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Le garçon manqué – Chapitre 1

Le garçon manqué - Chapitre 1



Angélique et Max partageaient un trois pièces, aménagé dans les combles d?une ancienne mairie. Ils vivaient leurs aventures amoureuses chacun de son côté. Alors que Max n?en avait que pour les femmes, Angélique buvait à toutes les coupes, ramenant parfois des garçons mais plus souvent de très jolies demoiselles.

Max s?accommodait parfaitement de cette situation du moment qu?Angélique attende son absence pour se faire des types. Bien qu?il ne supportait pas de la savoir avec un mec, Max n?aurait su dire pourquoi.

La jeune femme était un véritable garçon manqué. Elle parlait d?un ton abrupte, s?exprimait par des gestes brusques et rentrait bourrée tous les samedis.

-’Bordel de merde Angélique, t?as vraiment rien d?autre à foutre que de rentrer défoncée chaque putain de samedi?’ -’Ta gueule petit mec, je t?allonge le fric pour le terme alors m?emmerde pas!’

Et Angélique de buter sur un coin de bibliothèque puis de s?étaler le visage à plat sur le carrelage glacé. Et Max, malgré l?outrage, se portait à la rescousse de sa désolante compagne. S?engageait alors une de ces conversations stériles qui finissaient toujours par: ’T?arriveras pas à me sauter salopard, t?y arriveras pas, si ça se trouve, je vais t?enculer moi…’.

Ce soir-là Max releva Angélique et la porta jusque dans son lit. Un frisson exaltant lui parcourut tout le corps. Il eut beau la dévêtir avec froideur, se dire qu?elle avait des manières masculines et empestait la gnôle, n?empêche qu?elle était drôlement bien foutue. Elle portait de ces espèces de dessous en tulle transparente ce qui donnait à voir le fin et ras duvet châtain de sa jeune chatte. De magnifiques melons blancs, à la cime à peine rosée, s?affaissaient de chaque côté de son torse. Il l?observa un moment, sa rage s?était apaisée et elle dormait enfin.

Jamais encore il n?avait admiré femme plus désirable que cette splendide gouine éméchée et Max dû se rappeler à l?ordre: ’C?est comme ta frangine, Angélique, pauvre con!’. Aussi se hâta-t-il de retourner dans sa chambre pour se plonger dans un sommeil tourmenté. Au matin, Angélique se précipita dans la chambre de Max pour implorer son pardon. D?ordinaire, il recevait ces excuses avec un sourire et l?on n?en parlait plus mais voilà, il était manifestement chaviré cette fois.

Angélique, constatant son trouble, se glissa dans son pieu et l?attira contre elle sans un mot. Max gémit doucement au contact de la paume d?Angélique sur sa joue. Elle lui baisa le visage et les mains, déchirée entre l?envie de le secouer pour lui faire avouer sa détresse et la fièvre de lui faire complètement oublier sa détresse.

-’T?as pas le goût de me dire un peu ce qui va pas?’

-’Non!’

-’Okay, ça te dirais alors que je te fasse oublier ce qui va pas?’

Sans attendre de réponse, les lèvres capiteuses de la jeune femme s?emparèrent délicatement de celles de Max. ?garé, affolé, il s?efforça de se dégager bien que le désir de le faire s?amenuisa à mesure que la langue d?Angélique le fouillait agilement. ’Angélique, non.’ Fini-t-il par susurrer, le corps déjà plus que consentant, livrant une lutte un peu molle, conscient qu?il n?en tenait qu?à la grâce de la jeune amazone de respecter sa vertueuse intention.

-’Max, j?ai pas envie de m?arrêter, t?es pas bien comme ça?’ demanda-t-elle alors, ses mains pleines du cul ferme et bombé de son malheureux compagnon. Max sortit brusquement du lit, indigné et honteux de constater que son sexe ne partagea pas les résolutions de son esprit et courut s?enfermer dans le cabinet de toilette.

Angélique, qui jusque là avait cru que Max la désirait, prit ombrage de cette fuite. Toute l?excitation sexuelle dont elle était à ce moment le foyer se transforma en colère. Elle sortit du plumard à son tour et gueula à l?endroit de Max qu?il devait s?expliquer, qu?il devait ouvrir cette PUTAIN de porte et sortir de PUTAIN de cabinet MAINTENANT, MAINTENANT qu?elle hurlait et d?un coup de pied redoutable, elle fit éclater le verrou et le chambranle céda. Max, reculé entre la cuvette et la baignoire écarquilla les yeux, le caleçon toujours déformé par l?enflure de sa queue qui lui sembla avoir doublé sous l?effet de cet assaut. En réalité, tout ce cirque l?excitait terriblement, il était bouleversé qu?une femme le désire à ce point.

-’Je te veux Max, tu m?entends là, je te veux je te dis. Tu bouges pas, tu te laisses aller, okay?’ Angélique s?était avancée sur lui et l?embrassait avec gourmandise, lui palpant les fesses, ondoyant de son corps contre le slip qui emprisonnait toujours sa verge fermement dressée. Max jouait les vierges effarouchées et Angélique en bavait.

