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LE PAPILLON – Chapitre 7

LE PAPILLON - Chapitre 7



Chapitre 7

Plusieurs jours ont passés depuis la journée SPA. J’avoue avoir écarté volontairement de mon esprit la petite carte cartonnée, bien rangée au fond de mon sac à main.

J’ai eu peur de franchir le pas, je l’admets, pas encore totalement prête. La façon dont me fait me sentir Adam

(forte, puissante, bellesexy.cochonne.chienne).

..me perturbe trop pour que je puisse espérer avoir le dessus.

J’ai laissé couler au moins 15 jours. 15 jours de supplices, de pensée cochonnes, de rêves indécents. Ma frustration occupe mon esprit en permanenceheureusement que mes joujous de latex sont à portée de main, mon cher et tendre a bien trop de boulot pour se rendre compte que je suis en chaleur constamment.

Il est depuis longtemps revenu à la maison. Ses visites sont fréquentes mais courtes. Un entrepôt à Lilles, d’autres à Brest, certains dans le sud Il parcourt la France régulièrement pour s’assurer de la bonne qualité de ses produits. Ça boite cartonne mais sa présence est nécessaire ailleurs que chez nous. Grâce à lui j’ai le luxe de ne pas travailler.

J’ai RDV cet après-midi sur le chantier de notre maison avec mon chéri. Le maitre d’uvre n’en fait qu’à sa tête et j’ai demandé à mon mari de m’accompagner pour un recadrage, le chantier étant en standby.

Alors que j’attends depuis 10 minutes en bas de la société de construction, mon mari m’envoie un texto m’informant qu’il ne pourra pas se libérer. Je tente de garder mon calme, mais ma colère me surprend.

(au fond je lui en veut à mort, il ne me désire plus, ne me contente plus.ne me baise plus.j’ai besoin d’une queue, d’une vrai).

et me gagne à une vitesse folle. A l’intérieur de moi-même je boue.

C’est volontairement que j’ai demandé à mon époux de m’accompagner. Je connais bien notre artisan, il travaille comme un dieu, mais considère les femmes comme des merdes. J’ai eu affaire à lui en tête à tête à plusieurs reprises et c’est comme s’il ne me voyait tout bonnement pas.

Il est 15h et c’est complètement inutile que j’y aille. Le scénario m’apparait clair, et je n’ai pas de temps à perdre.

La colère gronde, elle prend possession de mon esprit.

Moi qui comptais sur lui pour m’épauler et encore une fois il se débine au dernier moment. Je veux bien être belle et dispo mais lui doit aussi assurer son rôle d’homme

(et d’amant, de queue, de foutre chaud, de sa main qui tire mes cheveux, de sa queue qui me fouille.).

.et être là quand j’ai besoin de lui.

Je me prépare à lui répondre quand mes doigts interrompent leur picotement Je ne raisonne pas normalement, cette situation embrouille mon esprit. Une idée qui restait tapie dans mon cerveau surgit soudainement, attendant le bon moment justifiant mon comportement à venir.

Une idée suggérée

(suggérée vraiment).

par le message de mon mari. Enfin c’est ce que je me dis au fond de moi. Alors que le visage d’Adam se présente sous mes yeux mon rythme cardiaque accélère imperceptiblement.

Ma main plonge dans mon sac à main, ouvre la fermeture éclair et se saisit de la carte de visite.

J’entre son numéro et tape le message. Court mais précis.

« Retrouve moi dans 1h30 au 45 rue Victor Hugo à Vincennes, entre sans sonner, je laisserai le portail ouvert »

Envoyé.

Mon cur bat la chamade. Je suis toujours en bas de chez l’artisan, j’ai les mains moites et ai du mal à focaliser mon esprit. Trop tard pour revenir en arrière, maintenant tu dois foncer ma belle.

Je hèle un taxi qui passe à proximité et lui indique une adresse dans le Marais.

