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Les actrices – Chapitre 7

Les actrices - Chapitre 7



Lorsque Coralie, Marianne et moi sommes sortis du Hammam, nous sommes directement allées nous doucher. J’en profitai pour poser mes questions habituelles sur l’origine de leur choix de carrière, bien que, ici, c’était surtout l’origine de leur partage des positions qui m’intriguait. J’appris ainsi que tout était parti d’une soirée arrosée, lorsqu’elles avouèrent à d’autres invités qu’elles s’échangeaient leurs conquêtes sans les tenir au courant, allant parfois jusqu’à les épuiser complètement. Lorsqu’une amie annonça en plaisantant que ce stratagème serait pratique pour faire durer les scènes de film X, l’idée fit son chemin et le lendemain elles franchissaient le pas. Quant à leur manège, tout a commencé avec le mécène qui leur a financé leur fausse poitrine qui, lors des nuits d’amour qu’il a exigé en échange, avait trouvé amusant de séparer les pratiques. Apparemment, elles aussi ont trouvé cela suffisamment amusant pour l’avoir gardé.

La douche finie, les deux surs se sont rhabillées sommairement (un bikini et un minishort), m’ont simultanément embrassé chacune sur une joue et donné chacune une tape sur une fesse, et sont sorties. Une fois seul, le renfilai mon boxer et je retournai vers le local technique afin de vérifier si tout c’était bien remis en route et noter les différents paramètres. Par la fenêtre, je voyais tout mon petit monde profiter de la douce chaleur de cette fin d’après-midi. En ressortant, j’entendis un bruit caractéristique de l’autre côté de la cloison séparant la piscine du bloc "thalassothérapie", signalant le début d’un tournage. Afin de ne pas les déranger, je pris mes affaires et je me suis dirigé vers la porte de secours, située près du bain à remous.

— Houaaa, sexy le plombier !!!

Je sursautai et me retournai en entendant quelqu’un parler derrière moi, et découvris une Chloé fière de son effet, totalement nue, les cheveux remontés en chignon et dans l’eau du spa jusqu’au cou. Sans trop savoir pourquoi, je déposai mon barda au sol et commençai à prendre des poses de bodybuilder devant la jolie rousse, provoquant chez elle un fou rire si bruyant qu’un "Chut" désapprobateur se fit entendre. Un peu honteux, je stoppai mes gesticulations tandis que Chloé reprenait son souffle, avant de m’inviter à la rejoindre. Je retirai alors mon caleçon et me glissai dans l’eau à ses côtés.

— Alors, t’as pu baiser aujourd’hui malgré ton emploi du temps? me demanda-t-elle l’air bien intéressé

— Oui, Coralie et Marianne dans le Hammam. Un de leur fantasme m’ont elle dit

— Elles ont dû apprécier, depuis le temps qu’elles en parlent. A mon avis t’auras aussi droit au sauna. T’as réalisé combien de phantasme à présent?

— Cinq, voire six : Samia, Déborah, Coralie, Marianne et Jade, même si pour elle j’ai un poil triché en profitant de son sommeil. Pour Mélanie, elle rêvait de jouir deux fois en une sodomie mais de là à parler de phantasme

— En effet, son vrai rêve c’est dans une cabine d’essayage un jour d’affluence. Pour Bouchra, c’est dans une salle de classe, et pour Julie, toujours dans l’optique de, je la cite, "faire chier ses bourgeois de darons", c’est une sodomie sur l’autel d’une église. Quant à Nicole, elle en parle peu car elle préfère que ce soit Séb qui comble ses désirs.

— Oh purée, ça va pas être facile! Mais il en manque une : toi. Tu n’as pas de désirs secrets?

— Je suis trop décomplexée pour ça. Je profite de chaque instant. Si quelques choses me tentent, j’essaie de le réaliser ou je passe à autre chose.

— Et dans un spa, ça te tente?

