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La Tour de Vénus – Chapitre 11

La Tour de Vénus - Chapitre 11



Doogy Woogy traverse lopen-space d’un pas déterminé jusquau bureau de « la folle de lycra » comme on lappelle, et lui claque lépaule.

Salut, ma poulette !

Sifeminin sursaute, puis il passe ses doigts ornés de faux ongles dans sa perruque blond platine. Les cheveux synthétiques caressent son épaule fine et nue. Ses yeux bleus, parés de faux cils et fardés de vert, papillonnent et détaillent le corps bien bâti de son collègue.

Salut, chéri ! Ça va ?

Sa voix masculine tranche sur son allure de travesti.

Oh ! Mais tu es en chaleur !

Il caresse lérection de Doogy par-dessus son pantalon.

Oui ! Viens, jai une proposition à te faire

Sifeminin, perché sur des talons aiguilles et son corps filiforme moulé dans une robe en latex rouge, s’empresse de le suivre. Doogy ouvre la porte de la petite salle de la photocopieuse, puis celle de la réserve. Il prend un sac de sport sous le premier rayonnage et claque le petit cul de Sifeminin.

Avance dans le fond !

La folle obéit, tortille du cul en marchant et suit Doogy.

Sif, tu sais quand je te fais une remarque sur tes textes, ce n’est pas pour t’emmerder…

Déçu et frustré, Sifeminin sindigne :

Tu mas emmené ici juste pour me parler de mon travail ?

Non ! Jai décidé de t’aider à améliorer ton écriture en te donnant des cours particuliers

Mmmmm jaime les professeurs, qui sont super-sexy !

Sifeminin s’approche du validateur en roulant des hanches, lui caresse le menton avec l’ongle de son index.

Comme toi, mon chou !

Doogy est ravi de lui plaire, cela facilitera sa tâche.

Daprès tes textes, tu aimes être punie

Oh oui ! Je suis une très vilaine fille !

Mets-toi à quatre pattes !

Sifeminin obéit et cambre ses reins, le cul tendu. La verge de Doogy palpite dans son pantalon. Il ouvre son sac, en sort une barre métallique agrémentée de menottes. Il en accroche la première à la cheville gauche de l’auteur, étire la barre, et fixe la seconde à celle de droite. Puis, il sort deux autres paires de menottes, s’en sert pour relier les poignets aux chevilles. Sifeminin est affalé sur le sol, le cul en lair et les cuisses écartées. Doogy lui arrache son string en lycra et lui fourre dans la bouche. La folle écarquille les yeux et pousse un grognement étouffé. Le validateur s’agenouille derrière son petit cul fraîchement épilé, ouvre sa braguette et sort sa verge palpitante.

Non !

Soudain, Thea sort de sa cachette et se précipite sur eux. Surpris, les deux hommes écarquillent les yeux.

Tu ne peux pas lui enfoncer ta grosse queue comme ça, tu vas lui casser le cul !

Un sourire sadique étire les lèvres de Doogy.

Cest le but !

Permets-moi de le préparer pour toi, s’il te plaît ?

Contrarié dans ses plans, il grogne.

Daccord, mais dépêche-toi !

Thea le nargue, elle sait que son envie est pressante, peut-être même douloureuse. Elle s’agenouille à côté de Sifeminin et se penche sur ses fesses. Sa langue lèche la rondelle rose pâle ridée, dessine des cercles autour, puis exerce des petites pressions sur son passage. L’anneau s’écarte doucement. La langue de Thea glisse sur les petits plis. Elle fouille et caresse les parois chaudes. Le muscle la comprime et l’aspire dans sa chaleur.

Sifeminin soupire de plaisir et Doogy se branle doucement, excité. Thea retire sa langue, salive abondamment sur la rosette. Cependant, elle doute que cela soit suffisant ; la verge du validateur est extrêmement dure et épaisse. Alors, elle passe ses doigts sur sa chatte encore trempée, recueille des filets de cyprine. Elle caresse la rosette avec, puis insère doucement son index. Les petits plis passés, l’anneau le comprime. Sa chaleur l’envahit, l’aspire. Elle caresse les parois en exerçant de petits va-et-vient.

