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Le secret de Judith – Chapitre 8

Le secret de Judith - Chapitre 8



Chapitre 8. Confusion.

Solène. Elle dort. Près de moi. Je la regarde. Nous sommes nus sur son lit. Allongée sur le côté, elle me fait face. La chambre est baignée dans la pâle lumière de la pleine lune. Sa peau de lait ses seins aux petites aréoles roses, tétons rentrés son ventre son bas-ventre lisse Ses cuisses étroites mais si joliment galbées ses longues jambes ses pieds fins et derrière, dans l’ombre, ses petites fesses si parfaitement rondes Entre ses jambes, son sexe où j’aime tant me perdre  

–    Je t’aime ma Solène.

Je me penche vers elle et dépose un baiser sur son front.

–    Je t’aime Jeannot susurre-telle sans ouvrir les yeux.

–    Tu es si belle

–    Toi aussi

–    Je ne veux plus te perdre.

–    Serre-moi.

Je me colle à elle. Nos bouches se rencontrent. Nos langues s’unissent, longuement Puis, lentement, je glisse vers son entrejambe. Je hume son corps, l’odeur de nos ébats de tout à l’heure. Je lèche sa gorge, son ventre, son pubis Hmmmm Je m’enivre de cette odeur de sexe Je m’immisce entre ses cuisses sa fente, déjà humide Ma langue se glisse à la commissure de ses grandes lèvres rencontre son joli bourgeon encore caché… Dès le premier contact, elle se cambre, soupire. Sa petite fleur de plaisir éclot, se dresse je la lèche, la suce doucement Solène me caresse de ses cuisses, ses pieds Ohhh ses pieds qui me massent si joliment les fesses… Ses mains dans mes cheveux… Elle gémit, se tend, à chacune des incursions de ma langue entre ses lèvres. Je vais et viens dans son vestibule m’introduis dans l’entrée de son vagin puis ressors et remonte vers son mont de Vénus. Je bois sa jouissance elle me submerge, je m’y noie oui, asperge-moi ma Solène, inonde-moi de ton jus sacré, je veux m’y baigner, m’y perdre pour toujours Je ne cesse de dévorer son con, un de mes doigts se glisse dans son vagin deux trois je m’enfonce caresse ses parois intimes tourne et retourne autour de son doux éperon, tout au bout Solène crie doucement, une longue plainte continue Ses mains me fouillent violemment les cheveux, ses petits pieds s’enfoncent dans mon dos, mon corps Puis Elle se tait, se tend, se soulève bouche grande ouverte elle tremble presque imperceptiblement tendue vers le ciel.

Je me relève doucement. Agenouillé entre ses cuisses. Ma verge est tendue à mourir Solène a les yeux fermés Son sexe est ouvert là l’odeur puissante de l’amour emplit mes narines Ma main se pose sur ma verge je me masturbe. Je m’astique, vite, vite La jouissance monte  

Solène Ma Solène. Ma semence se répand sur ton corps de lait tu t’en oins le ventre, les seins tu la lèches la mange sur chacun de tes doigts tu souris, les yeux toujours clos. Tu m’attends Je me colle à toi. Nous sombrons.

**********

Putain de réveil ! 5h45 Il faut que je me grouille. Mais je ne veux pas quitter mon homme, là, contre moi. Il ne s’est même pas réveillé Mon Jeannot. Mon amour. Nous sentons le sexe, le sperme, la cyprine, nous sommes couverts de nos fluides J’aime cette odeur d’amour tiède. Nos corps collants fourbus mais emplis d’une force infinie. Pleins. Mon ventre encore si chaud Mes cuisses qui tirent Mes seins toujours gonflés J’aimerais baiser encore et encore, qu’il me prenne, toute entière, partout, être à lui, sa chose, sa femme, infiniment.

Mais il faut que j’y aille. Dans une heure je dois être derrière mon desk à l’hôtel.

A toute à l’heure mon amour. Je ne veux plus dormir sans toi. Tu es à moi.

Je me lève, prends mes vêtements et me dirige vers la salle de bains.

