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La transformation de Kévin – Chapitre 6

La transformation de Kévin - Chapitre 6



Kévin se retrouva le visage suspendu au-dessus de son écuelle. Une odeur nauséabonde envahissait ses narines. Il tourna sa tête vers son Maître et le regarda sans dire un mot. Ce dernier lui fit un signe de tête et lui dit :

    Dépêche-toi de manger ! J’aimerais bien te voir manger ton premier vrai repas. Je n’ai pas acheté la meilleure qualité, tu devras la mériter. Cette pâtée et la moins chère que j’ai trouvée. Elle ne doit pas être très bonne puisque même certains chiens refusent de la manger. Néanmoins, c’est de la nourriture et tu devrais me remercier pour te l’avoir apportée.

    Merci Maître pour ce repas que je vais m’empresser de manger.

Il approcha lentement sa tête de bloc gélatineux sans trop respirer pour ne pas être dégouté. Il avait toujours les mains attachées dans le dos, ce qui ne faciliterait pas sa tâche. D’une part, il s’était promis d’obéir pour ne plus subir ce qu’il avait subi ces derniers jours. D’autre part, il devenait évident que la situation l’excitait. Lorsqu’il avait léché les pieds ou la queue de cet homme et qu’il avait lâché prise, sa queue avait durci immédiatement et il y avait pris du plaisir. Il allait essayer de voir ce qui se passerait en lâchant complètement prise et en se soumettant complètement. De toute façon, cela ne pourrait pas être pire que ce qui s’était passé ces derniers jours.

Il approcha donc son visage jusqu’à sentir ses lèvres sur le bloc de viande, il ouvrit la bouche et essaya de détacher un morceau avec ses lèvres. Cependant, le bloc était si compact qu’il n’y parvint pas. Il décida donc d’utiliser ses dents. En faisant cela, il parvint à prendre un grand morceau dans sa bouche tout en étalant de la gelé sur son visage. Cette odeur allait rester collée à lui en permanence maintenant. Il mâcha ce qui était dans sa bouche et finit par l’avaler. C’était dense et n’avait pas beaucoup de goût. C’était même très insipide. Cependant, il avait si faim qu’il décida d’en reprendre une bouchée, puis une troisièmes et ainsi de suite. Il sentait son estomac se remplir et les crampes diminuer. Il mangea de plus en plus vite, plongeant son visage de plus en plus profond dans l’écuelle en tapissant son visage de gelée. Il devait vraiment ressembler à un animal.

    Je vois que ton repas te plait. Je t’en amènerai un autre ce soir et si tu obéis, je te détacherai les mains. Tu vois que c’est quand même plus agréable quand tu coopères.

    Merci Maître.

    En attendant, maintenant que tu as terminé de manger, je vais nettoyer ton visage. C’est pour te récompenser d’avoir été rapide pour manger. Ça t’évitera de trainer cette odeur toute la journée.

Il s’approcha de Kévin avec une lingette et frotta son visage. Le visage de Kévin sentait à présent une petite odeur florale, ce qui n’était pas désagréable. L’homme approcha lentement sa main de l’entre-jambe de Kévin. Ce dernier eut un premier geste de refus en fermant ses cuisses et en reculant.

    Laisse-toi faire !

    Oui Maître

Kévin écarta à nouveau ses jambes, laissant entrevoir sa queue. La main de l’homme attrapa les couilles de Kévin et commença à serrer. Kévin commença à haleter mais n’osa pas fermer ses jambes. Dès lors, la pression diminua et l’homme passa son index sur la queue de Kévin qui devint bientôt toute dure. Il attrapa la queue de Kévin d’un coup et la décalotta brusquement. Cela arracha un cri de surprise à Kévin.

    Tu aimes sentir ma main sur ta queue ?

    Oui Maître.

    Ici, il te sera interdit de jouir sans notre autorisation. Si tu le fais quand même, tu seras puni. C’est compris ?

    Oui Maître

Il commença à masturber Kévin tout doucement. Kévin gémissait à chaque mouvement. Lhomme s’approcha lentement de Kévin et l’embrassa dans le cou, puis descendit vers son téton droit qu’il prit entre ses dents. Il commença à mordiller tout en continuant ses lents va et vient sur la queue de Kévin. Kévin gémissait de plus en plus bruyamment et ne pouvait plus contrôler ses gestes tellement il était excité et sur le point de jouir. Alors qu’il allait exploser, il se souvint que cela lui était interdit et parvint à articuler :

    Je vais jouir.

