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Le facteur est passé – Chapitre 2

Le facteur est passé - Chapitre 2



Petit préambule avant de lire ce chapitre : Celui-ci est une fiction produite à partir d’éléments réels. Je n’ai donc jamais eu de rapports sexuels avec Karine et ce n’est qu’un pur fantasme qui se réalisera peut-être un jour… Le prochain chapitre sera toutefois réel, rassurez-vous. Sur ce, bonne lecture !

Le retour à l’appartement fut difficile tellement cette journée avait été forte en émotions, tant physique que morale. Toutefois, étant un jeune homme ayant des occupations de jeune homme, je passai le restant de l’après-midi sur la console, avant de sortir au cinéma avec ma bande de potes. Après avoir passé une bonne soirée, il fut temps d’aller se coucher pour encore travailler le lendemain. Cette fois, le réveil de 6h fut moins difficile que ces deux derniers jours et après avoir fini de me préparer, je filai au centre de tri tout content et excité à l’idée de me retrouver encore une fois seul dans la voiture avec Nathalie, cette sulfureuse femme de 42 ans. Quelle ne fut pas ma déception de constater sur le tableau des congés que ce jeudi était son jour de repos, me forçant à être formé le dernier jour par Karine, une autre factrice elle aussi d’une quarantaine d’années.

Cette fameuse Karine était moins excitante que Nathalie à première vue, mais son petit sourire en lèvre qu’elle affichait toujours était plutôt croquant, ce qui rattrapait le niveau de mon amante de la veille. Contrairement à Nathalie, cette femme était blonde avec les cheveux longs et bouclés. Ses yeux étaient quant à eux plutôt banals avec leur teinte marron clair.

Hello ! bien réveillé et en forme pour cette dernière journée de formation !? me demanda-t-elle, tout sourire.

Oui, pas de soucis, je suis frais comme un gardon, lui répondis-je en rigolant.

Super ! Bon, comme Nathalie t’a bien formé, je te laisse te débrouiller pour les colis pendant que je m’occupe des lettres, ça te va ?

OK OK pas de soucis, je m’en occupe.

Et je partis sur ces mots vers les étagères remplies de colis, m’indiquant que le tri et par conséquent la tournée allait être très longue, contrairement aux deux derniers jours où c’était assez calme. Ayant terminé plus vite que moi, Karine vint en renfort et ce fut terminé après une bonne dizaine de minutes.

Allez, petit café et on file dans 15 minutes ! fit-elle encore une fois toute joyeuse.

Ces 15 minutes passèrent vite et encore une fois, je pris le volant, mais sans main baladeuse venant parcourir ma cuisse pendant la durée de la tournée. J’appris comme avec Nathalie à en apprendre plus sur Karine et celle-ci était aussi divorcée, mais sans enfants. J’appris aussi qu’avant d’être factrice, elle avait été mannequin pour pied dans une célèbre agence de cosmétique jusqu’à ce que le temps la rattrape et la fasse licencier de son boulot.

Pourquoi avoir fait ce boulot si ce n’est pas indiscret ? lui demandai-je de façon innocente.

En fait, c’était mon copain de l’époque qui était un peu fétichiste qui m’avait dit qu’ils étaient magnifiques. Du coup, j’ai passé un shooting photo pour être recrutée et j’ai directement été embauchée.

Ah tu es fétichiste ? dis-je encore une fois innocemment.

Oh ! Euh un peu oui si je dois être franche avec toi. Désolée si ça te gêne.

Ah non, du tout, j’aime bien ça en plus ! C’est même moi qui m’excuse, je n’aurais pas dû te demander ça, c’est beaucoup trop personnel et on ne se connaît pas.

Ne t’en fais pas, c’est oublié, il n’y a pas de soucis, surtout si tu aimes ce concept aussi ! dit-elle en rigolant avec son petit sourire absolument craquant.

La tournée se passa rapidement et Karine me montra comment faire signer un avis de passage ainsi que les colis pour les clients. La chaleur commençait à devenir de plus en plus insupportable au fil de la matinée et au moment de la pause du midi, Karine me fit une requête qui m’enchanta.

Est-ce que ça te gêne si j’enlève mes chaussures 5 minutes le temps de souffler ?

Non, pas du tout, c’est toi la patronne en plus. Tu ordonnes, j’accomplis haha !

Super, merci, car je n’en peux plus avec cette chaleur à force de marcher.

Elle fit alors tomber ses chaussures de sécurité ainsi que ses chaussettes et je pus apercevoir ses pieds. Elle n’avait pas menti, ils étaient absolument superbes. De plus, ils étaient sans odeur, ce qui apportait une touche non négligeable d’excitation. Je ne pus alors me retenir d’un compliment.

