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L'anniversaire de mon fils dégénère – Chapitre 14

L'anniversaire de mon fils dégénère - Chapitre 14



Suite :

Je profite de cette heure de tranquillité pour me laver, mettre de la crème apaisante sur mon anus et dormir un peu. A midi, lorsque je me réveille, je constate avec plaisir et soulagement que mon anus est fermé et opérationnel puisque jai envie daller aux toilettes et que je ne me suis pas fait dessus Je sais que cest glauque comme détail mais, à ce moment, cétait important à vérifier ! A lheure où jécris ces lignes, cela reste lintromission anale la plus « profonde » que lon mait faite malgré de très nombreuses visites en tout genre de ce côté de mon anatomie. Mais je suis encore jeune et pleine de ressources !!

En tout cas, je me réveille endolorie mais prête à affronter une après-midi de soumission.

Alors que jarrive en cuisine, je constate que Théo a préparé le repas. Ou plutôt, il a préparé son repas.

— Je préfère que tu navale rien dautre que de leau Jusquà ce soir en tout cas !

— Bien, maître

— Parfait.

Il me remet la laisse et le plug anal équipé dune queue et moblige à mallonger à côté de lui pendant quil mange dans le salon, devant la télé. Alors quil prend le dessert, il me « demande » de le sucer doucement pour le remettre « en condition ». Je mexécute et lui fait une belle pipe. Il ne se montre pas violent, profite de ce que je lui fais et caresse même mon corps. Si bien que je suis à nouveau excitée, dautant que, je vous le rappelle, je nai toujours pas jouis. Ma pipe devient alors plus sensuelle et appuyée et il se rend compte de mon changement détat. Il passe la main entre mes jambes et caresse mon sexe déjà un peu humide.

A nouveau, jai envie de me faire baiser même si je sais que lui ne compte que menculer. Alors que je le suçais en trémoussant mon cul, il semble céder à la tentation et me prend la tête pour membrasser. Son baiser est tendre et fougueux à la fois ; il est surtout très réconfortant. Il me prend aussi par les hanches, me place sur lui et, sans mavoir enlevé le plug que jai dans le cul, menfile sa queue dun coup dans mon sexe trempé. ENFIN !!

Il me baise amoureusement tout en membrassant. Il me dit :

— Désolé de tavoir malmené Je voulais absolument essayer ça avec ton cul

— Oublie ça contente-toi de me baiser !!

— Jai encore envie dessayer des trucs Ok ?

— Avec mon cul, je suppose ?

— Oui mais pas que

— Fais juste en sorte que je prenne mon pied autant que toi

— Ça marche ! Plus dhistoire de chienne, juste toi et moi.

— Je taime mon chéri.

Là-dessus, il me soulève, retire le plug planté dans mes fesses et le remplace par sa bite. Il mempale sur lui et me lime le cul pour mon plus grand plaisir et le sien. Cest comme ça que jaime la sodomie !!

Il alterne ensuite entre mon vagin et mon anus durant de longues et savoureuses minutes et me déclenche, enfin, un orgasme fort plaisant. Voyant que javais jouis, il se retire et se relève du canapé.

— Encore ! Jen veux encore. Lui dis-je avec un regard de chienne.

— Attends. Est-ce que tu pourrais aller dans ta chambre mettre ta tenue de travail la plus sexy possible ?

— Bien sûr Cest quoi ton idée ?

— Tu pourrais être ma secrétaire soumise

— Mmmhhhh ça me changera de ne pas être la directrice !

— Je tattends au bureau de papa.

— Ok.

Je monte donc dans ma chambre et enfile une tenue aussi provocante que possible que je noserais moi-même pas porter au travail : chemise très décolletée, minijupe raz la touffe, porte-jarretelles, talons haut. Et évidemment la petite touche « secrétaire » : lunettes et chignon.

Dans le bureau, Théo me demande de massoir à lordinateur, de taper du texte et de faire comme si il était le patron. Et aussi ne rien lui refuser, en mode soumission.

Il sort de la pièce et je rentre dans le jeu. Je tape des conneries à lordinateur alors quil entre dans la pièce.

— Alors, il avance ce rapport ?? Me demande-t-il dun ton sévère.

— Oui, monsieur

— Voyons cela !

Il se penche alors sur moi et regarde autant lécran de lordinateur que mon profond décolleté. Je décroise les jambes de manière aussi caricaturale que possible.

— Vous plaisantez ? me dit-il en regardant mon travail.

— Que voulez-vous dire ?

— Que cest nul !! Il ny a pas moitié de ce que jai demandé et cest bourré de fautes dorthographe !!

— Je Je suis désolée

— Cela fait deux jours que vous êtes sur ce rapport !! Vous avez peut-être besoin dune motivation ?

Il me prend alors par les cheveux et me fait me lever. Il me fait me pencher en avant sur le bureau, les fesses bien tendues vers lui.

— La seule volonté de bien faire son travail ne semble pas vous suffire Alors voilà qui devrait vous motiver !

Là-dessus, il me met une grande fessée qui marrache un cri de surprise.

— AIE !!! Arrêtez M. le directeur, vous navez pas le droit !!

— Ah bon ? Et allumer son patron à longueur de journée, cest autorisé, ça ?

