile, une aide médicale était présente en permanence, ce qui lui évitait l?épouvantable épreuve de l?hospitalisation au long cours. Après quelques années, il arrivait à évoquer avec moi le néant de sa vie sexuelle. Il m?avait confié que jamais il ne pourrait la tromper. S?il n?avait jamais cédé à la tentation, j?avais à plusieurs reprises remarqué que le physique de ma femme ne semblait pas le laisser indifférent. Sonia ne s?en était jamais rendue compte, et connaissant Antoine, elle n?aurait jamais imaginé de telles pensées de sa part.

    Il fallait que je persuade Antoine de commettre l?irréparable? avec ma femme de surcroît. J?avais envisagé dans un premier temps d?évoquer un problème d?impuissance qui me tarauderait au point de vouloir offrir un vrai rapport sexuel à ma moitié. J?optai finalement pour la franchise. Nos conversations masculines tournant souvent autour du sujet, je n?eus aucun mal à le faire parler de son état de manque. De but en blanc, je lui coupai la parole en lui demandant ce qu?il pensait de ma femme. Je m?amusai intérieurement de le voir, gêné, feindre de ne pas comprendre ma question. Je pris la parole et lui expliquait rapidement la situation de notre couple. Il refusa tout net, ce qui était prévisible, mais je revins à la charge quinze jours plus tard. Il avait manifestement réfléchi à ma proposition puisqu?il me posa deux conditions : je ne devais rien révéler ni à Sonia ni à sa femme, et tout devait se passer chez moi. J?acceptai spontanément.

    Les quelques jours de réflexion d?Antoine me permirent d?échafauder un plan capable de faire céder ma tendre et fidèle épouse. Il était bien entendu hors de question de procéder avec Sonia comme avec Antoine. Aussi m?appliquai-je à évoquer çà et là, au gré de nos conversations, le triste sort de mon ami, enfermé dans sa solitude. Un homme comme lui avait des besoins physiques, que la situation de son couple ne pouvait assouvir. J?eus presque honte de ces méthodes perverses, car je voyais bien que Sonia prenait pitié d?Antoine. Elle me demanda s?il n?avait pas recours à des prostituées, et je l?assurai qu?il en était bien incapable. Je vis dans son regard une si grande compassion, que je sus que je tenais le bon bout. Je lui demandai enfin d?essayer à l?occasion, d?évoquer le problème et de le convaincre de faire quelque chose, de donner son avis de femme, ce qui pourrait peut-être le soulager. A ses yeux, je vis que Sonia trouva cette idée quelque peu osée, mais elle accepta distraitement, sans conviction.

    L?occasion se présenta le mercredi suivant. J?avais invité Antoine à prendre l?apéritif à midi et lui avais expliqué la façon dont j?avais présenté la situation à Sonia. J?engagerais la conversation sur le thème de la vie de couple, puis je m?éclipserais à la faveur d?un appel inopiné du cabinet médical. J?avais fait plusieurs tests avec ma webcam en mode d?enregistrement continu, et si tout se déroulait comme prévu, à mon retour à la maison, j?aurais environ trois heures d?enregistrement?

    C?était un chaud mercredi de juillet. J?avais peu de travail, et à vrai dire, je n?avais plus la tête à ça depuis que j?avis complètement bouclé mon plan. Sonia était vêtue d?une petite jupe volante noire qui lui arrivait à mi-cuisse. Elle était d?un charme renversant. Avant l?arrivée d?Antoine, je m?étais placé derrière elle pour lui caresser les seins que je devinais en liberté ; sa poitrine supportait bien l?absence de soutien gorge. En l?embrassant dans le cou, je lui chuchotai que je la trouvais à croquer. Elle se tourna vers moi, je vis ses deux adorables petits seins dressés sous le tissu immaculé de son tee-shirt, et m?embrassa tendrement jusqu?à ce que le carillon de l?entrée nous avertisse de l?arrivée de notre invité.

