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L'Aurore d'une autre vie – Chapitre 17

L'Aurore d'une autre vie - Chapitre 17



Les basses de la musique se faisaient entendre dans le couloir. Devant la porte, je vérifiai bien l’état de mes vêtements et sonnai, pour voir quelques secondes après Aurore dans  une superbe robe noire pailletée m’ouvrir, un verre à la main. Un immense sourire sculpta son visage et, sans un mot, elle m’enlaça pour m’embrasser.

Une fois notre baiser assouvi, ma cousine me fit entrer et ferma la porte en me disant de poser mon manteau où je pouvais, le porte-manteau se voyant complètement saturé.

Il y avait quand même un peu de monde ; à peu près autant de filles que de garçons, des couples, des célibataires, des gens qui se tournaient autour. Je croisai Adeline au buffet qui, en m’apercevant, vint me faire la bise.

Salut ! C’est cool que tu sois venu ! Et bonne année !

Oui, bonne année aussi ! Je n’allais pas manquer une occasion de revoir Aurore, ça fait longtemps.

Elle aussi, t’inquiète. Et puis, je l’ai aidée à préparer tout ça, elle m’a parlé beaucoup de toi Elle est comme la braise ! À mon avis c’est quand tu veux !

Sa remarque me fit rire et bander à la fois. Puis j’ajoutai :

Et ça te choque pas, toi ?

De quoi ?

Bah Elle et moi Qu’on couche

Oh, ça va ! T’es pas son frère non plus ! Tu sais, moi je pars du principe que si on s’aime, ou même si on se plaît que pour du cul, il n’y a aucun mal à se faire du bien tant qu’on est d’accord tous les deux !

Elle prit une petite doigtée de chips pour enchaîner sur une gorgée avant de reprendre.

Ça m’a surprise quand elle me l’a dit, j’avoue. J’ai trouvé ça bizarre. Mais vous avez l’air de faire tellement de belles choses ensemble que j’ai fini par m’en foutre. C’est vos fesses après tout.

Nous nous mîmes chacun de notre côté pour nous servir au buffet. Je pris d’assaut le punch avec quelques tranches de saucisson sec.

Hum ! Il est parfait, ce punch ! fis-je à mon interlocutrice.

Ah, merci ! C’est Aurore et moi qui l’avons fait !

Bravo, j’adore !

Et d’un sourire commun, nous trinquâmes pour avaler doucement ce délicieux alcool sucré. Quand nous eûmes reposé nos verres, Adeline me prit par le bras.

Tu viens danser ?

Et nous voilà sur la piste. C’était très agréable d’être au contact d’une autre fille fort jolie au demeurant de temps à autres, de la tenir par la taille, de nous approcher, nous éloigner, parfois nous coller. N’étant pas un grand danseur invétéré, avoir une cavalière me faisait toujours quelque chose. Pour être honnête, danser m’était impossible sans qu’il y ait comme une légère tension sexuelle ; non pas que j’avais envie de coucher avec Adeline malgré son charme certain, Aurore m’en voudrait sûrement mais l’invitation à la danse me paraissait toujours comme un premier pas de flirt, je n’arrivais pas à faire une simple danse innocente. Le manque d’habitude, certainement.

Adeline et moi nous séparâmes. Le punch n’avait plus qu’un fond que je pris ; et peut-être était-ce mieux ainsi, car il était tout ce qui avait de plus traître ! Mangeant les amuse-gueules çà et là, je me pris un nouveau verre de whisky-coca, avant de me promener dans l’appartement. J’aperçus Aurore dehors, sur le balcon, à parler avec des fumeurs. Elle ne fumait pas, et je la rejoignis discrètement. Il y avait trois garçons et une fille avec elle. Je me glissai aux côtés de ma cousine puis la pris tendrement par la taille, le bras dans le dos, en lui donnant un baiser dans les cheveux.

Ça va, ma chérie ?

Oui, très bien !

Que c’était bon de s’aimer publiquement ! Naturellement, les amis nous demandèrent qui j’étais, et je répondis non sans fierté : « Son copain. » Un des garçons, d’une voix particulièrement grave, demanda ensuite la question de toutes les lèvres :

Et vous vous êtes rencontrés comment ?

