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Le réveil des sens – Chapitre 8

Le réveil des sens - Chapitre 8



C’était samedi, nous avions tous dormi plus tard que d’habitude. Mon mari et moi étions encore engourdis quand Chloé fit irruption dans notre chambre.

— Alors fit-elle, pas encore levés ? Je soupçonne que cette grasse matinée n’est pas sans avoir eu d’effets. Vous avez bien joui, j’espère ?

— Et bien non ma fifille chérie, nous avons été très sages. N’est-ce pas mon chéri ?

La bouche pâteuse, mon mari confirma mes dires.

— Ce n’est surement pas comme toi, ajoutai-je à l’encontre de Chloé.

— Je pourrai nier répondit-elle, mais à quoi bon, vous ne me croiriez pas.

— Te connaissant mieux maintenant, je ne suis pas surprise que tes mains se soient déjà égarées dans les profondeurs de ton intimité.

— Et si ce n’était qu’une fois confirma-t-elle. Regardes ton réveil maman, il est 11 heures et je suis réveillée depuis 2 heures déjà.

— Donc, ma fille, si j’ai bien saisi tes propos, en deux heures, combien de fois as-tu pris du plaisir ?

— Et bien, la première fois en me rappelant ce que nous avons fait ensemble hier, puis une seconde fois en m’imaginant ce que j’allais raconter à ma copine et qui ne manquerait pas de nous exciter un max, puis une fois encore en pensant à ce que nous allions faire quand je viendrai vous rejoindre dans votre chambre.

— Ah bon, dis-je en riant, seulement trois orgasmes, je suis soulagée car ton air mystérieux m’avait fait craindre le pire.

— Arrêtes de te moquer maman, après tout c’est de votre faute à toi et à papa. C’est vous qui m’avez conçu, qui m’avez donné ce corps qui ne demande qu’à jouir et que vous vous acharnez à faire jouir encore plus.

— Tu t’en plains ? C’est un reproche ?

— Et bien oui ! Ca fait 5 minutes que nous discutons et je n’ai pas encore eu droit à la moindre caresse.

— Nous allons vite y remédier, monte sur le lit, enjambe ma tête.

    Chloé ne se fit pas prier deux fois et se trouva bien vite en position.

— Pendant que je vais te sucer, penches-toi et glisse une main sous les draps, non pas sur ma chatte, sur la queue de ton père, ça fait un bon moment qu’il bande le pauvre.

— C’est vrai maman, sa bite est dure.

    Mon mari poussa des grognements annonciateurs d’une proche jouissance. Chloé arrêta brusquement de le branler.

— Papa, j’ai une meilleure idée, maman doit avoir la chatte trempée, attends je vérifie, sans aucun doute elle est prête.

— Prête à quoi ? Demanda maman inquiète.

— Papa, pendant que maman me lèche, j’aimerai te voir la pénétrer. Je sais vous allez trouver ça idiot mais je n’ai jamais vu un homme prendre une femme.

    Mon mari n’hésita pas une seconde, la queue bandée, les couilles pleines, se mit en position et me pénétra.

— Quelle bonne idée tu as eu ma fille. C’est bon une bite qui vous ramone.

— Parles moins maman et lèche mon minou. C’est beau de vous voir tous les deux. Papa, suce moi les seins, regardes comme mes tétons pointent.

— Et toi ma fille, titille-moi le clito pendant que papa me baise.

    Bientôt ce ne fut plus que soupirs et gémissements avant que nous ne jouissions tous les trois en même temps.

La fatigue s’étant fait sentir nous nous sommes rendormis imbriqués les uns dans les autres Il était 14 h quand nous nous sommes réveillés. Après une bonne douche que nous avons pris séparément de peur de nous laisser tenter à des gestes qui nous auraient fatalement conduits à des caresses plus insidieuses, nous nous sommes mis à table pour une collation bien méritée.

— Au fait, Chloé, tu as omis de me dire qu’Anne s’était fait prendre par la prof de français en train de se faire une petite gâterie en classe.

— J’aurai dû t’en faire part mais cela n’a eu aucune répercussion. Seule sa mère fut convoquée et, après l’entretien, elle informa Anne que ses agissements n’auraient pas de suite mais que, dorénavant, elle devait se tenir tranquille.

— Et si je te racontais ce que Claudine m’a dit hier, tu comprendras et ton père aussi, pourquoi j’étais aussi chaude quand vous êtes rentrés.

Je racontais donc l’entrevue de Claudine et la prof.

— Ah la salope, conclut Chloé, sous ses airs de bigote, de vieille fille mal baisée, elle cache bien son jeu.

— J’aimerai, continuai-je, lui donner une leçon.

— Moi aussi, répondit Chloé, mais comment faire ?

