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L'envers du décor… – Chapitre 4

L'envers du décor... - Chapitre 4



Le réveil a sonné de bonne heure pour ce dernier jour. La veille, nous avions bien déliré, tous, et j’avais apprécié de relâcher franchement la pression. Tomber le masque, commencer à révéler ma vraie nature. Celle qui sommeillait en moi depuis trop longtemps. Je ne sais plus exactement l’enchaînement d’évènements qui m’a conduite à me retrouver à danser au milieu du salon en nuisette transparente et string dans les bras d’Helen, elle-même simplement vêtue d’un shorty dentelle des plus sexy. Sûrement la même suite d’évènements qui a fait que Bethany a fait une fellation des plus sensuelles (et visiblement des plus agréables) à Nicolas, dans le canapé du salon. Quelle éjaculation ! Elle est bien partie à 10-15 centimètres de hauteur avant de retomber sur le visage de Beth. De son propre aveu, c’était la première fois qu’il jouissait ainsi. Il faudra que je demande à Beth sa technique.

En attendant, c’était vraiment génial de se sentir libre, même si quelques mains baladeuses étaient parfois un peu trop insistantes.

Je me suis levée relativement bien, mais Beth s’est levée comme elle a pu, avec la tête des mauvais jours. Ou plutôt des mauvaises nuits. Elle s’est lavée doucement et s’est préparé un minimum. Elle somnolait debout dans la chambre pendant que je pestais en cherchant une tenue. Comme je pestais devant mon étagère, elle me tendit une petite jupe noire, pile ma taille. J’ai hésité quelques instants. Finalement, je l’ai prise, ça changera de mon classicisme vestimentaire. Et puis, j’avais un top violet qui allait très bien avec, en plus de me faire une jolie poitrine.

Nous sommes parties en cours avant les garçons. Sur le trajet, nous avons à nouveau parler un peu de sa bisexualité et j’en ai profité pour faire quelques allusions à demi-mot sur mon envie de découverte. Rien qu’à l’idée, j’étais morte de trouille ! C’était idiot, Beth n’allait pas me sauter dessus en pleine rue, surtout dans l’état de fatigue avancé dans lequel elle était.

Heureusement, la journée commençait par une projection dans un grand auditorium et elle en profita pour dormir un peu. A son réveil, elle ressemblait plus à la Bethany que je connaissais. D’ailleurs, lors d’une scène un peu érotique de la projection, elle posa sa main sur ma cuisse et commença à me la caresser. J’ai tourné fébrilement la tête vers Beth, elle ne me regardait pas. J’ai senti mon cur s’accélérer quand elle fit glisser sa main vers l’intérieur de ma cuisse en penchant la tête vers moi. Avec son accent, j’ai eu quelques difficultés à comprendre quand elle m’a dit « T’es jolie en jupe, miss ! » J’ai senti la main de Beth remonter le long de mon collant et j’ai frissonné en la sentant effleurer mon intimité. Elle se pencha à nouveau vers moi pour me dire, dans sa langue maternelle, qu’elle ferait bien mon initiation. Je n’arrivais pas à parler, me demandant si mon voisin de droite voyait ou entendait quelque chose.

Quand j’ai tourné la tête vers mon amie, ma bouche n’était qu’à quelques centimètres de la sienne. Il ne fallait pas grand-chose pour que nous nous embrassions. Je sentais mon cur battre très fort dans ma poitrine et j’ai cru qu’il allait exploser quand Beth s’approcha suffisamment pour sentir ses lèvres effleurer les siennes. Mes seins pointaient et je sentais l’humidité poindre à mon entrejambe malgré mon état de stress avancé. Beth s’éloigna et sa main redescendit vers mon genou avant qu’elle ne me glisse quelques mots à l’oreille. « I love to trouble you ! D’après elle, ça me rend belle et désirable. Je me suis sentie devenir rouge à cet instant. Je n’étais visiblement pas encore prête à vivre cette nouvelle vie. Pourtant, quelques minutes plus tard, c’est moi qui ai posé ma main sur la cuisse de Beth. J’ai senti son regard se poser légèrement sur moi et je l’ai regardé du coin de l’il en souriant. Beth retira sa main de mon genou et la posa sur ma main.