A mon arrivée, je me dirige vers une petite ruelle qui ne m’est pas inconnue. Une grande porte de plus de 4 mètres s’ouvre sur une court. Une boutique très mignonne y a ses quartiers, on est loin du sex shop d’antan. Finit les étals grossiers avec des jaquettes de DVD étalant des photos de chattes de bites et de culs. Ça sent bon, c’est beau et ça donne envie. On se croirait dans une de ces pâtisseries tendances ou tout est coloré, piquant, acidulé. J’ai envie de tout acheter.

Cependant je sais exactement ce que je recherche. Mes doigts parcourent alors l’objet de convoitise. Exactement comme je le voulais. La sensation du silicone sur mes doigts me fait frissonner. Ce n’est pas le moment de trop s’exciter.

(le pincement dans ma fente ne s’interromps pas)

.ma petite salope, gardes en sous le capot.

Je paye mon achat et change de décors. Je me dirige cette fois ci vers une boutique de lingerie. Je choisis un ensemble violet, très échancré en haut comme en bas. C’est à peine s’il cache mon cul, et mes lèvres dévorent les bords tu tissus.

Je sens ma petite chatte s’humidifier de plus en plus, dans moins d’une heure j’aurai franchi le pas, peut-être que je me sentirais mal, peut être que je n’aurai aucun remord, en tout cas pour le moment j’ai envie d’être chienne pour un homme qui m’excite.

Mes achats complétés, je me dirige alors vers notre chantier. La rue est vide en pleine journée dans ce quartier résidentiel. Notre nouvelle demeure est splendide, grande, un beau jardin, aucun vis-à-vis. Alors que je m’apprête à ouvrir la porte de mon portail, une vague de culpabilité se propage dans mon ventre. Mon envie est plus forte, culpabilité ne commence-t-il pas par cul, c’est le signe que j’y vois.

J’entre, déterminée

Je pénètre dans la maison et me dirige vers l’endroit où se trouvera notre chambre. Le gros du travail est fait, mais seuls quelques pièces doivent encore être finalisées.

Je pose mon sac et me change. Je retire ma tenue du jour, mes sous-vêtements mais je garde mes talons.

Je balance le tout un peu plus loin. Ma culotte est poisseuse, mon excitation est à son comble.

J’enfile ma nouvelle parure. Aucun miroir dans le coin, je me saisis de mon téléphone et actionne l’appareil photo. Je prends une photo de mon corps recouvert par ce nouvel ensemble. La photo est belle, je suis bandante. Au pied j’ai gardé mes talons. Je mets alors le minuteur et pose mon téléphone. Je me recule et prend une pose de chienne, à quatre pattes, mes seins remplissent l’écran et on aperçoit mon cul qui pointe au-dessus de la photo. Seule ma bouche est visible sur la photo, ma langue léchant mes lèvres.

J’ai l’air d’une bonne petite salope.

J’envoie la photo à mon mari, j’ai envie de le narguer, voilà ce que tu perds mon chéri et un autre risque bien d’en profiter.

Ma main fouille alors à la recherche de mon premier achat. Sur la boite on peut voir une bite d’une très belle taille, bien grosse, très réaliste. De belles veines la parcourt et un gland impressionnant la surmonte. Alors que je défais l’emballage, ma moule se trempe de mon excitation. Je retire la queue de plastique de son emballage et la parcours du bout des doigts. A sa base une ventouse termine le gode.

Sans perdre une seconde, je me dirige vers notre salle d’eau. Une porte est entrouverte donne accès à une autre chambre. Dans cette pièce nous avons installé un sauna, pas en état de marche pour l’instant.

Le sauna est en bois marron, une porte vitrée sur le devant, et un trou pour l’appareillage électrique sur la gauche.

Je m’y enferme.

Je m’installe sur le banc et me prépare. A ma montre il ne reste plus que 5 minutes avant la supposée arrivée de mon supposé amant. Mon message ne nécessitait aucune réponse, et j’espérais qu’il ne m’en envoie aucune. J’ai un sentiment d’excitation teinté d’angoisse. L’angoisse qu’il ne vienne pas. Je serais alors seule, abattue, achevant mes velléités de tromperie, de désirs et d’excitations.

Mais un homme restant un homme c’est dans un claquement lourd que j’entends la porte du portail se refermer. Je jubile au fond de moi-même.