Sifeminin gémit de plaisir, la bouche bâillonnée par son string. Thea lui ajoute son majeur et continue de le stimuler. Ses doigts lubrifiés glissent à merveille. Cependant, même si les parois sont souples, la jeune femme sent que la folle aurait souffert sans préparation. Elle écarte ses doigts, lutte contre la pression du muscle, et exerce des rotations sur les parois pour dilater l’anneau.

Mmmm cest ça écarte bien sa rondelle ! dit Doogy.

Thea fait signe à son collègue de sapprocher. Elle recueille encore de la cyprine et lubrifie la verge, puis elle la saisit et l’enfonce doucement dans le petit trou dilaté. Sifeminin pousse un gémissement de douleur mêlé de plaisir. Doogy glisse jusquà la garde et soupire, son regard brûlant dans celui de Thea.

Soudain, il empoigne les hanches fines de Sifeminin et le pénètre sauvagement. Son bassin claque les petites fesses de la folle. Thea est fascinée par les va-et-vient de son gourdin qui menace de le casser en deux. Sifeminin subit les assauts de la brute épaisse ; sa poitrine et son visage frottent sur le sol glacé. Son string étouffe ses cris désordonnés ; il couine. Il se sent chienne et il adore ça !

Tout à coup, Doogy pousse de longs grognements de grizzli. Ses doigts crispés sur les hanches de la folle, il s’enfonce brusquement jusquà la garde. Sa verge palpite dans le petit trou qui la comprime. Son gland éjacule plusieurs giclées de sperme.

Doogy se retire, s’essuie sur la robe de son élève, et se rhabille. Puis il ôte le string de sa bouche.

Tu n’es pas frustrée que je t’ai niquée aussi vite et en ne pensant qu’à mon plaisir ?

Oui, je n’ai pas eu le temps d’en profiter, je n’ai pas joui. T’es pas une affaire !

Ne sois pas désobligeante ou j’appelle la snipeuse !

Qui ?

Chuuut. Il ne faut pas prononcer son nom… Tu pourrais provoquer une catastrophe! Ton trou de balle pourrait s’orner d’hémorroïdes déversant des litres de liquides visqueux et verdâtres, comme la fille qui vomit dans l’exorciste!

Thea grimace, dégoûtée. Doogy étale ses impressions sur le sol, devant le visage de Sifeminin.

Voici les quatre histoires que tu as envoyées pratiquement en même temps et qui sont en attente de validation.

La folle regarde les quatre piles.

Sur la première, jai relevé 68 fautes de syntaxe et de ponctuation. La moindre des choses quand tu dictes à un dictaphone, cest de relire. Tu as écrit que Sandrine sort de ton sexe ! Si vraiment cétait une baguette magique, nous ne serions pas là, à perdre notre temps sur tes récits.

Doogy fouille dans son sac et en sort un fouet aux lanières en latex longues et aussi larges qu’une ceinture de sécurité. Thea écarquille les yeux, puis fourre le string dans la bouche de la folle.

Il faut que tu comprennes que tu ne peux plus surcharger le travail des validateurs avec tes torchons, alors que dautres auteurs méritants attendent que leur texte soit validé.

Doogy ôta sa chemisette, dévoila son torse musclé et velu, la lança sur Thea qui le regardait avec des yeux de braises.

Pour cette raison, je vais te donner soixante-huit coups de fouet plus dix pour que tu assimiles rapidement la leçon.

Sifeminin poussa un glapissement. Thea sassura que le string était bien en place. Doogy se leva, le fouet à la main.

Tu as déjà fouetté quelqu’un ? Demanda-t-il à sa complice.

Non.

Alors, sache qu’il ne sagit pas de frapper comme un bourrin, mais juste de chauffer la peau. Ça fait plus de bruit que de mal.

Doogy exerça un mouvement de moulinet du poignet pour l’échauffer.

Tu comptes.

Le fouet siffle avant de sabattre sur la peau diaphane de Sifeminin, il se cambre.

1 2 3

La peau rosit, la folle gémit et remue ses petites fesses à chaque coup. Le claquement des lanières résonne. Thea sinquiète qu’on puisse les entendre, mais n’ose pas interrompre Doogy.

20 21 22

Les coups senchaînent à un rythme régulier. Concentré et le regard brûlant, Doogy prend du plaisir. La sueur perle sur sa peau, il sent le mâle viril.