Nous doigts se sont entrecroisés et Beth s’est à nouveau penchée vers moi. « Do you want to touch my pussy ? » J’ai souri en rougissant « Not yet ! » C’était flagrant, malgré mon envie, je n’étais pas encore prête à repousser le poids de mon éducation de petite fille sage.

Mais la journée ne s’est pas arrêtée là. La complicité qui me liait à Beth depuis presque trois semaines n’était pas due à une simple attirance physique. Nous mangions tous nos repas ensemble, nous dormions dans la même chambre, nous avons échangé quelques vêtements… les mêmes goûts, les mêmes envies, mais elle osait et pas moi. Et l’après-midi, elle m’a poussée à sécher les cours. Elle ne fut pas obligée de beaucoup insister, surtout après m’avoir proposé quelques emplettes. J’avais très peu dépensé depuis mon arrivée, alors je me suis lâchée un peu. 2-3 vêtements collant plus à ma nature naissante, un blouson en cuir pour faire ma rebelle et une paire de chaussures à talons. Et puis, de la lingerie. J’étais la première à le reconnaître, mes culottes manquaient cruellement de sensualité. J’ai passé quelques ensembles que je me garderais bien de montrer à Julien. J’en ai passé d’autres un peu moins coquins, mais tout aussi joli. A chaque fois, je demandais l’avis de Beth.

C’est ainsi qu’à un essayage d’un ensemble particulièrement sexy, j’ai pris une posture féline et je lui ai demandé si je plairais à son frère. Elle s’est approchée avec une démarche tout aussi féline et passa son bras autour de ma taille. J’avoue avoir eu envie qu’elle m’embrasse quand ses lèvres à quelques centimètres des miennes, elle m’avoua qu’il n’y a pas qu’à son frère que je plaisais dans cette tenue qui ne cachait vraiment pas grand-chose de mon intimité. De sa main libre, elle attrapa ma cuisse et j’ai machinalement enroulé ma jambe autour de la sienne. Que m’a-t-il pris de dégrafer son jean ? Sûrement ma nouvelle nature qui commençait à s’exprimer. Et après coup, j’ai presque regretté de ne pas avoir continué, de ne pas lui avoir baissé son jean quand elle passa sa main sur mes fesses. Je me suis tout de même laissé caresser les fesses et retirer le string… quand Beth s’est mise à genoux, j’ai eu un coup de panique et elle s’est arrêtée là.

Dommage qu’elle n’ait pas insisté un peu.

Finalement, j’en ai pris des ensembles pour toutes les humeurs. Beth en a profité pour se prendre un ensemble également. Puis nous allons retrouver Helen, Peter et Nicolas au parc. J’avais remis la jupe prêtée par Beth et mon top violet. Peter me trouvait ravissante. Nicolas et Helen m’ont fait le même compliment. J’en ai rougi. Beth n’a pu s’empêcher de faire une remarque sur les sous-vêtements que je venais de prendre. She’s lovely ! J’en ai rougi de plus belle en lui demandant de se taire. C’était trop tard, les garçons voulaient voir. J’ai bondi sur mon sac que j’avais posé quelques instants plus tôt avant que Beth ne s’en saisissent. Je n’avais pas envie que mes nouveaux sous-vêtements lui servent d’étendard pour défiler dans le parc. Une fois Beth calmée, j’ai lâché mon sac. C’est le moment qu’a choisi Helen pour s’en saisir. Elle y jeta un il avant que je reprenne mon précieux sac. Helen fit une remarque sur mon choix.

Visiblement, elle aussi avait des goûts similaires aux miens. Puis elle se tourna vers Peter. Lucky boy ! Nicolas l’a interrogée, elle a commencé à faire une petite description. Elle aimait bien la robe pourpre moulante et mon ensemble violet. Les garçons ont insisté pour que je le passe, Beth également. Après tout, la nouvelle Gaëlle était bien capable de faire ça ! Nous avons tout de même cherché un coin tranquille pour que je puisse me changer.