Je ventouse la queue à la porte vitrée et m’agenouille devant. Dans mon ensemble je suis un fruit défendu qu’on veut croquer, dévorer. On veut boire mon jus, lécher mes recoins, racler la chair.

Ma chatte est en feu, ma bouche se rapproche de la grosse bite. Mes lèvres s’écartent pour laisser la queue se frayer un passage dans ma bouche. J’enfonce la bite petit à petit, humidifiant chaque centimètre. Ma langue tourne autour de ce chibre, je suis excitée comme jamais.

La situation me rend folle, surtout lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir puis se refermer.

Ma succion se fait plus sonore, aucune autre son ne me parvient. Soudain, le claquement de semelles en bois se fait entendre. J’imagine ses chaussures escalader les marches en ma direction.

Je pousse des gémissements de plus en plus fort. Les pas sont lents, il me fait languir mais il est à ma merci. Sa présence le trahit.

Ma bouche enfonce par à-coups la queue au fond de ma gorge qui cogne sur ma glotte. La lumière est un instant éclipsé par une silhouette. Le contrejour m’empêche de voir son visage. Sa présence m’électrise soudain et je m’active de plus en plus fort sur ce pieu factice.

Alors qu’il se décale je remarque son visage, fou d’excitation. A l’endroit de sa queue, une tige longue et épaisse descend le long de sa jambe. Ma main se joint à ma bouche. La queue est luisante de ma salive, des filets de baves coulent le long de mon menton.

L’homme 

(mon bellâtre, mon fruit défendu).

jette son manteau et entreprend de défaire sa ceinture. Doucement, centimètre par centimètre. Il sait y faire lui aussi c’est indéniable. Il ouvre enfin le bouton de son pantalon, faisant bondir hors de son bas sa bite. Elle se tient droite, à l’horizontal, belle, circoncise, grosse.

(putain j’ai envie de la sucer, qu’il me prenne avec)..

.vierges de tous poils. Sa main la caresse langoureusement. Sa bouche ne sourit pas, elle est entrouverte haletante.

Il ne triche pas, il est excité et me le montre. Je suis excitée moi aussi. Je plonge ma main droite dans ma culotte à la recherche de mon clitoris. Je l’ai rarement senti aussi dur, j’ai rarement vécu une situation aussi excitante.

La chaleur emplie le sauna, ma bouche engloutie à présent la queue presque intégralement. La main droite de mon bellâtre s’active de plus en plus vite sur sa tige, il s’est rapproché plus prêt de la vitre.

Il est beau une partie de ses cheveux s’est défaite de l’emprise du gel est tombe sur les côtés de son crâne. Sa main est puissante et sa queue est magnifique. Ses boules semblent gonflées elles aussi et tout aussi imberbes.

D’un geste expert je stoppe ma fellation et pose-le gode plus bas sur la vitre.

Je me lève, et me dirige vers le fond de la cabine. Il m’observe toujours, sa main gardant le même rythme, légèrement rapide mais régulier. Son front luit de sueur, quant à moi je suis en nage.

Je trémousse mon petit cul en me dirigeant vers le banc et y pose mes fesses. Le contact est froid mais la sensation désagréable disparait immédiatement.

Il est presque collé à la vitre, son pantalon sur les genoux, sa queue dure comme du fer.

Je fais lentement glisser ma culotte, délicatement, la faisant rouler le long de mes cuisses puis de mes mollets. Ma petite chatte lui apparait pour la première fois. Je le fixe au fond des yeux, un sourire délicat apparait sur ses lèvres. Son crâne est contre la vitre à présent, sa main s’activant toujours de la même manière, faisant durer son plaisir.

Ma bouche lèche le bout de mon majeur et de mon annulaire les imbibant de ma salive. Un filet de bave relie ma bouche à mes doigts. Je le regarde toujours au fond des yeux. Il me regarde, il me dévore des yeux, il veut m’en prendre je le sais.

Ma main se dirige vers ma chatte alors que je rabats mes jambes sur le côté, posant les talons sur le banc. J’ai les jambes écartées au maximum. Ma main caresse mon bouton. Ma salive se mélange à ma mouille, je frotte finement mon clito alors que mon futur amant se caresse lui aussi.