Pour toute réponse, Chloé me souris, se pencha vers moi, posa sa main sur ma jambe et remonta lentement, tout en me mordillant délicatement le lobe de l’oreille. De mon côté, je passai une main dans son dos pour lui caresser les reins tandis que, de l’autre, je m’aventurai vers son entrejambe. A ce rythme, l’érection ne se fit pas attendre, et lorsque sa main arriva sur le haut de ma cuisse, elle empoigna mon sexe et commença à me branler lentement. De sa main libre, elle me caressait le torse tandis que les mordillements avaient cédés la place à de langoureux baisers dans la nuque. Pendant ce temps, je lui introduisis deux doigts dans le vagin, et j’entrepris de la masturber du mieux possible, tout en lui rendant ses baisers et en lui titillant la raie des fesses. Au bout de seulement deux trois minutes, Chloé connu un premier orgasme qu’elle manifesta par un long et langoureux soupir, grandement aidé il est vrai par le mouvement des bulles du spa sur son clito.

Une fois remise, Chloé attrapa mes mains et vint les placer sur ses seins, avant de s’asseoir à califourchon sur mes cuisses et de venir s’empaler sur ma verge. Placée face à moi, accrochée à mes épaules et mes mains caressant sa magnifique poitrine, elle commença à monter et descendre le long de mon braquemart, à un rythme lent mais avec de larges mouvements. Très vite, je quittai cette poitrine pourtant si accueillante pour venir serrer sa propriétaire contre moi, et ainsi pouvoir embrasser ses magnifiques globes et mordiller ses tétons. De plus, sans crier gare, je donnai de temps à autre de brefs coups de reins qui, à chaque fois, arrachaient un cri à ma partenaire. Profitant de chaque instant, et ne cherchant absolument pas à se retenir, la jolie rousse se laissa totalement aller, et pendant les dix bonnes minutes de cette chevauché, elle connut deux ou trois orgasmes. Le dernier fut si intense qu’elle me serra fortement dans ses bras, m’enfonçant la tête entre ses seins. C’était bien la première fois que je risquai l’asphyxie à cause d’une paire de loches mais curieusement, la sensation n’était pas désagréable.

Après avoir repris son souffle, Chloé quitta sa position et vint s’accouder au bord du spa, les genoux posés sur le fond du fait de la faible profondeur de l’ouvrage. Sans me faire prier, je vins me placer derrière elle et je présentai ma queue devant sa rondelle. Je m’y enfonçai lentement, fermement accroché à ses hanches, jusqu’à venir m’écraser contre ses fesses et commencer mes va-et-vient. Je pris alors un bon rythme, faisant jaillir l’eau du bain à chaque impact, pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Très vite je quittai ma prise pour venir empoigner ses seins, l’obligeant à se redresser un peu et à s’appuyer avec les mains sur la faïence. Dans cette position, les bulles du bain s’immisçaient dans les moindres interstices, me chatouillant les couilles et caressant les lèvres de Chloé. La sensation était très amusante, ce qui renforça encore l’excitation du moment. De ce fait, le premier orgasme anal ne se fit pas attendre, et la jolie rouquine eut toutes les peines du monde à retenir un profond râle de satisfaction.

Cette première jouissance n’interrompit pas nos ébats, et je continuai à marteler l’arrière train de ma partenaire. Je profitai également de ma position pour lui masser les globes et lui titiller les tétons, avant de m’allonger délicatement sur son dos pour pouvoir à mon tour lui embrasser la nuque et lui mordiller les oreilles. A intervalle régulier, une de mes mains quittait ses seins et venait la masturber, en introduisant un ou deux doigts dans son vagin. Excitée de toute part, Chloé s’abandonna totalement à son plaisir et à ses sensations, et connu six ou sept orgasmes pendant la dizaine de minutes que dura cette saillie. Pour elle comme pour moi, c’est à ce jour un record pour un rapport anal. Lorsque, n’en pouvant plus moi non plus, je lui annonçai que j’étais sur le point d’exploser, elle me repoussa doucement, me demanda de me lever de manière à faire sortir ma bite de l’eau, puis vint se placer juste devant afin de recevoir tout mon foutre en long jet sur le visage. La dernier giclée reçue, elle essuya ma verge avec sa langue avant de m’adresser un large sourire qui eut pour effet de faire tomber des gouttes de semence sur ses seins.