Nous sommes tous allés dans le sous-bois juste à côté du parc. J’avoue que j’étais assez nerveuse. L’endroit était calme, alors j’ai retiré ma culotte pour passer le tanga dans lequel tous voulaient me voir. J’avais réussi à ne rien dévoiler, cachant mon intimité avec la jupe que Beth m’avait prêtée, au grand dam de Peter et Nicolas. Leurs plaintes ont bien fait rire Helen et Bethany. Ces dernières m’ont aidée à passer le soutien-gorge sans que les garçons n’en voient plus. Nous avons bien ri et surtout réussi notre tâche. Je n’ai pas laissé les garçons dans leur frustration bien longtemps. Après les avoir nargués un peu avec Helen et Beth (surtout elle), j’ai commencé un effeuillage très sensuel. D’abord le haut, puis le bas. J’ai fait quelques tours sur moi-même avant de passer la robe pourpre. De l’avis général, elle m’allait à ravir. Peter m’a embrassée tendrement en me précisant que j’avais vraiment bien choisi. Nicolas y est allé de son compliment également.

Il me l’a confirmé plus tard, mais je l’avais deviné, mon effeuillage avait provoqué chez lui une forte érection.

Il y eut un petit moment de flottement où je me suis plongée dans mes pensées, réalisant ce que je venais de faire. Mais rapidement, je fus tirée de mes songes par une remarque de Beth, proposant une pipe à 3 bouches à Nicolas. 3 bouches ! C’est-à-dire qu’elle voulait que je participe. J’ai refusé, bien qu’ayant très envie de multiplier les expériences, je n’étais pas encore tout à fait prête. Peut-être étais-je encore trop attachée à mon copain malgré tout. Peut-être n’étais-je pas encore capable de séparer le sexe et l’amour. Mes deux amies, elles, ne se sont pas gênées. Et durant cette scène particulièrement érotique, Peter me poussa à participer par des petits mots à l’oreille. Après mon second refus, il n’insista pas. Cependant, il me glissa à plusieurs reprises que ça l’exciterait de savoir que je m’offre un autre. Je lui ai rétorqué que je coucherais avec mon petit ami dès mon retour en France. Excitation modérée !

Quoi qu’il en soit, Nicolas s’en contentait des bouches d’Helen et Beth. Et il a visiblement apprécié, même s’il n’a pas été jusqu’à l’éjaculation, la faute à un promeneur qui passait par là. Nous sommes rentrés à l’appartement peu après. J’étais un peu perturbée par la demande de Peter et nous avons un peu discuté lui et moi. Il m’a dit que si je n’étais pas ouverte à ces pratiques, il n’insisterait plus. En fait, je n’étais pas encore ouverte. Il était prêt à me laisser le temps. Je l’ai embrassé pour le remercier. J’aurais voulu plus, mais Beth et lui devaient partir pour la soirée. Ils allaient voir un ami qui avait eu un petit accident et ils allaient rentrer tard.

Je préparais donc ma valise, seule dans la chambre de Beth quand Helen est venue m’y rejoindre. J’avais eu quelques bons contacts avec elle, surtout le soir puisqu’elle n’était pas dans la même promo que Beth et Peter. De ce fait, elle ne ferait pas le déplacement en France avec eux et elle était venue me dire au revoir. Si je décidais de ne pas revenir, il est fort probable que c’était la dernière fois que nous nous voyions. Elle m’appréciait beaucoup et elle aurait souhaité que nous restions en contact. Ce fut avec plaisir que je lui ai donné mes coordonnées. Et alors que je les lui écrivais, elle se dévoila un peu plus. Nous avions beaucoup de goûts similaires, même au niveau des garçons. You know, you’re lucky girl ! Je lui demandais pourquoi elle trouvait que j’étais chanceuse, elle me répondit que c’était vis-à-vis de Peter. Clairement, il était fou amoureux de moi. Elle marqua un temps avant de dire tristement. I’m jealous ! Je me suis étonnée.

