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La vraie histoire du Chaperon Rouge – Chapitre 3

La vraie histoire du Chaperon Rouge - Chapitre 3



Le petit chaperon rouge était devenue une belle jeune femme de vingt ans, accro au sexe. C’est son ami le chasseur qui l’a initiée récemment à ce plaisir, et elle s’offrait à corps perdu à lui et à ses amis, du lundi au vendredi, à longueur de journée.

Le week-end était sage, et le dimanche elle rendait visite à sa grand-mère, jusqu’à ce dimanche particulier.

Arrivée chez sa grand-mère, ce n’est pas elle qui l’accueillit, mais le Loup avec qui elle était en bonne relation!

— Bonjour Loup, que fais-tu là?

— Bonjour Chaperon, je t’attendais.

— Grand-mère n’est pas là?

— Oui, elle est à sa chambre, elle se repose.

— Tu voulais me voir?

— Oui, j’ai vu notre ami Chasseur, et il m’a beaucoup parlé de toi.

Le visage de la jeunette devint aussi rouge que sa coiffe:

— Et il t’a dit quoi?

— Que tu étais une belle petite coquine, qui aime les grosses queues. Alors j’ai pensé que tu pourrais t’occuper de la mienne.

— Tu n’y penses pas Loup, tu es un animal, on ne peut pas!

— Mais bien sûr que l’on peut, et je ne suis pas un simple animal, j’ai des côtés humains.

— C’est vrai Loup, mais quand même, je ne sais pas si je peux accepter.

— Regarde ce que j’ai à t’offrir, avant de dire non.

Il se mit debout, et son sexe, encore plus long et plus gros que celui du chasseur pourtant de belle taille, se dressa devant elle. Ses yeux s’écarquillèrent à la vue de son engin:

— Ouah! Cette bite que as Loup, elle est géante!

— Elle te plait?

— Je ne sais pas, elle est bizarre ta queue, tu n’as pas de gland comme les hommes.

— Mais s’il n’y a que ça, ça peut s’arranger.

Aussitôt son sexe se transforma pour devenir humain:

— C’est mieux comme çà?

— Oh oui, elle est magnifique, mais comment tu fais?

— Tu sais que j’ai de grands pouvoirs, et je peux t’offrir la queue de tes rêves, le calibre idéal, regarde.

Sa queue se transforma alors plusieurs fois à la suite, très rapidement: elle diminua pour devenir comme la plus petite des amis du chasseur, puis se développa comme celle des deux autres amis, encore plus comme celle du chasseur, une parfaite copie, elle qui la connaissait si bien, sa queue préférée. Puis le loup développa son sexe à n’en plus finir; Il s’allongea démesurément, grossit en proportion, et son gigantesque gland venait se balancer au ras du visage de la jeune fille, à l’en faire loucher:

— Alors ma belle, on dirait que ça te plait ma pine! Tu peux la sucer si tu veux.

— J’aimerais ami Loup, mais elle est trop grosse, et puis il ne faudrait pas que grand-mère  nous surprenne.

— Ne t’en fais pas pour elle, elle dort, et puis ma queue peut être plus mince.

Aussitôt son sexe se rétrécit tout en restant aussi long. Le chaperon ne résista pas, et engloutit le gland sans s’inquiéter davantage. Elle l’avait à peine en bouche qu’il déchargea généreusement. Elle avala tout puis se recula, à la fois satisfaite et déçue:

— Hum, il est bon ton sperme, il est sucré, mais pourquoi tu as jouis si vite, j’aurais aimé te sucer longuement.

— Ne t’en fait pas petite, tu sais que j’ai des pouvoirs exceptionnels. Je peux bander et jouir à volonté, des heures durant. Quand à mon sperme, j’ai fait exprès de le sucrer, sachant que tu es gourmande. Je peux même lui donner le goût à la fraise, ton fruit préféré.

— C’est vrai loup! Fait moi goûter.

Elle le reprit en bouche et reçue immédiatement une deuxième giclée, délicieusement parfumée, et qu’elle savoura avant de la boire. Elle en redemandait encore, mais le loup conditionna ses offrandes: il fallait qu’elle le pompe en gorge profonde si elle voulait sa récompense. Cela lui paraissait impossible et il lui expliqua que ça allait se faire progressivement, en douceur, sans la forcer.