55 56… 57

Sifeminin gémit de plus en plus fort. Le plaisir prend le pas sur la douleur. Sa verge est tendue contre son ventre. Il supplie Thea du regard de le soulager, mais elle na d’yeux que pour Doogy.

70 71 72

Les yeux révulsés et le corps secoué de spasmes, Sifeminin gémit. Sa verge palpitante souille le sol de sperme.

75 76 77 78.

Essoufflé, Doogy essuie son front humide du revers de la main. Thea remarque le sperme sur le sol.

La cochonne a giclé toute seule ! Jai bien peur que ta leçon ne soit pas très utile

Ah ouais

Doogy tire la folle par les hanches.

Dépêche-toi de me nettoyer ça !

Mmmmpfffff !

Thea lui enlève le string de la bouche.

Mais comment ?

Avec ta langue pardi ! Tu ne vas quand même pas laisser le boulot à la femme de ménage. Marre de ces capitalistes toujours prêts à exploiter les gens en bas de léchelle !

Sifeminin étire sa langue et lèche méticuleusement son sperme. Puis Doogy insère un doigt la chatte humide de Thea. Surprise, elle gémit et mouille dessus. Il en insère un second et exerce de rapides va-et-vient sur la paroi jusquà lui donner un orgasme. Quelques secondes suffisent avant quelle ne se tortille comme un ver entre ses bras.

Merci chérie !

Doogy lembrasse fougueusement et retire ses doigts trempés et gluants.

Maintenant, je vais te faire une petite démonstration de ce que jattends de ce cours particulier…

Il s’agenouille derrière le cul tendu de la folle et glisse un doigt brillant de mouille dans son petit trou.

Il ny a pas de meilleur lubrifiant au monde que ta mouille, Thea !

Ravie de lui rendre service, elle sourit. Il travaille les parois du petit trou en exerçant des va-et-vient. Il insère un troisième doigt, continue ses mouvements. Sifeminin gémit de plaisir. Doogy glisse son annulaire.

La folle pousse des cris mêlés de plaisir et de douleur. Thea lui remet le string dans la bouche, avant quil n’alerte quelquun.

Doogy insère le cinquième doigt. La folle se recroqueville. Thea lui claque les fesses et les écarte. Le validateur exerce de doux va-et-vient suivit d’un mouvement rotatif du poignet. Le petit trou avale progressivement son poing.

Sifeminin se sent écartelé, comme couper en deux. La douleur lui coupe le souffle. Le poing épais le ramone lentement. Une douce chaleur l’enivre, des ondes électriques parcourent son corps depuis les parois distendues de son petit trou.

Tu apprécies comme ça ?

Thea retire le string de la bouche de la folle.

Oh oui, plus fort !

Thea lui jette un regard ahuri, elle naurait jamais supporté un tel traitement, avec ou sans lubrifiant. Doogy accélère ses mouvements, Sifeminin gémit de plaisir. Le cul cambré, sa jouissance est proche.

Soudain, le validateur retire sa main. La folle pousse un cri frustré.

Eh! Mais pourquoi tu t’arrêtes ?

Quand je te dis que tu devrais travailler un peu plus tes textes, tu râles. Je viens de faire comme toi. Tu viens de me dire de te travailler encore plus le trou du cul et je râle!

Perplexe, Sifeminin écarquille les yeux.

Quand tu ne travailles pas tes textes c’est du même genre que lorsque je te baise vite fait en me vidant les couilles, à la recherche d’une satisfaction rapide. Tu te rends bien compte par contre, que si je te travaille le cul longtemps, tu prends plus de plaisir.

Oui, sil te plaît, continue!

Doogy insère ses doigts, puis son poing dans le petit trou dilaté, exerce des va-et-vient. Sifeminin crie de plaisir. Thea se place rapidement devant son visage, empoigne sa perruque, et plaque sa bouche sur sa chatte trempée. La folle sort sa langue, Thea se frotte dessus, se la glisse dans le vagin. Elle remue à vive allure.

Soudain, le plaisir de Sifeminin explose. Le corps secoué de spasmes, il mord involontairement Thea. Elle crie de douleur et le gifle par réflexe. Surpris, Doogy lève les yeux.

Cette connasse m’a mordu !

