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L'autre, sur une plage aux Antilles – Chapitre 2

L'autre, sur une plage aux Antilles - Chapitre 2



Abel

Allongée près de mon mari je ne peux dormir, il fait si chaud sur cette îles tropicale.

Cet après-midi, un autre homme que mon mari ma prise sur la plage et ma fait jouir. Je sens encore en moi sa queue noueuse me pistonner le vagin.

Gédéon mon bel indien à la peau cuivrée, cest le prénom quil ma donné avant de sallonger sur moi. Je ne peux mempêcher de penser à lui. Il avait bien vingt ans de plus que moi. Il ma si bien fait lamour, cétait si bon son gros sexe dans ma chatte. Cétait si bon aussi de faire çà devant Alain qui nous regardait baiser. Alain avec son sexe trop court, pas assez gros pour que je ressente du plaisir quand nous faisons lamour. Je laime et me donner à lui me fait plaisir, mais avec lui jai si rarement ressenti mon ventre senflammer.

Jai aimé me donner à un autre homme devant lui. Je sais que malgré sa jalousie il en a éprouvé du plaisir.

Quand nous étions gamins au village il était déjà mon amoureux. Il était mon camarade de jeux. Des jeux pas toujours innocents, mais qui se limitaient à des attouchements des frottements sur nos sexes. Parfois nous avions avec nous dautres camarades du village et Alain les laissait jouer avec moi sur moi. Il y avait aussi Yves et sa petite sur la Nine sa cadette de deux ans. Moi avec Yves et Alain avec Nine. Jaimais moi aussi le regarder le faire avec une autre. Elle se tendait bien la petite cochonne et semblait prendre du plaisir aux frottements du sexe dur dAlain dans son petit abricot.

Puis la vie nous a séparés », mes parents ayant trouvé un travail dans un autre village. Dans mon nouveau village jai continué mes jeux de gamine délurée avec de nouveaux petits copains. Mais à 19 ans jétais cependant toujours vierge mais bien sûr pas si innocente.

Mon pucelage, je lai perdu à 19 ans lors du bal du muguet le premier mai. Lui avait comme Gédéon 20 ans de plus que moi. Il savait y faire avec les filles le bel Abel, ce soir-là, je nai pas pu résister à lenvie quil avait mise dans mon jeune corps.

Roger mon petit copain du moment était retenu au service militaire. Il avait fait une bêtise et était consigné pour la fin de semaine. Nous devions cependant aller au bal. Avec ma copine, au bar du village nous nous demandions comment nous allions faire pour nous rendre au bal. Roger avec la voiture de son père nous conduisait les autres fois. Le bal était à une dizaine de kilomètres. Il nous fallait une voiture. Pas question pour moi de louper un bal parce que mon petit copain sétait fait punir comme un gamin. En Plus Laurent lami de ma copine nous attendait au bal.

Cest alors quAbel le charcutier du village était entré dans le bar. Cétait un quadragénaire, bel homme mais un peu enrobé à la réputation de coureur de jupons. Chaque samedi il courait les bals et y trompait sa femme avec celles qui voulaient bien se laisser séduire.

A notre tenue de bal, Abel avait compris où nous allions, le bal étant ce soir-là le seul de la région. Il sétait gentiment proposé pour nous y conduire. Ravies de laubaine nous avions accepté. Abel nous le connaissions, il était voisin de mes parents. Moi je savais que parfois quand je traversais le village son regard sattardait sur mes seins et les balancements de mes fesses. Cela mamusait et puis il était gentil.

Dans la voiture, il ma fait asseoir près de lui à lavant. Tout en conduisant amusée, jai surpris plusieurs fois son regard sattarder sur mes cuisses à demi découvertes par ma courte robe. La mode était courte à cette époque.

Arrivés au bal, nous avons retrouvé Laurent le copain de mon amie lui aussi militaire et ayant une permission. Il nétait pas puni, lui. Les deux amoureux se sont longuement embrassés et se sont un peu éloigné vers le bois tout proche, pour avoir sans doute un peu plus dintimité après un long mois de séparation. Abel tout comme moi avait deviné ce quils étaient parti faire. Jétais seule avec Abel qui sest galamment offert pour être mon cavalier en labsence de mon petit copain. Connaissant Abel, je me suis dit : « fais attention Josette, cest un cavaleur, il va essayer de tavoir » mais jai accepté il nallait pas me faire de force ce que je ne voulais pas. Il était cavaleur mais avait une bonne réputation. Il allait avec celles qui le voulaient bien. La présence dAbel allait éloigner les quelques dragueurs que je connaissais et qui nallaient pas manquer de vouloir profiter de labsence de mon petit ami.

Abel a pris une table et ma offert boire, puis il ma invitée à danser ce que je ne pouvais refuser. Je lai suivi sur la piste.

Il dansait bien, çà je le savais et cest avec plaisir quaimant la danse je me suis laissée guider par lui.

Sur la piste après une série de valses, lorchestre a enchaîné par un slow, une danse faite pour les amoureux, propice au rapprochement des corps. De suite, la lumière a été baissée dans la salle. Je me suis retrouvée serrée contre Abel. Lors des valses nos corps sétaient frôlés, serrés parfois, mais là les bras forts dAbel me collaient à lui. Jétais bien. Mon cavalier était fort, dansait si bien, la musique était si douce. Jai fermé les yeux et me suis laissé bercer. Près de nous dans la pénombre des couples sembrassaient à pleine bouche, des corps se cherchaient. Quand la bouche dAbel sest posée dans mon cou et en membrassant est remontée à mon oreille, je nai pu mempêcher de frémir. Jai toujours aimé cette caresse. Je ne me suis pas dérobée. Alors ses grandes mains on commencer à courir sur moi, sur mon dos, mes reins et mes fesses. Elles mont plaquée sur lui et alors je nai pu ignorer leffet que je lui faisais. Sa verge était dressée, dure, si dure contre mon ventre. Grisée par lenvie que je devinais chez mon cavalier, je nai pas tenté de mécarter.

