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Le périnée – Chapitre 1

Le périnée - Chapitre 1



Il me tarde de finir les consultations. Toujours les mêmes maladies, les mêmes soupirs. Enfin le dernier patient : il va payer pour les autres. A peine assis, il commence à me raconter ses douleurs auxquelles je ne crois pas un moment. Dans la salle d’examen , couché, nu comme je l’ai demandé il montre tout son sexe. Le stéthoscope pendouille sur ma poitrine. Comme par hasard, je le fait passer sur la queue. Il réagit normalement. Je vais me le payer. En plus il ne me déplaît pas du tout. Je sais d’avance que mon sexe s’accordera à merveille avec le sien.

Ne bougez pas, je vais faire un test.

Tu parles d’un test avec sa queue. Je fais doucement descendre le prépuce, le regarde avec attention ; il bande encore plus. Pas mal, il va me faire du bien s’il sait se retenir. Il se retiendra mieux après ce que je vais lui faire.

Je me penche sur lui, caresse à peine la bite, continue vers les couilles. Je vais jusqu’à passer ma main entre ses cuisses. Je trouve son petit tour. Parfait. Je ne fais rien de particulier je caresse légèrement le cul.Ce malade doit y trouver son compte. Il n’est pas gay, j’en suis certaine.

J’ai très envie de lui, je vais le faire jouir avant moi pour mieux en profiter après. Je délaisse la masturbation, trop classique, j’opte pour la fellation. Je lui nettoie juste le bout, malgré les mouvements involontaires de sa queue : il est mignon avec ce désir refoulé.

Je lèche le corps de la queue. Je ne vais pas jusqu’en haut. Il sent bon l’homme. Son odeur vient de son cul et ses couilles. Excédent mélange de sexe, de sueur, de sperme séché.

Je m’occupe enfin de mon sexe : je mouille comme si je sortais d’un bain. Il est temps que je baise.

Je suis dure en le faisant lever, revenir au bureau, se coucher sur la moquette. Il bande toujours. Au fond de lui il se demande ce qui se passe.

Caresse toi la bite, charogne.

J’insiste, il ne bouge pas;

Branles toi devant moi.

Il est bouché ou quoi. Je lui passe la pointe de la chaussure sur les couilles. Enfin il réagit. Sa main droite se saisi du bout de la queue. Il commence à se masturber. Je veux le voir cracher son jus. Je veux voir son sperme.

Touches toi les couille aussi. Et le cul.

Un autre coup gentil sur les couilles, il comprend enfin ce que j’exige. Enfin la main commence la branlette. Je veux qu’il se fasse jouir, couché devant moi. Je l’adore quand il fait aller et venir sa main. Je le vois se tendre : il soulève le pubis, tend sa bite comme une offrande. Et là, enfin son premier jet puissant de semence. Si je le pouvais je me pencherais pour l’avaler.

Je finit son orgasme. Il n’en est pas quitte. Je le laisse se lever : il est toujours nu, la bite qui pendouille entre ses cuisses. Il est impuissant pour le moment.

Je suis tout près de lui, je relève ma jupe : je ne porte pas de culotte. Ma chatte est visible : elle est toute mouillée. Mon seul majeur me donne du plaisir. Ce n’est pas du doigt que je veux tirer mon plaisir : je veux sa queue.

Je prends tout son attirail dans la main. Je fait avec lui comme avec un chat ; je le flatte, le caresse, l’effleure. Malgré son étonnement il commence à réagit positivement : il bande à nouveau.Mon dieu qu’un homme est dur à persuader. Je suis une femme, je lui tripote la queue, j’en ai besoin et il ne comprend pas. Je pince ses tétons : enfin il comprend la suite. Je veux une baise royale, totale. Qu’il agisse en homme, qu’il m’embrasse que sa langue soit dans ma bouche. J’ai un sexe que je veux qu’il comble.

Enfin il agit, il m’entoure. Je suis presque trop serrée dans ses bras. Il pense à me dépiauter doucement. Son corps est contre moi, je sens sa queue contre mon ventre : elle est redevenue dure. C’est agréable de sentir un tel engin. Je me frotte contre lui. Les seins les premiers sentent ses muscles durs. Et ses abdominaux contre mon ventre ..C’est pas du beurre.

Il passe ses deux mains contre mes fesses Pourquoi il les écarte ? Il passe un doigt dans la raie. Mon Dieu il me fait du bien, j’en veux encore.

Il me fait tomber sur la moquette, à mon tour d’être une proie. Vue de dessous sa bite est impressionnante. J’écarte les cuisses, je lève les jambes : il voit toute ma fente. Il vient sur moi, il va me baiser. Je sens son poids sur moi. Sa bite est toute proche. Elle est juste à l’entrée du vagin. Mais qu’il la mette, je n’en peux plus. Il ripe vers le bas. Non c’est pas vrai, il va vers le petit trou.

Je n’aime pas cette façon de faire. Il insiste, même si je dis non. Non, trop tard il entre doucement très doucement. J’ai à peine mal, il insiste. Il m’encule totalement. Je la sens au fond de mes boyaux. Finalement c’est assez bon, Je commence sentir son bienfait. Il sort sur le périnée. Il m’excite encore plus. Il me la met là où il faut. Mes muscles vaginaux se resserrent autour de son manche. Il met aussi un doigt, non deux dans le cul. C’est bon les deux ensemble. J’avais envie qu’il me baise, il le fait.

J’ai oublié de lui faire payer la consultation.

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