Elle semblait former un beau couple avec Nicolas, un couple avec une ouverture d’esprit tout autre que la mienne ! En tout cas elle, elle semblait amoureuse. Sa réponse m’étonna. Nicolas is just a sex-toy. C’était un bon coup, certes, mais elle n’était pas réellement amoureuse de lui. J’en ai déduit qu’elle était profondément amoureuse de Peter, elle m’a confirmé. Le savait-il ? yes, but… Helen s’est mise à pleurer légèrement. Je l’ai invité à s’asseoir sur le lit et je l’ai prise dans mes bras pour la consoler. You’re wonderfull, Gaëlle ! Je lui ai demandé pourquoi un tel compliment. Elle répondit que j’étais jolie, intelligente et tellement gentille… même si elle le voulait, elle ne pourrait pas rivaliser. J’étais touchée par ces mots et j’avais la sensation que ma nouvelle amie aurait voulu que je l’aide. Alors je lui ai dit qu’elle aussi était très jolie avec ses longs cheveux d’un roux sombre presque brun. Que ses yeux pétillants étaient très envoûtants et que…

Helen m’arrêta en m’embrassant. Je restais sans voix. Je ne pense pas qu’elle avait une arrière-pensée en entrant dans ma chambre. D’ailleurs, sa réaction immédiatement après ce baiser en fut la preuve. Sorry ! Elle ne savait pas ce qui l’avait pris. Encore sous le coup de l’émotion et de ce baiser, j’ai simplement répondu. Ce n’est rien ! Je comprends.

Je profitais un peu de cette intimité pour en savoir un peu plus sur Peter. Il avait fait plusieurs allusions sur son expérience sexuelle et j’ai questionné adroitement Helen pour savoir s’ils avaient déjà eu une aventure. Elle m’a répondu que Peter l’avait toujours considérée comme une petite sur et qu’elle aurait bien aimé, même une fois rapidement, mais ça n’est jamais arrivé. Peter a toujours refusé même s’il y a eu quelques moments d’intimités entre eux. J’ai cherché à en savoir un peu plus. C’était juste quelques mains baladeuses et quelques baisers après une soirée bien arrosée. Alors je lui ai demandé si elle avait déjà été amoureuse de quelqu’un d’autre. Yes… a girl… Une fille merveilleuse, intelligente et tellement Jolie ! Lui avait-elle dit qu’elle l’aimait ? Helen tenta de m’expliquer qu’elle n’avait pas réussi à lui dire. Elle ne savait même pas si elle serait ouverte à une telle proposition.

Elle l’avait néanmoins embrassée, la mystérieuse jeune femme n’avait pas réagi comme Helen l’attendait. Parlait-elle de moi ? J’avais un sérieux doute. Alors pour savoir, j’ai continué, indiquant à Helen que, peut-être, elle n’avait pas eu de réaction parce qu’elle avait été surprise. La réponse confirma mes doutes. I think no. She has a boyfriend… and a lover ! Pour seule réaction, j’ai précisé que selon moi, elle devrait retenter sa chance avant qu’il ne soit trop tard.

C’était certain maintenant, elle parlait de moi et j’essayais de lui faire comprendre que je ne la repousserais pas si elle voulait aller jusqu’au bout de ses envies. Quelques jours auparavant, j’aurais certainement éconduit violemment la pauvre Helen. Mais j’avais décidé de vivre pleinement ma sexualité, au moins jusqu’à mon retour en France. Je n’aurais peut-être plus l’occasion de tenter l’expérience et encore moi avec elle. Ce sera une sorte de cadeau d’adieu pour mon amie Helen au cas où on ne se reverrait pas. Nos visages se rapprochaient doucement alors que nous continuions notre discussion. Je lui ai dit que je n’avais eu qu’un seul véritable petit ami et qu’avant que je succombe aux charmes de Peter, je n’avais jamais eu d’autres relations sexuelles. Elle fut un peu étonnée. Elle me parla un peu de ses expériences. Elle avait eu 5 ou 6 petits amis, mais elle était beaucoup plus attirée par les aventures d’un soir.

Mais je voulais voir si, comme moi, elle était novice en matière d’homosexualité. La gorge sèche, je sais ouvertement la question. And… with girls ? Il y avait eu quelques tentatives. La première fois avec Beth, puis avec d’autres filles. Des baisers, des caresses, jamais plus. Quand elle m’avoua sa nervosité, je lui ai demandé pourquoi elle était nerveuse, il n’y avait aucune raison. Nos visages étaient tellement proches que nos lèvres s’effleuraient. I’m nervous because I wish experiment that with you ! Je ne saurais dire laquelle des deux a embrassé l’autre, mais ce fut un doux baiser qui marquait, pour moi, le début d’une nouvelle expérience.