Je caresse de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes yeux toujours au fond des siens, mon excitation à son comble.

Je glisse du banc, et me réceptionne sur les genoux. Je rampe vers lui comme la chienne que je deviens, mes épaules roulent, je m’approche telle une chatte apeurée. Mon regard est lubrique, il mate sa queue. Sa bite est au niveau du gode, ventousé sur la vitre.

Je me lève sensuellement, attrapant au passage le gode.

Je pose mon front sur le carreau. Nos visages ne sont plus séparés que par la cloison de verre. Je sens son souffle qui macule le verre.

Sa respiration est plus lourde, sa main se fait plus rapide. Je calque mon mouvement sur le sien. Je le branle à travers la vitre. Ma langue lèche la glace, son regard est lubrique, il veut me prendre maintenant.

Je jette un coup d’il vers la cloison. Il l’a vu, il a compris. Nos esprits vicieux se synchronisent. Je le vois s’y diriger. Il lâche sa queue, et la met dans le trou. Je la vois apparaitre dans le coin de la cabine à travers le trou. D’un geste tendre je tends ma main et y passe mes doigts. Elle tressaute sous mon contact. Elle est douce je n’ai qu’une envie c’est de me jeter dessus et la sucer.

Mais je me contrôle, je maitrise la situation.

Je crache une grosse quantité de bave dans ma main. Mes doigts entourent sa verge, et j’ai commencé à le branler. Sa bite coulisse dans ma main, les bords de mon poing sur le gland, l’agaçant d’un mouvement expert.

J’aimerai qu’il défonce la porte, qu’il se jette sur moi et qu’il me baise, maintenant, brutalement, me faisant jouir comme une folle dans cette cabine de Sauna. L’écho e mon orgasme se répercutant sur les parois de bois.

Son souffle s’accélère, je ralentis la cadence. J’ai l’intention de te rendre accro mon beau, accro à mes mains. De mon autre main, je saisis ses couilles, elles sont pleines, de belles couilles de taureaux.

Cet homme m’excite comme jamais, il incarne le mâle

(mon mari aussi, mais il n’est pas là)

..et la virilité. J’ai envie de le pomper jusqu’à la dernière goutte, aspirer son jus, sa semence, gobant ses couilles.

Sa main se faufile par le trou, caressant mon avant-bras. Ce contact me met en nage, nous nous retouchons enfin. Son bras est maculé de sueur, à présent son visage ruisselle.

Sa bite est tendue, peut être encore plus grosse qu’avant. Il est endurant le salaud, il s’est surement branlé avant de venir, pour me contenter le plus longtemps possible. Ses doigts s’aventurent sur mes cuisses dans l’unique but de remonter vers ma fente. Il y pose le revers de sa main, et remonte, remonte, remonte.

Ma branlette se fait plus saccadée alors que ces caresses m’arrachent des gémissements de plaisir. Sa main atteint enfin ma chatte, ses doigts l’explore, la fouille. Un doigt me pénètre et je me recule instantanément dans un sourire diabolique.

Je me rapproche à nouveau de sa main. Ses doigts me pénètrent à nouveau, un puis deux. La sensation est très cochonne, je lèche la vitre de plus en plus vite. Un doigt appui sur mon clitoris m’arrachant un cri de plaisir. Je le branle de plus en plus vite. Nous accélérons ensemble. Sa main se fait plus forte dans ma chatte. Ses deux doigts fouillent de plus en plus profondément mon minou. Sa queue palpite dorénavant dans ma main, il est au bord de l’extase je le sens. Nous ne parlons pas, nos soufflent suffisent.

D’un mouvement habile, il me saisit l’entrejambe et me colle à la vitre. Sa remonte vers mon visage et pénètre ma bouche. Il me fait lécher ma mouille, ses doigts ont mon odeur. Je les suce avidement.

Il les ressort trempés et repart en direction de ma chatte. Il passe en dessous, et caresse le sillon de mon cul. Son majeur frôle mon trou à plusieurs reprises, touchant les bords, repartant dans la raie de mon fion. Et quand mon désir est insoutenable, comme par télépathie, il me pénètre le cul.