Le sexe du loup reprit une taille normale, celle du chasseur, et elle s’accroupit, prête à le satisfaire. Elle ouvrit alors de grands yeux émerveillés, et resta figée, bouche bée:

— Et bien Chaperon, tu es habituée à voir une queue pareille.

— Oui, mais pas des couilles comme les tiennes, elles sont énormes, on dirait celles d’un taureau.

— C’est parce qu’elles sont bien pleines de sperme à la fraise, pour mieux te servir mon enfant. Alors si tu veux que je les vide dans ta bouche, tu sais ce que tu dois faire.

— Oui Loup, tout ce que tu veux, mais tu me donneras tout, j’en ai trop envie.

— Promis ma chérie, tu vas pouvoir te désaltérer jusqu’à plus soif.

Elle pris le sexe de son ami en gorge profonde, le garda au maximum en elle, se recula pour respirer, puis le loup recouvrit sa langue pour la remercier. Elle était ravie, avala tout, et repris le sexe qui s’était allongé d’un centimètre. Ils recommencèrent deux ou trois fois, et elle ne pouvait plus en prendre plus long. Le loup trouva alors la solution. Une fois au fond de sa bouche, sa bite devenait toute molle, toute souple, et elle pouvait coulisser dans la gorge du chaperon sans aucune difficulté. Sa queue s’allongeait à chaque fois, centimètre après centimètre, et elle parvenait à l’engloutir toute, avait sa récompense à chaque fois, des doses généreuses de foutre qu’elle dégustait sans se lasser.

Vint le moment où elle fut à la limite de ses possibilités d’accueil. La bite du loup en était à plus de quarante centimètres, et lorsqu’il était tout en elle son gland touchait le fond de son estomac. Le loup était enchanté de ce qu’elle venait d’accomplir et la remercia chaleureusement; son sexe repris une taille normale, et elle put le pomper, avaler ses éjaculations incessantes, jusqu’à ce qu’elle soit rassasiée.

Elle n’en pouvait plus de sucer, ne pouvait plus rien avaler, avait mal à la mâchoire. Son partenaire lui proposa alors de la baiser, puis de l’enculer, en ne lui enfilant que ce qu’elle pourrait supporter, en longueur ou largeur, et en la remplissant de son sperme, sachant qu’avec lui elle n’avait aucun risque de tomber enceinte. La proposition était trop tentante pour la refuser, et elle s’offrit à lui.

Elle s’empressa de se déshabiller, et son corps superbe enflamma le loup, pourtant déjà bien chaud:

— Tu es belle Chaperon, et bien désirable. Tourne toi, et penche toi pour m’offrir ta chatte, que je vois si elle est aussi bonne que ta bouche.

— Oui Loup, avec plaisir, mais n’oublie de prendre mon cul aussi. D’après Chasseur et ses amis c’est le meilleur de mes trous; en tout cas moi, c’est par là que je préfère prendre leurs bites.

— Mais bien sûr ma douce, c’était dans mes intentions.

Il la pris alors en levrette, et gicla aussitôt dans sa fente, du sperme abondant et brulant qui la fit crier de bonheur. C’est la première fois qu’elle recevait du jus de couilles dans son vagin, et la sensation était formidable. Le loup continuait à la baiser, à l’inonder de sa semence. La dimension de sa queue s’adaptait à sa matrice. Sa longueur était limitée, trente centimètres, se heurtant alors à son utérus. L’épaisseur par contre ne semblait pas poser de problèmes, et il l’élargit jusqu’à dix centimètres sans que le chaperon ne s’en plaigne.

Il la limait, jouissait en dedans, et elle fut vite remplie. Il se dégagea pour libérer tout son sperme et refaire de la place. Un flot s’échappa de son bas ventre, et elle s’empressa de mettre sa main pour le récupérer. Elle l’étala sur son corps, son ventre, ses seins, son visage, tandis que le loup l’avait reprise pour l’aimer aussi intensément que la première fois.

Ils étaient en pleine fornication, lorsque la porte s’ouvrit; c’était le chasseur accompagné de son chien. Il leur dit bonjour, puis fila à la chambre pour chercher la grand-mère. Il revint avec, et avant même que le chaperon ne réalise la situation visiblement gênante, ils lui dirent de ne pas s’inquiéter, de continuer à baiser, qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien entre amis.