—–

Encore une journée de passée. Mon Jeannot finit vers 20h ce soir. Nous irons au camping. En attendant, je me dirige vers la prairie de Joseph. J’espère qu’il y sera. Après le récit de Judith, je voudrais qu’il sache que je sais tout. Je ne sais plus vraiment quoi penser de lui. Il a aimé Judith. Comme un fou. Avec un tel respect, pendant des années Il l’a défendue, consolée, l’a aidée à avorter Et pourtant je lui en veux. Quelque part lui aussi a protégé son frère, ce salaud ! Il l’a chassé, mais il s’en est trop bien sorti !

J’arrive au pré. Pas de Joseph. Je retrouve mon petit nid et m’installe, seins nus, au soleil. Notre courte nuit a laissé des traces, je suis épuisée. Je m’endors une nouvelle fois.

—–

–    Bonjour Solène.

J’ouvre les yeux.

–    Bonjour Joseph Vous ne pêchez pas ?

–    Je voulais te voir.

–    Que voulez-vous me dire ?

–    Rien de particulier. Juste te voir. Je savais que tu étais là, mais comme tu ne descendais pas je suis monté.

–    Pourquoi me voir ?

–    Parce que tu es belle et tu me rappelles Judith.

–    

–    Je ne t’ai pas tout dit

–    Je sais. Mais Judith a fini par compléter Je sais ce qui s’est passé maintenant.

–    Ah

–    Je vous en veux Joseph !!!! crié-je

–    

–    Pourquoi vous ne l’avez pas empêché !!! Pourquoi vous ne l’avez pas tué !!!! Il a violé votre amoureuse ! Il a détruit votre amour !!!! Ce salaud méritait de payer !!!!

Il ne dit plus rien. Une larme coule sur sa joue. Il l’essuie d’un revers de manche mais d’autres montent, il n’y arrive plus, il sanglote, il tombe à genoux devant moi, il pleure Entre ses larmes, il essaie de parler, lentement, soupesant chaque phrase.

–    Petite Si tu savais Toute ma vie j’ai repensé à ce jour Ca a détruit nos vies. Ma Judith, si belle, si insouciante, si légère, il l’a fracassée. Ce porc a tout sali, tout gâché !

Je t’assure que je l’ai puni ! Mais à l’époque personne n’aurait défendu Judith. Il s’en serait bien sorti. Je ne suis même pas sûr qu’il y aurait eu un procès si elle avait été voir les gendarmes. Et c’est elle qui en aurait le plus souffert.

Je l’ai tabassé. J’étais bien plus fort que lui. Il a pris la dérouillée de sa vie. Je l’ai chassé. Il n’a plus remis les pieds au village. Il savait que je le tuerais.

Mes parents et Marie m’en ont voulu à mort. Mais j’étais l’aîné. La ferme me revenait. Lui était de toute façon voué à partir, à moins de se marier ici. Mais à l’époque les villages se vidaient, les fermes n’étaient plus reprises. Au final, il s’est passé ce qui serait arrivé de toute façon. Sauf qu’il n’a jamais pu revenir à la ferme. Ca a été sa punition. C’est peut-être pas grand-chose, c’est vrai. Pas assez pour le mal qu’il a fait. Mais c’était tout ce que je pouvais faire

Je n’ai jamais cessé de repenser à cette histoire, et moi aussi je m’en veux. Si tu savais petite ! Il n’y a pas un jour où je n’y pense pas. Tout ici me rappelle Judith.

Je m’en veux de ne pas avoir vu venir ce drame, ne pas l’avoir empêché, ne pas avoir protégé Judith De ne pas l’avoir tabassé encore et encore Ne pas avoir su la soigner. Ne pas avoir su la garder

Je ne me suis jamais marié je ne pouvais pas.

Il s’effondre. Il pleure, affalé, la tête dans sa manche, face au sol Je suis bouleversée. Ce grand corps, vieilli, travaillé par la douleur, le remords, depuis 50 ans, torturé, là, sous mes yeux. J’ai la gorge nouée, les larmes me montent aux yeux.

