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Le comte Moch – Chapitre 1

Le comte Moch - Chapitre 1



Il est du temps comme des choses, il passe, trop vite au goût de certain et pas assez au goût des autres, il y a toujours un passé qui des fois nous rattrape.

En ces temps lointains la vie était dure, Jack tout juste 20 ans et son épouse Morin 17 ans étaient pauvres, ils avaient bien leur ferme et quelques terres, deux vaches et leurs volailles mais cela ne suffisait pas à nourrir une famille.

Ils avaient deux enfants Moch le garçon, aîné de sa sur de un an et Beths leur adorable petite fille qui avait tout juste 1 mois.

Les difficultés pour payer limpôt au seigneur étaient grandes, malgré que ce seigneur soit magnanime et à lécoute de ses sujets, vint un jour ou il ne purent sacquitter de la taxe.

Ils reçurent alors la visite de leur seigneur et maître le sir Constant, celui ci était vieux et marié à une femme qui ne lui donnait que des filles malheureusement pour sa descendance.

Jack et Morin habitaient dans un endroit très reculé du domaine, à lécart de tout et très loin du château, à plus de deux jours de marche.

La proposition du seigneur tomba comme une chape de plomb sur les épaules des deux époux, celui ci proposait à Jack et son épouse en échange de leur petit garçon, de les exonérer dimpôts à vie pour eux et leurs descendances et même de leur donner des terres et des bettes, sils lui laissaient emporter lenfant, pour en faire son fils et bien sur garder le silence sur cet échange.

Le couple ne pouvait, même si cela était pour eux un déchirement, faire autrement quaccepter cette proposition, cela permettrait de nourrir plus aisément Beths et ferait deux des gens riches, avec beaucoup plus de terres et bien sur des possibilités de sagrandir encore sils en retiraient des revenus.

Moch fut emmené par le seigneur et grandit à lombre du château, entouré du luxe et des soubrettes, la comtesse sa mère adoptive laimant comme son fils, elle navait que 18 ans à la venu de Moch et adora lenfant, au bout de quelques années celui ci ne se rappelait même plus de ses véritables parents, il avait tout juste 1 an quand on lavait emporté, plié dans la cape de son père adoptif le comte Hall de Constant de Valbourg.

Le comte mourut 2 ans après sa venue au château et le laissa donc seul héritier du comté de Valbourg.

Il grandit donc entouré de ses trois surs et de sa mère Martha de Valbourg la comtesse. Ses trois aînées, Mule la plus âgée, Sab celle quil aimait le plus et Nadin la plus jeune, était pour lui ses surs et lentouraient de soins attentifs, le seul homme de la famille était couvé comme un bien précieux, il fallait le protéger de tout pour ne pas perdre les terres et le château, sil venait à lui arrivé quoi que ce soit avent ses 14 ans elles seraient déchues de tous leurs biens et se retrouveraient pauvres et déshéritées.

Il passa le cap des 14 ans et devin enfin le comte Moch de Constant de Valbourg, héritier de la fortune, des terres et des serfs qui peuplaient limmense comté.

Mule était en âge de se marier depuis déjà longtemps elle avait 17 ans, en ce temps là, les filles se mariaient souvent à lâge de 15 ans, lespérance de vie des femmes, nétant pas grande comme aujourdhui mais elle devait attendre que son frère et maître soit en âge de lui donner un époux.

Sab aussi avait 15 ans et Nadin arrivait à ses 14 ans comme Moch.

Depuis déjà quelques jours, il a pris possession de son domaine et malgré son jeune âge, se débrouille très bien dans ladministration de ses biens et de sa famille.

Vous ne le savez peut être pas mais en ce temps là, le droit de cuissage existait et tout seigneur avait droit à son gré de coucher avec qui bon lui semblait et dessayer la femme de ses sujets et de les dépuceler le soir des noces, même ses surs, on ne parlait pas dinceste on avait même le droit de se marier entre frère et sur si le cur vous chantait et les seigneurs très riches avaient ainsi plusieurs femmes à leurs grés, les plus riches arrivaient parfois à avoir ainsi une grande descendance mais une seule femme compte, la première épousée et seule sa descendance avait lhéritage. On parlait de concubinage pour les autres épouses.

14 ans nest pas un âge ou lon pense à ses choses là et donc Moch Maria sa grande sur à un seigneur de ses voisins, sans en demander le droit de cuissage, ce que lui reconnu par son amitié ce seigneur, qui devint son grand ami.