C’est assez bête, répondit Aurore. Un soir avec Adel’ on était allées dans un bar fêter notre amitié, et puis alors qu’elle était allée aux toilettes, Arnaud avait quitté son groupe de potes pour venir me voir. Au début y’avait rien de sérieux, à la base c’était que pour du cul, et puis à force de coucher et de se parler on s’est un peu mieux découverts. Finalement on trouvait que c’était bon, le sexe ensemble, mais aussi les simples moments de discussions et les verres.

Aurore m’avait fasciné avec cette histoire mêlant à la fois mensonge et réalité : oui, notre relation avait commencé uniquement sur de la coucherie, mais cette histoire de bar et tout Ma cousine avait très souvent une imagination débordante.

La soirée avançait et les quantités d’alcool dans les bouteilles diminuaient. Quelqu’un coupa la musique, demanda un peu l’attention, puis nous entonnâmes « Joyeux anniversaire » avec Adeline et un garçon qui portaient le gâteau plein de bougies pour le tenir devant Aurore. D’un coup, elle souffla les dix-neuf flammes sous les applaudissements de tout l’appartement. La musique revint rapidement, le gâteau coupé et immédiatement pris d’assaut.

Environ une heure plus tard, le pourcentage de gens éméchés était clairement majoritaire. Je faisais attention à tout ce que je buvais et tâchai de rester raisonnable, car je voulais être certain d’être en assez bonne forme pour faire  l’amour après, pour bien bander et profiter pleinement du moment.

En cherchant les toilettes, vu que je connaissais encore mal la maison, j’ouvris une chambre et y trouvai au milieu Adeline à genoux devant un garçon debout. Immédiatement, je fis « Oh pardon ! » et refermai la porte ; la soirée semblait être bonne pour certains ! Ne trouvant pas la bonne porte, je cherchai Aurore. Elle était près de la piste de danse et je l’accostai.

Ah, Aurore ! Où sont les toilettes, s’il te plaît ?

Ah oui, viens, suis-moi.

Tandis qu’elle me menait, elle me demanda :

Au fait, t’as pas vu Adel’ ? Je la cherche depuis cinq minutes.

Euh si, elle était dans une chambre, en train de sucer un mec.

Ah, c’est pas possible ! s’amusa-t-elle. À chaque soirée faut qu’elle suce une bite !

On va pas le lui reprocher fis-je avec malice.

Non, évidemment ! Surtout qu’elle peut faire plus que sucer, parfois. Tiens, c’est là.

Merci.

J’entrai et me soulageai la vessie au point d’en râler de plaisir. Je veillai à bien nettoyer mon gland proprement, car j’espérais qu’il n’y ait pas qu’Adeline qui fasse une fellation, ce soir !

Environ une bonne heure plus tard, après avoir dansé avec quelques filles, je trouvai Aurore au buffet en train de faire un peu le ménage de gobelets et bouteilles vides, histoire de faire de la place. Avant de l’aider, je posai mes mains sur sa taille et osai coller mon bassin contre ses fesses, le sexe pleinement en érection. Je me penchai sur son oreille :

J’ai vraiment très envie

Tu ne veux pas attendre encore un peu ?

Non. Tout de suite Tu me plais, je t’aime.

Peu importe si les gens me voyaient en ce moment, cette situation était tellement jouissive ! Susurrer des mots tendres et chauds à ma cousine, me frotter sensuellement contre elle, contre son derrière Plus les secondes s’écoulaient, plus je la désirais. Qu’elle était belle dans sa robe noire !

Aurore me prit par la main, au milieu des danseurs, et nous atteignîmes rapidement sa chambre qu’elle ferma à clé derrière elle. Même si les basses de la musique et le brouhaha du salon s’entendaient, nous nous sentions isolés et seuls. En soi, c’était le cas : personne avec nous dans cette pièce.

Ma chérie s’approcha, me poussa et je tombai assis sur le lit. Excitation et sensualité extrêmes, la voilà qui monta sur le matelas pour me chevaucher sur la braguette, mit un bras derrière mon cou et l’autre dans mon dos, puis commença des baisers claquants de l’autre côté du cou, le tout agrémenté de soupirs de désir. Ses cuisses nues, en angle droit sur mes hanches, avaient leur haut caché par le tombant de la robe. Cette belle robe noire pailletée comme une voie lactée. Je ne pus m’empêcher de penser que j’allais mettre mon sexe là-dedans, en tous cas dans ce que cette robe renfermait.

Tu portes une culotte ?