— Bon, pour le moment elle n’a vu qu’Anne, je pense que tu devrais la provoquer. Tu mimes une petite branlette sous ton pupitre et tu essaie d’attirer l’attention de la prof. Quand tu verras sa main disparaître sous son bureau, tu peut-être sure qu’elle te retiendra à la fin du cours comme elle l’a fait avec Anne.

— Bon j’essaierais mais pourquoi mimer ?

— Je te reconnais bien là ma fille, après tout, si ça peut te faire du bien en même temps ?

— Je suis certaine maman, que lorsque je devinerai que ma prof se masturbe elle aussi, ça me fera certainement jouir. Justement, en parlant de jouissance, il n’est que 17 h, verriez-vous un empêchement si nous retournions au lit ?

— Je ne suis pas contre répondis mon mari, vos petites histoires ont mis ma queue au garde-à-vous.

    Pour nous le prouver, il se leva, se débraguetta et nous mit sa bite sous le nez.

-Qui veut un dessert cria-t-il ? j’ai une merveilleuse crème à vous offrir.

    Ma fille et moi n’avons pas attendu la fin de sa phrase pour nous précipiter sur le sexe tendu et je fus le plus prompt au grand désespoir de Chloé qui pour compenser, se branla en nous regardant.

— Quelle santé dis-je en la regardant jouir une première fois, depuis ce matin je serais incapable de dire combien d’orgasme elle a eu ?

— Je n’ai pas compté non plus répondit ma fille mais ce que je sais que si papa ne conclut pas tout de suite, je vais en avoir un de plus.

    Juste au moment où mon mari me remplissait la bouche, Chloé hurla une nouvelle fois son plaisir.

Le lundi soir, Chloé revint de l’université toute guillerette.

— Ca a marché maman, dit-elle, tu es convoquée demain après les cours et je peux aussi t’avouer que j’ai pris un pied terrible en me faisant jouir sous le regard de ma prof.

Le scénario se déroula tel que Claudine me l’avait raconté. Seulement, quand la prof eut verrouillé la porte de l’infirmerie, c’est moi qui pris la direction des opérations.

— Que cela soit clair entre nous lui dis-je, je sais déjà les salades que vous allez me servir. Mme Claudine X, avec laquelle vous avez eu à faire la semaine dernière, m’a tout raconté.

— Je ne vous permets pas madame Mylène Y, de me parler sur ce ton. Je ne vois pas ce dont vous voulez me parler.

— Ce n’est pas la peine de nier, Claudine a pris soin d’enregistrer votre entrevue.

    Je sortis une cassette de magnétophone de mon sac et la lui montrais. Bien entendu cette cassette était vierge mais au changement soudain d’attitude de la prof, je compris que mon coup de bluff avait fonctionné.

— Si je la remettais à Monsieur le proviseur, je suis certaine qu’il serait étonné de savoir que sa collègue qu’il voyait si vertueuse, avait un vrai comportement de nymphomane.

    La prof dont le visage avait tout à coup pâlit, bredouilla :

— Non, s’il vous plait, ne faites pas cela, je risque ma place, demandez-moi ce que vous voulez.

— C’est simple, ma copine m’a dit que vous aviez admirablement bien jouie sous ses caresses mais que vous n’aviez pas jugé utile de lui rendre la pareille, c’est exact ?

— Oui, mon plaisir passe avant tout, que ce soit sous mes propres doigts ou ceux d’une autre, ce qui m’intéresse c’est de prendre mon pied.

— En égoïste alors concluais-je. Pourquoi ?

— Je ne sais trop, peut-être parce que dans ma jeunesse, vous avez certainement entendu le récit de mon adolescence sur la casette ?

— Oui, mais j’aimerai que vous me la répétiez.

— Dans ma jeunesse j’ai toujours subi les attouchements de mes camarades qui d’ailleurs me donnaient énormément de plaisir bien que je ne leur ai jamais avoué mais elles ne m’ont demandé de leur faire la même chose et depuis je n’ai jamais pu caresser quelqu’un d’autre peut-être par timidité ou par inexpérience.

— Bien dis-je, admettons que vos dires soient vrais, je vais être la première à bénéficier de vos caresses.

    Sans attendre sa réponse, je relevais ma jupe et baissais ma culotte. Les fesses sur le bord de la table, j’écartais les jambes et ouvrais mon sexe à deux mains.

— A genoux, ordonnai-je ! Suce-moi !

    Je n’en avais pas tellement envie sur l’instant mais je voulais asseoir mon autorité. La prof hésita aussi je lui montrais à nouveau la cassette. Aussitôt elle s’exécuta. A genoux, sa tête entre mes cuisses, elle pointa sa langue et la passa sur toute la longueur de ma chatte. Tel un chat, elle répéta son geste trois ou quatre fois puis d’un coup, elle se mit carrément à me dévorer. Sa main vint rejoindre sa langue et elle enfonça deux doigts dans ma chatte. Je la vis glisser l’autre main entre ses cuisses mais je la stoppais.