J’ai passé ma main sur sa joue dès que nos langues commencèrent à jouer ensemble. Elle posa sa main sur la mienne et notre baiser se fit plus profond. Puis, alors que sa main glissa le long de mon bras, la mienne passa dans ses cheveux et dégagea son épaule. Helen embrassait vraiment bien et notre baiser était de plus en plus doux, de plus en plus sensuel, alors j’ai passé ma main dans son cou alors que je sentais les premières caresses sur ma poitrine. Notre doux baiser s’est arrêté et nous nous sommes regardées quelques instants. Helen avait cessé ses caresses et je voyais beaucoup de timidité dans ses yeux. De mon côté, je m’étonnais d’avoir autant envie d’elle, une jolie jeune femme. Alors j’ai commencé à la caresser du cou jusqu’à l’arrière de l’épaule, espérant qu’Helen veuille continuer au-delà de ce tendre baiser. Nos visages se sont rapprochés, nos nez se sont effleurés et nous avons recommencé à nous embrasser.

Un baiser beaucoup plus passionné duquel s’échappaient quelques gémissements.

Helen prit ma main qu’elle descendit sur sa poitrine. Aussi tétanisée que moi, elle attendait que je prenne l’initiative. Alors, après l’avoir caressée de son épaule à son sein, j’ai entrepris de lui retirer son top, elle m’y aida. Elle n’avait pas de soutien-gorge, comme j’avais cru le percevoir aux prémices de nos caresses. Notre baiser a repris et mes caresses également. Que sa menue poitrine était douce ! Durant notre baiser, Helen me caressa timidement les cuisses, commençant à faire remonter ma robe. J’entamais un mouvement de bassin pour l’y aider. Elle s’arrêta pourtant, et posa sa main sur ma nuque pour appuyer un peu notre baiser. Doux, agréable, apaisant.

J’ai posé à nouveau ma main sur sa poitrine que j’ai recommencé à caresser, de même que son ventre et ses hanches. Jusqu’à ce qu’Helen recommence à relever ma robe. Elle s’arrêta à ma taille, découvrant mon tanga qu’elle avait trouvé si joli plus tôt dans l’après-midi. Elle déboucla tant bien que mal ma ceinture pendant que nous échangions quelques baisers et caresses. Je ne pouvais que constater qu’elle avait un corps parfait. Je la laissais remonter à robe en me caressant, l’aidant simplement à passer la tête. Elle ne dit rien en posant sa main moitié sur mon soutien-gorge moitié sur ma peau, mais j’ai vu à son sourire qu’elle était heureuse que je porte encore cet ensemble.

Nous avons recommencé à nous embrasser. Notre timidité initiale s’était estompée et je caressais à nouveau le corps d’Helen alors qu’elle passait sa main dans mon tanga. J’ai frissonné quand elle effleura ma toison. J’aurais voulu qu’elle continue, mais elle remonta sa main à ma poitrine. Alors doucement, j’ai commencé à l’allonger sur le lit pendant qu’elle m’attirait plus ou moins sur elle. Je sentais son envie dans nos baisers et elle devait sentir le mien.

Tout s’est accéléré une fois allongées. J’ai caressé sa cuisse qu’elle a relevée et, sur son autre cuisse, j’ai commencé à frotter mon tanga. Dans le même temps, elle ondulait légèrement pour se frotter à mon genou. C’était très excitant. Surtout quand elle passa ses mains sur mes fesses pour coller nos deux corps. Amplifiant nos mouvements respectifs, nous avons recommencé nos doux baisers alors que nos fortes respirations commençaient à se transformer en gémissements. En moi, je me disais Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ! En fait, je ne faisais que prendre le plaisir qu’Helen m’offrait.

Il n’a pas fallu longtemps pour qu’Helen dégrafe mon soutien-gorge et en fasse glisser les bretelles sur mes épaules. Je m’en suis débarrassée en savourant la douceur de sa poitrine contre la mienne. J’aimais nos baisers, j’aimais nos caresses, j’aimais nos jeux de langue… c’est sans doute pour cela que je n’ai pas été prise de panique quand Helen commença à faire glisser mon tanga jusqu’à la moitié de mes fesses. Bien au contraire. J’ai même pris l’initiative d’embrasser ses seins, ouvrant l’accès par la même occasion aux caresses d’Helen à mon entrejambe. Elle en a profité pour baisser mon tanga jusqu’en bas de mes fesses. Quand je repris position pour l’embrasser à nouveau à pleine bouche, nous avons repris nos délicieux mouvements. Helen me caressait le dos et les fesses avec délice et douceurs alors que je sentais mon intimité appuyer contre la sienne. Mais j’en voulais encore plus.