    Tout se passa comme prévu : avec mon portable, je m?étais arrangé pour faire sonner le téléphone au bout d?environ une demi-heure. Je n?avais pas vraiment eu l?occasion d?amener la conversation sur le bon sujet, mais je songeai, au regard d?Antoine, qu?il se débrouillerait bien tout seul. Après le faux coup de fil, je pris congé en prétextant une absence urgente : je devais partir jusqu?au soir. Comme prévu, Sonia pria notre invité de rester manger, ce qu?il accepta de bonne grâce. C?est avec une certaine angoisse que je les abandonnai, mêlant dans un même élan mon excitation perverse avec la soudaine crainte de commettre une erreur irréparable. Mais je ne pouvais plus reculer. La dernière chose à faire était de mettre en marche l?ordinateur et la webcam, en laissant croire à mon épouse que je sauvegardais un fichier sur une disquette. Au lieu d?éteindre l?ordinateur, je coupai l?alimentation du moniteur et partis pour mon cabinet.

    L?interminable attente à mon bureau fut heureusement comblée par de nombreux consultants, et je pris le chemin du retour avec une fébrilité d?adolescent. Sonia s?était absentée, elle s?était rendue à sa séance hebdomadaire d?aquagym. Je me précipitai sur mon ordinateur, tout semblait avoir fonctionné. Ne pouvant résister au suspens, je visionnai le film à partir du milieu. Ce que je vis me ravit : le champ de la caméra couvrait le salon au fond de la pièce, et la table de la salle à manger au premier plan. La vue des jambes écartées de ma femme, allongée sur la table, agitées par les mouvements de va et vient d?Antoine me fit frémir de bonheur. Pour une raison que j?ignore, le son était inaudible, mais je n?en avais cure. Je repris le film à son début, tel le gourmet qui cherche à se régaler de la moindre gorgée d?un mets d?exception.

    Pendant de longues minutes, Antoine et Sonia semblent discuter de banalités. L?image est floue, car ils sont assis sur le salon, je distingue assez mal les visages, mais à la gestuelle de ma femme, je vois bien qu?elle est mal à l?aise. Puis elle se lève, et d?après ses gestes, il me semble qu?elle demande à Antoine de partir. Ce dernier se lève à sa suite jusqu?à hauteur de la table où je les distingue parfaitement. Sonia a le regard noir, elle semble fixer l?objectif de la caméra, je me demande même si elle ne voit pas le voyant vert de celle-ci. Pendant ce temps, Antoine lui parle en s?approchant d?elle. Elle reste les bras croisés lorsqu?il commence à lui toucher les épaules. Elle s?incline légèrement pour l?empêcher de lui poser un baiser dans le cou. Mon excitation est intense car je vois l?instant où elle franchit le pas, en gros plan. A son visage, la tension est extrême : elle ne semble vraiment pas approuver ce qu?elle va faire. Pourtant, elle décroise ses bras, sans se retourner, ce qu?Antoine prend pour un encouragement. Il a maintenant les mains qui remontent de ses hanches à la naissance de ses seins. Libres de tout mouvement sous ce tee-shirt blanc, il les effleure délicatement, comme s?il craignait de les briser. Les pointes de ses seins sont dressées sous le tissu lorsqu?il recommence à l?embrasser dans le cou. Avec les caresses qui se font plus franches, je vois les deux reliefs accompagner les mouvements des mains.

    Sonia a les yeux mi clos, elle s?abandonne à cet homme qui maintenant a éveillé en elle l?excitation interdite. Comme embarrassée, elle donne l?air de ne pas savoir que faire de ses mains, mais Antoine a pris l?initiative de soulever sa petite jupe noire. Du moins, je le devine, car le champ de la caméra s?arrête au niveau du nombril. Il est toujours plaqué contre son dos, et je pense qu?il a maintenant sa main gauche au niveau du bas-ventre, ce qui lui permet de se frotter contre es fesses. La main droite continue de lui caresser le sein qui s?est retrouvé découvert lorsqu?il s?est faufilé sous le vêtement. Soudain, Antoine interrompt cet instant torride, retourne Sonia et cherche à l?embrasser, ce qu?elle refuse. Elle lui dit quelques mots, il acquiesce et l?attire vers la table. Comme ils ont reculé de quelques pas, je les vois maintenant jusqu?à hauteur des genoux.