Oui

Elle continuait de m’embrasser chaleureusement avant d’enlever quelques premiers boutons de ma chemise. Ç’aurait été incroyablement excitant qu’elle n’ait rien mis en se changeant, sachant très bien ce qui allait arriver au cours ou à l’issue de la soirée. Bah ! De toute façon, la culotte, elle ne l’aura plus alors pourquoi s’en soucier ?

Je me mis à l’embrasser et la caresser très fort à mon tour, mort d’envie. Une envie de la prendre, de la posséder, de la croquer littéralement. De n’être plus qu’un avec cette fille que j’aimais. Mes doigts se crispaient sur le tissu étoilé avant que je n’écarte les bretelles de ses épaules et les fasse tomber sur ses bras. Aurore s’écarta quelques secondes de moi pour se démettre de cet habit et le laisser tomber le long de son bas-ventre. Son soutien-gorge noir était splendide par sa simplicité. Je l’avoue, j’ai rarement trouvé de la beauté dans la lingerie. Sans doute suis-je peut-être trop jeune ? Ou que je n’ai jamais testé ? Disons que les seules fois que j’en ai vu, c’était dans un contexte plutôt vulgaire. Dans du porno, pour être précis. J’en parlerai avec Aurore un jour, mais pas maintenant.

Douce ivresse que celle procurée par cet instant de félicité. L’alcool aidait sûrement à l’affaire, mais je sentais que la majorité de ce bien-être était dû au fait d’être ouvertement désiré. Désiré par une jeune fille avec qui je vivais un amour partagé. Je ne raconterai pas l’état de ma verge en cet instant.

Alors que ma cousine avait à présent ouvert ma chemise en entier, j’allai chercher quelque chose dans ma poche arrière de pantalon que je montrai : une pochette de préservatif.

Mais pourquoi t’as ramené ça ? me demanda Aurore avec amusement. On n’en a plus besoin, maintenant !

J’ai préféré être prudent. On dit que la pilule c’est pas génial avec l’alcool.

Oh, t’en fais pas pour ça, va ! Tu me connais, je l’ai bien prise.

Je n’en doute pas, c’est pour les effets que je m’inquiète.

Pour éviter d’être complètement tue-l’amour, j’enchaînai sensuellement.

Ça ne nous empêche pas d’avoir du plaisir ensemble Ça va pas nous empêcher de faire l’amour

C’est comme tu veux, écoute, fit-elle avec un sourire. Je préfère sans, perso, mais si ça t’amuse

Ça m’amuse, clos-je avec malice.

Je préférais de loin perdre éventuellement un petit peu de plaisir mais être sûr de ne pas faire de bébé. La pochette fut posée sur la table de nuit et je pris immédiatement Aurore dans les bras pour nous faire basculer ensemble le long du lit. Elle enleva sa robe qui s’était retrouvée à ses genoux, et j’embrassai tout son corps qui m’avait manqué depuis plus de dix jours. Et encore, je n’en avais finalement que peu profité lors de notre petite partie du premier janvier.

Son ventre, ses cuisses, ses pieds, ses bras, ses mains. Je dévorais tout des lèvres et des yeux. Bien sûr, j’avais juste envie de me jeter sur son sexe mais soyons un peu galant tout de même. Trop serré dedans, j’enlevai à la fois mon pantalon et mon caleçon, ainsi que les chaussures et les chaussettes. Être nu auprès d’elle me faisait du bien, et enfin ma queue pouvait être dressée librement. Comme dans un état second, je la frottais à sa cuisse pendant mes baisers et mes caresses. Ça n’avait pas l’air de lui déplaire.

Ah, cette bouche ! Cette bouche aux lèvres roses que j’embrassais sans lassitude. Cette bouche qui avait sucé un petit nombre de bites dont la mienne mais qui restait pourtant propre, cette simple idée me faisait fantasmer. Certains en seraient rebutés, mais moi, m’imaginer des tubes de chair ayant été embrassés, léchés toujours avec amour, et penser aux spermes qui ont pu s’écouler sur cette langue et ce palais me faisaient embrasser ma cousine avec plus de gourmandise encore. Un fantasme gay ? Peut-être pas jusque là, mais me dire qu’elle a plu à d’autres, que je couchais avec une fille qui était active sexuellement me grisait.