— Voilà, un "phantasme" assouvi de plus, me dit-elle tout en récupérant le sperme sur son visage avec ses doigts, avant de les lécher.

— A ton service à chaque nouvelle pulsion, très chère, lui répondis-je avec un clin d’il.

Nous sommes sortis du bain pour aller prendre une douche, avant de nous séparer. Je regardai l’heure : 18H30. En retournant chez moi pour déposer mes outils et me reposer un peu je réfléchissais à ce que m’avait appris Chloé. Une cabine d’essayage, une salle de classe et un autel. Le plus dur serait sans conteste l’autel, le curé ne m’ayant pas vraiment à la bonne. La salle de classe serait surement plus facile, surtout si le soupirail de la réserve du lycée n’avait toujours pas été réparé. Quant à la cabine d’essayage, je me triturais les méninges pour trouver un truc lorsque, en franchissant le seuil de ma maison, j’eus une illumination. Je me précipitai sur le téléphone, et une vingtaine de minutes plus tard, le stratagème était en place.

Ce soir-là, je suis retourné vers 21H30 au gîte, et je me suis dirigé directement vers la chambre de Bouchra, la dernière actrice avec qui je n’avais pas encore couché. Bouchra était la deuxième maghrébine de la troupe, une très jolie jeune femme d’environs 1,60 mètre, dotée d’un 85E des plus magnifiques du fait de sa petite stature, et d’une longue chevelure noir charbon partiellement tressée habituellement ramenée sur l’épaule droite. Elle avait un énorme phnix tatoué sur le dos, dont les ailes couvraient ses épaules et dont les plumes de la queue se terminaient sur les fesses.

En arrivant devant la porte, je trouvai celle-ci mal fermée. Je glissai silencieusement ma tête à l’intérieur pour découvrir un spectacle des plus ravissants. Bouchra était nue, à plat ventre sur le lit et dos à la porte, accoudée afin de lire une revue et avec un casque sur les oreilles. Je restai quelques instants à profiter de cette vue sur son magnifique postérieur et sur ses épaules décorées, jusqu’à ce que je me rende compte d’une part qu’elle ne m’avait pas entendu, et d’autre part que les effets sur moi de cette vision se faisaient déjà sentir. Je suis alors rentré silencieusement, ai refermé la porte avant de me mettre totalement à poil, le braquemart au garde à vous. Avisant la trousse de toilette de Bouchra à portée de main, je pris à tout hasard le lubrifiant et je m’approchai en silence du lit.

Arrivé près des jambes de la jolie brune, je posai mes mains sur ses cuisses, déclenchant un frisson de surprise et de plaisir mélangés, avant de redresser la tête. Cependant, elle ne se retourna pas, et je me mis alors à lui caresser les jambes, les fesses et le bas du dos. Je continuai à m’avancer, jusqu’à venir m’asseoir à califourchon sur ses jambes, ma queue posée entre ses fesses. Dans cette position, je m’allongeai de tout mon long sur elle, me faisant plus insistant sur les massages et lui embrassant la nuque, la faisant frissonner de plus belle. Prenant bien soin de ne pas l’écraser sous mon poids, cette séance de massage semblait être tout à fait à son goût.

Afin de m’assurer que le but de la manuvre était atteint, je glissai une main sous ses hanches, et je pus constater que mon massage l’avait copieusement fait mouiller. Guidant alors ma verge, je me plantai facilement dans ses entrailles, et tandis que je commençai à la pomper en profondeur, je profitai de ma main sous ses hanches pour lui titiller le clito en même temps. Les effets de la combinaison des deux mouvements ne se firent pas attendre et Bouchra commença à haleter en rythme, jusqu’à crisper ses doigts sur le drap au bout de quelques minutes, sous l’effet d’un orgasme.

— Putain c’est bonnnnn, mais vas-y plus fort je suis pas en verre, bordel !!!!

