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Le secret de Gaëlle – Chapitre 2

Le secret de Gaëlle - Chapitre 2



De retour chez moi, je suis encore terriblement excitée par les attouchements subis dans le train. Après mavoir traitée de salope, lhomme est sorti du train en me laissant la jupe relevée. Je me suis rhabillée en prenant soin de prendre une moue honteuse, au cas où quelquun aurait compris ce quil sest passé. Je préfère passer pour une jeune femme qui vient de se faire agresser, plutôt que pour la salope qui a pris son pied comme ça. Cette partie de moi, je la cache soigneusement depuis de nombreuses années maintenant.

Ma libido est en train dexploser, alors je fonce sur mon téléphone consulter la liste de mes partenaires de plaisir, à la recherche du candidat idéal. Mais dès que je vois « Antoine » sur le petit écran, je sais que cest le bon. Avec lui, cest toujours fort et décadent. Je lui envoie un message qui ne laisse pas place au doute « ta petite chienne a un besoin urgent dêtre dressée ». En attendant sa réponse, jallume mon ordinateur et visionne du hentai bien trash. Ma main se glisse dans ma culotte pour trouver ma chatte toute mouillée. Je me caresse longuement en regardant ces images choquantes. Je titille mon clitoris et ralentis le rythme quand je sens la jouissance monter.

A ce moment-là, mon portable vibre. Antoine ma répondu « ça tombe bien, jai des potes qui viennent à la maison ce soir. Viens à 22h petite salope ». Juste après avoir lu ce texto, je reprends ma masturbation de plus belle et me fait jouir en quelques secondes.

Il est 22h et je sonne à la porte dAntoine. Jai mis une robe moulante, décolleté et courte que je réserve à ce genre doccasion. La gentille Gaëlle ne porterait jamais ça, mais là, ce nest pas elle qui commande.

Antoine ouvre la porte une bière à la main et me toise avec un regard salace.

Ahhh je suis content que tu aies fait appel à moi, petite garce. Je vois que tu es habillée en pute et ça tombe très bien parce que mes potes et moi, on va te défoncer comme tu le mérites.

Je nai pas le temps de répondre – de toute façon, ce nest pas ma conversation qui lintéresse quil mentraine directement dans le salon. Trois autres garçons sont installés dans le canapé et le fauteuil. Il y a un petit brun tout sec, ce qui me fait penser que sa queue ne doit pas être bien grande, si tout est proportionnel. Un grand brun, bâtit dans le même registre quAntoine, donc bien carré et musclé. Enfin, un métisse pas très grand mais bien fait.

Je vous présente la petite salope qui va nous divertir ce soir, annonce Antoine. Allez-y franchement les gars, elle nen a jamais assez.

Ouahhh elle est super bonne, réplique le petit.

Carrément, ajoute le métisse. Jai hâte de me la faire.

Antoine ne perds pas de temps et fait sortir ma poitrine généreuse de mon décolleté. Je navais pas mis de soutien-gorge et mes tétons pointent déjà fortement. Dun même mouvement, ses trois copains sapprochent de moi. Je reste passive, les laissant découvrir mon corps comme bon leur semble. Après tout, ce soir je serai leur joujou.

Antoine me pince durement les tétons. Il veut montrer aux autres comme je suis docile et soumise à tous ses désirs. Je suis très sensible de la poitrine et je gémis automatiquement. Des mains me caressent la taille, le ventre, les cuisses et les fesses. Mais je vois quils sont tous subjugués par mes seins bien ronds et fermes. Le métisse commence à me téter un téton. Il sait y faire et je gémis plus fort.

Je sens des doigts remonter de lintérieur de mes cuisses vers mon intimité. Jécarte un peu les jambes pour faciliter le passage. Les doigts contournent rapidement mon string pour se faufiler dans ma chatte.

Putain les mecs, elle est mouillée comme une fontaine cette pute ! Senthousiasme le plus petit.

« Gaëlle sale trainée. Il te traite de pute et ça texcite encore plus. Tu devrais avoir honte ! » Oui, je me sens humiliée par leur attitude et leurs mots crus, mais ça décuple mon excitation.

Ma robe se soulève et mon string descend vite à mes chevilles. Des doigts sinsèrent dans ma fente, mais combien ? Deux ou trois je pense. Je les vois retirer leur pantalon et découvre des sexes bien durs et de très bonne taille se dresser pour moi. Je me mordille la lèvre denvie. A ce moment-là dailleurs, le métisse me mord méchamment le téton ce qui me fait pousser un cri de douleur. Je me recule par réflexe.

Antoine, qui était derrière moi, me pousse en avant jusquà la table basse. Il me retire ma robe et me fait me pencher en avant. Je maccroche fermement à la table basse, le cul bien tendu en arrière. Une tape sabat sur mon postérieur ce qui me fait crier à nouveau.

Ouais continue, jadore quand elles gueulent, lencourage le petit.