Mais je n’y tenais plus. J’allai voir ses seins. Les malaxer, les embrasser à travers leur tissu d’ébène. Pour être honnête, j’avais ce fantasme typiquement masculin de faire glisser ma queue entre eux. Malheureusement, ma cousine n’avait pas le décolleté suffisamment habité pour faire cette pratique correctement ; nous avions déjà essayé, sans succès.

Après, Aurore aimait bien que je lui tripote les seins mais s’en lassait vite. Une fois qu’ils furent déshabillés, je me rendis entre ses cuisses où il était beaucoup plus amusant pour elle de se faire toucher et embrasser. Je lui ôtai la culotte noire elle aussi et trouvai une vulve déjà excitée, brillante d’humidité. Ce fut avec un amour tendre que j’y déposai un baiser, puis deux, puis plein. Ma langue montait et descendait le long de cette délicieuse fente dont les cuisses protectrices se refermaient sur mes tempes. Mon majeur pénétra ces petites lèvres en même temps que ma bouche les baisait de désir. Aurore avait décidément une très belle vulve, de toutes celles que j’ai pu voir sur Internet.

J’ajoutai un autre doigt et me mis à jouer avec ce sexe. Je trouvai ça très beau à regarder, le jeu de ma main avec son orifice, et plus je lui en faisais plus Aurore appréciait. Elle se laissait aller à des gros mots, à des râles suppliants, ses jambes ne savaient plus s’il fallait me prendre ou me relâcher.

Tu veux y aller ?

Ohhh Oh oui ! Oui Mais tu veux peut-être que je te suce ?

Je veux pas te couper dans ton élan

Non, approche-la. Tu l’as bien mérité.

Et m’avançant vers elle à genoux, le vît toujours aussi droit à hauteur de son visage, elle s’abandonna dans une très belle fellation. Que ça faisait du bien d’être flatté par cette superbe fille nue, qui s’appliquait dans son travail. Sa bouche, salivant abondamment sans baver, jouait allègrement avec mon gland et mon frein. J’en avais la bite toute brillante lorsqu’elle l’en faisait sortir pour me masturber un peu. Ses baisers honoraient mes testicules chauds et souples, ce qui était encore plus agréable. Mes râles sincères faisaient plaisir à ma cousine, je le savais. « Oh, Aurore Oui, vas-y, comme ça, oui » Elle montrait parfaitement comment elle aimait me faire cela, que ce n’était pas juste pour me faire plaisir mais qu’elle en retirait aussi. Soudain, trop dans l’excitation, je me mis à parler comme dans les pornos que je regardais lorsqu’Aurore se retira de mon engin.

Hum, ma chérie Tu aimes sucer des bites, hein ?

Oui, répondit-elle avec un sourire coquin et en me masturbant. J’adore ça.

Et est-ce que tu aimes en avoir une dans la chatte ?

Ha ha ! Évidemment !

Alors mets-toi dans la position que tu veux !

Après une dernière petite bise sur le gland, ma partenaire se mit à quatre pattes tout en se caressant le sexe. Pour ma part, d’un mouvement encore sûr et habile, je déroulai le préservatif le long de mon sexe et salivai dessus avant de le frotter contre ses lèvres humides. Sa main avec laquelle ma cousine se doigtait vint alors me malaxer doucement les couilles, puis me prendre la hampe pour l’aligner. Elle était pressée, moi aussi, alors je ne nous fis pas languir plus longtemps et m’enfonçai doucement en elle. Oh ! Que c’était bon !

Retourner dans cet orifice qui m’avait été écarté pendant deux semaines me procura comme une poussée d’air frais dans tout le corps, j’étais aux anges. Parfaitement à l’aise dans mon préservatif, j’en oubliais  qu’il était déroulé et sentais parfaitement la chaleur vaginale de ma cousine. C’était devenu pour moi presqu’une habitude que de ne plus bouger, de rester figé dans cette chair, le tronc contre la peau de la jeune fille et en l’occurrence de ses fesses à écouter l’indescriptible plaisir qu’éprouvaient nos corps en cet instant de grâce.

Toujours sans le moindre mouvement de bassin, je me penchai sur Aurore en laissant mes mains glisser sur les côtés de son dos avant de les mettre en appui sur le lit pour aller lui déposer un baiser entre les omoplates. Ma petite cousine, dans la tendresse et le plaisir du moment, de sa main droite alla serrer la mienne avec un « Hummmm » feutré. Je continuai de l’embrasser en haut du dos à plusieurs reprises sans m’arrêter, me délectant de sa peau fraîche échauffée par le désir, sucrée, frissonnante. J’avais envie d’entrer à l’intérieur de cette peau, de cette chair ; pas au sens sexuel du terme puisque de toute façon c’est déjà fait mais vraiment m’immiscer dans tout le corps de ma cousine, ne faire plus qu’un avec elle au sens littéral du terme.