L’homme s’arrêta immédiatement en laissant Kévin couché sur le sol. C’était la seconde fois que Kévin avait été sur le point de jouir et se retrouvait frustré sur ce sol de béton. Il était excité comme jamais et avait apprécié de se faire masturber par un homme. Il voulait même aller plus loin et jouir par la main de cet homme.

    C’est bien, tu as obéi aux ordres et tu m’as arrêté avant. Tu es un bon chien. Tu as apprécié ?

    Oui Maître. C’était très agréable. C’était tellement bon.

    Supplie-moi de continuer.

Kévin rampa jusqu’aux pieds de l’homme et lui embrassa les pieds en demandant :

    Je vous en supplie Maître, faites-moi jouir. S’il vous plait.

L’homme regarda Kévin embrasser ses pieds en le suppliant lamentablement. Un sourire apparut sur son visage. A ce moment, il sut qu’il avait brisé la volonté de Kévin et qu’il pourrait passer à l’étape suivante. Il se mit à croupi et chuchota à l’oreille de Kévin :

    Comme je te l’ai dit, pour l’instant il t’est interdit de jouir. Plus tard, tu apprendras à jouir différemment. Tu apprendras à jouir et à éprouver du plaisir comme une femelle. Dans quelques temps, tu te considèreras toi-même comme une femelle et non comme un homme. Tu éprouveras du désir en voyant des mâles mais tu n’auras plus aucune envie de te servir de ta queue. Cela prendra un peu de temps mais tu verras, tu seras bien plus heureux comme cela. Je repasserai ce soir avec de nouvelles exigences. J’espère que tu seras aussi obéissant que ce matin.

 

Il sortit de la pièce en laissant Kévin couché sur le ventre au milieu de la pièce. Il était en larmes et ne savait pas pourquoi. Il avait demandé à un homme de le masturber et de le faire jouir et était en pleurs parce que ce dernier avait refusé. Il n’aurait jamais cru cela possible une semaine auparavant. Il ne se reconnaissait plus. Il rampa jusqu’à sa couverture où il se mit en boule pour dormir.

Il repensa à ce que l’homme lui avait dit en s’en allant. Comment pourrait-il jouir sans se servir de sa queue ? Comment pourrait-il vouloir donner du plaisir aux autres hommes et ne plus désirer les femmes ? Il se ressaisit un peu et repris un peu d’assurance entre deux sanglots. Il ne comprenait pas ce qui lui était arrivé ce matin et pourquoi il avait supplié cet homme. Sans doute était-ce parce qu’il était à bout de forces, à bout de nerfs et épuisé. La prochaine fois, ce sera différent. Il fera uniquement ce qu’on lui demande et ne s’abaissera plus à supplier sans qu’on ne lui demande.

Kévin s’endormit paisiblement et resta endormi une bonne partie de la journée. Le soir, il entendit du bruit derrière la porte et se réveilla lentement. Il sentait sue ses forces revenait et son morale remontait un peu. Avant que la porte ne s’ouvre, il parvint à se redresser et se mettre debout. Cependant, l’homme n’entra pas seul dans la pièce comme précédemment mais accompagné de trois hommes. Le premier était le jeune blondinet aux yeux bleus et les deux autres étaient les costauds avec qui il s’était débattu à la gare avant son enlèvement. Avec l’adrénaline, il ne les avait pas bien vu à l’époque mais là, il avait tout le loisir de les observer. Hormis le plus âgé qui était toujours habillé avec élégance (chemisette, pantalon de costume et mule en cuir sans chaussettes aux pieds), les trois autres étaient habillés en short et tee-shirt sans rien d’autre comme vêtement. Les deux costauds devaient faire plus de 100 Kg sur la balance et semblaient très musclés d’après les bosses qui déformaient leur tee-shirt. L’un semblait magrébin et l’autre était un noir. Voyant cela, Kévin fut pris de panique et se pétrifia.

