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Le bain de la luxure – Chapitre 1

Le bain de la luxure - Chapitre 1



Le Bain de la luxure.

    Il est dix-huit heures. Adèle, ma fiancée, et moi même, nous rendons à vingt minutes de notre appartement, chez Marjorie, ma meilleure amie. Marjorie était de retour dans la région. Ça fait maintenant 6 ans que je la connais. Elle est partie dans le sud pour ses études. Nous nous revoyons donc que pendant les vacances, quand elle rend visite à ses parents. Avant que je rencontre Adèle, ma relation avec Marjorie était ambigue. Nous sommes devenus amis, puis meilleurs amis, et presque amants. Je pense que si nous l’étions devenu, ça aurai tout gâcher à notre amitié. Aujourd’hui, Marjorie est comme une soeur à mes yeux. Adèle, elle, a un an de plus que moi. Elle est une magnifique femme. Rousse, un mètre soixante dix, avec une poitrine généreuse. Un bon 90C. Marjorie est brune, typée espagnol, un mètre soixante quatre avec une généreuse poitrine, 90B je suppose.

    Nous arrivons chez Marjorie. Elle nous accueille avec un énorme calin comme elle sait les faire. On s’installe dans le salon. Les filles commencent à discuter sur leur nouveaux vêtements. Une coutume dont j’ai horreur, mais je m’en fous après tout. Pendant leur discution utile, je prépare les cocktails et les crackers pour l’apéritif.

    La soirée s’enchaine normalement. On discute, on débat, on se marre, on boit sans retenu et on fume, là encore, sans retenu. Marjorie annonce qu’elle à quitté son copain, qui l’aurai apparemment trompé.

    Vers minuit, après avoir joué au "Président" et après avoir pas mal bu. On se fait un action/vérité, version plus adulte.

Après multiples questions du type : "Son record au pieu" ou "Est-ce que Adèle fait de bonnes fellations", voici une question qui n’était pas sensée exister : "Adèle, d’après Mael, tu aurai des penchants bisexuels, c’est vrai ?"

Adèle me regarde, comme si elle voulait me dire : Tu lui en a parlé, t’es sérieux ? Mais elle se marre et avoue sa bisexualité, Marjorie en fit autant. Elle nous avoua son experience lesbienne à la fac. Marjorie était donc bisuexelle, et je n’étais pas au courant. J’en découvre des choses ce soir.

Après avoir parler de la bisexualité et après avoir passé plus d’un quart d’heure à expliquer à Marjorie que certes, j’acceptais la bisexualité d’Adèle, mais je ne l’étais pas.

Vers 1h30, une envie nous viens : Aller nous baigner dans la rivière qui est juste à côté de chez Marjo. Motivés et alcoolisés, on y va limite en courant. La guinguette était encore allumée et les derniers clients terminaient leurs verres. Nous trouvons un coin hors de leur vue. On arrive devant l’eau, et Marjorie nous lance un défi : "Cap de se baigner nus ?". Alors là, faut pas me lancer sur ce terrain là. Je n’ai aucune gêne par rapport à ma nudité. Je m’en fous complètement, et je sais faire la différence entre la nudité sexuelle et naturelle. Bien que parfois elle sont liées. On se regarde mutuellement, on se marre et on retire nos vêtements. Sans gênes, on se regarde. C’est ainsi que j’ai découvert le corps de Marjorie. Ses seins splendides et son buisson bien entrenus ne me laisse pas indifférents. Je ne suis pas excité, mais j’ai un sentiment étrange. J’ai déjà vu Marjorie en maillot de bain ou même en sous-vêtements, mais c’est une part d’elle qui m’était inconnue. Elle aussi semblait découvrir une partie de moi qu’elle n’avait jamais vue. Je vois son regard s’attarder quelques secondes sur mon pénis, qui, fort heureusement, était calme. On cours donc à l’eau, et on profite de la température agréable de celle-ci. Nous nous mettons sous le pont, par peur d’être repéré par les voisins. Je m’en vais un peu plus loin car j’ai une envie pressante. En revenant, je surprend une conversation entre Adèle et Marjorie.

-Juste pour savoir Adèle, sa bite, en érection, elle mesure combien ?

-Euh… Je peux savoir pourquoi tu veux savoir ça ?

-Je ne vais pas te mentir, j’ai toujours voulu savoir. Et la voir en repos c’est déjà pas mal, alors j’imagine pas quand il est en forme.

-Je dirais 20 ou 21 centimètres. Mais c’est un peu gênant. On parle de l’engin de Maellà …

-Oui excuse moi Adèle. C’est juste que… Comment dire… Vous êtes un couple assez ouvert, et vu que je suis célibataire, j’aimerai bien …. tu vois ?

-Attend, tu veux faire un plan à trois avec nous ?

-Oui… c’est ça…

Je profite d’un long silence pour revenir.

-Alors, de quoi vous parliez ?

-Oh de rien. Me répond Adèle.

Marjorie réplique :

-On parlait de faire un plan à trois. Tout les trois.