En voyant le phnix dans son dos, j’aurais dû me douter que ce choix n’était pas anodin, Bouchra ayant un tempérament de feu. Je m’exécutai donc, et à chaque mouvement je retombai assez lourdement sur les fesses de ma partenaire. A chaque fois, elle s’enfonçait dans le lit mais surtout la pénétration était bien plus profonde. Cela semblait combler totalement la jeune femme, qui accompagnai chacun de mes coups de rein d’un râle intense, et de temps en temps d’un "oh oui, c’est bon, plus fort vas-y". Ainsi pilonnée, elle connut deux ou trois autres orgasmes, tous accompagnés de mains crispées sur la literie, en y ajoutant la mâchoire pour le dernier.

Afin de soulager un peu la demoiselle, je me mis à califourchon sur ses cuisses, sans pour autant cesser mes allers-retours. Saisissant le tube de lubrifiant, je commençai à en étaler sur sa rondelle lorsque je me rendis compte qu’elle était déjà partiellement ouverte. Bouchra m’avoua alors qu’elle avait tourné trois scènes dans l’après-midi dont deux purement anales et qu’un de ses partenaires était très bien monté. Je repris alors, après changement d’orifice, ma position et mes mouvements, d’abord lentement puis de plus en plus percutant. La jolie brune se remit à haleter en rythme, mais même si elle semblait apprécier la situation, elle ne prenait apparemment pas plus de plaisir que ça. Je commençais à me demander si j’avais bien fait d’imiter les mouvements vaginaux maintenant que je lui percutais l’anus lorsque soudain, sans crier gare, elle se raidit complètement, manquant d’arracher les draps, se mit à crier "Oh putain OUIIIIIIIII", et eut ainsi un orgasme anal si intense que je ne pus me retenir et je me répandis en longues saccades au fond de son cul.

Une fois terminé, je me retirai, contemplant l’orifice débordant de foutre. Encore aujourd’hui, je ne m’explique pas comment j’ai pu en envoyer autant sachant que c’était ma quatrième partie de jambe en l’air de la journée. Je regardai l’heure discrètement, ça avait duré à peine plus de dix minutes, j’avais rarement fait aussi peu.

— Je suis désolé, balbutiai-je, je n’ai pas pu me retenir

— C’est pas grave, me répondit-elle en tournant un visage radieux vers moi, c’était génial. Je me suis fait défoncer le fion toute l’après-midi sans prendre mon pied, ça me pendait au nez. T’en fais pas j’ai rarement joui aussi fort dans une sodo.

Le visage souriant de la jeune femme me réconfortait un peu mais tout de même, je l’avais rempli comme une outre sans lui demander son avis, je n’étais pas fier. Aussi me suis-je juré de me rattraper lorsqu’on fera l’amour dans une salle de classe. Une fois remise, Bouchra se dirigea vers la salle de bain, où je la rejoignis afin de me faire pardonner en lui prodiguant un cunnilingus qu’elle sembla tout particulièrement apprécier. Bien fatigués de nos journées respectives, nous nous sommes ensuite couchés avant de nous endormir comme des masses.

Je me réveillai en sursaut et en sueur au milieu de la nuit. Les premières chaleurs de l’été me provoquaient souvent ce genre de réaction. Il était 4H du matin et pas un bruit dans le gîte, Bouchra dormant paisiblement totalement nue près de moi. Ce cul était très tentant mais il était encore tôt et elle avait bien besoin de dormir. Ayant toujours soif lorsque je me réveille en pleine nuit, je me levai, enfilai un caleçon et me dirigeai vers la cuisine. En arrivant au rez-de-chaussée, je remarquai une jeune femme nue appuyée sur le rebord de la fenêtre, contemplant le paysage nocturne éclairé par la lune. En m’approchant, ce fut avec une grande joie que je remarquai qu’il s’agissait de Mélanie. Oubliant ma soif je vins me placer derrière elle, l’enlaçant tendrement et lui embrassant la nuque, contemplant moi aussi ce paysage que pourtant je connaissais par cur. Nous sommes restés ainsi quelques instants comme deux amoureux, profitant du moment pour lui décrire les lieux et lui faire une petite visite virtuelle.