Tendrement, tout en restant couché sur son dos, je bougeai tout mon corps, frottant sensuellement dans le même temps la peau du dos et la chair du sexe d’Aurore. Elle tourna la tête ; d’une main je fis passer ses cheveux sur l’autre épaule pour voir ses yeux, son sourire et un baiser gourmand. Quand nos lèvres étaient séparées, la jeune fille soupirait profondément et lorsqu’elles étaient ensemble, elle soupirait avec sa voix, c’était un moment très émouvant de mon point de vue.

Nous restions en levrette longtemps, nos joues se caressaient et Aurore appréciait tout particulièrement la douceur de la mienne, rasée de quelques petites heures. Plein de désir, je fis passer mes lèvres dans son cou pour la caresser d’un souffle chaud et de plusieurs baisers excités. Tandis que de sa main droite, elle serrait la mienne, Aurore me caressa les testicules du bout des doigts de sa gauche. Elle aimait beaucoup frotter ses phalanges contre mes bourses qu’elle trouvait extrêmement douces et je la comprenais : moi-même il me prend souvent l’envie de me toucher les parties lorsque je suis tout seul pour constater leur lisseté, quand elles sont épilées.

Je me redressai, vertical, en continuant d’aller et venir. Sans réfléchir, j’y allais plus vite, un peu plus fort aussi ; mon corps bougeait tout seul. Ses fesses étaient caressées par mes mains, et de mes pouces je les écartai pour bien dégager la vue sur son sexe et observer le coït, ma verge gonflée se secouer dans cette chair. C’était magnifique !

Qu’il était bon de refaire l’amour Au fur et à mesure du temps, j’avais des frissons qui me parcouraient toute la peau. Il en était de même pour Aurore, dont les picots s’érigeaient sur tout son corps. Je me laissais aller de temps à autres à des accès de vigueur, claquant contre elle, avant de revenir à un rythme plus posé et plus doux. Aurore aimait ça et on l’entendait. Ses poings tiraient les draps et son vagin entravait mon sexe par à-coups. Elle me demandait de continuer, même si je ne m’étais pas arrêté. Tandis que je la tenais par la hanche, de mon autre main je lui caressai les lèvres chaudes et trempées ; parfois d’était l’anus, sans pour autant lui enfiler de doigt. Mais il faudrait un jour que je parle de la sodomie avec elle ; ça me plairait tellement d’essayer, et alors si en plus c’est avec la fille que j’aimais

Je me retirai et demandai à ma cousine de se mettre sur le dos, ce qu’elle fit en un rien de temps. Elle joignit fermement ses cuisses, jambes levées. Je les lui pris telles quelles, les posai contre moi et repartis à l’attaque pour délicieusement éprouver une étreinte de ma queue dans son vagin serré. Cette position fit son effet à tous les deux, nos sens étaient encore plus sollicités et le plaisir proportionné.

Entrant d’un seul coup et ressortant tout doucement, je me plaisais à coller mes couilles contre cette belle fille. C’était un petit contact de plus. Mon rythme, apparemment, lui était très plaisant.

Sans en être réellement conscient, j’adaptais mes va-et-vient en fonctions des états de ma cousine. Me voilà maintenant en rythme rapide et régulier, à taper contre ses cuisses. Aurore gémissait, soufflait, râlait, faisait silence, grimaçait et secouait sa tête dans tous les sens. Et moi, dans sa chaleur vaginale, je prenais mon pied tout autant. J’embrassai, léchai et mordais tendrement son mollet, emporté par l’extase et la vigueur.

Alors qu’elle les gardait levées, je pris ses jambes par les chevilles et les écartai en V, pour regarder ma chérie entre elles. Ses yeux se baissèrent dans les miens et Aurore, en continuant de souffler et de gémir, me sourit.

