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Une nuit au Cap d'Agde – Chapitre 1

Une nuit au Cap d'Agde - Chapitre 1



L’histoire se passe au Cap d’Agde, haut lieux des rencontres érotiques en Languedoc Roussillon.

Depuis plusieurs années, Laure, jolie femme de quarante ans, divorcée, passe ses vacances au camping du "Lac des Rêves".

Cette année, elle est accompagnée de Carole, sa fille de dix neuf ans, et de son fils Lucas, âgé de dix sept ans.

Les nuits sont faites de sorties, plus excitante les une que les autres. Carole et Lucas vont à des fêtes organisées sur la plage, pendant que Laure passe ses soirées entre amis, qui se termine souvent par un agréable bain de minuit. Là, dans l’eau, Laure s’adonne aux plaisir de la chair, fait le plein de coups de queues, mais aussi, n’hésite pas à se gouiner. Elle adore sentir des doigts de femme fouiller sa chatte, ou doigter son clito. Ses cris de plaisir se confondent aux clapotis des vagues.

Une nuit cependant, elle va vivre une expérience qu’elle était loin d’imaginer. Sa soirée a été plutôt calme, mise à part une petite gâterie à l’homme qui a tenu à l’accompagner, et à qui elle a taillé une pipe.

Elle regagne sa tente vers minuit, et sans bruit, se glisse dans son sac de couchage. Soudain, elle entend des soupirs provenant de l’autre coin chambre.

"Tiens, se dit-elle, les enfants sont déjà rentrés".

Elle pense d’abord à des soupirs comme on en a souvent dans le sommeil, mais ses soupirs se transforment en gémissements de plaisir. Elle allume sa lampe électrique, se penche, et écarte la cloison de tissu qui sépare les deux chambres.

Stupéfaite, elle ouvre grand les yeux. Ses deux enfants sont couchés, complètement nus. Non seulement Lucas bouffe les seins de sa soeur, mai Carole, jambes écartées, est en train de se faire doigter le clitoris par son propre frère. Carole n’est pas en reste. Elle branle lentement la bite en érection de son frère, entièrement décalottée, va jusqu’aux couilles qu’elle caresse. Elle se retourne, et aperçoit sa mère. Elle tend une main, et lui caresse tendrement les cheveux.

-Oh maman, murmure-t-elle, si tu savais…c’est bon ce qu’il fait à ma petite chatte….

Laure voit le majeur de son fils tourner sur le bouton humide de sa fille, et ne peut, même si la scène est immorale, ressentir une agréable sensation au creux de son ventre. Impuissante, elle assiste à la relation entre son fils et sa fille.

Impudique, Carole prend plaisir à se cambrer sous le regard devenu gourmand de sa mère. Elle sais t la bite de son frère, et l’a fait coulisser dans sa chatte pleine de mouille, en poussant un long soupir.

-Ah…salaud…t’as pas honte de faire ça à ta grande soeur…devant nôtre mère…tu veux l’exciter elle aussi….approche maman… viens participer….

Carole tire la tête de sa mère, et l’appuie sur son ventre, à vingt centimètres de sa chatte.

-Regarde la queue de ton fils comme elle est belle…Lucas…sors la que maman te la suce…tu veux bien maman…

Lucas sort sa bite, et l’approche du visage de sa mère. Prise dans ce tournis érotique, Laure enroule sa langue autour du gland, engloutit le zob au fond de sa bouche, et entame une lente fellation.

-C’est bon hein maman, sourit Carole, sucer une belle bite…même si c’est celle de ton fils…

-Hum…hum…souffle Laure.

-Fais une pause maman chérie..sors la et met la moi dans le cul…oh oui…maman…s’il te plaît…lèche moi le minou…vas-y…

Laure glisse sa tête entre les cuisse de sa fille et lui suce le clitoris, comme elle aime se faire sucer le sien. Carole se cambre sur le sac de couchage, tandis que Lucas poursuit ses violents va et vient dans ke petit trou de sa soeur.

-Han..han, râle-t-il…ces putes..elles vont me faire jouir…

-Non..non, ordonne Carole…retiens toi…garde tout pour maman…

-Quoi, s’exclame Laure, vous voulez jouer avec moi…c’est ça?

-Mais non maman, reprend la jeune fille, souviens toi quand on était bébé…tu nous donnais le biberon…hum..c’était bon…tu te souviens comme on était sage…on buvait tout, sans rechigner, jusqu’à la dernière goutte…aujourd’hui, c’est ton tour maman de prendre le biberon..et d’être sage, comme on l’était…de tout avaler…jusqu’à la dernière goutte…allez ouvre la bouche…sors la langue..

Carole saisit la queue de son frère, et l’approche à deux centimètres de la bouche de sa mère.

-Ah..ah..s’en est trop, gémit Lucas…j’en peux plus…s’il te plaît maman…

Les premiers jets de sperme gicle dans la gorge de Laure, puis, la pression s’atténuant, les dernières gouttes s’étalent sur sa langue. Pour finir, elle aspire la bite de son fils pour nettoyer les restes de semence. Elle a tout avaler.

-Bravo maman, se réjouit Carole, tu mérites une récompense…je vais bien te chatter pendant que Lucas sert à boire.

-Oh oui ma chérie, soupire Laure…touche comme ma chatte est mouillée…et mon clito…comme il est dur…

-Hum..petite polissonne…après, ton fils va bien te niquer…bien t’enculer…tu aimes ça aussi, hein…petite vicieuse…

Une fois désaltérée, Carole trouve une excuse pour aller se rafraîchir aux douches du camping, afin de laisser sa mère en tête à tête avec son frère.

-Que veux-tu maman, demande-t-il en lui caressant le corps.

-Ce que tu veux mon fils, j’ai surtout envie de me le faire mettre.

Lentement, Lucas caresse les superbes seins de sa mère, le ventre, puis glisse ses doigts sur sa chatte en feu.

-Tu es bien mouillée maman, tu veux que je te bouffe le minou…

-Oh oui salaud…lèche moi comme j’ai léché ta soeur…faisons un soixante neuf…je t’en prie…je veux te sucer moi aussi…

Quand Carole revient, elle entend les gémissements de plaisir de sa mère, mais reste en retrait. Il est évident qu’elle prend plaisir à entendre crier sa mère.

-Oh mon dieu…comme tu me niques mon fils…vas-y….baise maman…fais la jouir…hou..hou…

-Tu veux que je t’encule maman…ça me ferai tellement plaisir…

-Mais bien sur mon chérie…encule moi…défonce moi le cul…fais toi plaisir mon amour…crache dans le ventre de maman..

Toute la semaine, Laure va connaître les jeux érotiques les plus pervers, et ne s’en plaint pas. Il lui tarde de renter à la maison, pour poursuivre ses ébats érotiques dans un lit, et pouvoir hurler de plaisir sans retenu. Au moins jusqu’à la rentrée scolaire.

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