Ah oui, tu devais vraiment être une superbe mannequin pied ! Ils sont magnifiques vraiment.

Mais non, tu dis ça pour me flatter, ils sont normaux, en plus, ils transpiraient dans mes chaussures, ce qui ne les met pas du tout en valeur.

Je te promets que c’est sincère !

Bon hé bien merci Antoine, tu es vraiment gentil avec tes compliments, dit-elle en rougissant un peu.

On devrait avoir bientôt fini, je pense, vu comment on avance non ?

Oui, je pense que si on continue à ce rythme, on sera rentré dans une heure.

Et c’est ce qui arriva grâce à un bon travail d’équipe. On commença donc à décharger la voiture une fois rentrée au dépôt lorsque Karine se tordit la cheville à cause d’un colis mal porté.

Aïe !!! Punaise, je me suis tordu la cheville, ça fait mal, tu peux m’aider à avancer s’il te plaît Antoine ?

Attends, bouge pas et appuie-toi sur mon épaule.

A force de clopiner, on parvint à un tabouret et je revins vite avec une poche de glace que le directeur m’avait donnée dans l’infirmerie du centre de tri. Je l’appliquai alors sur sa cheville doucement tout en lui parlant :

Outch c’est froid, mais ça fait du bien ! dit-elle en gémissant un peu.

Content que ça marche alors ! Ne bouge pas, je vais finir de ranger, applique bien la glace partout surtout !

Je partis donc à peine 5 minutes le temps de ranger toute la voiture et de classer les lettres non postées. Une fois de retour, je vis bien qu’elle souffrait malgré le froid. Je lui proposai donc de la raccompagner jusque chez elle.

Je ne vais pas te gêner, j’habite à peine à 500 mètres, je devrai réussir à les faire.

Non, je ne pense pas, sans vouloir t’offenser. Cela va juste empirer ta foulure, donc laisse- moi te ramener, ça ne me gêne pas et on y sera en à peine deux minutes !

Bon, si tu insistes… Mais à charge de revanche alors !

On partit donc en direction de ma voiture où elle s’installa avec sa cheville enflée et sa poche de glace. Le trajet prit à peine 2 minutes comme je l’avais prédit et on arriva face à une petite maison plutôt joliment décorée.

C’est ici, fit-elle. Viens, tu peux entrer, je vais t’offrir de quoi boire, c’est la moindre des choses pour m’avoir aidée en plus.

Bof, c’est normal tu sais, et je ne vais pas te déranger plus longtemps.

Mais non, tu ne vas pas me déranger, surtout qu’il faut m’accompagner jusqu’à la porte.

Je la fis donc descendre de ma voiture et nous marchâmes bras en dessous de l’autre vers sa porte. On entra et je pus voir que la déco intérieure était encore plus belle que l’extérieur. Karine s’installa sur son canapé pendant que j’allai chercher des rafraîchissements dans son frigo grâce à ses indications. Je revins avec deux limonades ainsi qu’une autre poche de glace. L’autre ayant fondu à cause de la chaleur.

Attends, je vais te l’appliquer moi-même, ce sera plus efficace, dis-je tout en appliquant la glace sur sa cheville qui avait déjà commencé à dégonfler.

Hmm ça fait vraiment du bien, tu es un amour et un super masseur Antoine. Arrête tes études et lances toi là-dedans, car je te garantis que tu auras du succès, surtout auprès des femmes… minauda-t-elle tout en dégustant ce massage.

Hé bien merci pour ces compliments, c’est très touchant de ta part chère collègue et patronne.

J’aime bien quand tu me donnes de la patronne, dis donc, ça me fait sentir autoritaire, peut-être devrais-je en abuser haha ? dit-elle en plaisantant.

En effet peut-être… répondis-je afin de la faire entrer dans mon jeu.

Mes mains laissèrent alors tomber la poche de glace pour masser sa cheville et le haut de son pied droit. Voyant que cela ne lui faisait pas mal, je continuai mon massage avec des mains expertes, alternant entre douceur et pression sur ses magnifiques pieds.

Dis-moi, tu n’aurais pas de l’huile pour masser ? Cela permettrait de te détendre plus facilement et d’accélérer la guérison.

Oui, tu as raison, il y en a dans ma chambre, elle se situe à l’étage sur ta droite. Le flacon est dans la commode normalement, m’indiqua-t-elle.