Petit moment de gêne, mais d’excitation en même temps. On se regarde sans rien dire. Et on peut observer les tétons des demoiselles se durcir, alors qu’il ne fait pas froid. Marjo se pince les lèvres. Adèle ne sait pas quoi dire, et moi, je commence à avoir une demi-molle.

Adèle, qui jusque là a été très silencieuse, annonce : "Pourquoi pas après tout ? Moi je veux bien."

Nous retournons donc à la maison, nus… naturellement. Heureusement, personne ne nous a vu. Nous fermons donc les rideaux, et on s’installe sur le canapé, en tenu d’Adam. C’est étrange… Personne ne réagis. On se regarde. Excités, stressés, gênés … Un long silence s’installa, et failli couper toute envie. Mais Marjorie, plus excitée que jamais, commença à caresser Adèle. Elle caresse en premier sa jambe, puis se concentre sur la cuisse, toute en la regardant avec envie, et en pinçant ses lèvres. Je ne loupe pas une miette de ce spectacle. Depuis que j’ai découvert l’univers du sexe, j’ai toujours eu ce fantasme de voir ma copine avec une autre fille. Aujourd’hui, chanceux que je suis, mon rêve va se réaliser. Je vais faire des jaloux.

Marjorie et Adèle commencent à s’embrasser et à se caresser mutuellement. Je suis à la fois fasciné et excité. Et ça commence à se voir. Une puissante éréction fit son apparition. Marjorie l’a remarqué.

Voir mon sexe pendant le bain de minuit ne l’avait pas laissée indifférente, mais là, elle le regardait comme on regarde un dessert appétissant.

-Effectivement Adèle, elle fait un bon 20 centimètre !

-Je te l’avais dit !

-Euh, mesdames, un peu de respect, on parle de mon sexe là, il est sensible !

A ces mots, elles se mirent à rire.

-Sensible tu dis ? On va voir ça !

Marjorie commença à me carresser la verge doucement, avec une delicatesse qui me provoquait des frissons dans tout mon corps !

Pendant que Marjorie entamait une masturbation divine et délicate, Adèle renda la pareille à Marjorie en lui carressant les cuisses, puis petit à petit, remonte jusqu’à son clitoris.

Aucune zone de nos corps n’est épargnée par les caresses ! Nos cuisses, nos sexes, nos bouches, leurs seins… Chaque endroit sensible est exploré. Tandis que Marjorie commence un cunnilingus sur Adèle, je la regarde faire. Plus excité que jamais, je regarde Marjorie, à genoux sur le sol en briques en train de satisfaire langoureusement Adèle, qui est sur le canapé. J’admire la croupe de Marjorie, cambrée, j’ai tellement envie de découvrir son intimité, mais quelque chose en moi me bloque, j’hésite vraiment. Je revois pendant un moment Marjorie quand elle était encore au lycée, prude, innocente. Mais elle a grandi, elle est beaucoup moins innocente et prude maintenant. J’en suis arrivé à me dire ceci quand elle me dit :

-T’attend quoi pour me doigter ?

Elle me le disait avec un regard lubrique et un sourire érotisant.

Je commençais donc ma croisade vers son abricot très appétissant.

Marjorie léchait le clitoris d’Adèle, moi je doigtais Marjorie, et Adèle continuait la masturbation qu’avait commencer Marjorie sur moi tout à l’heure.

Marjorie mouille de plus en plus, et moi je ne peux plus continuer ainsi ! Je lubrifie mon sexe sous tension, et je pénétre Marjorie qui pousse un cri de surprise et semblait apprecier ce qu’il lui arrivait.

Elle n’arrive plus à se concentrer sur le cunilingus qu’elle faisait à Adèle.

Après quelques minutes en levrette avec Marjorie, voyant Adèle s’impatienter et se masturber, j’échange donc de partenaire. Adèle sur le canapé, sur le dos, je la pénétra donc ainsi ! Marjorie se met au dessus d’Adèle, et s’accroupi légèrement afin qu’Adèle puisse faire un cunnilingus que Marjorie semblait aimer.

La chaleur montait, notre souffle se perdait pendant que j’accelerait la cadence. Tantôt je pénétrait Adèle, tantôt Marjorie, enchaînant les positions, les caresses et de temps à autre, je doigtais mes partenaires afin de gagner du temps et me reposer. Marjorie gémissait de plus en plus sous mes coups de langue sur son clitoris. Au bout de quelques secondes à peine, elle atteint l’orgasme. Je laisse Marjorie se reposer et m’occupe d’Adèle. Elle me grimpe dessus et commence sa chevauchée. Elle aussi atteint l’orgasme et ne retient pas ses cris qui résonnent dans la maison. Je n’était pas loin de jouir. Marjorie porte ma verge plus dure que jamais à sa bouche et Adèle passe sa langue sous mes testicules, pratique que j’aime énormément. La pression monte de plus en plus. Je gémi de plus en plus fort, et Marjorie accélère sa divine fellation. Je sentais chaque zone de contact de sa bouche sur mon pénis et chaque coup de langue d’Adèle me faisait me rapprocher du point ultime. Tout s’accélère. Les coups de langue, les va et vient de la bouche de Marjorie, et je fini par craquer.

