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La surprenante Emy – Chapitre 2

La surprenante Emy - Chapitre 2



A la fin de la soirée, je suis rentrée avec Mylène et Maxime qui n’ont pas arrêté de s’engueuler.

Tu peux dire ce que tu veux, je comprends vraiment pas où t’étais passé ! a répété Mylène pour la onzième fois.

Mon frère a soupiré, mais il a répondu avec patience.

Je te l’ai dit : j’étais à droite à gauche avec différentes personnes. On a bavardé, un peu bu, c’était une soirée, quoi ! Pourquoi en faire toute une histoire ?!

Ce qui me taraudait le plus dans leur dispute, ce n’était pas le fait que je savais pertinemment, moi, où était mon frère à ce moment-là…

En train de coucher avec moi…

Mais bien que leurs disputes se réglaient invariablement de la même manière : par une baise torride. Or j’étais toujours aussi excitée par ce qui s’était passé lors de cette soirée, et surtout mon frère et moi partagions le même appartement étudiant. Donc je risquais fort d’entendre tout ce qui se passerait dans sa chambre, ce qui ne m’aiderait probablement pas à calmer mon excitation.

Effectivement, ça n’a pas raté : à peine m’étais-je mise au lit que j’ai commencé à les entendre haleter. Incapable de m’en empêcher, j’ai commencé à me caresser en me laissant guider par ce que j’entendais.

Mais rapidement, il m’en a fallu plus.

Je me suis donc levée sans faire de bruit (comme si ça avait une importance, occupés comme ils le sont !), et je me suis approchée à pas de louve de la chambre de mon frère. J’ai poussé doucement la porte, en croisant les doigts pour qu’elle ne grince pas, puis j’ai glissé un il dans l’entrebâillement.

Maxime était derrière sa copine, en train de la prendre en levrette. Par chance, il était presque face à moi, ce qui fait que je pouvais admirer son torse musclé. Il se démenait en elle comme un beau diable, alternant les coups de reins rapides et puissants.

Comme j’aimerais être à la place de Mylène…

J’ai passé une bonne demi-heure à les regarder enchaîner les positions, jusqu’à ce qu’un orgasme fulgurant ne me submerge à force de les regarder. Je me suis mordu le poing pour ne pas crier, mais c’était loin d’être suffisant et j’eus de la chance qu’ils soient eux-mêmes trop bruyants pour m’entendre.

Je n’ai pas arrêté d’y repenser durant la journée du lendemain, si bien que mon frère occupait encore toutes mes pensées le soir en rentrant. D’ailleurs, je l’ai retrouvé seul à l’appartement après les cours.

Mylène sort avec des copines ce soir, elle rentrera tard, m’apprit-il avant même que je lui pose la question.

Soirée tous les deux alors ?

Euh… pas exactement, a-t-il répondu.

Il semblait assez gêné, ce qui n’est pas trop son genre en règle générale.

Il y a du monde qui vient ?

Eh bah en fait je… j’ai discuté avec Julie aujourd’hui, a-t-il enfin lâché.

La panique a commencé à me gagner.

Quoi ? Et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?

Tout.

J’eus soudain l’impression de peser une tonne. Mes yeux s’emplirent de larmes, je n’étais absolument pas prête pour ça.

Écoute Max, je…

Ne t’en fais pas, je ne te jugerai pas, m’a-t-il coupé.

Ne pas me juger ? Il est aussi fautif que moi, il me semble !

Quoi ? ai-je répondu. Qu’est-ce que tu veux dire ?

Sa gêne a semblé redoubler, ce qui n’a pas vraiment calmé la mienne.

Moi aussi, lâcha-t-il enfin.

Pour le coup, je suis restée bête.

Euh… toi aussi quoi ?

Il m’a regardé comme si j’étais demeurée.

Moi aussi j’ai couché avec elle. Hier soir.

Je suis restée quelques secondes la bouche ouverte, le temps que ses paroles ne pénètrent mon esprit.

Il pense que j’ai couché avec Julie. C’est tout ?

Elle m’a dit que vous aviez déjà couché ensemble dans le passé, alors que tu étais avec Pierre. Je me suis donc dit que tu ne me jugerais pas…

Attends, tu veux dire que Julie vient ce soir, pour coucher avec toi ?

Ça t’ennuie ?

Là, j’étais sur les fesses.

Euh oui, un peu. Et je vais faire quoi, moi, pendant que vous baisez comme des bêtes pendant toute la nuit ?

Il s’est dandiné, visiblement gêné.

Bah je sais pas trop, c’est vrai que c’est embêtant. C’est juste que comme c’est rare que Mylène soit pas là, c’est un peu l’occasion…

Super !

