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Le hasard fait bien les choses. – Chapitre 1

Le hasard fait bien les choses. - Chapitre 1



(Chapitre unique)

La pratique de l’autostop ayant quasiment disparu au profit du covoiturage, il m’est arrivé une aventure sur laquelle je vais revenir brièvement.

L’été dernier, je descendais vers les plages du Languedoc pour me livrer à une semaine de naturisme comme je le fais presque tous les ans. J’ai mes habitudes et depuis pas mal de temps, je fuis les plages du Cap d’Agde qui sont devenues de véritables baisodromes mais il existe encore des petites plages discrètes…

Oh… n’allez pas croire que je suis blasé et que, à bientôt 50 ans, je n’ai plus envie d’une partie de jambes en l’air avec une coquine qui se laisserait faire… J’ai tout loisir de le faire quand je vais en club à Strasbourg ou dans la région.

Comme je le fais habituellement, j’avais découpé mon trajet en deux parties sensiblement égales et j’avais retenu une chambre à proximité d’une sortie d’autoroute. C’était plus raisonnable car faire seul près de 1000 km, ça fait quand même beaucoup ! En plus rien ne me pressait !

Je m’étais arrêté dans le secteur de Beaune pour me restaurer et faire une longue pause avant de continuer mon trajet vers ma chambre d’hôtel situé un peu avant Lyon. En arrivant après 22 heures, j’échapperais ainsi à la cohue de l’accueil des personnes qui, comme moi, avaient prévu une escale de repos.

Je n’avais trouvé personne sur les différentes plateformes spécialisées pour partager le trajet avec moi…

Peut-être l’arrêt pour la nuit à Lyon avait-il rebuté les candidats ?

J’avais donc pris la route, adoptant un régime de croisière qui ne me fatiguait pas et qui ménageait ma voiture peu habituée à faire de longs trajets… De la bonne musique me tenait compagnie…

Aire de Beaune Tailly… La voiture a soif…

Beaucoup de monde mais la faim me tenaille et j’ai envie de faire une pause assez longue pour diner et me détendre un peu avant de gagner la périphérie de Lyon.

La queue devant la sandwicherie me rebute et j’ai envie de manger assis confortablement… Je poursuis donc et les menus présentés à la cafétéria me semblent plus appropriés. En plus la queue n’est pas très longue, à peine une vingtaine de personnes devant moi.

Lorsque j’arrive à la caisse, j’entends la conversation de deux jeunes femmes derrière moi… le co-voitureur avec lequel elles sont descendues de Paris n’allant pas dans leur direction, il les avait larguées sur le parking en disant qu’elles trouveraient bien un « pigeon » pour les emmener plus loin.

Quand j’ai réussi à trouver une table libre, elles m’ont suivi. L’une d’elles m’a dit :

— On ne veut pas s’imposer mais on peut partager la table ?

Il est évident que je n’allais pas refuser ce service d’autant que je découvrais réellement ces deux jeunes femmes… Elles étaient bien jolies et je leur donnais au plus 25 ans…

Brunes toutes les deux, elles avaient les cheveux coupés court, un visage souriant et une silhouette prise dans un jean très ajusté du plus bel effet.

Rapide coup d’il à la main gauche : pas d’alliance… Mais une question me taraude : deux jeunes femmes voyageant ensemble, très complices visiblement, n’ont-elles pas des murs particulières ?

La conversation entamée autour de la table me détrompe rapidement : ce sont simplement deux copines qui voyagent ensemble…

— J’ai entendu votre conversation quand nous étions à la caisse… Où allez-vous exactement ?

— On va au festival d’Avignon… On fait partie d’une troupe de comédiens amateurs qui doit s’y produire.

— Mais c’est génial…

— Il faut absolument qu’on soit sur place demain en milieu d’après-midi… et c’est mal parti !

— Et comme toutes les voitures sont pleines de vacanciers, on n’est pas prêtes à trouver un automobiliste complaisant !

— Mais vous l’avez trouvé ! Mais je dois m’arrêter avant Lyon où j’ai réservé une chambre à l’hôtel !

En principe je devrais avoir un grand lit ! Je vous le cède et je dormirai sur la couchette.

— T’es un amour…

Elles s’étaient exclamées ensemble…

Quelque temps plus tard, nous arrivons à ce fameux hôtel. Il n’y a plus grand monde à la réception et comme j’ai payé la chambre au moment de la réservation, tout est rapidement réglé ! L’installation est tout aussi vite faite. Elles ont peu de bagages et moi aussi.

Lorsqu’elles sortent de la cabine de douche où elles se sont glissées ensemble, elles sont enroulées dans une grande serviette qui cache à peine les seins et arrive au milieu des cuisses…

Le spectacle est charmant.

Je ne sais pas laquelle fait tomber la serviette à ses pieds en me disant :

— Pour ta gentillesse, nous allons te remercier à notre manière !

La seconde fait également tomber la serviette et ajoute :

— Deux jeunettes… ça devrait te convenir !

Dire le contraire m’aurait fait passer pour ce que je ne suis pas…

— Je ne veux pas présager de mes forces mais je ne pourrai en contenter qu’une à la fois !