–    Joseph Je sais que vous avez fait, ce que vous avez pu Judith m’a raconté, tout, jusqu’à Sans vous, elle ne s’en serait jamais sortie

Je suis désolée. C’est pas à vous que j’en veux. C’est à tout le monde. Le monde de cette époque… Mais, en fait, je ne suis même pas si sûre que ça se passerait vraiment différemment aujourd’hui

Je me suis approchée de lui. Je lui caresse la tête, passe ma main entre ses larges épaules. Je sens la douleur, là, nouée, oppressante

–    Vous êtes quelqu’un de bien Joseph. Vous l’avez aimée, respectée Vous n’y êtes pour rien

Il relève la tête, se rassoit. Son visage est décomposé, défiguré par cette douleur qui remonte du fond de son être, explose. Nous sommes face à face. Je m’approche et le serre contre moi. Je l’enlace mais il n’ose pas me toucher

–    Je sais Joseph, j’ai compris Judith Elle ne vous en veut pas elle sait. Elle se souvient de votre amour, de votre union Vous n’êtes pas responsable. Elle sait que vous avez fait tout ce que vous pouviez

Petit à petit, je sens le vieux corps se détendre. Enfin, un énorme soupir, comme un cri, lui échappe, libérant sa poitrine d’un poids énorme Alors, il cède Il s’affaisse Sa tête s’appuie contre moi, ses mains se posent sur mon dos Il pleure, je sens ses larmes sur ma peau nue. Pauvre vieil homme 50 ans Lui n’a pas trouvé le remède. Il est resté ici, seul.

Moi non plus je ne me retiens plus Je pleure en pensant à Judith, Joseph, tout cet amour bafoué, détruit J’ai le vertige, je m’affaisse, je bascule sur le dos.  Je m’allonge Joseph bascule avec moi.

Nous restons longtemps allongés dans l’herbe. En silence. Le vieil homme est sur mon ventre, ma poitrine, la tête enfouie dans le creux de mon épaule. Son grand corps osseux, encore lourd, qui pèse sur moi Ses grandes mains de berger, burinées sa main droite là sur mon sein Cette vieille main, qui a caressé ma Judith, l’a défendue Il tient mon sein, bien au creux de sa paume si chaude, protectrice. Nous respirons lentement. Je regarde le ciel, le soleil. Mes mains parcourent doucement son dos, si large, puissant Quelle force a dû animer ce corps, aujourd’hui vaincu par les ans et la tristesse.

–    Petite

–    Ne dis rien Joseph Tout va bien

Je sens sa respiration il se calme, s’apaise

Sa main sa belle main. Elle bouge Lentement, elle descend vers mon ventre, mes hanches, elle me caresse Ma cuisse

Elle remonte Je ne dis rien j’aime cette main cette grande main fatiguée je sens ses rides profondes sur ma peau Elle tient à nouveau mon sein, le presse, le caresse, souligne mon téton qui durcit. Je le laisse faire Je suis folle Joseph

Maintenant il bouge tout entier Son visage descend vers mon autre sein. Il l’embrasse. Doucement. Si doucement. Des petits baisers sur mon téton Puis il le prend en bouche, le suce, le tête Le vieil homme tête mon sein Comme un enfant, sans fin Je caresse ses cheveux Joseph

Je ferme les yeux. Je sens ses caresses sur mon corps Sa main qui maintenant s’aventure plus bas descend lentement sous mon nombril et s’arrête. Il ne bouge plus. Son visage se relève, il me regarde, effaré.

–    Petite. Je suis fou !

–    Joseph ne t’inquiète pas tu n’es pas fou tu es quelqu’un de bien tu fais du bien

Alors c’est moi qui me lève. Je pousse doucement Joseph sur le côté. Il est allongé sur le dos. Je le regarde et il me scrute, presque effrayé. D’une main j’effleure son visage ridé Je descends vers ses épaules, sa poitrine, encore musclée, son ventre Je remonte Il me fixe. Ma main redescend son torse, son ventre, plus bas Elle passe sur son entrejambe. A travers le pantalon, je sens la petite bosse de son sexe recroquevillé. Je la prends au creux de ma main Je la caresse tout doucement longtemps Les doigts de mon autre main survolent sans cesse son visage. Il a fermé les yeux.