Il n’a rien ajouté, me laissant digérer ma colère. Mes pensées ont commencé à vagabonder, me demandant ce que cherchait Julie en me faisant ce coup bas.

Et t’as déjà trompé Mylène avec une autre fille ?

Il a hésité. Quelques secondes, mais c’était déjà trop.

OK je vois, ai-je soupiré.

C’est pas toi qui vas me faire la leçon ! s’est-il insurgé.

Lâche-moi avec cette excuse ! J’ai déjà couché avec Julie, mais c’était différent. Je n’ai pas trompé Pierre avec tous les connards de la fac. C’était qui d’ailleurs, je la connais ?

Autant en profiter pour aller un peu à la pêche aux infos.

Je… euh je… je crois pas.

Tu crois pas ? C’est qui ?

Il a semblé plus gêné que jamais, et j’avoue que je prenais plaisir à le torturer.

Je sais pas, a-t-il lâché.

Tu sais pas ?

Il s’est dandiné, attendant encore quelques secondes pour répondre.

C’était hier soir, Julie m’a fait attendre dans le noir, puis elle est revenue avec une copine. Et on a…

Waouh, carrément ! Donc t’as couché avec deux filles hier, enfin trois avec Mylène, et tu ne sais même pas qui c’était ?

Il a baissé la tête sans répondre.

C’était un bon coup au moins ?

Je crois pas que ça t’intéres…

C’est à moi de juger ! Tu me demandes de te couvrir ? OK, mais tu réponds à mes questions.

A mon grand plaisir, son il se mit soudain à pétiller.

Ouais, tu peux pas imaginer. J’ai adoré coucher avec elle, on était… je sais pas, en osmose.

En osmose ?

Vas-y, fous-toi de moi ! Quoi qu’il en soit, oui j’ai adoré coucher avec elle, vraiment. Je tuerais pour savoir qui c’est. Et surtout pour recommencer.

Un frisson de plaisir m’a parcouru l’échine, mais je me suis appliquée comme je le pouvais à ne pas le montrer.

Et elle avait des putains de nichons, a-t-il cru bon d’ajouter.

Ça va, ça va !

J’ai fait mine d’en avoir entendu assez, mais il va de soi qu’au fond je jubilais : alors comme ça, il a adoré me baiser et rêverait de recommencer ? Si seulement les choses étaient aussi simples…

Bon OK pour Julie ce soir, mais hors de question que vous me foutiez dehors pour autant. Vous vous démerdez, mais je passerais ma soirée comme prévu !

Pierre ne doit pas…

Non, il révise ! l’ai-je coupé avec mauvaise humeur.

Il n’a rien répondu, et cela a clos la conversation.

Quand Julie s’est pointée, une petite heure plus tard, la situation s’est de nouveau un peu tendue. Sauf pour elle, qui semblait plus à l’aise que jamais.

Vous avez parlé de moi à ce que je vois ? a-t-elle lancé avec un vaste sourire aux lèvres.

Nous avons échangé un regard avec Max, mais sans répondre.

Oh allez, soyez pas coincés ! C’est cool, non ? On fait un plan à trois ce soir ?

Je l’ai fusillée du regard, même si tout en moi hurlait : "ouuuiii !!!"

Dis pas de conneries Juju, Emy est ma sur ! a grogné Maxime.

Elle a haussé les épaules.

Et alors ? Vous êtes pas obligés de vous toucher si ça vous gêne ! Vous croyez que ce serait moins glauque si je passais de la chambre de l’un à celle de l’autre ? J’ai envie de coucher avec vous deux ce soir, et je coucherai avec vous deux ce soir !

Mon frère a ricané nerveusement.

Enfin Julie, on va quand même pas te baiser là, tous les deux…

Ses suppliques étaient tellement faibles, il était évident que ce n’était pas crédible. Il m’a même jeté un coup d’il rapide, comme s’il me questionnait du regard. Il en mourrait d’envie. Quant à moi, je me suis contentée de baisser la tête sans rien dire. Je n’aurais jamais osé approuver la proposition de Julie, mais je ne voulais surtout pas la refuser non plus.

Chacun de vous a déjà couché avec moi, vous n’avez qu’à recommencer ! a encore argué mon amie.

Comme aucun de nous ne répondait, elle s’est contentée d’ajouter : "oh et puis zut !", puis elle a commencé à se déshabiller. On l’a regardé faire un peu bêtement, avec Maxime, mais aucun de nous n’est intervenu ou n’a dit quoi que ce soit.

Quand elle s’est retrouvée nue, elle s’est approchée de Max et s’est collée à lui en le caressant.

Baise-moi… a-t-elle supplié.

J’ai bien vu que les barrières de mon frère cédaient une à une, et il n’a rien fait pour l’en empêcher lorsqu’elle a retiré son T-shirt. J’ai donc pu contempler de nouveau son torse, en rêvant de le caresser encore une fois.