Et VLAN, une deuxième fessée !

— Mais je ne vous allume pas et je mhabille normalement !!

— Bien sûr Donc si je soulève votre jupe, je ne verrai quun simple et innocent collant ?

— Arrêtez !! Je vous

Il soulève alors ma jupe et y découvre mon ensemble : bas, porte-jarretelle, string.

— Effectivement, une tenue tout à fait normale

— Je ne vous permets pas de juger ma tenue et.

VLAN !! Une autre grosse claque vient sabattre directement sur ma fesse.

— Alors maintenant vous allez mécouter : vous avez 10 minutes pour me refaire un travail correct. Ne me décevez pas Je peux me montrer aussi méchant (VLAN ! une grosse fessée) quattentionné (il me caresse le sexe avec son doigt). Au travail !

Il ressort alors du bureau et me laisse seule faire semblant de travailler. Moins de 10 minutes plus tard (je suppose quil na pas eu la patience dattendre), il entre à nouveau et se penche sur lordi.

— Bon A priori, vous avez décidé de vous foutre de ma gueule

— Mais non, jai essayé de.

— Silence !! Si vous voulez jouer avec moi, on va jouer !!

Il me prend alors par les cheveux et mallonge à nouveau sur le bureau. Il menvoie plusieurs fessées douloureuses bien que sans doute mesurées pour le jeu puis marrache mon string dun coup.

— Je vais te motiver, sale pute !!

— Arrêtez, je vous en supplie. Criais-je pour jouer le jeu.

Mais il sort alors son sexe bandé de son pantalon et le présente à lentrée de mon cul.

— Salop, pas par-là !!

Mignorant, il senfonce dans mon cul, qui ne présente guère de résistance vu le traitement que jai reçu aujourdhui. Il mencule violemment sur ce coin de bureau, la jupe relevée sur les hanches et le string déchiré gisant à mes pieds.

Au bout de plusieurs et furieux allers-retours, il se retire et me fais magenouiller devant lui. Il menfonce son sexe dans la bouche et me la baise brutalement.

— Alors, quel gout il a ton cul ?? Me crie-t-il en me tenant fermement la tête.

Il me libère le gosier et sapproche de mon visage

— Tu veux encore gouter ?

— Arrêtez Mon dieu, sil vous plaît

Mais il me relève et se réintroduit dans mon fion quil laboure avec ardeur. De mon point de vue ce nest pas désagréable mais je peux tout à fait comprendre quune femme lambda considère cela comme une punition et un acte de soumission. Il ressort de mon cul pour me faire à nouveau gouter sa bite en me donnant de violentes fessées au passage.

Puis, après avoir fait cet échange dégueu un certain nombre de fois et se recule et mobserve, penchée sur le bureau, le cul exposé et explosé.

— Ne bouge pas Jai encore un petit truc pour te faire obéir.

— Je vous prie je ferai tout ce que vous voulez

— Je sais !

Il sort alors dun tiroir du bureau son sac quil transporte depuis le début de la journée et en sort un énorme gode noir et équipé dune ventouse à la base.

— Il fallait y penser avant et mobéir

Le gode imitait assez bien un sexe mais était disproportionné, énorme. Il me fait mettre à quatre pattes, se place derrière moi et place le gland en latex sur mon anus.

— Je te promets que tu vas te souvenir de ce truc !!

— Arrêtez Je vous en prie

En guise de réponse, il appuie sur le gode qui commence à senfoncer en moi. Même pour quelquun dexpérimenter comme moi, la dilatation est intense et difficilement supportable. Mes cris, à peine feins, ne lempêche pas de continuer de goder mon cul en rentrant et sortant cet énorme truc, à chaque fois un peu plus profond.

Il fait des allers-retours pour pouvoir progresser, crache régulièrement sur le gode et senfonce en moi, malgré mes supplications. Il se saisit du gode par la ventouse et accélère son mouvement pour me baiser en règle le cul avec cet énorme morceau de caoutchouc. Il le sort de mon fion pour mobliger à le sucer et y retourne, sans aucune délicatesse.

— Mon dieu, arrêtez. Je ferai tout ce que vous me direz. Ooohhhh

— Jy compte bien !!

Il retire alors le gode et je me dis alors que la punition était finie. Mais je le vois plaquer la ventouse sur la chaise de bureau, sassurer quelle tient bien et me demande de massoir dessus.

— Vous vous remettez au travail avec ça dans le cul. Quand ce sera finit, je vous libère. Cest à vous de faire au plus vite si vous ne voulez pas avoir ça dans le fion pendant 2 heures

— B Bien M. le Directeur, dis-je en me redressant et en mapprochant du siège.

Je me positionne pour massoir tandis que Théo positionne le gland au niveau de mon anus. Lobjet force lentrée puis senfonce en moi au fur et à mesure que je massois. Jaurais voulu de lenfoncer quà moitié, mais il est impossible de rester en position semi-assise sans appui (essayez de vous assoir dans le vide à la maison et regardez le temps que vous tenez.). De fait, alors que mes fesses viennent enfin reposer sur le siège, le gode est entièrement enfoncé en moi, ne ressort que les fausses testicules et la ventouse.

— Allez, au boulot maintenant !!

A suivre…

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