Lorsque j’abordai l’existence de la petite plage toute proche, elle me regarda d’un sourire malicieux et me demanda si c’était bien là que j’avais partouzé avec Samia et Déborah. Ayant répondu oui elle me proposa de recommencer avec elle ce que je m’empressai d’accepter. Je retournai donc vers les chambres pour récupérer chaussures, nuisettes, lubrifiant et couvertures et nous voilà partis. Arrivés sur place, quelle ne fut pas notre déception de trouver la place occupée. En effet, un couple allongé au sol était enlacé et s’embrassait fougueusement. Comme quoi, Gilles et moi n’étions pas les seuls à avoir voulu amener nos conquêtes ici. Mais à la seconde où je me fis cette réflexion, je reconnus l’homme au sol, qui n’était autre que Gilles, précisément. Il était revenu de vacance la veille et, surement en plein décalage horaire – il revenait de la Martinique – était venu se balader de nuit. Et comme je soupçonnais ce zigoto d’espérer surprendre ces demoiselles au réveille, il était venu près du gîte.

Je me tournai vers Mélanie pour lui faire part de ma découverte lorsque je remarquai son air ébahi. Elle, elle venait de reconnaitre la jeune femme : Jade! Ben ils n’avaient pas perdu de temps ces deux-là, déjà en train de baiser. Ceci dit, Gilles étant un grand passionné de natation, ils avaient un énorme point commun. Tout à notre surprise, nous n’avons pas vraiment essayé d’être discrets, et les deux amants nous ont entendus. Gilles s’est alors redressé, vêtu seulement d’un boxer, suivi de Jade, totalement nue. En me reconnaissant, Gilles se sentit comme un enfant surpris le doigt dans un pot de confiture, sauf que lui, ce n’était pas de la confiture qu’il devait avoir sur les doigts.

— Ah Euh salut, bredouilla-t-il, essayant de dissimuler une érection que son boxer ne cachait presque pas. Je passais dans le coin et

— Te fatigue pas, Grand, lui répondis-je en me retenant difficilement de rire. On est venu pour la même chose je crois.

— Oh oui, faisons-le ensemble! s’extasia soudainement Jade et cherchant l’approbation de Mélanie

Pour toute réponse, cette dernière pris les couvertures sur mes épaules, les étala avec l’aide de Jade au pied d’un grand chêne, retira sa nuisette qu’elle envoya valser, dévoilant ainsi son corps de déesse, et vint me prendre par la main, imitée par Jade qui fit de même avec Gilles. Un fois sur les couvertures, elles nous aidèrent à retirer nos sous-vêtements, nous demandèrent de nous allonger sur le dos, avant de se placer à genou près de nous et de commencer à nous sucer. Parfaitement synchrone, les deux bouches montaient et descendaient sur nos verges, provoquant chez moi un bien être que je connaissais déjà mais que j’appréciais toujours autant. Gilles, lui, faisait la connaissance avec les talents de pompeuse de Jade, qui n’était pas la moins douée de ses consurs. A l’expression de son visage je devinai tout le plaisir qu’il ressentait, ayant éprouvé la même chose à maintes reprises et encore actuellement.

Au bout de quelques minutes, j’invitai ma partenaire à se mettre sur le côté, avant de me placer en cuillère derrière elle, dos à Gilles et Jade. Au vue de l’excitation de ma partenaire, je n’eus aucunes difficultés à la pénétrer, commençant mes allers-retours sans tarder, tout en lui caressant les seins et en lui mordillant la nuque. Mes mouvements étaient profonds mais tendres, et je prenais la mesure de mon changement de comportement avec Mélanie. Dimanche soir, même sans avoir été trop brutal, j’avais baisé une actrice porno. Cette nuit, je faisais l’amour à une jeune femme pour qui j’éprouvais de plus en plus de sentiments. Heureusement, quelle que soit la méthode, la jolie brune était toujours aussi réceptive, et se mit très vite à haleter au rythme de mes pénétrations. Une de ses mains caressait frénétiquement ma cuisse, tandis que, de la deuxième, elle se masturbait le clitoris. A ce rythme, elle connut très vite un premier orgasme, suivi de deux ou trois supplémentaires pendant la dizaine de minutes que dura ce coït.