— Non, enlève cette main de ta chatte. Pour le moment tu te concentres sur mon seul plaisir.

    Mais sa fougue, malgré sa maladresse et bien que j’essayais de ne pas succomber au plaisir pour rester plus lucide afin de mieux contrôler la suite des événements, sa fougue disais-je, l’emporta et je commençais à projeter mon bassin en avant pour qu’elle me fouille plus fort et plus profond encore. Quand mon orgasme explosa, la prof avala goulument les flots de cyprine qui sortaient de ma chatte.

— Eh bien dis-je, pour une première ce n’est pas trop mal. Maintenant à toi.

    J’avais hâte de voir son minou et constater qu’il était exactement comme Claudine me l’avait décrit.

— Allonges-toi sur le lit, enlève ta jupe. Bien-sur comme d’habitude tu n’as pas de culotte. Bien, maintenant écartes tes jambes. Ouvres ta chatte !

    Claudine avais raison. La chatte de la prof avais un aspect monstrueux surtout la taille de ses petites lèvres et celle de son clito. Je la contemplais un instant et voyant que ne faisais rien, elle commença à se tripoter. La prof jouit très vite et je profitais de son violent orgasme pour aller déverrouiller la porte et faire entrer Chloé et mon mari qui attendaient derrière celle-ci.

La prof eut un sursaut en les voyant.

— Bon, nous allons poursuivre ton éducation sexuelle. Tu vas faire jouir ma fille puis mon mari.

— Non cria-t-elle, pas ton mari ! Je ne veux pas de son gros machin dans ma bouche.

— Ce n’est pas grave tu commenceras avec la main. Lèves-toi et laisses la place à ma fille. Bien, lèche-la maintenant.

La prof s’exécuta sans rechigner. Il me semblait qu’elle avait enfin accepté de donner du plaisir aux autres.

— Approches-toi d’eux dis-je à mon époux. Pendant que tu l’occupes de ma fille avec la bouche, tu va branler mon mari.

    Comme elle ne s’exécutait pas, je lui pris la main et la posais sur la bite de mon mari qui bandait comme un âne et, enserrant sa main avec la mienne, je lui montrais les gestes qu’elle devait faire.

— Regarde sa chatte disait mon mari, j’ai bien envie de la fourrer.

— Mais vas-y mon chéri, elle ne peut rien nous refuser et je suis certaine que ta queue la fera jouir.

— Non, pas cela hurla-t-elle, jamais un homme ne m’a touché.

— Encore une première, répondis-je, vas-y chéri, défonce-la !

Je guidais moi-même la bite de mon mari vers la chatte de la prof mais, au dernier moment je la fis bifurquer vers le petit trou.

— Prends-la par là, son con est tellement large que tu ne sentirais rien. Je suis sur que son cul n’a jamais été pénétré.

    Avant que la prof n’ait eu le temps de réagir, mon mari la pénétra d’un seul coup. La prof hurla de plus belle. Il est vrai que sans préparation cela devait être douloureux aussi, pour la calmer un peu, j’entrais deux doigts dans sa chatte. Soudain je me souvins du récit de Claudine et sans hésiter, j’entrai la main toute entière. Au travers de la mince paroi qui sépare les deux orifices, je sentais les va-et-vient de la bite de mon mari. Bientôt la prof cessa de crier ce qui fit plaisir à ma fille car la prof avait, un instant, arrêté de lécher sa chatte.

— Maman disait Chloé, tu sais quelle suce divinement, je ne vais pas tarder à venir. Elle m’aspire le clito maintenant, c’est bon, c’est bon, c’est boooooon…

    Cette dernière phrase de ma fille me rappela encore que la prof avait un clito étonnamment développé alors, mon autre main vint s’occuper de lui. Je me mis à le branler, faisant aller et venir le capuchon comme j’aurai fait avec une bite d’homme. C’est au moment où mon mari déchargea dans le cul de la prof que cette dernière gueula, elle aussi, son plaisir. Je retirais la main de sa chatte et une énorme quantité de mouille coula faisant une véritable flaque sur le carrelage. Mon mari m’embrassa, me remerciant d’avoir pu sodomiser une femme, chose qu’il avait souvent rêvée mais qu’il n’avait jamais osé me demander. N’ayant pas eu mon orgasme et ne pouvant plus compter sur les participants qui avaient, tous trois, de la peine à récupérer, j’allais me contenter de leurs regards pour prendre mon pied en me masturbant quand, la porte d’entrée s’ouvrit et lune femme, en blouse d’infirmière entra.

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