Alors, tout en continuant de frotter mon intimité sur sa cuisse, j’ai passé ma main sur la culotte d’Helen. Le tissu était gorgé de son excitation et je ne tardais pas à passer ma main dessous. C’était la première fois que je touchais le sexe d’une autre femme et c’était particulièrement excitant. Helen gémit un peu plus fortement quand j’ai commencé à la masturber. Elle passa sa main sur ma joue et nous nous sommes embrassées à nouveau. Tout était bon ! Sa cuisse qui frottait mon intimité, ma main qui masturbait ma partenaire, le contact de nos poitrines, nos langues qui jouaient ensemble, les gémissements d’Helen qui se mélangeaient aux miens…

Helen posa sa main sur la mienne et, penchant la tête en arrière, elle gémit intensément en imprimant le rythme de la masturbation. Je reconnaissais ses réactions et je la sentais proche de l’extase. J’avais son sein droit dans la bouche que j’ai senti le corps de ma partenaire vibrer sous son début d’orgasme. Elle écarta grand les jambes et agrippa fortement le dessus du lit. Le baiser qui suivit n’en fut que plus doux. J’ai continué ma masturbation jusqu’à ce qu’Helen succombe à l’appel du plaisir qui raisonnait dans notre baiser.

Alors qu’elle reprenait son souffle, Helen termina de retirer mon tanga. Elle me mit sur le dos en m’embrassant délicatement les seins avant de glisser ses jambes enter les miennes. Elle s’attarda un peu sur ma poitrine puis m’embraser à nouveau. Le cur battant, j’ai savouré qu’elle passe et repasse ses seins sur miens. J’en profitais pour lui caresser le ventre puis la culotte avant qu’elle ne m’embrasse à nouveau les seins. Passionnément, agréablement, elle les prenait dans sa bouche, jouant de sa langue sur leur pointe… c’était véritablement délicieux. Alors je me suis mise à lui caresser le dos. Totalement en phase avec mes envies, elle n’en a pas fait trop et elle m’embrassa à nouveau dans le cou en appuyant ses seins contre les miens. Sa main parcourut mon corps jusqu’ à mon intimité qu’elle caressa un instant avant d’aller y déposer une bise qui me fit frissonner. Elle me fit écarter les cuisses et, après m’avoir regardée comme pour obtenir mon approbation.

Je lui ai souri alors qu’elle me caressait doucement et elle plongea sa tête pour me donner ses premiers coups de langue. Elle savait exactement ce qu’il fallait, comment il fallait le faire et quand il fallait le faire. C’était merveilleusement bon et je ne tardais pas à gémir fortement, mon approbation en ondulant machinalement du bassin. Tout en continuant ses délicieux coups de langue, Helen remonta ses mains de mes hanches à mes seins et les titilla agréablement. J’étais réceptive à toutes ses caresses et je ne tardais pas à sentir le plaisir naître au creux de mes reins et ses premières ondes parcourir mon corps. Je soufflais son prénom pour qu’elle continue, ce qu’elle fit le plus agréablement du monde. Oh, it’s so good ! J’étais proche de l’orgasme que j’étais prête à accueillir. Helen le sentait et je pouvais voir la satisfaction dans ses yeux.

Elle s’arrêta juste avant que j’explose et m’embrassa les cuisses avant de descendre jusqu’à mes chevilles dans une série de baisers agréables. Quand elle remonta, je l’ai attirée à moi pour l’embrasser langoureusement.