Ma verge droite ne fatiguait pas, mais je la sentais venir à bout. J’étais habité par le plaisir et l’excitation, ce qui me donnait envie d’atteindre l’orgasme. Je lâchai les chevilles pour attraper très ferment les cuisses et envoyai de puissants coups de reins qui claquaient très esthétiquement. Je contractai ma queue autant que possible pour retenir mon éjaculation, jusqu’à ce que la pression soit trop forte : là je relâchai tout et mon tir fut particulièrement puissant, jouissif, et à ce que je sentais, conséquent. Dans un grand sourire, mes râles résonnèrent dans la pièce, alors que je m’étais complètement enfoncé dans le délicieux vagin, le pubis contre les lèvres.

Sans sortir, je me penchai sur ma cousine pour l’embrasser et la caresser tendrement, encore un peu essoufflé mais heureux. Il était de même pour elle, bien qu’elle n’ait pas joui, toujours pas. C’était frustrant ! Se dire qu’il n’y avait qu’à moi que ça faisait autant de bien me persuadait que je n’étais pas un « bon baiseur », un bon amant. Il est vrai que j’ai tendance, au cours des rares fois où nous avons pu faire l’amour, d’éjaculer rapidement à cause du manque de sexe Mais je veillais toujours au plaisir d’Aurore et ne me comportais pas comme un égoïste !

Peut-être ne la doigtais-je pas assez ? Peut-être fallait-il lui lécher davantage la vulve, la lui caresser ? Je confesse qu’à cause de mon peu d’expérience des femmes, il devait y avoir des choses que je ne savais pas pour leur faire beaucoup de bien.

En regardant Aurore dans les yeux et en lui souriant, je jurai intérieurement qu’un jour, elle aurait un orgasme. Qu’un jour, elle s’envole. Et que nos parties de sexe ne soient plus seulement fabuleuses pour moi. Que ma cousine n’ait plus seulement beaucoup de plaisir. Peut-être que pour cela, nous aurions besoin de nous « voir » plus régulièrement qu’une fois tous les mois, à peine.

J’avais jeté mon préservatif, et nous voici allongés face à face, à nous caresser, nous embrasser, nous sourire et à regarder le corps de l’autre. Mis à part nous complimenter sporadiquement sur notre physique, et se susurrer de nombreux « Je t’aime », nous n’avions pas envie de parler.

C’était certainement la même chose pour elle : je voulais plus avec Aurore. Ce n’était plus seulement faire l’amour ou baiser, mais construire quelque chose de solide aux côtés de cette fille fabuleuse. Peu importe ce que diraient nos parents : nous emménagerions ensemble, même dans un petit studio s’il le faut. Il faudra bien de toute façon qu’ils apprennent la vérité, soit par nous soit par eux-mêmes, mais je préférais et c’était sans doute le cas d’Aurore aussi que nous ayons déjà notre « foyer », afin de ne plus avoir trop d’attaches par notre famille.

Dès que nous nous fûmes remis de nos émotions, il était temps de se rhabiller et de retrouver les invités à la fête. Nous sortîmes ensemble en nous prenant par la taille et, au moment de nous séparer, je fis glisser ma main le long de son dos pour finir sur ses belles fesses rondes.

Au cours du reste de la soirée, Aurore et moi fûmes gentiment charriés par les personnes qui ne nous retrouvaient pas, et qui avaient compris que nous nous étions isolés pour « nous la jouer seuls ». Le temps passant, les invités rentrèrent petit à petit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne d’éveillé. Adeline et une autre fille étaient endormies chacune de leur côté du canapé, tandis qu’Aurore et moi retournions dans la chambre pour nous reposer cette fois ; il était 5 heures du matin et nous ne tenions plus debout. Vu que je n’avais pas de pyjama, elle tint à dormir toute nue elle aussi. C’était en plus une bonne occasion pour profiter de ce plaisir du sommeil peau contre peau.

Le lendemain matin, j’émergeai à presque onze heures ah non, onze heures vingt. Dans un sursaut de panique, je quittai le lit et m’habillai le plus vite possible, de peur que les parents d’Aurore ne rentrent et ne nous découvrent.

En sortant de la chambre, la pièce était vide mais en bazar. Je voyais la silhouette noire du chat, ronronnant et la queue en l’air, s’avancer vers moi en miaulant. Il voulait sa pitance, mais ne sachant pas trop combien lui donner, je versai un peu au hasard dans sa gamelle.

Une fois Hector dans son coin, je me mis à ranger le salon où cadavres de bouteilles remplies de cendres gisaient pathétiquement. Un vrai foutoir et plus personne pour ranger un minimum.

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