Ils se mirent en ligne devant la porte et son geôlier habituel, qui semblait être le leader du groupe, fit un pas en avant. Il semblait un peu énervé et leva les mains dans un signe d’incompréhension. Kévin compris d’un coup quel était le problème et sortit de sa pétrification. Il se jeta à genoux devant les pieds de l’homme et les embrassa goulument. Il se demanda immédiatement pourquoi il ne s’était pas contenté de quelques petits baisers gentils. Il n’expliquait pas pourquoi il avait embrassé ces pieds comme s’il roulait une pelle à une femme. Il se reprit et chassa immédiatement cette pensée.

    Tu as de la chance, j’étais sur le point de m’impatienter. Cependant, comme tu as mis du cur à l’ouvrage, je vais faire abstraction de ton hésitation avant de m’embrasser les pieds. La prochaine fois, je te conseille de ne pas hésiter et de te précipiter directement sur mes pieds ou je serai moins clément. Encore une chose, je t’ai dit d’embrasser les pieds de quiconque pénétrait dans cette pièce alors pourquoi suis-je le seul à avoir eu les pieds embrassés. J’en convient, c’est la première fois que nous venons à plusieurs dans cette pièce alors rattrape-toi. De même, la prochaine fois, aucune erreur ne sera tolérée.

Kévin se précipita successivement sur les pieds de ses trois autres agresseurs. Sans savoir pourquoi, il se remit à les embrasser avec passion. Il voulait que les hommes apprécient et soient contents de lui.

    C’est bien, tu es un bon chien. Maintenant, tu vas défaire la ceinture de mon pantalon puis les boutons et tu vas le baisser. Ensuite, tu baisseras le caleçon, tu prendras ma queue et tu me suceras du mieux que tu peux.

Kévin ne comprenait pas comment il pourrait faire cela avec les mains dans le dos et commença à paniquer. Il ne voulait pas être à nouveau puni.

    Pour que tu puisses y arriver, je vais détacher tes mains. Ne tente rien de stupide car avant même que tu n’aies le temps de faire quoi que ce soit, mes trois compagnons t’auront neutralisé. Tu vas être obéissant ?

    Oui Maître

Une fois ses mains libérées, Kévin défit lentement la ceinture puis descendit le pantalon et le caleçon. Cette belle queue qu’il avait déjà eue dans la bouche était à nouveau là, demi-molle. Cette fois-ci, c’était différent, il avait ses mains de disponibles et pour la première fois de sa vie, il toucherait une autre queue que la sienne. Il la prit de la main gauche et passa lentement sa langue sur les couilles puis remonta sur le dessous jusqu’à arriver au gland sur lequel il passa lentement sa langue tout en décalottant. Il prit ensuite le gland en bouche tout en le massant avec sa langue puis enfourna la queue dans sa bouche tout en faisant des mouvements de va et vient sur la queue avec la main gauche. Elle avait un petit goût salé qui n’était pas désagréable. Il sentit sa queue lui faire mal comme au matin et continua sa fellation du mieux qu’il put. Finalement, cela lui plaisait assez d’entendre cet homme gémir grâce à sa bouche et sa main. Si seulement il pouvait se masturber aussi, cela serait génial.

L’homme stoppa la fellation d’un coup. Kévin pensa directement qu’il avait mal fait quelque chose et prit peur. L’homme qui vit la peur dans son regard le rassura :

    C’est très bien, tu n’as pas montré d’hésitation et tu as mis du cur dans ce que tu faisais. Pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude d’avoir une queue en bouche, je suis satisfait de toi. Plus tard, tu devras l’avoir intégralement dans la bouche mais chaque chose en son temps. En plus, dans quelques semaines, ce sera plusieurs queues à la fois que tu auras dans la bouche. Tu te demandes probablement pourquoi je t’ai fait arrêter si cela me plaisait ?

    Parce que vous voulez que je vous supplie d’éjaculer dans ma bouche ?

    Non, mais j’avoue que l’idée me séduit. Et tu le ferais ?

Kévin était à nouveau pris par la même fièvre que le matin et mourrait d’envie de sentir la décharge de sperme dans sa bouche en entendant l’homme rugir de plaisir. Il était entièrement à l’écoute de ses sens et non de sa raison. Il ne réfléchissait plus à ce qu’il disait.

    Oui, Maître. S’il vous plait remplissez ma bouche.

L’homme fit un grand sourire et frotta la tête de Kévin qui était toujours à genoux, les bras ballants.

    En fait, si je t’ai fait arrêter, c’est parce que ce soir je vais t’autoriser à jouir comme une femelle.

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