Excitée comme jamais, je commençais à retirer la culotte d’Helen en la mettant sur dos. Allongée à côté d’elle, je n’ai pas tardé à plonger ma tête entre ses cuisses pour la remercier pendant qu’elle caressait mon intimité mouillée du plaisir qu’elle avait provoqué en moi. Je n’étais pas très sûre de moi, mais les premiers gémissements de ma partenaire m’encouragèrent à continuer mes coups de langue. Je titillais son clitoris comme j’aimais qu’on me le fasse pendant qu’elle effleurait le mien du bout des doigts, me donnant le rythme qu’elle aimait. Je sentais son plaisir monter et c’était particulièrement agréable. La main de mon amie remonta de mon intimité, à mes fesses puis à mes hanches. Peu de temps après, elle passa sa main dans mes cheveux dans un long soupir agréable. Je l’ai amenée doucement, mais sûrement à l’orgasme. J’ai senti qu’elle en était très proche quand elle remua le bassin pour amplifier ma caresse buccale.

Helen explosa d’un cri silencieux, appuyant ma tête un peu plus contre elle. J’ai continué après son orgasme. Elle agrippait les draps avec ses mains alors que je me suis mise dans une meilleure position, pouvant ainsi me saisir de ses cuisses pour appuyer un peu plus ma caresse. Son second orgasme fut plus bruyant que le précédent. Alors, les yeux encore embués de plaisir, Helen m’attira à elle pour m’embrasser. Un baiser doux et langoureux durant lequel elle m’invita à venir sur elle pour, pensais-je, savourer la fin de notre délicieuse aventure. Mes seins contre ses seins, nos jambes entrelacées, notre complicité était totale.

Mais Helen commença à remuer du bassin et j’ai senti son intimité frotter contre la mienne. Quelle sensation exquise ! Alors j’ai, moi aussi, entamé un mouvement pour amplifier ce plaisir partagé. Helen me caressait les fesses pendant que je passais ma main dans ses cheveux. Notre baiser était de plus en plus profond et je nous sentais frémir à l’unisson. Quand je me suis légèrement relevée, nos poitrines s’effleurèrent agréable et nous avons amplifié encore un peu plus nos mouvements synchronisés. J’avais envie de jouir de la sorte en même temps qu’elle et je sentais que ma partenaire en avait également très envie. C’est assez compliqué pour moi de décrire exactement ce que je ressens lors d’un orgasme profond. Là, la description est carrément impossible tant l’intensité et la complicité de notre plaisir étaient grandes. Plus rien d’autre ne comptait, plus rien d’autre n’existait… plus rien d’autre que ce plaisir grandiose qui nous rendait simultanément liquides.

A chaque onde de plaisir, je sentais un jet de cyprine s’échapper de moi, telle une éjaculation, tout comme je sentais ceux d’Helen. Et ces éjaculations renforçaient encore notre plaisir. J’en ai eu le souffle coupé. Ai-je crié ? Helen a-t-elle crié ? Je ne saurais le dire. Ce que je me souviens en revanche, c’est qu’Helen s’est cabrée, appuyant nos sexes ouverts encore plus fort l’un contre l’autre. Grandiose !

J’étais encore prise de tremblement, quand, des larmes dans la voix, j’ai dit à mon amante à quel point elle resterait dans mon cur tant ma première expérience fut extraordinaire. Les yeux dans le vague, elle me répondit à peine. Comme moi, elle avait beaucoup de difficulté à redescendre de son nuage. Nous étions bien l’une dans les bras de l’autre et c’était tout ce qui comptait.

Je fus la première à me lever et à me rhabiller. J’étais déjà ressortie de la chambre qu’Helen était toujours allongée nue sur mon lit. Elle avait besoin de plus de temps que moi. A moins que ça ne soit la gêne qui m’ait poussée à me lever. Quoi qu’il en soit, je lui laissais le temps. Nicolas était assis dans le canapé, un livre à la main. Il leva les yeux dans ma direction. Alors ? C’était comment ? Avions-nous été si bruyantes que cela ou était-ce une simple boutade ? J’aurais donné cher pour vous voir toutes les deux. Non, ce n’était pas une boutade, il savait. J’ai bredouillé un semblant d’explication à dormir debout, il n’insista pas. Quand Helen réapparut, elle était encore dans un état second. Elle arriva dans le salon en finissant de se rajuster. Raté pour la discrétion, si tant est qu’il faille encore une discrétion ! Elle embrassa Nicolas et nous sommes passés à table. Tout s’est déroulé calmement. Néanmoins, j’étais impatiente du retour de Peter.

J’avais envie de passer une dernière nuit avec lui avant mon retour en France. Je l’espérais torride !

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