J’éjacula dans la bouche de Marjorie qui semblait se délécter de ma semence. Adèle embrassa Marjorie afin de pouvoir profiter de mon sperme.

La pression redescendue, on se pose sur le canapé, halletant comme après un marathon. On se regarde… On ne sait pas si ce qu’on a fait était bien, si on aurait dû le faire… Après quelques secondes sans rien dire, on comble le silence par un rire général.

-Eh ben dis-donc… c’était …. Caliente !

-C’est le cas de le dire Marjo !

-Je pense qu’on a mérité une clope !!

On trouve encore de l’énergie pour se rouler notre clope. On la fume en ne disant rien, mais on était aux anges. Nous avions chaud et nous décidons de ne pas nous revêtir ! On était à l’aise ainsi ! On met un peu de musique, tout en ne disant rien. Nos esprits sont ailleurs, on se regarde juste en souriant

On décide d’aller se coucher. en tant normal, j’aurai dormi avec Adèle, et Marjorie dans son lit. Mais on s’est couché tout les trois ensemble, encore complètement nus.

Nous nous sommes endormi très rapidement. Cette nuit a été reposante.

Le lendemain, je me réveille vers 11h. Je constate que j’ai dormi avec Adèle, mais Marjorie n’était pas dans le lit. Je me suis donc dit que j’avais du rêver. Et quel beau rêve ! Adèle se réveille peu après moi. On se lève et on descend dans le salon, sans se rendre compte que nous étions encore en tenu d’Adam et d’Eve. C’est en voyant Marjorie, nue elle aussi, et sans complexe, que j’ai compris que je n’avais pas rêver.

-Coucou les gens ! Je vous ai fait du café !

-Merci Marjo, t’es la meilleure ! Dis-je en lui déposant un baiser sur la joue !

On prend notre petit déjeuner ainsi, complètement nus ! On fume notre clope des lendemain de soirée.

On rigole, on écoute de la musique, on parle de tout et de rien, comme si rien ne s’était passé ! Après une bonne douche bien méritée en compagnie d’Adèle, pas de Marjorie cette fois, à mon grand regret. La douche dérape légèrement. On se caresse et elle me dit :

-Un p’tit coup vite fait ?

— Soyons fous !

On fait donc notre affaire en quelques minutes ! Pendant que nous nous sechons, Marjorie nous rejoins dans la salle de bain et entre dans la douche. Plus aucune pudeur ni gêne ! Et Adèle et moi, nous ne prêtions plus attention à sa nudité. Même si de temps en temps, pendant que je me brossais les dents, je jetais un petit coup d’oeil dans le miroir pour admirer Marjorie prenant sa douche. Je suis en compagnie de deux femmes magnifiques, autant vous dire que je suis plus que ravis.

On décide d’aller faire un tours au vide-grenier de la ville d’à côté. On s’habille, contre notre gré, mais je doute que le vide-grenier soit spécial nudistes.

On prend la voiture, et comme à notre habitude, on met nos chansons les plus débiles et on se met à chanter comme des aliénés ! On fait donc le tours du vide-grenier, et on tombe sur une vielle connaissance : Ophélie. Ophélie était mon ex du lycée. Marjorie et Ophélie était meilleures amies à l’époque, mais plus maintenant, il y a eu des tensions, à cause du fait que Marjorie se rapprochait trop de moi. Si elle savait à quel point on était proche ! Après quelque blablas qui ne duraient pas longtemps, on fini notre virée et nous rentrons à la maison.

-Je commence à avoir faim ! Lanca Adèle

-moi aussi ! Dit Marjorie

-J’ai compris mesdames, je vais faire des pâtes carbo !

-OUAIIIIS !!! Crièrent t elles en choeur !

Pendant minutes, plus personne ne parlait. Marjorie faisait la vaisselle, moi à manger et Adèle mettait de la musique.

Marjorie décida de rompre ce silence

-On s’est quand même bien marré hier, non ?

-Oh que oui ! c’était super ! Répondais-je

-J’ai grave adoré ! dit Adèle

D’un air moqueur, je reprend Adèle

-"Grave Adoré" ! t’es plus une ado  hein !

-Oh ça va hein !

-Donc pas de regret messieurs dame ? demande Marjorie

Adèle et moi, on répond en chur

-AUCUN !!!

-Parfait alors !

depuis ce jour, nous n’avons pas reproduit cette expérience, mais nous avons souvent fait des bains de minuit, nous avons même fait des vacances tout les trois dans un club naturistes !

Nous n’avons aucun regret, et nos liens se sont même renforcés ! Marjorie s’est trouvé un nouveau copain, très ouvert, qui a accepter le fait que Marjorie ai fait un plan à trois avec nous. Il a même participer à nos bains de minuit traditionnel et aux vacances naturistes.

Un jour, pendant une soirée "couple", on s’est mis à parler de ce fameux Bain de la luxure. Et Adèle émis l’idée de faire un plan à 4, entre couple.

-Nous verrons. Dis-je en même temps que Marjorie. Nous avions tout les deux le sourire au coin de la bouche et le regard complice.

Fin ?

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