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Le retour d'Hélène et le garçon – Chapitre 1

Le retour d'Hélène et le garçon - Chapitre 1



Le retour dHélène et le garçon,

Ceci est la suite dHélène et le garçon dans la catégorie inceste.

En résumé : Hélène bourgeoise, la quarantaine, est délaissée par son mari. Elle part en vacances avec son fils Eric, timide et puceau. La proximité et la promiscuité, durant deux semaines, fini par les unir charnellement, et plus encore, car tous deux découvrent lorgasme et débrident toute leur libido.

Si je suis délaissée par mon mari volage, notre fils Eric a su le remplacer et même le supplanter. Ces vacances à la mer lont métamorphosé et il en est de même pour moi. Il a découvert lamour avec moi, et lui, ma fait connaître lextase.

Il a énormément mûri ces derniers jours et sa grande timidité semble être un vieux souvenir. Il marche la tête haute désormais.

Quand nous nous baladons sur le front de mer et que nous croisons des filles de son age, elles nont plus le même comportement quauparavant. Certaines me lancent même des regards un peu jaloux, ce qui me flatte en fait.

Lui est fier comme un coq, et moi, jaime être en sa compagnie.

Question sexe, il est divin ! La nuit dernière, il ma sodomisée de nouveau et nous avons pris un pied terrible même si, aujourdhui, jai encore mal au derrière.

Nos vacances se terminent et après le ménage et létat des lieux du studio, nous reprenons la route. Je roule depuis moins de dix minutes quand Eric, me dit :

« Je taime Hélène ! »

Il me la dit au moins cent fois ces derniers jours, surtout quand nous faisions lamour. Jaime beaucoup lentendre dire ça, mais je lui réponds :

« Tu sais Eric, il faudra que tu ré apprennes à mappeler Maman, daccord ? »

« Daccord ma chérie »

Et nous éclatons de rire.

La route défile et la circulation est fluide. Dès que ma main est disponible, je lui caresse la cuisse et lui me caresse lépaule. Nous nous arrêtons faire une pause, puis reprenons la route.

Plus nous approchons, plus la mélancolie nous gagne.

Mon mari, Pierre, na pas donné signe de vie durant ces deux semaines de vacances et il ne doit même plus savoir quand nous devons rentrer.

Comment vais-je savoir le regarder à présent que notre fils est devenu mon amant. ?

Eric est soucieux également et me dit :

« Quest-ce quon va dire à papa ? »

« Rien ! On ne lui dit rien, cest notre secret. Daccord ? »

« Tu naurais pas envie de tarrêter, maman ? Dans un coin discret !»

Je comprends son envie, qui est aussi la mienne, celle de se faire un câlin avant darriver.

Par des petites routes, je trouve un bosquet accueillant et nous sortons de la voiture pour nous enlacer. Nous nous pressons amoureusement lun contre lautre et nos bouches sunissent.

Ses mains pétrissent fougueusement ma poitrine, mais je linterromps.

« Non mon chéri, pas maintenant ! Embrasse moi plutôt ! »

Il a fait des progrès inouïs en matière de baiser et je suis transportée tant il membrasse bien.

Je sens sur mon ventre son dard durcir, aussi, je préfère en rester là et retourner dans la voiture. Il est un peu contrit, mais je sais le rassurer.

Arrivés à la maison, il y a la voiture de mon mari et une autre plus petite à côté. Je flaire immédiatement que cette voiture doit être celle de sa maîtresse. Dun doigt sur la bouche, jintime le silence à Eric. Après avoir ouvert la porte dentrée, cest discrètement que nous nous dirigeons vers la chambre conjugale. Eric entend comme moi les cris dun orgasme féminin.

Mon sang ne fait quun tour et jouvre la porte violemment, en furie.

Pierre est allongé sur le lit tandis quune petite blonde le chevauche en finissant son plaisir.

Je hurle :

« Mais cest quoi ce bordel ! »

Il sursaute de surprise et cherche à se couvrir avec le drap voyant que son fils le regarde.

Elle, très tranquillement, sessuie le sperme qui coule entre ses jambes, et elle le fait sur les draps, en plus !

Je lui lance en pointant la porte du doigt : « Dehors ! ».

Elle me regarde avec défi et finit de shabiller avant de quitter la pièce en disant à mon mari :

« Je tattends dehors »

Je referme la porte au nez dEric et jai une sérieuse discussion avec mon mari.

Il ne sait pas comment me le dire et fini par lâcher quil veut divorcer, que les papiers sont sur la table du séjour et quil va rejoindre sa nouvelle compagne avec qui il va sinstaller.

Je reçois un coup de poing au ventre, jai le souffle coupé dapprendre ça, comme ça. Je me doutais bien quil avait une relation extraconjugale avec son assistante, mais là, je me sens prise au dépourvu. Je quitte la pièce et rejoint Eric au salon. En passant devant la fenêtre, je vois la blondinette attendre devant sa voiture. Je suis tellement bouleversée que je nai pas le courage de la chasser.

Pierre, sans un au revoir, la rejoint peu de temps après avec juste un petit sac. A coup sûr, il a déjà déménagé ses affaires en mon absence. Je ne peux mempêcher daller vérifier alors quEric me suis et cherche à me calmer.