Dans l’immédiat, c’est Julie qui en profitait : elle a commencé à le lécher sensuellement, en s’attardant sur ses pectoraux musclés, tout en déboutonnant son pantalon. Mon frère se laissait toujours faire sans réagir, si bien qu’il s’est bientôt retrouvé nu devant nous. Je n’ai pas pu m’empêcher de lorgner sur sa queue, que je trouvais toujours aussi grande et… appétissante.

Julie s’en est d’ailleurs saisie avec un grand sourire et m’a narguée avec :

C’est une bonne bite, hein ? Ça donne envie, avoue !

T’es trop conne ! ai-je répondu en faisant mine de ne pas être intéressée.

Elle m’a lancé un clin d’il avant de l’engloutir.

Bien entendu, comme je m’en doutais, Julie n’avait pas spécialement envie de coucher avec moi. Le truc c’est qu’elle savait que je désirais secrètement mon frère, alors elle me l’offrait sur un plateau.

Pour la deuxième fois.

Et moi qui me disais hier encore qu’elle n’était pas toujours cool, comme copine !

Elle a fait s’asseoir mon frère sur le canapé, puis elle a repris sa pipe en règle. J’étais toujours debout comme une cruche à les regarder lorsque Julie est venue à mon secours :

Déshabille-toi et rejoins-nous Emy, j’ai envie de me faire lécher…

Une fois encore, elle me fournissait un formidable alibi. Je me suis donc exécutée servilement, offrant ma nudité la plus complète à mon frère qui n’en a pas raté une miette. J’ai d’ailleurs pu constater qu’effectivement, il appréciait ma poitrine, vu la manière qu’il avait de la regarder. Ferait-il le lien avec hier soir ? J’en doutais, mais je n’avais de toute façon pas le temps d’y penser.

Je me suis allongée entre les cuisses de Julie et j’ai commencé à la lécher comme elle me l’avait fait hier. Nous sommes restés un moment ainsi, elle a sucé mon frère pendant que moi je lui faisais un cunnilingus.

J’étais en train de me demander comment je pourrais me "rapprocher" de mon frère quand il a commencé à caresser la vulve de Julie. Comme j’étais moi-même occupée à la lécher, il n’était pas rare que ses doigts écopent d’un petit coup de langue. Rien de très érotique, mais c’était un coup de langue sur des doigts pleins de mouille quand même…

Bientôt, Maxime a plongé deux doigts dans la chatte de Julie, puis il l’a doucement masturbée. Pendant ce temps, je continuais de lui téter le clitoris, puisque je ne pouvais plus guère atteindre le reste.

Cela n’a pourtant pas duré très longtemps : Max n’a pas tardé à ressortir ses doigts, puis il les a laissés quelques secondes sous mon nez. Il ne faisait que me jeter des coups d’il furtif, il n’osait pas vraiment me fixer, mais l’invitation était évidente et je l’ai saisie : j’ai pris ses doigts dans ma bouche et j’ai commencé à les sucer.

La raison "officielle" était bien sûr de lécher la mouille de Julie, mais mon frère n’a pas pu s’empêcher de lâcher un râle de plaisir quand j’ai refermé mes lèvres sur ses doigts, ce qui indiquait bien que la situation l’excitait énormément.

Parce que je suis sa sur.

J’ai d’ailleurs continué à les sucer plus longtemps que nécessaire, en le regardant bien dans les yeux. Il était désormais évident pour nous d’eux que nous souhaitions coucher ensemble, mais comment franchir le pas ? Ce n’était pas si simple.

Pendant ce temps, je voyais Julie faire aller et venir la longue tige de chair de mon frère entre ses lèvres en y prenant un plaisir manifeste, et j’eus même l’impression qu’elle me narguait. Son petit sourire réjoui indiquait assez qu’elle connaissait mon désir et qu’elle en jouait, s’amusant à l’entretenir.

Soudain, elle a délaissé le sexe de mon frère pour venir m’embrasser. Que ce soit voulu ou pas, ses lèvres étaient enduites d’une belle quantité du liquide intime de Maxime, que j’ai pu goûter avec délectation. Je ne me suis pas privée de tout dévorer avec voracité, léchant ses lèvres pour ne rien laisser.

Comme une fellation par procuration… Le message est assez clair, non ?

Je m’étais rapprochée pendant notre baiser, ce qui fait que je n’étais plus qu’à quelques centimètres à peine quand Julie a repris le sexe de Maxime dans sa bouche. J’ai dû me contrôler pour ne pas venir lui lécher les couilles. Qu’est-ce que mon frère me faisait envie !