Les tapes se font plus fortes et mes cris sintensifient. La fessée en elle-même ne mest pas agréable, mais cest si dégradant et humiliant que jadore ça !

Je relève la tête et aperçois un sexe juste devant ma bouche. Cest le petit avec son regard lubrique qui demande à se faire sucer. Jouvre docilement la bouche et le prends avec avidité en le regardant droit dans les yeux. Au passage, je remarque que son sexe nest pas si petit que ça, mais dans la moyenne. Je le suce en le gobant en entier. Son visage me montre le plaisir que je lui procure.

Du côté de mes fesses, les tapes ont cessé et je me fais cordialement doigter le vagin et pincer les tétons.

Alors pétasse, ça te plaît de faire la pute pour mes potes ? Me chuchote Antoine à loreille.

En fait, ce nest pas la première fois quil me prend avec des potes. Il aime le sexe hard et est frustré avec les filles plus conventionnelles. Avec moi, il sait quil peut y aller franchement et faire participer son entourage. Il aime me voir me faire prendre comme un vulgaire jouet.

Une queue se présente enfin contre ma vulve. Qui est lheureux propriétaire ? Je nen sais rien. Moi je suce toujours le petit qui me tient les cheveux fermement en mimposant un rythme soutenu. Dans son regard, je peux lire tout le mépris quil a pour moi et la joie que ça lui procure de mhumilier de la sorte. Il minsulte presque en continu.

Je pousse un cri car le mec derrière moi vient de me pénétrer assez brutalement. Il sagrippe à mes hanches et me défonce sans ménagement. Jai lâché la queue que je suce pour pouvoir gueuler mon plaisir. Le petit, pas très content de mon initiative, me rappelle que cest lui le boss en me fouettant le visage avec sa queue. Il me tire sauvagement par les cheveux et je crie à nouveau, mais de douleur cette fois.

Sale pute, qui ta autorisé à recracher ma bite ? Hein salope ?

Il a un air mauvais. A ce moment-là je suis certaine quil a eu beaucoup de soucis avec les filles dans sa vie et quil se venge sur moi. Je décide de lui donner ce quil veut.

Je suis désolée monsieur. Redonnez-moi votre grosse queue à sucer, je vous en prie. Elle est si bonne, hummm.

Ses traits se détendent. Il arbore une attitude de conquérant qui a vaincu lennemi. Oui, il doit considérer les femmes comme des ennemis, jen suis sûre. Je me demande sil a déjà agressé, voire violé des femmes. Je ne veux pas le savoir, mais jespère que le traitement quil va madministrer ce soir va le calmer pour longtemps.

Il enfourne à nouveau sa queue dans ma bouche quil baise avec brutalité. Je déteste ça car je manque toujours de métouffer et ça diminue mon plaisir, mais je ne dis rien. Je ferai tout ce quil voudra de moi.

Bon allez tu fais chier Quentin, jvoudrais bien la baiser aussi ! Allez, laisse la place !

OK, jvais tester sa bouche alors.

Le type derrière moi se retire dun coup de mon sexe et se pointe devant mon visage. Cétait le grand brun et il a une bonne bite à me présenter. De ce fait, jalterne entre les deux queues à disposition. Jen lèche une tout en branlant lautre. Je gobe le gland de lautre tout en masturbant la première. Les deux amis commentent mes techniques et me félicitent en prenant soin de me rabaisser au passage.

Le métisse je crois que cest lui ou peut-être Antoine mattrape par les hanches et positionne à son tour son sexe à lentrée de ma chatte. Il rentre dun coup sans ménagement ce qui marrache encore une fois un cri de surprise. Sa bite est un peu plus large que celle de Quentin et je prends un pied denfer. Chaque fois quil change de cadence il me fesse durement en minsultant. Cest un amant exceptionnel et jme dis que je récupérerais bien son numéro à la fin de la soirée.

Antoine se fait plus discret depuis que ses potes me défoncent, je crois quil profitait juste du spectacle. Mais le voilà qui revient vers moi pour me gober les tétons. Il tire sur mes pointes, les tord, les mordille je suis en pleine extase.

Bon allez, jen peux plus jveux lenculer cette pute, sexclame le petit.

Ouais tas raison, vas-y maintenant, répond le métisse. Si je passe en premier dans son cul elle ne sentira plus rien la pauvre.

Ils rigolent tous à cette affirmation. Mon vagin se retrouve à nouveau vide et les garçons changent de place. Mon rythme cardiaque saccélère à lidée de men prendre une dans le cul. Cest vraiment ce que je préfère.