Sa sur Sab refusa de se marier et demanda à Moch de la garder encore un peu avec lui, il accepta volontiers car il aimait cette belle jeune fille à la peau blanche et aux yeux verts qui était dune douceur exemplaire.

Il venait de passer ses 15 ans et pouvait prendre femme sil voulait, ce nétait pas sa préoccupation première, Moch avait à sa disposition toutes les soubrettes du château sil le désirait et une chose le taquinait plus que tout, cétait de voir sa mère, la comtesse dépérir dennuis, elle navait que 33 ans et était encore une femme magnifique, ses gros seins laiteux, sa peau blanche, sa longue chevelure noire et ses yeux vert, elle était grande pour une femme de lépoque mais son corps était parfait.

Ce jour là, il entra dans les appartements de sa mère pour prendre des nouvelles, elle était devant sa table de travail et parlait avec une de ses soubrettes.

— Bonjour madame ! Je ne vous dérange pas ?

— Entrez monsieur, non je mennuis, je vais coudre un peu cela me distraira.

— Madame ! Voulez-vous que je vous trouve un époux, vous êtes encore jeune et pourrez trouver auprès dun homme qui vous aimera du réconfort et cela chassera votre ennui !

— Je ne veux pas dépoux monsieur, je reconnais volontiers que labsence dun homme dans ma couche me manque quelques soir mais je suis bien ici, entouré de mes enfants et ne voudrais pour rien au monde partir chez un étranger !

— Comme il vous plaira madame, vous êtes juge de votre vie et ne voudrais vous déplaire.

Le comte pensa à cela la journée entière et parvint à une conclusion, ce quil manquait le plus à sa mère cest un homme dans sa couche quelques soir, il navait aucune idée de ce que cela représentait mais prit une décision, ce soir elle aurait un homme pour lui tenir les pieds au chaud.

Le soir même à lheure du couché, il se rendit chez sa mère, entra dans la chambre.

— Madame ! Vous mavez dit ce matin vouloir un homme dans votre couche, que cela vous manquait quelques nuits, accepteriez vous votre fils et lui permettriez vous de satisfaire votre envie ?

— Monsieur rien ne peut me faire plus plaisir mais savez-vous les choses du sexe ?

— Non madame, jai ouï-dire mais nen connaît rien, si cest cela qui vous chagrine, peut être pourrez-vous men indiquer les méandres !

— Monsieur ! Jen serais fort aise, venez donc près de moi, je vous donnerais volontiers quelques leçons de ce que jen sais !

La comtesse ne savait pas plus que ce que son vieux mari lui avait appris mais assez pour passer quelques bonnes nuits avec Moch, ce quelle ne savait pas, cest que lui était très inventif et que pour leurs plaisirs à tous deux, il allait être un des meilleurs amants quy soit.

Il se coucha et la première leçon quil prit fut celle du baisé sur la bouche, cela le répugna un peu au début, de sentir la langue de sa mère dans sa bouche et davoir le goût de sa salive mais eu vite le plaisir de sentir le corps chaud contre lui et les seins de sa mère contre son torse.

Il prit vite le goût de les caresser et trouva plaisir à pincer les tétons qui durcissaient sous ses doigts.

La comtesse le tenait en main et allait dans des va-et-vient sur sa grosse hampe, lui donnant quelques satisfaction, il chercha son sexe et ne trouva à la place quune vague cicatrice non refermé mais quil lui sembla très sensible quand il y porta les doigts, surtout sil restait sur le haut et ce petit bouton rose quil sentait durcir, laventure le mena à introduire deux doigts dans le trou qui se trouvait juste dessous et vu le plaisir quen retirait la comtesse, se douta quil venait de trouver là le centre du sexe.

Ses doigts cherchaient à donner du plaisir et il trouva plus bas ce quil avait lui aussi tout pareil, la petite rondelle, il savait cela sensible, pour se la taquiner lui-même quelques fois et en retirer du plaisir, il fit de même avec sa dame et ses gémissements lui prouvèrent quil avait trouvé le jeu favori des femmes, se faire câliner lentre cuisse et les divers trous qui si trouvaient.

Il avait vu les nourrices donner le sein et donc en déduit que ce nétait pas mauvais pour les femmes et téta les seins comme un enfant, il ne savait que faire de cette grosse hampe qui trônait entre ses cuisses, quand elle le dirigea vers son trou, entre ses cuisses, il ne crut pas que cela pourrait entrer dans son ventre, son membre si gros dans un si petit trou, cela est-il possible ?