Elle faufila son majeur jusqu?à la chair froissée de l?anus de l?homme et s?y immisça brutalement. Il serra les fesses sur ce doigt conquérant, ce qui provoqua une résistance qui enflamma aussitôt Angélique. Elle le plaqua contre le mur auquel il était appuyé, le tenant à la gorge, et lui prit entièrement le cul dans un va-et-vient acharné. La lueur dans ses yeux bleus cristallins l?immobilisait. Il était sous le choc, il lui appartenait à cet instant et elle jouissait considérablement de ce pouvoir qu?elle exerçait sur lui.

Elle le mordit au cou si profondément qu?il sentit la tiédeur du sang s?égoutter sur son épaule. Il lui donnerait tout, qu?importe, il se sentait totalement possédé. Elle finit par le délivrer de son caleçon, sa bite luisait d?excitation, il bandait tellement qu?il avait l?impression que sa peau allait déchirer. Elle s?agenouilla et se mit à lui sucer les boules. Il était littéralement avalé par cette bouche immense et moelleuse.

Sa langue lui mouillait les couilles puis engouffrait son chibre, s?attardant dans l?interstice du gland, puis l?engloutissant encore, ses lèvres charnues glissant avidement sur les veines gonflées.

Elle remonta à son visage après avoir un instant titiller ses mamelons et croqué sauvagement l?un d?eux, ce qui chargea Max d?une sensation aiguë dans les reins. Elle lui prit ensuite les mains et lui signifia qu?elle avait envie de se faire caresser les nichons. Max défit l?attache du soutif et plongea les mains et la bouche et la langue dans ses collines de chair blanche et pêche avec une avidité à peine contenue. La peau de son corps était cuisante tant elle avait faim de lui. Max éprouvait des vertiges mêlés d?emportements fougueux. Il pouvait sentir son pouls battre à tout rompre au bout de sa queue.

Lorsqu?il voulu prendre la culotte de sa jeune amante, elle l?en empêcha. Il avait juste oublié dans la chaleur du moment que c?est elle qui commandait. Elle prit elle-même congé de cet accessoire maintenant superflu et attrapa le pénis de son compagnon afin de le caler entre ses cuisses en feu. Sa vulve était un brasier qu?elle balançait langoureusement sur toute la longueur de la verge de Max. Il cru devenir fou, comme une torpille connaissant sa cible et ne pouvant désespérément pas l?atteindre. Elle le fit s?asseoir sur le sol et le chevaucha prudemment. Juste un peu, histoire de l?agacer, juste quelques centimètres, histoire de le rendre complètement dingue. Max avait presque des pulsions de violence tant ce petit jeu le faisait souffrir. Il avait l?impression que sa queue était gigantesque, il avait l?impression de n?être plus que cette queue, pourpre et engorgée tant elle était remplie de sève. Il supplia encore Angélique de le prendre, de l?engloutir tandis qu?il lui ravageait la poitrine de caresses ardentes. La jeune femme s?empala soudain totalement sur cette torche brûlante et Max lâcha une longue plainte rauque. Il suivait les mouvements de bassin d?Angélique et tout son corps s?embrasait à mesure que son sexe entrait et sortait de ce merveilleux abysse.

Elle bougeait sur lui avec volupté, se déhanchant habilement et il ferma les yeux un moment pour l?imaginer serpenter ainsi entre les cuisses d?une autre fille, ce qui le mit davantage en sueur. Leur corps dégoulinait de moiteur, dégageait des fragrances de désir et de sexe. Elle lui enfonçait ses doigts dans la bouche et il en profita pour lui perforer le cul d?un doigt triomphant. Elle geignait maintenant et il pouvait deviner à la couleur soudain sombre de ses yeux que le plaisir montait en elle, qu?elle allait bientôt jouir. Il combattait lui-même cette marée montante lorsqu?elle cria, secouée par d?extraordinaires frissons qui lui durcissaient la pointes des seins et lui faisaient donner de violents coups de reins. Elle se retira de lui et lui empoigna la verge tout en le fixant dans les yeux d?une volonté intense. Sa paume coulait sur le membre hérissé et rutilant de cyprine. Elle le branlait vigoureusement, elle le voulait comme ça, dans la main, son regard possédant le sien, entièrement asservi à son tempérament d?amazone et plus sa supériorité s?alourdissait sur lui, plus la sève bouillonnait dans sa queue, plus elle le dominait, plus son nectar menaçait de gicler tant l?excitation, l?exaltation était puissante.

Elle cracha abondamment dans sa main et cette paume juteuse le fit se cambrer, une décharge démente l?ébranla et un flot puissant de liqueur blanche et crémeuse s?éjecta de son chibre. Elle en avait partout sur la gorge, sur la bouche et sur ses superbes seins. Elle riait avec une joie guerrière tout en récupérant de son corps le sperme de Max afin de lui répandre sur le ventre: ’Tu vois bien que rien ne me résiste.’

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