Je tends mon cul autant que je peux en guise dinvitation. Je sens la bite du petit qui récupère de la cyprine de ma chatte et cest pas ce qui manque. Il sen badigeonne bien partout et la positionne contre mon petit trou. Il pousse assez fort et son gland rentre dun coup. Puis il se retire complètement et recommence encore une fois son manège. Lintromission brutale juste du gland à chaque fois marrache un gémissement entre la plainte et lextase. Il continue son manège à plusieurs reprises et je suis déjà au bord de la jouissance. Egoïstement, je lâche la queue que je suçais pour me caresser le clitoris. Jai tellement envie de jouir, je nen peux plus.

Le petit finit par rentrer dun coup sec jusquà la garde et me pilonne furieusement le fondement. Je crie des « oh oui ! » « encore » « plus fort » pour lencourager. Quelques secondes plus tard, un puissant orgasme memporte.

Cest vraiment la dernière des putes cte fille. Regarde comme elle jouit en se faisant défoncer le cul !

Tinquiète pas poupée, on va tous passer par là. Ah ah ah !

Ma jouissance est longue et je hurle mon plaisir comme une droguée. Mon partenaire nen peut déjà plus. Il se retire brusquement et se branle devant mon visage. Peu après, quelques giclées de sperme inondent mon visage. Ce nest pas étonnant que le petit ait décidé de se finir de manière si dégradante pour moi. Cest clairement un misogyne et il me punit pour toutes les autres qui ont dû le rejeter ou le brimer. Même si je napprécie pas léjaculation faciale, je reste dans mon personnage de soumise lubrique et lui sourit en le regardant dans les yeux.

Je vous remercie de mavoir si bien baisée, jajoute.

Il va sassoir dans le fauteuil, visiblement vidé de toute énergie mais satisfait.

Hey la pute, tu crois que cest fini parce que tas jouis ? On est encore en pleine forme nous et tu vas prendre cher.

Faites tout ce que vous voulez de moi.

Ils nont pas menti, à ma grande joie. Ils sont tous passés dans mon cul, puis dans ma bouche. Le métisse est passé en dernier dans mon petit trou, comme il lavait promis. Sa queue, plus épaisse que les autres, était divine. Pendant quil me ramonait Quentin a joui dans ma bouche en minsultant ce qui ma amenée à mon deuxième orgasme foudroyant.

Maintenant on va passer aux choses sérieuses ma salope, mavertit Antoine.

Il sallonge sur la table basse et me fait massoir sur sa bite. Je comprends immédiatement à quoi il faisait allusion, alors je me penche en avant et écarte mes fesses. Le métisse se positionne à nouveau à lentrée de mon cul. Lintromission est plus difficile, ma chatte étant déjà occupée par la queue dAntoine.

Vas-y. Encule-moi comme une chienne, je lencourage.

Sans plus de précautions, il menfonce dun coup sa bite dans mon cul. Je gémis de douleur et de plaisir, encore une fois.

« Gaëlle tu te fait prendre en sandwich comme la dernière des putes. Tu fais honte à ta famille ! ». Limage de ma mère, tirée à quatre épingles avec ses fringues de vieille catho, me regardant avec un profond dégoût mapparaît brièvement. Je me sens sale, souillée, honteuse. Moi qui suis allée en école religieuse, qui ait été élevée dans ces principes dun autre temps, je suis devenue une vraie salope lubrique et je suis persuadée que lun est la conséquence de lautre.

Les deux queues qui me transpercent, se mettent en cadence et me baise lentement mais de toute leur longueur. Je gémis, je crie, je pleure même de plaisir.

Ça te plaît sale trainée ? Taime ça te faire ramoner la chatte et le cul en même temps ?

Je hoche la tête. Je suis incapable de parler à présent.

Tu le sais que tes la dernière des putes ? Moi, jai jamais vu une telle salope avant toi. Tu ne mérites que ça dêtre baisée par tous les trous.

Cest le plus petit qui me dit ça en magrippant par les cheveux. Sa queue a repris de la vigueur et je tends la main pour la branler en tétant le gland. Comme ça jai une bite dans chacun de mes trous. Je suis remplie.

Antoine et le métisse accélèrent la cadence. Ils bourrinent autant quils peuvent et je suce la queue du petit comme une affamée. Dun coup, une explosion de plaisir jaillit en moi et je hurle ma jouissance sous un flot dinsultes. Le métisse nen peut plus et il inonde mon fondement de son foutre chaud.

Cette séance de baise a encore duré une bonne demi-heure. Je crois que les garçons ont tous jouis deux fois et jai reçu du foutre un peu partout. Dans ma bouche la plupart du temps, mais aussi dans mon cul et sur mes seins.

A la fin, ils mont foutue dehors sans mautoriser à me laver ou rajuster mon maquillage, les cheveux trempés de sueur et de sperme. Jai à peine eu le temps de remettre ma robe, mais ils ont gardé mon string.

Une fois rentrée chez moi, je me suis déshabillée et me suis longuement regardée dans le miroir. De nombreuses marques rouges striaient mes fesses et mes tétons étaient turgescents. Jétais crevée, javais mal aux seins et au cul, mais jétais satisfaite.

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