    En deux gestes, il fait glisser la jupe au sol, Sonia l?enjambe et rejoint Antoine appuyé contre la table. Les deux mains de l?homme parcourent les formes arrondies du postérieur sous la culotte blanche, il a en bouche le téton qui était tout à l?heure découvert. Dans le même temps, elle le caresse, comme elle le fait parfois avec moi : la main gauche sur les bourses, la droite massant le membre avec la paume. D?après les soubresauts qui se transmettent à la table, je devine qu?il a éjaculé dans son pantalon. Elle ne s?en est pas rendue compte, car elle continue ses gestes nerveux, jusqu?à ce que la turgescence défaillante de l?organe ne trahisse l?éjaculation précoce. Après toutes ces années d?abstinence, nous sommes tous trois indulgents de cette panne. Sonia dégrafe la boucle du ceinturon, ouvre la braguette et fait glisser le vêtement par terre. Son amant est tendu, il a fermé les yeux lorsqu?elle a vigoureusement repris en main le sexe flacide et englué. Elle commence à toute vitesse, le sperme lubrifiant le mouvement frénétique.

    Malheureusement, malgré la bonne volonté conjuguée des deux amants, la rigidité déficiente persiste. Il se redresse, retourne Sonia vers la table, la soulève et l?assied face à lui. Il se penche sur elle, un temps, je crois qu?il va essayer de la pénétrer malgré tout. Comme il est discrètement de travers, je vois qu?au contraire, il caresse avec une de ses mains son gland contre la culotte et l?intérieur des cuisses qui se trouvent désormais juste à la bonne hauteur. Elle, reste passive, accoudée, elle semble concentrée à synchroniser ses mouvements de bassin avec ceux du membre qui reprend peu à peu du volume. Je me permets un petit retour en arrière : en effet, elle soupire chaque fois que le gland, de plus en plus vigoureux entre en contact avec son petit minou. En fait, ses mouvements cherchent à augmenter la vigueur des à coups. Tirant la culotte sur le côté, il la pénètre enfin. Visage de surprise de Sonia qui ne s?y attendait pas. La pénétration est assez courte, je ne vois plus que les fesses de l?homme, mais je devine des gestes lents et profonds. Après quelques instants d’allers-retours très lents, il s?interrompt et s?accroupit pour enfourner sa tête entre les deux cuisses ouvertes.

    Le sommet dégarni de son crâne bouge au même rythme que les petites fesses de Sonia,. Tout en lenteur, ses cuisses se referment progressivement et ses talons impriment au dos des mouvements de plus en plus rapides. Lui s?escrime à maintenir écartée la petite culotte. Cela semble durer éternellement, et j?ai hâte de visionner la suite ; j?accélère un peu le déroulement du film. Antoine, encore en chemise, a repris la pénétration. Il a fait glisser ma femme sur le côté de la table, si bien que je les vois de profil. Sonia est époustouflante : elle accompagne les mouvements du sexe qui la pénètre, son visage grimace à chaque coup de boutoir. Elle est à demi assise, ses deux talons reposent sur le rebord de la table et elle s?arque régulièrement. Je la vois si bien que j?ai l?impression de sentir l?odeur musquée de sa transpiration, mêlée à celle de ses sécrétions intimes. Je remarque qu?Antoine ne bouge presque plus, il semble médusé par l?ardeur de cette femme à faire aller et venir ce membre en elle. Je n?ai pourtant pas l?impression qu?elle y prend plaisir, ses gestes paraissent mécaniques, comme si elle voulait en finir au plus vite.

    Je retiens un détail qui en dit long sur l?ardeur du rapport : la table oscille dangereusement, ce dont ne semblent pas se rendre compte les deux protagonistes. C?est probablement un craquement suspect qui les alerte, car ils s?interrompent brusquement. Je vois Antoine qui s?est retiré et s?est penché sous le meuble. Son sexe pendouille à nouveau, ce qui risque de compromettre la suite des ébats. Sonia est debout, elle semble empruntée, attendant la reprise. Elle lisse son tee-shirt, remet machinalement sa culotte en place. Elle doit être humide car après l?avoir touchée, elle regarde ses doigts en les frottant. Antoine lui glisse deux mots, elle fait un geste désinvolte et répond par une courte phrase. L?homme s?incline alors vers Sonia pour faire descendre son slip humide, puis il la hisse contre lui pour l?empaler littéralement sur son membre qui a repris aussi vite de la vigueur qu?il l?avait perdue. Le couple se dirige contre le mur et c?est au tour d?Antoine d?imprimer avec fermeté des coups irréguliers probablement modulés par la fatigue. Sonia s?est pendue à lui, écrasée contre le mur, mais son visage est tourné vers la caméra, manifestement, elle évite le souffle de ce mâle qui va et vient en elle.