Fascinée par la contemplation de la scène qui se déroulait sous mes yeux, j’en ai presque oublié de lécher la vulve de Julie. Pourtant, mon excitation était à son comble et rien ne me plaisait plus que de donner du plaisir oral en ce moment.

Sauf que c’est la bite de Maxime que je veux !

Julie a abandonné une nouvelle fois sa fellation pour venir m’embrasser, et cette fois un filet de mouille dégoulinait de sa lèvre inférieure. Je me suis jetée dessus pour l’engloutir.

Huuummm… c’est délicieux ! n’ai-je pas pu m’empêcher de lâcher.

Tout le monde pouvait bien s’imaginer ce que je voulais dire par là : c’est l’odeur et le goût de la bite de mon frère qui me faisaient cet effet. De là à imaginer que je voulais la sucer directement, il n’y avait qu’un tout petit pas…

Tu aimes sucer des bites, hein ? m’a lancé Julie.

Oh oui ! ai-je confirmé. Je donnerais n’importe quoi pour sucer, là, maintenant !

Un large sourire a alors gagné son visage. Elle s’est emparée du sexe de mon frère et me l’a collé juste sous le nez.

Tu veux une bite, hein ?

Celle de Maxime était toute proche, elle m’effleurait même parfois le visage tandis que Julie l’agitait sous mon nez. L’envie de la prendre en bouche était dévorante. J’avais d’ailleurs l’impression que mon frère partageait mes pensées, puisqu’il semblait me supplier du regard. Plus le temps passait et plus j’étais persuadée qu’il voulait la même chose que moi.

Mais ça ne suffisait pas à me faire franchir le pas.

Soudain, Julie s’est jetée sur la bite de Maxime et a recommencé à la sucer avec ardeur. Mon frère a soupiré de contentement, indiquant par là qu’il n’était sans doute pas loin de rendre les armes.

Non, pas maintenant. Pas si près du but !

Mais si. Sans doute trop excité par la situation (par moi ?) Maxime a commencé à présenter des signes de plus en plus manifestes d’un orgasme imminent. Son corps a commencé à s’agiter de manière spasmodique et il a, sans doute sans s’en rendre compte, posé une main sur mon épaule.

Ce n’était pas grand-chose, une simple main sur l’épaule. Ce n’est pas très érotique. Pourtant, tout devient très érotique lorsqu’on est nus côte à côte entre frères et surs, et avec des ambiguïtés de plus en plus flagrantes !

Bientôt, j’ai senti que son orgasme commençait : sa prise s’est accentuée sur mon épaule et tout son corps s’est contracté. Fascinée par ce simple contact, j’en ai même oublié de poursuivre mon cunnilingus sur Julie. J’observais mon frère avec de l’adoration dans le regard.

Soudain, il a laissé retomber sa main qui est venue effleurer mon sein droit. Un frisson a parcouru tout mon corps et mes tétons se sont dressés de plaisir sous ce fugace attouchement. Lorsque son orgasme a vraiment commencé, un long râle de plaisir annonçant que le premier jet de sperme venait tapisser le palais de Julie, Maxime a attrapé le sein qu’il venait juste d’effleurer.

Cette fois, il n’y avait pas de doute, ce n’était pas une erreur. Il a malaxé ma mamelle qui n’attendait que ça, tandis que son plaisir continuait d’irriguer la bouche de Julie. Il allait même jusqu’à titiller mon téton avec son pouce. Cela ne dura que quelques secondes, le temps d’un intense orgasme, mais ce fut merveilleux.

Le tabou est brisé !

Mais l’était-il vraiment ? Mon frère a repris contenance et s’est retiré hâtivement de son doux réceptacle. Pendant ce temps, Julie, occupée à avaler la semence déversée avec prodigalité, semblait n’avoir rien remarqué. Elle m’a attrapé à son tour les nichons et, me les malaxant sans tendresse (comme je l’aime), elle a entrepris de me masturber avec ardeur.

Maxime, lui, fuyait mon regard.

Bah, ça laissera quand même forcément des traces !

Et au moins, je savais maintenant qu’il me désirait. Au moins un peu.

Nous nous sommes masturbées mutuellement avec Julie pendant quelques minutes, mais j’étais maintenant presque indifférente (même si je jouais quand même le jeu pour ne pas paraître suspecte). Elle n’a pas tardé à jouir en hurlant de manière exubérante, en me pressant si fort les seins qu’ils en étaient tout rouges. J’eus le temps de remarquer que Maxime ne quittait pas mes seins des yeux, comme s’il semblait jaloux de Julie, puis je fis mine d’être à mon tour dépassée par l’orgasme en hurlant à mon tour.

Je n’étais pas vraiment malheureuse, mais un peu frustrée quand même.

S’il n’a pas été dégouté par ce soir, il y aura peut-être une nouvelle fois, et cette fois tout sera possible…

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