Les tiroirs de Pierre sont vides, je men doutais.

La colère me gagne et jarrive trop tard pour lhouspiller. Il sont déjà partis.

Je mempare de la grande enveloppe quil a laissée et découvre que la procédure est bien entamée. Il me propose la garde de la maison, une rente très honorable et les frais détudes de notre fils.

Je devrais crier de joie, mais je reste meurtrie par cette annonce soudaine. Jai le blues car il est difficile de rayer près de vingt ans de mariage dun coup de crayon. En même temps, je ne veux pas admettre que moi, Hélène, femme plutôt bcbg jusqualors, viens de commettre des amours incestueuses avec mon fils.

Eric sapproche et me prend dans ses bras, je pose ma tête sur son torse alors que des larmes coulent sur mes joues. Il me prend la main et mentraîne au salon, sur le canapé, où nous nous asseyons. Il passe son bras dans mon dos et me serre contre lui. Il me réconforte avec des mots et de douces caresses sur la nuque.

Je me sens me détendre progressivement et apprécie ce moment de tendresse.

Je suis lasse après cette journée harassante et somnole dans le creux de son épaule. Il fait glisser ses doigts sur ma colonne vertébrale et ça me donne des frissons.

« Non, Eric, sil te plaît, je suis fatiguée »

Il glisse sa main sur mes cuisses, mais je le repousse gentiment.

Il est un peu frustré quand je me lève et méloigne de lui.

Jai envie de parler avec mon amie Laure et quand je lappelle au téléphone, elle est totalement ravie dapprendre ma séparation. Quand je lui dis que je me sens un peu triste, elle veut venir immédiatement me consoler, mais je lui rétorque que jai fait beaucoup de route et que je suis exténuée. Rendez-vous est pris pour le lendemain.

Je commande une pizza et matèle à nettoyer ma chambre de fond en comble, je ne veux plus de traces de cette fille chez moi. Heureusement mon fils maide, bien que je sente son regard sur mes formes quand il mobserve avec concupiscence.

Nous mangeons rapidement notre pizza avant daller nous doucher à tour de rôle.

Je suis lasse et souhaite retrouver mon lit au plus vite. Jenfile une nuisette et me glisse dans ces draps propres qui sentent bon.

Malgré la fatigue, je narrive pas à trouver le sommeil et me repasse en tête les évènements récents. Jai couché avec mon fils et jai adoré ça, mon mari me quitte, je vais être seule désormais avec Eric, mais il faut, aussi, avoir une vie équilibrée et que notre relation reste secrète.

Quand la porte souvre, la silhouette de mon jeune amant se dessine dans lencadrement.

« Non chéri, va dormir dans ta chambre, sil te plaît »

Je lai dit tellement mollement quil en a cure, il referme la porte et continue davancer vers moi.

Jallume ma lampe de chevet et vois son corps sapprocher. Il est nu et surtout il a une érection énorme. Ses dimensions sont telles que jen reste toujours impressionnée.

« Non chéri, je suis fatiguée »

Encore un non qui veut dire oui, doit-il penser. Il sagenouille au bord du lit et prend ma main quil pose sur sa verge chaude. La fièvre monte dans mon corps et cest avec fermeté que je pétris ce phallus. Je glisse ma paume sur son méat et appuie fortement pour éprouver la rigidité de ce membre. En réaction, mon amant presse si fort son gland sur ma main, que je capitule et son bout sapproche de mon visage. Quand je le prends en bouche et commence ma succion, je sens sa main glisser entre mes cuisses puis un doigt menvahir le vagin. Je suis rapidement inondée et bientôt ce sont deux doigts qui me fouillent.

Sa verge palpite sous ma langue et mon envie monte crescendo. Je lui dis :

« Viens mon amour, viens ! »

Il se couche sur moi et son engin darde mes petites lèvres avant de trouver ma grotte.

Il me pénètre avec douceur et je le sens menvahir et mélargir (beaucoup) lintimité.

Il va un peu trop profond et reprend position avant dentamer ses mouvements.

Je lui susurre :

« Tu finiras dans ma bouche, daccord ?»

Il acquiesce dun signe de tête et continue daller et venir en moi. Rapidement, joublie tous mes tracas et cest une onde de chaleur qui me parcourt. Je soupire de bonheur et lui senflamme, ses mouvements saccélèrent de plus en plus. Il va trop vite ! Il ne me laisse pas monter à la jouissance tellement il est pressé. Il doit se sentir frustré davoir dû se contenir toute la journée.

Il sort précipitamment, menjambe et me tend son sexe en se masturbant à toute vitesse.

Jouvre la bouche et gobe son gland dune succion.

Il ne faut pas longtemps pour que je reçoive toute sa semence sur la langue. Je garde tout en bouche, en fermant soigneusement les lèvres. Je lui tape sur une fesse et, sans un mot, je lui indique la porte. Il voudrait bien rester avec moi dans le lit, mais il faut mettre rapidement des limites entre nous et préserver notre intimité respective.

Je mallonge sous les draps et apprécie tout particulièrement de mâchouiller ce sperme, ce jus dhomme, celui de mon amant. Si je fais ça, cest essentiellement pour me venger de mon mari.

Si il savait comme je me régale de le provoquer, même si cest à distance!

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