    Indiscutablement exténué, Antoine lâche prise et affiche une mine défaite, le sexe pointant vers le haut. Après l?excès de vitesse, il semble qu?il ne parvienne pas à conclure. Il l?entraîne vers le salon, s?assied sur un des larges fauteuils et attend que Sonia reprenne place sur lui. Contre toute attente, elle lui tourne le dos et s?assied sur lui. Cette position semble lui convenir, elle est à moitié debout, s?aide de ses mains posées sur les deux accoudoirs pour recommencer leur danse adultère. Il l?aide en maintenant ses hanche, les mains calées à la racine des cuisses. Les images que je contemple ressemblent à une étrange et morne sarabande muette. J?y vois un homme faire l?amour à ma femme, le visage trop flou pour que j?y puisse détecter un quelconque sentiment. J?y vois une femme se laisser pénétrer mécaniquement, comme un automate sexuel, trahissant sa lassitude par ses regards furtifs, attendant l?issue de cette situation scabreuse, en s’agitant sur cet homme pour qu’il arrive enfin à conclure.

    C?est après environ une minute qu?Antoine ralentit brutalement le rythme saccadé, ses jambes se tendent, ses pieds se crispent à chaque geste de Sonia. Lorsqu?il lâche les frêles cuisses au dessus de son pubis, mon épouse en profite pour reprendre un mouvement rapide, qui a pour premier effet visible depuis mon poste d?observation de provoquer une réelle. D?après les impulsions de son petit postérieur, je suppose qu?elle fait glisser contre ses petites lèvres le sexe ramolli retombé sur le bas ventre d?Antoine. Lorsque nous faisons l?amour, il lui arrive de stimuler son clitoris contre ma verge jusqu?à ce qu?elle jouisse de cette façon. Je suis alors subjugué, Sonia prend enfin le plaisir auquel elle a véritablement droit, car jusqu?à présent, dans ses gestes, dans son attitude, je sais qu?elle n?y avait trouvé aucune satisfaction. Elle rendait un service à Antoine, c?est tout, puis, finalement, elle s?était décidée à cueillir sa part de jouissance dans cette situation inattendue. Antoine l?a laissée faire, j?ignore s?il a bien saisi par ailleurs l?importance de ce dénouement pour Sonia et moi.

    La fin du film est un plan fixe sur une pièce vide. J?ignore exactement ce qu?il s?est passé ensuite, mais je crois qu?Antoine est parti après s?être rhabillé sous l?objectif de la webcam. Je dois vous avouer que je suis resté immobile devant mon écran pendant plusieurs minutes. Le tout avait duré à peine un quart d?heure, mais une éternité me séparait de ce matin. J?avais l?intention initiale de garder ce film, mais je me suis vu mécaniquement l?effacer. J?étais terriblement excité, mais également béat d?admiration pour mon épouse, qui avait accepté de coucher avec un homme par pure bonté d?âme, presque par pitié. Elle ne l?avait pas embrassé, ne l?avait jamais regardé dans les yeux, puis avait conclu cette affaire à sa façon, afin de tout maîtriser du début à la fin.

    Lorsqu?elle revint de la piscine, elle sentait le chlore, et devait se réjouir de ne plus porter de trace de sa coupable relation. Elle essayait de ne pas afficher son trouble et je l?épargnai de toute question indélicate. Etant l?instigateur de cette aventure, je n?avais qu?à savourer la satisfaction de la mission accomplie. Notre vie sexuelle a connu ce jour un véritable coup de tonnerre ; ce mensonge inavoué a joué le rôle d?un étonnant stimulant. Je ne revis plus Antoine. Nous n?étions pas fâchés, mais d?un accord implicite, il était inutile de s?attarder sur cette expérience. Il ne fut qu?un moyen que j?utilisai sur mon épouse et notre couple pour opérer la transformation qui me semblait vitale.

    Enfin, nous avons changé de table le mois suivant, Sonia estimant qu’elle n’allait pas avec le reste du mobilier?

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