Son rire moqueur retentit, il reprend son explication :

Si tu faisais un peu plus defforts encore, je serais même prêt à mettre à tes textes un deuxième poing, en plus ce serait un poing G, pas un point T.

Doogy ajoute son index de la main gauche en plus de son poing droit dans le petit trou dilaté de Sifeminin. Il peut aisément se faire sodomiser par un cheval et tout un régiment dinfanterie.

Soudain, Antonin se montre à l’angle d’un rayonnage.

Eh bah on séclate ici !

Thea sursaute et rougit. Elle remarque le pantalon bosselé de leur collègue.

Je donne des cours particuliers à Sifeminin. Il est temps qu’il comprenne que s’il travaille mieux ses textes, ses lecteurs prendront plus de plaisir à les lire, exactement comme lorsque je lui travaille son petit cul.

Antonin sert sa verge gonflée par-dessus son pantalon.

Tu as trouvé une bonne excuse pour baiser facilement ! Et toi, que fais-tu ?

Thea se frotte toujours sur la langue de Sifeminin, son regard gourmand fixé sur l’entrejambe d’Antonin.

Elle apprend l’art de la domination, répondit Doogy.

Il retire son poing du rectum de la folle, Antonin se mord la lèvre d’envie devant le trou béant. La chair rose gonflée forme un bourrelet sur le pourtour.

Baise-la !

Ravi, Antonin ouvre sa braguette, sa verge raide jaillit. Il s’agenouille derrière la folle et la pénètre. Son sexe frotte sur la paroi supérieure.

Laisse-moi un peu de place !

Perplexe, Antonin lui jette un regard par-dessus son épaule. Doogy se branle, le pantalon ouvert.

Il y a assez de place pour nous deux !

Antonin se retire et enlève son jean. Il se place au-dessus du cul tendu de Sifeminin, les jambes écartées, le pénètre de nouveau. Doogy s’agenouille derrière la folle, glisse sa verge avec celle de son collègue.

Sifeminin gémit de plaisir. Les validateurs remuent en lui à leur propre rythme. Cest la première fois qu’il subit lassaut de deux verges épaisses qui le défoncent sans répit. Antonin s’agrippe à ses épaules et Doogy à ses hanches. Leur mandrin pressé l’un contre lautre leur procure un massage très excitant.

Thea admire les deux hommes virils sodomiser Sifeminin. Leur regard troublé et leur visage rougit l’excitent. Comme la folle prend trop de plaisir pour la lécher, alors elle la maintient par la tête et frotte sa chatte dégoulinante sur son visage.

Soudain, Doogy claque la fesse gauche d’Antonin qui gémit de surprise et dexcitation.

Baise-la plus fort !

Celui-ci sexécute avec plaisir et la pilonne. Les mouvements de son cul excitent Doogy, il empoigne ses hanches et se cale sur son rythme. Son bassin frappe contre ses belles fesses rondes.

Le visage nappé de cyprine chaude et le nez dans la chatte de Thea, Sifeminin hurle de plaisir. Des ondes électriques parcourent son corps et hérissent sa peau. Sa verge qui ballottait quelques minutes plus tôt est érigée contre son ventre. Un incendie enflamme sa zone génitale. Son sexe grossit, palpite, et son petit trou se contracte ; la folle a un double orgasme. Le corps secoué de spasmes, sa semence gicle sur le sol.

Les contractions du petit trou de Sifeminin provoquent la jouissance de ses sodomites. Ils râlent de plaisir ; Doogy enlace Antonin, le serre contre sa poitrine musclée. Dans un dernier coup de butoir, leur mandrin grossit et expulse de longues giclées de sperme. Ils sembrassent goulûment.

Thea jouit à son tour sur le visage souillé de Sifeminin. Le corps secoué de spasmes, elle pousse de petits cris aigus. Ses collègues lui sourient et se retirent doucement l’un après lautre. Ils essuient leur sexe sur la robe de la folle.

Doogy la libère de ses menottes et de la barre qu’il range dans le sac de sport.

Eh ben t’es bien équipé ! Remarque Antonin.

Cest le matériel de Lioubov, il a eu la gentillesse de me le prêter.

Ils aident Sifeminin à se mettre debout. Cette sodomie danthologie restera dans les annales.

[Fin]

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