— Ce n’est pas grave… On va la jouer à pile ou face… Celle qui tire face passera en premier !

— Ça me va !

Puisque nous étions d’accord pour jouer les coquins avant de dormir, personne n’y trouverait à redire !

Ces deux filles étaient assez semblables, des formes assez classiques petite poitrine haut perchée taille fine et hanche en rapport – grandes et minces, brune de cheveux et avec les mêmes yeux marron, je n’avais en réalité que deux choses pour les distinguer : Elles avaient la toison pubienne artistement taillée, l’une en ticket de métro bien fourni (ce qui est assez classique) alors que les poils de l’autre faisaient une sorte de V dont la pointe partait du capuchon du clitoris…

Depuis qu’elles s’étaient mises nues devant moi au sortir de la douche, je bandais dans mon pantalon et mon boxer serrait mon sexe qui ne demandait qu’à se déployer encore plus.

Lorsque s’étant agenouillées devant moi, elles ont fait descendre d’un même mouvement mon pantalon et mon boxer, ma bite leur a littéralement jailli au visage !

Elle était raide et une goutte suintait déjà dans le méat !

— Je crois qu’on va se régaler !

— Oh oui… allez… c’est à toi de commencer… je vais regarder en me caressant la chatte ! Je te laisse faire…

La fille m’a gratifié d’une fellation savante qui a achevé de m’exciter… Quand elle s’est allongée sur le lit en relevant ses genoux sur sa poitrine et les cuisses écartées, j’avais une vue sur sa raie que je n’ai pas oubliée depuis… Les poils du pubis semblaient m’indiquer le chemin… chemin que je n’ai pas tardé à suivre et entrant doucement dans sa chatte humide et chaude.

Mes bras en appui de chaque côté de son buste me permettaient de maintenir mon équilibre pendant que je commençais à aller et venir dans ce sexe décidément très accueillant !

Cette coquine était aussi douée qu’avec sa bouche… je sentais ses muscles intimes masser ma bite quand elle était bien au fond et c’était une bonne sensation, très excitante !

J’allais et venais de plus en plus rapidement dans cette gaine chaude, guettant les réactions de la fille pour tenter de jouir en même temps qu’elle !

Mais je n’en ai pas eu le temps… Au moment où sa jouissance l’emportait, elle m’a désarçonné d’une ruade et se mettant à genoux devant moi elle m’a quasi supplié en ôtant le préservatif :

— Vas-y… envoie ta sauce dans ma bouche !

Il est évident que j’ai répondu à sa demande en envoyant plusieurs giclées qui se sont déposées sur sa langue.

Dans un baiser lubrique, les deux filles ont échangé mon sperme en faisant des commentaires salaces… Elles avaient apprécié la manière dont j’avais baisé la première.

L’autre fille est venue vers moi et a commencé à caresser tout mon corps… On aurait dit qu’elle me connaissait bien… elle a d’abord agacé mes tétons qui sont ultra sensibles lorsque je suis excité ou en train de baiser puis elle est descendu jusqu’à mon pubis en déposant de petits baisers au passage et faisant tournoyer sa langue dans mon nombril. Puis, elle a embouché ma bite en saisissant mon gland du bout des lèvres. Je sentais le bout de sa langue s’agiter sur le méat.

Il ne lui a pas fallu longtemps pour me remettre en forme et je bandais à nouveau comme un cerf en rut. D’autant que cette fille a pris une position que j’affectionne particulièrement : elle s’est mise à genoux sur le lit et s’est prosternée pendant que sa copine disait :

— Ah… ça ne m’étonne pas d’elle… elle adore se faire prendre en levrette !

— Vous semblez être des habituées des coquineries ?

— Tu crois pas si bien dire… on s’amuse jamais autant que lorsqu’on a deux mâles performants pour nous distraire !

— Mais là, je suis seul !

— Tu m’as baisée comme une reine alors je pense qu’elle va avoir droit au même service !

— C’est sûr ! Son petit cul bien fendu me fait grave envie !

Et en disant cela, j’ai saisi la fille aux hanches et je me suis introduit lentement dans sa chatte avant de me retirer puis de la reprendre en faisant claquer mon pubis contre ses fesses.

— Oh oui… salaud… défonce-moi bien !

— Mais c’est ce que je vais faire… Tu vas la sentir passer !

J’ai agrippé ses cheveux d’une main comme si je tenais la crinière d’un cheval et j’ai accéléré mes mouvements en lui assénant des claques sur ses fesses de ma main libre…

— Oh oui… vas-y… viole-moi et je ne demande que ça !

Le point de non-retour est arrivé plus vite que je ne le voulais si bien que j’ai joui avant elle… Mais elle a cherché son plaisir en agitant son bassin sur mon sexe encore bandé jusqu’au moment où elle a joui à son tour !

En moins d’une demi-heure, j’avais bien baisé ces deux filles.

Il ne nous a pas fallu longtemps pour sombrer dans un sommeil réparateur, bras et jambes emmêlées, une fille de chaque côté de moi dans le grand lit !

Le lendemain, nous avons repris la route et au prix d’un léger crochet, je les ai déposées au centre-ville d’Avignon !

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