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Judith Judith me caresse le visage. Elle est si belle, nue près de moi. Ses petits seins si doux si bons Son corps si frêle, grâcieux, fragile Son parfum de prairie au printemps

Ses fines mains sur mon corps. Cette chaleur entre mes jambes Mon membre se déplie doucement il se réveille grandit dans sa main. Sa douce main dans mon pantalon, sur mon sexe

Elle frôle, enveloppe, éveille étire Ma verge elle est dure, elle se dresse, elle vit, elle la veut ! Sa main la tient, le caresse Je sens la sève monter en moi à nouveau

Maintenant, cette chaude humidité Cette douce pression sur mon membre cette caresse qui l’enveloppe le prend tout entier. Judith

Je tiens ses doux petits seins dans le creux de mes mains Je les caresse, les presse à peine Je les sens trembler sous mes paumes, au rythme de son corps Son petit corps, sur moi pour moi.

Ma verge est tendue, tendue en elle, en son sein Elle la chérit, la cajole. Tout son être l’enveloppe Elle s’épanouit encore et encore Elle la caresse, en son corps, va et vient La chaleur l’eau qui coule sur mon sexe Il y a longtemps longtemps

Ca remonte. Ca grandit. Ca m’envahit. Ca me submerge ! Je tremble une secousse me traverse C’est trop fort ! Je tombe. Je perds conscience.

J’ouvre les yeux. Elle est partie. Je suis seul, allongé dans l’herbe. Mon pantalon est ouvert, mon sexe replié sur mon bas ventre.

*******

Je fonce. Je pédale. Je dévale la route Je ne sais même pas où je vais. Je fonce. Le vent emporte mes cheveux, ma robe mes larmes. Je pédale et j’oublie. Je me vide.

Il ne s’est rien passé.

*******

–    Solène ! Ma Solène !

–    Jean ! Je t’aime mon amour ! Prends-moi ! Baise-moi ! Baise-moi !

Il est 23h. A peine rentré au camping, Solène s’est jetée sur moi et m’a entraîné à l’écart, tout au fond du parc, au creux d’un bosquet, surplombant le gave.

Sa main tient ma bite à travers mon bermuda. Elle la malaxe Ma verge grandit, durcit Elle la veut Elle m’embrasse violemment, me mord, me mange Sa langue me lèche la joue, le cou Elle m’arrrache mon t-shirt Ses mains caressent mon torse, mon ventre, triturent mes pectoraux Elle suce mes tétons, les mord Aïe ! Hmmmm Elle me griffe le dos les fesses mon bermuda a disparu mon boxer aussi ma bite est tendue gonflée face à elle. Je me laisse faire elle est déchaînée. Elle fait de moi ce qu’elle veut

–    Jean s’il te plaît, prends-moi, maltraite-moi je suis une petite chienne !

–    Non Ma Solène je ne peux pas pas comme l’autre jour

–    Si ! J’en ai envie ! Prends-moi ! Force-moi ! Défonce-moi ! Fais-moi jouir !

Je ne comprends pas ce qui lui arrive elle est en rut ! Elle veut que je la brusque, la violente. Me tournant le dos, accroupie, la robe remontée sur ses hanches, culotte baissée, elle m’offre son cul Son si beau petit cul Son trou rosé, sa fente trempée, dégoulinante là

Alors je la prends. Je saisis ses cheveux et la relève brusquement. Elle crie. Je prends ses seins, je les écrase Une de mes mains glisse entre ses jambes, saisit sa vulve entière, la malaxe, la pince je lui fais mal Elle gémit, soupire, pousse de petits cris Je l’embrasse, la mords, la croque, dans le cou, les épaules Elle est ma chose entre mes mains je prends possession de son corps violemment