Je lâche ses couilles et ramène mes doigts sur mon clitoris. Je le triture avec force alors que son index a rejoint son majeur dans mon trou. Il me baise de ses deux doigts, je le branle toujours de ma main droite.

Nous respirations emplissent la pièce, mêlée à des cris de plaisir sortant de ma gorge.

Ma main frotte ma chatte, l’autre caresse son membre, ses doigts fouillent mon cul.

Nous nous tenons face à face au bord d’une orgasme monumental. Mon regard plonge dans le sien. Ses yeux me crient leur frustration, il semble m’implorer de le faire éjaculer.

Je lâche tout.

Je sens ses doigts tripler de volume et mon orgasme contracter mon corps. Je pars dans une jouissance très violente. Mes seins, retenus par le soutif, s’écrasent contre la vitre pleine de buée. Ma main caresse mon clito, ses doigts allant et venant dans mon cul. Je suis contracté comme une folle, lui semble être au bord du précipice.

J’arrache ses doigts de mon cul, et me mets à genoux. Sa bite n’est plus qu’à quelques centimètres de mon nez. Je choppe ses doigts et les lèche avec avidité. Ils sentent mon cul. Sa bite palpite sous mes yeux, et comme dans un soulagement j’engloutie son membre en une seule fois.

Je sens alors un liquide chaud cogner contre le fond de ma gorge alors que mon bellâtre laisse échapper un long soupir de plaisir. Il a plié légèrement ses genoux pour venir à la rencontre de mes lèvres.

Sa bite est bonne, elle est grosse. Elle a l’odeur que j’imaginais dans mes rêveries. Ma langue la caresse par le dessous alors que je la garde enfoncée dans ma bouche.

Elle grossit dans ma gueule, balançant tout son jus, maculant l’intérieur de ma bouche.

Je ne compte plus les giclées, je suis ailleurs. J’ai joui comme une folle et je joui encore maintenant. Cette superbe queue j’en ai rêvé, je la possède maintenant.

Je me recule à présent, groggy, les jambes écartées.

J’ouvre la bouche et lui laisse voir la flaque de sperme que je garde sous ma langue. Devant lui je déglutis bien fort et lui fait constater ce tour de magie.

Ses cheveux sont en bataille, et son visage est carrément trempé, il l’a posé contre la vitre et il respire bruyamment. Le haut de sa chemise est devenu plus sombre à cause de la transpiration. Une goutte de sperme pend de sa queue qui commence à débander.

Je me lève du sol, et ouvre la cabine.

Je vais à la rencontre du bellâtre qui s’approche de moi dans l’espoir de m’embrasser. Mon corps se colle contre le sien mais ma main vient à la rencontre de ses lèvres.

« pas aujourd’hui mon trésor, maintenant tu t’en vas »

Surpris, la queue à l’air il semble ne plus rien comprendre.

Je lui adresse un petit sourire qui le rassure alors que je quitte la pièce, roulant mon cul, mes talons claquant sur le sol dur et froid.

Je l’entends remonter son pantalon, resserrer sa ceinture. Je m’adosse au mur de la pièce d’en face et me caresse alors que je l’observe se rhabiller.

Il lève la tête et semble stupéfait. Cependant il comprend qu’il ne doit pas y prendre part. Je me mords la lèvre du bas alors que ma bouche s’étire dans un sourire taquin. Ma main se fait douce. Il me passe devant et ralentit le pas. Son doigt passe sur ma joue, et caresse mes lèvres. Ma main me fait mouiller, elle s’active toujours sur mon clito.

Il quitte mon visage et s’en va vers l’escalier à reculons. Douloureusement il se retourne et descend vers la porte. Je l’entends qui claque et interromps ma caresse.

Je tends l’oreille et perçoit le bruit du portail qui se referme, plus doucement cette fois ci.

Mon souffle ralentit, je m’assois sur le sol.

Je prends alors conscience de ce qu’il vient de se passer et de ce que je viens de faire.

Sur l’écran de mon téléphone est affiché la réponse à la photo que j’ai envoyé plus tôt je ne le lis même pas.

Je suis une chienne à présent et je crois que j’en veux plus.

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