Au bout d’une dizaine de minutes, je me retirai de ma partenaire, je l’aidai à se relever pour l’emmener contre le tronc de l’arbre près duquel nous étions. Au passage, je remarquais que Jade et Gilles avaient eux aussi changé de position, la jeune asiatique chevauchant fougueusement son amant qui, régulièrement lui donnait de vigoureux coups de rein, lui arrachant à chaque fois un cri de plaisir. Je voyais ses seins balloter de haut en bas, ce qui provoqua chez moi un surplus d’excitation, avant de la voir le souffle coupé, toujours signe de jouissance chez elle. Cette scène fut également très excitante pour Mélanie, car elle accéléra le pas, vint se placer face à l’arbre et m’ordonna de la prendre vigoureusement. Sans me faire prier d’avantage, je la pénétrai vite fait, et commençai de puissants va-et-vient, venant claquer mes cuisses contre ses fesses, lui arrachant un cri de plaisir à chaque impact et faisant balloter ses seins à son tour. Une main sur l’épaule, l’autre sur la hanche, je m’efforçai à chaque mouvement de venir percuter le fond de son vagin, pour le plus grand plaisir de la jeune femme qu’elle manifesta par une jouissance bruyante.

Soudainement, une masse sembla se glisser sur notre droite. Je vis alors Jade venir se placer à côté de Mélanie, dans la même position, tandis que Gilles commençais à lui pénétrer la chatte. Passé le premier effet de surprise, je repris très vite mes mouvements, tandis que Gilles se synchronisa sans trop le faire exprès sur moi. En cadence, nous percutions vigoureusement l’arrière-train de ses demoiselles, agrémentant régulièrement le mouvement d’une petite fessée érotique. De leur côté, les jeunes femmes se mirent à haleter de concert, s’échangeant régulièrement de langoureux baisers, poussant le synchronisme jusqu’à jouir simultanément, assez bruyamment toutes les deux. Ce manège dura un bon moment, suffisamment longtemps pour que cette double jouissance se répète deux ou trois fois, chaque nouvel orgasme étant plus intense que le précédent.

Afin de marquer une courte pause, je demandai discrètement à Mélanie, entre deux claquages de cuisses, si elle souhaitait se faire prendre par deux hommes à la fois, ce à quoi elle répondit par un sourire et un signe de tête. Je sortis alors de ses entrailles, fis signe à Gilles de me rejoindre, avant de lui demander de s’allonger dos au sol au pied de l’arbre. Visiblement intrigué, il s’exécuta malgré tout et, une fois en place, eut la délicate surprise de voir Mélanie le chevaucher. Pendant ce temps, Jade fut plus rapide que moi et commença à étaler du lubrifiant sur la rondelle de son amie. Ainsi, je pus, à genou derrière la jolie brune, lui enfoncer mon braquemart entre les fesses sans aucunes difficultés. Ainsi prise en double, Mélanie trouva vite un bon rythme pour accueillir simultanément nos deux verges et ainsi profiter pleinement des deux orifices comblés. Très vite cependant, le troisième orifice fut sollicité à son tour, Jade se plaçant, adossée à l’arbre, au-dessus de Gilles juste devant Mélanie, se débrouillant pour que cette dernière puisse lui prodiguer un cunni.

Ainsi prise de toute part, Mélanie trouva une bonne position et ce plan à quatre put commencer.