Là-dessus le chasseur se déshabilla, et la mamie en fit autant. Il s’assit sur une chaise, la bite dressée, et elle se mit à quatre pattes pour le sucer. Le chien vint derrière elle, la lécha, puis la monta.

Le chaperon compris que tout cela était combiné, qu’elle s’était faite avoir, et cela ne la fâchait pas, bien au contraire, ça l’excitait. Elle voyait sa grand-mère qui pompait leur ami le chasseur, mais surtout elle la voyait se faire tringler par le chien. Elle ignorait dans quel trou se trouvait sa bite, mais la position lui donna une énorme envie de se faire sodomiser:

— Loup, Loup, encule moi mon ami, explose moi le cul s’il te plait.

— Avec plaisir Chaperon, je vais t’en mettre comme jamais tu n’en as pris.

Il se retira pour investir son fion, d’un petit calibre pour commencer. Sa chatte était abandonnée et elle sentit comme un grand vide. Elle voulut se doigter, mais elle était tellement ouverte que c’est sa main qu’elle enfouit toute entière. Elle ne s’inquiéta pas de son trou béant, prise par le plaisir de se fister, en même temps que le loup s’occupait de son autre orifice.

Il lui mettait des bites incroyables, de plus en plus longues, et elle acceptait toujours en hurlant et jouissant du plus qu’elle pouvait. Sans en prendre conscience, elle avait quatre-vingts centimètres de trique molle dans le cul, et c’est de lui même que le loup décida de raccourcir son membre. Il le diminua de deux en longueur, mais l’augmenta de deux en épaisseur.

Elle avait maintenant un chibre de quarante sur dix, qui la limait activement, et qui la remplissait de sperme.

Durant ce temps, la grand mère était toujours prise par le chasseur et son chien..L’animal finit enfin sa saillie, et se dégagea. La grand mère plaqua sa main sur sa fente pour garder tout le jus en elle.

Le loup se retira du chaperon, lui disant qu’il devait s’occupait de sa grand-mère; il l’encula d’un seul coup de sa grosse queue. Le chaperon doigta son cul abandonné, et la encore sa main rentrait toute entière sans forcer. Elle se double-fistait, à genoux, puis vit une flaque de sperme sur le sol. Elle s’allongea pour se rouler dedans, et continuait à se fouiller comme une folle, hystérique, possédée.

Le chasseur ne pu se retenir devant ce spectacle, sans compter la pipe experte que lui prodiguait sa partenaire, et il jouit de toutes ses forces, en même temps que le loup se retirait. La vieille garda tout en bouche, et plaqua son autre main entre ses fesses.

Elle avait les trois orifices remplis de sperme, l’un du chien, l’autre du loup, le troisième de l’homme. Le chasseur et le loup lui donnèrent des ordres, à hautes voix, de façon que le chaperon les entendent et les prennent en compte.

La grand-mère pencha son visage au dessus de celui de sa petite-fille qui ouvrit grand la bouche. Elle recracha l’offrande du chasseur dedans, puis elles s’embrassèrent jusqu’à tout avaler, équitablement. Ensuite la grand-mère s’assit sur la petite pour y vider sa chatte, puis l’embrasser. Elle s’assit à nouveau pour vidanger son cul et s’embrasser encore.

Ensuite les deux femmes s’installèrent en 69, et se bouffèrent longuement leur chatte que le loup arrosait régulièrement de son sperme intarissable.

La soirée approchait et ils mirent fin à la séance.

Le chaperon était épuisé, et le loup lui proposa de la ramener chez elle sur son dos.

Ils discutaient durant le trajet, et le chaperon lui dit que c’était trop bon de recevoir du sperme dans sa chatte, et qu’elle aimerait bien que le chasseur et ses amis puissent lui en offrir eux aussi. Le loup lui proposa de lui donner une potion le dimanche suivant, pour la rendre stérile, mais aussi de supprimer ses règles pour qu’elle puisse baiser tous les jours. Il rajouta que si un jour elle voulait un enfant, il existait une contre potion. Le chaperon accepta, sans poser de question.

Il arrivèrent à sa maison, et sa mère les accueillit.

A suivre…









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