Son cul n’attend que moi mais je ne me donnerai pas tout de suite Je la projette en avant. Elle s’affale J’arrache sa robe, la déchire Elle est nue à plat ventre Je la regarde. Elle ne bouge pas. Elle m’attend. M’espère. Je saisis une tige sur un des arbustes qui nous entoure, souple, verte Je l’approche d’elle caresse ses jambes elle frémit. La verge va et vient entre ses cuisses passe sur sa fente entre ses lèvres Elle gémit Soudain, je frappe sa fesse droite d’un coup sec. Elle gémit plus fort. Je recommence. Elle crie. Je recommence. Elle crie encore une fois, dix fois les deux fesses. Les marques s’accumulent, bientôt une ou deux gouttelettes rouges perlent sur sa croupe blanche Tout son postérieur s’enflamme ! Enfin, elle se redresse sur les genoux, toujours pliée en avant, remonte son petit derrière Elle me l’offre à nouveau

–    Jean Mon cul est en feu

Je me penche vers son fondement, ses deux collines martyres qui me regardent, sublimes Je sors ma langue et commence à lécher, une par une, les plaies laissées par la cravache je sens les sillons à vif sur ma langue, les enduis de ma salive, les embaume, les apaise L’odeur de son cul, de son con, m’envahit Ma langue délaisse bientôt ses tertres meurtris pour plonger dans sa vallée fertile Je lèche son anus, son sillon depuis sa fente jusqu’au creux de ses reins je recommence, sans cesse puis je m’attarde sur sa rondelle rosée. Je tourne, tourne, et je m’enfonce doucement son odeur de femme… je m’enfonce encore… je me régale de son trou du cul entièrement, profondément Elle se tortille sur ma langue gémit sans arrêt essaie de m’avaler tout entier au creux de ses entrailles

Je me redresse. Je la saisis par les épaules et la relève brusquement contre moi. Je tiens ses seins en tenaille dans mes paumes je les serre, les écrase, pince ses tétons. Je lui mords l’épaule, le cou, l’oreille

–    Petite chienne.  Tu veux que je défonce le fion ! Tu veux ma grosse bite dans ton petit cul ! Tu veux que je t’éclate le fion comme ce connard de Mike !

–    Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Punis-moi !

–    Salope !

Je la propulse à nouveau à genoux. J’écarte ses fesses et approche de son trou mon dard prêt à éclater. Je la pénètre d’une traite, jusqu’à la garde. Elle crie, elle gémit.

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Jean me pilonne le cul. Il est en moi, me prend sans aucun ménagement. Il me fait mal ! C’est ce que je veux. Je suis sa chienne, sa salope La jouissance monte. Je dégouline mes cuisses sont trempées Chaque coup sur mes fesses, sur mes plaies à vif Hmmmmm Je sens son sexe plus gros que jamais Il aime ça lui aussi ! Oui Jean, baise-moi comme ça, comme la petite garce que je suis. Punis-moi !!!

Ses coups de hanche me déboitent les vertèbres  Sa bite s’enfonce toujours plus profond mon trou est éclaté, déchiré Je crie, sans arrêt, je tremble, je jouis, l’orgasme monte, me saisit, me transperce violent ! Comme un éclair qui me foudroie. Je jouis, je râle

Mais Jean ne s’arrête pas ! Il continue de me défoncer l’arrière-train, l’anus, les entrailles. J’ai mal ! Mal !!! Il poursuit, de plus en plus vite Je n’en peux plus, c’est impossible Il frappe mes fesses de sa main droite Mes plaies !!!! J’ai mal !!!! Je pleure Je gémis crie crie.

Je jouis je jouis à nouveau je tremble. l’orgasme est lent il se répand en moi, me prend toute entière Enfin je sens Jean qui éjacule, se tend, se tend ! Ses mains se crispent et m’arrachent la peau des hanches. Il donne de grands coups, dans mon fondement, à chaque giclée Il se vide. Il n’en finit plus. Je déborde, son foutre coule entre mes fesses, sur mes lèvres, mes cuisses.

Enfin il s’arrête s’affale sur moi

Nous sommes nus, sur la terre de ce bosquet. Le bruit du torrent nous entoure Sa fraicheur Nous sommes couverts de sueur, de sperme, de cyprine, de sang

–    Je t’aime Jean. Je t’aime à la folie.

(à suivre)

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