De mon point de vue, je voyais très bien le visage de Jade irradier de bonheur, sous les coups de langues de Mélanie. Accrochée à ses hanches dans une position acrobatique, cette dernière explorait méthodiquement les entrailles de son amie, et si j’en jugeais par l’expression de profonde extase de la belle orientale, elle devait être aussi divine pour brouter du minou que pour pomper de la verge. Très vite, Jade connut la première d’une série de jouissance, qui s’enchainèrent alors les unes derrières les autres, Mélanie la laissant reprendre on souffle entre deux. De mon côté, je m’efforçai à chaque mouvement d’aller le plus profondément possible dans les entrailles de ma partenaire, tandis que Gilles lui ramonait tendrement le vagin. De temps en temps, il donnait un petit coup de bassin qui provoquait un sursaut de la jeune femme, dont je profitai pour aller un peu plus profond. A chaque fois, Mélanie manifestait son plaisir par un cri étouffé, jusqu’à ce que celui-ci se transforme en une longue plainte de jouissance, qui sembla durer une éternité.

L’orgasme que la jeune femme venait de vivre avait dû être particulièrement intense, car suite à ça, elle eut beaucoup de mal à maintenir la position instable dans laquelle elle se trouvait. Aussi, pour la soulager, je proposai aux deux jeunes femmes d’échanger leur place ce que tout le monde accepta. Mélanie, chancelante sur ses jambes, s’adossa à l’arbre tandis que Jade vint se planter sur le dard de Gilles et que j’honorai sa rondelle. Lorsqu’elle commença à explorer le vagin de son amie avec sa langue, le manège pu reprendre mais pas vraiment au même rythme. En effet, sans trop savoir pourquoi, les coups de bassin de Gilles se firent de plus en plus nombreux, tandis que je donnais des coups de rein bien plus percutant. A chaque impact, la belle asiatique bondissait vers l’avant, faisant entrer sa langue un peu plus profondément dans les entrailles de Mélanie, pour le plus grand bonheur de celle-ci. Pendant plusieurs minutes, les orgasmes s’enchainaient, de plus en plus intenses, menaçant à chaque fois de la faire flancher sur ses jambes.

De mon côté, me sentant venir, je me demandai comment résister encore un peu lorsque Jade explosa dans un double orgasme dévastateur qui eut raison de nos dernières forces, aussi bien pour moi que pour Gilles. Nous nous sommes alors vidés en elle, lui remplissant simultanément anus et vagin. Au même moment, Mélanie connu un énième orgasme, nous donnant ainsi l’occasion de connaître à tous les quatre notre première quadruple jouissance simultanée.

Une fois terminé, je me suis relevé afin de laisser Jade rouler sur le côté, se dégageant du sexe de Gilles. Je voyais notre semences s’écoulait de ses orifices, tandis qu’elle reprenait son souffle. Je me suis rapproché de Mélanie, littéralement affalée sur l’arbre, ses jambes ne la soutenant plus du tout. Je la soutins du mieux que je pus, profitant de l’avoir enlacée pour échanger de tendres baisers avec elle. De leur côté, Gilles et Jade n’étaient pas en reste et, allongés côte à côte, s’embrassaient langoureusement. Dire que quelques heures auparavant ils ne se connaissaient même pas, ils vivaient un véritable coup de foudre. Nous étions tous complètement épuisés, mais avec un sourire aux lèvres. Je regardai l’heure, 5H45 du matin, le soleil n’allait pas tarder à se lever et avec lui allaient venir les promeneurs. Gilles se rhabilla, fit machinalement une bise à Mélanie, me serra la main, embrassa fougueusement Jade et rentra chez lui. Les deux jeunes femmes et moi sommes retournés au gîte, complètement nus, avec des gouttes de sperme qui tombaient de temps à autre des entrailles de Jade.

Arrivés sur place, après nous être douchés, Jade retourna se coucher tandis que Mélanie et moi sommes allés nous baigner dans la piscine, la jeune femme devant tourner d’ici deux, trois heures au plus tard. Enlacés comme deux amants, nous sommes restés ainsi un bon moment, à parler et à rire. J’avais le plus grand mal à ne pas lui relever la surprise que je lui avais concocté pour l’après-midi, car j’étais vraiment impatient de la mettre en uvre. Décidément, la journée à venir s’annonçait comme particulièrement radieuse.

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