Je partis donc en direction des escaliers et ouvris sa chambre après avoir grimpé ses escaliers. J’ouvris la commode et vis en effet un flacon d’huile massant. Mais ne pouvant résister à ma curiosité, j’ouvris les autres tiroirs et je tombai sur toute une collection de lingerie sexy, allant du string au tanga, en passant par le porte-jarretelles. Le dernier tiroir fut le plus intéressant puisqu’il contenait tout un tas de sex-toys, dont plusieurs de gros calibres, faisant facilement 30 centimètres de long pour 10 centimètres de largeur.

Tu as trouvé !? cria Karine d’en bas.

Je partis donc en bas rejoindre ma collègue et tâchant bien de fermer correctement les tiroirs. C’est en arrivant dans le salon que je vis que Karine s’était mise à son aise. Elle avait en effet fait tomber son short pour être en culotte noire ainsi que son t-shirt pour être en soutien-gorge, assorti à la culotte.

J’espère que ça ne te gêne pas, j’avais chaud.

Non, pas du tout, tu es chez toi donc tu fais ce que tu veux.

Oui, j’ai souvenir que tu m’as dit que je pouvais user de mon autorité. Je vais continuer, commence par me masser la cheville comme tu faisais il y a peu, dit-elle d’une voix ne laissant pas place au refus.

Bien patronne…

Mes mains firent donc couler l’huile sur sa cheville puis commencèrent le massage que la belle quarantenaire désirait tant. Elle rejeta sa tête en arrière et ferma les yeux, me laissant seul aux commandes. Mes doigts commencèrent ainsi la séance par de lents cercles doux tout autour de sa cheville, s’aventurant parfois vers le haut de son pied. Mes yeux quant à eux étaient rivés sur sa poitrine, à la fois pulpeuse et petite, faisant certainement un 85 B. Ayant rouvert les yeux, Karine me fit :

Hé bien alors petit mal élevé, on pose ses yeux où il ne faudrait pas ? Puisque c’est comme ça, occupe-toi de mes orteils, ils souffrent eux aussi… ordonna-t-elle.

A vos ordres, patronne.

Mes mains passèrent alors sur ses orteils, eux aussi magnifiques et doux. Chacun d’entre eux était soigné par mes mains, les branlant lentement par mes doigts trempés d’huile.

Hmm c’est si bon Antoine. Pour te récompenser, je te laisse voir ce que tu fixais tout à l’heure.

Elle fit alors tomber son soutien-gorge, me laissant voir à ma guise sa superbe poitrine affublée de belles auréoles bien larges et somptueuses. Je repris alors de plus belle mon massage, passant d’un pied à l’autre tout en ne quittant pas sa poitrine. Mon sexe était maintenant complètement en érection, me faisant limite mal à l’intérieur de son antre. Karine me fixait toujours et voyait bien mon érection, mais elle décida de s’amuser avec moi, aimant beaucoup ce rôle de dominatrice fétichiste.

Alors on est à l’étroit Antoine ? Si tu veux pouvoir sortir, il faudra que mes pieds soient beaucoup plus humides qu’ils ne le sont déjà…

Ayant compris ce qu’elle voulait, j’acquiesçai d’un hochement de tête et ma langue commença à parcourir sa cheville désormais dégonflée. Voyant qu’elle en voulait plus, ma langue saliva tout le long de son pied jusqu’à atteindre ses petits orteils. Aucun ne fut laissé à son compte et bientôt, ils se retrouvèrent tous trempés de salives. Karine avait pendant ce temps fait tomber sa culotte pour se masturber lentement le vagin humide et affublé de quelques poils bien taillés.

Il est temps de te récompenser, enlève-moi tous tes habits Antoine…

A vos ordres, patronne.

Je tombai alors nu face à elle et elle m’invita à prendre place en face d’elle sur le canapé. Sa main toujours rivée sur son sexe humide, elle employa ses pieds trempés de ma salive pour me masturber énergiquement la queue devenue énorme à cause de la situation. Les mouvements de ses pieds augmentèrent encore la cadence, de même que sa main maintenant enfouie au fond de son antre ruisselant, ce qui nous fit jouir dans un torrent de sperme et de mouille. Écroulés par cette partie de fétichisme, nous nous endormîmes sur le canapé. Il fut 18h à notre réveil et après nous être douchés ensemble, je pris mes affaires et repartis chez moi, lessivé, mais heureux de cette intense après-midi. Ayant échangé nos numéros, je reçus un SMS Karine me disant : « Punaise c’était incroyable ce qu’on a fait j’ai vraiment hâte de recommencer avec toi mon jeune soumis fétichiste… »

Flatté par ce message, je lui répondis que j’avais aussi hâte de remettre ça, en omettant bien sûr de parler de sa superbe collègue avec qui j’allais passer une autre formidable journée le lendemain…

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