Il senfonça en elle, son gland lui procura quelques douleurs sur linstant, vite remplacé par un vif plaisir, de se trouver dans ce ventre si chaud et si doux, il ne fut pas long à sentir dans sa verge monter un vif plaisir et quand il éjacula dans le ventre de la comtesse, il sétonna lui-même de ses cris et de son plaisir, elle ouvrait ses cuisses en grand et le suppliait de continuer son travail de va-et-vient, elle était emplie de son jus qui coulait pour la première fois, sa gourme était parti dans le ventre de cette femme avec son pucelage.

Cétait tellement bon, quils ne cessèrent de faire lamour quau petit jour, la comtesse le con plein de sperme du jeune comte et le comte plein de joie davoir satisfait sa jeune mère.

— Madame, si vous le désirez, je viendrais souvent vous rendre visite ainsi, jaime les choses du sexe et en suit fort aise !

— Mon amour, venez quand il vous plaira, je suis ouverte à tous vos plaisirs et au miens et ma couche vous est acquise !

Dans lesprit de Moch ce quil venait de vivre avec la comtesse nétait ni plus ni moins que laccomplissement de son devoir de seigneur et maître du comté mais le plaisir retiré par cette nuit avec la comtesse le travaillait, toutes les femmes donnaient-elles autant de plaisir aux hommes ?

Il voulait en avoir le cur net, comme tout seigneur, il avait droit de vie et de mort sur ses sujets et le droit de se servir de lun ou de lautre à sa guise.

Il fit venir une des soubrettes dans ses appartements et lui ordonna de se dévêtir et de prendre place dans sa couche.

Celle ci trop heureuse que le seigneur des lieux lhonore, fit diligence pour être la meilleure des amantes, elles nétaient plus pucelles depuis longtemps et avait lexpérience du sexe comme beaucoup de filles de la campagne.

Le comte fut étonné quand elle le prit dans sa bouche et lui procura le plaisir de la fellation, elle se servait de sa bouche comme de son entre jambe et même mieux et quand il éjacula son sperme chaud elle nen perdit pas une goutte, comme si cela était du bon lait.

    Elle soffrit à lui de diverse manière et sempala même dans le trou qui sert aux défections, ce qui était un pur bonheur pour le comte, il vint plusieurs fois en elle, comme dans la comtesse et se promit de faire profiter sa mère de ceux quil avait appris avec la soubrette.

Il passa ainsi une autre nuit de rêve entre les cuisses de la soubrette et ses trous bien juteux.

Celle ci lui demanda même de lhonorer dans quelques jours pour sa nuit de noce et de faire ainsi valoir son droit de cuissage.

Il faut dire quainsi elle profitait, dune part dune nuit de plus avec la grosse pine du comte et de la dot, que celui ci voudrait bien lui apporter pour son premier né car il nétait pas rare en effet, que le premier né soit le fils du seigneur qui avait défloré la donzelle ou usé de son droit de cuissage.

Le droit de cuissage avait lieu au château, après le mariage, la donzelle devait passer sa première nuit de noce avec le comte, elle repartait avec quelques pièces dor et une voir deux vaches si elle était pucelle et quelques draperies et lhonneur dêtre déflorée par le seigneur. Il faut dire que peu de filles arrivaient vierge au mariage dans les campagnes, bien souvent le père ou les frères se chargeaient du dépucelage des filles avant le mariage, les murs nétaient pas ce quils sont mais le fait de passer sa première nuit avec le comte, faisait oublier au futur époux, quelle nétait plus pucelle depuis longtemps et lhonneur de la donzelle était sauf, de ce côté là au moins et celui du mari cocu aussi, tout le monde pensait que la donzelle était dépucelée par le seigneur, ce qui était rarement le cas, bien des fois elles arrivaient déjà engrossées au mariage et sans savoir qui en était le père.

En ce temps là, la qualité de beauté des femmes nétait pas dêtre mince mais bien au contraire dêtre plantureuse, avec des seins énormes et des culs de juments francomtoise.

Jécris la suite, vous allez aimer !

Merci de me lire et de vos encouragements, pensez au correcteur sil vous plait, qui fait un travail dans lombre mais tout aussi utile que le miens.

Merci de me lire.

Barbebleue.

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