Habituée des bals, ce nétait pas le premier garçon qui en dansant mavait fait sentir sa virilité. Cela me troublait toujours un peu, mais je navais jamais cédé. Même quand après les avoir suivi derrière le bal pour me laisser embrasser et peloter un peu, je les laissais toujours sur leur faim. Certains avaient parfois le droit de membrasser les seins, de sucer mes tétons, me caresser entre les cuisses par-dessus ma petite culotte. Aucun ne mavait eue, même Roger. Lui il avait le droit de me caresser partout, mettre ses doigts dans moi. Il était le seul qui avait réussi à me faire lui donner du plaisir avec ma main sur lui.

Avec Abel jétais certaine de pouvoir me défendre. Jallais sans doute le suivre dehors. Au pire je le soulagerai avec ma main pendant quil embrasserait mes seins.

La lumière avait encore baissé, seuls quelques petits spots bleus éclairaient encore faiblement le bal. Près de nous, je le devinais des filles se laissaient peloter. Il y avait des soupirs et parfois des petits gémissements de plaisir. Les corps séchauffaient, des mains ségaraient, les caresses senhardissaient sur des intimités qui ne demandaient plus quà souvrir au plaisir.

Contre moi, Abel était dur, son membre était pressé sur mon ventre. Quand sa bouche sest posée sur la mienne, jai laissé sa langue venir se lier à la mienne. Pendant notre baiser, jai senti sa main remonter sous ma robe entre nos deux corps et venir entre mes cuisses au contact de mon slip. De suite, ses doigts sont entrés sous le frêle rempart de ma féminité. De suite un doigt a ouvert les lèvres humides de ma vulve et ma effleuré au petit bouton si sensible. Ce doigt la trouvé durci, sorti de sa petite gaine.« Viens, sortons » je lai suivi le coeur battant, profitant de lobscurité complice pour quitter le bal. Dehors dans la nuit noire, un arbre nous a accueillis. Adossée à larbre je me suis laissé embrasser. Cétait la première fois avec un homme de cet âge, les autres fois mon danseur avait mon âge ou presque.

De suite les mains dAbel ont été partout sur moi, mon torse, mes cuisses, mes fesses. Mon corsage a été ouvert et mes jeunes seins dévorés par une bouche gourmande pendant que sous ma robe deux mains habiles baissaient ma petite culotte jusquà mes chevilles. Je ne savais plus trop ce que je faisais. Il savait y faire mon Abel. Sa main sur moi était si douce, si entreprenante, si caressante sur mon clitoris et entre les lèvres de ma vulve. Puis le doigt est venu sur ma grotte et en a forcé lorée. Javais envie, jai poussé un gémissement et nai pu empêcher mes jambes de se dérober sous moi. La bouche gourmande dévorait toujours mes seins. Il y a eu la main entre nos corps alors quAbel avait légèrement reculé son ventre. Jai deviné quil sortait son sexe. Il allait me prendre. Jétais sans force et jen avais envie. Il ma soulevée en me tenant sous les cuisses. Dans mon dos larbre complice laidait dans son entreprise. « Tu veux » « oui, mais fais attention, je lai jamais fait ». Il ny a pas eu dautres mots. Jai senti son gland dur venir entre mes lèvres intime et se placer à lentrée de mon sexe. Abel a poussé lentement. Mon petit cri de douleur sest éteint dans sa bouche quand il ma fait femme. Je lavais en moi, en moi tout au fond et déjà il allait et venait. Accrochée à lhomme je me suis alors laissée aller vers le plaisir, ce plaisir des femmes quil allait me faire découvrir. Son membre était gros, bien plus gros que celui de Roger que javais déjà masturbé.

Abel était fort, tout en me portant sous les cuisses et en me prenant il ma couchée dans lherbe et là au bout de quelques minutes de baisers, de va et vient dans mon ventre, de baisers sur ma bouche, dans mon cou, sur mes seins jai senti ses mouvements devenir de plus en plus amples, de plus en plus rapides. Dans mon ventre le feu a gagné mon sexe, jai gémi, râler de plaisir alors quil me labourait encore. Jétais transportée, jétais femme un homme allait prendre son plaisir sur moi, dans moi. Alors jai osé, je lui ai dit ce que je voulais, ce que je ressentais « Reste, reste dans moi, mets moi tout mon chéri je suis à toi, ta femme ce soir, je veux ton jus dans ma chatte » Mes paroles on sans doute déclenché son plaisir. Enfin je lai senti venir tout au fond de mon intimité. Jai senti les giclées chaudes de sa semence contre mes chairs les plus intimes.

Nous ne sommes pas retournés dans le bal. Dans sa voiture au retour, dans labri dun petit chemin, il ma eue à nouveau. Nous nous étions mis nus, il a été le premier à qui jai fait une fellation.

Ce tantôt avec Gédéon, le plaisir a été aussi fort.

Près de moi Alain mon mari dort toujours. Je nai que ma main pour apaiser mon corps.

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