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Les allumeuses – Chapitre 1

Les allumeuses - Chapitre 1



Aujourd’hui, j’ai comme un pressentiment que ce trajet en train ne sera pas comme les autres.

Pourtant, je fais toutes les semaines ce même déplacement avec Xavier, un collègue que je connais depuis des années ; d’ordinaire, il est plutôt réservé, pas très expansif, mais là, il est un peu plus excité.

Comme moi, il a vu arriver ces deux jeunes filles âgées d’environ vingt ans, habillées de façon très provocatrice : elles ont chacune un short en jean et un débardeur qui couvre à peine leur poitrine.

Et voilà qu’elles viennent s’asseoir à côté de nous.

Malgré moi, j’entends leurs conversations, je comprends qu’elles sont en partance pour le Sud où elles doivent passer quinze jours chez des amis. J’apprends qu’elles se nomment Léa et Dora, deux charmants prénoms !

Après cinq minutes, je sais tout de leurs projets pendant leurs vacances, qui consistent principalement à ne rien faire !

Physiquement, elles sont plutôt mignonnes, surtout Léa la blonde ! Très maquillée, elle arbore un joli sourire et des yeux rieurs. Dora la brune est assez boulotte, elle a un esprit moqueur.

Après environ vingt minutes, leurs discussions s’arrêtent brusquement et elles se chuchotent des mots à l’oreille.

Sans prévenir, Léa se lève et elle arpente le couloir avant de revenir à son siège.

Je n’ose pas, dit-elle à Dora.

Vas-y, fais-le, tu m’as promis ! répond Dora.

Et voilà Léa qui repart au fond du couloir. Là, alors qu’elle me tourne le dos, je la vois qui baisse légèrement son short, dévoilant une partie de son cul !

Je suis peut-être le seul à l’avoir vue commettre son forfait, en tout cas, je ne note aucune réaction des autres voyageurs. Tranquillement, Léa remonte son short. Elle revient à sa place en lançant un défi à Dora :

A toi maintenant !

Dora ne se laisse pas démonter. Elle court au fond du wagon et elle baisse son short, un peu plus que Léa. Puis elle se rhabille avant de revenir.

Elle est à peine assise que déjà Léa est repartie au fond du couloir. Cette fois, elle me fait face, et je la vois soulever son débardeur quelques fractions de seconde, juste le temps d’apercevoir sa belle poitrine ! Je suis absolument ébahi de son audace !

Bien sûr, Dora l’a vue et veut l’imiter. Elle aussi se place au fond, remonte son débardeur, et ses gros nichons m’apparaissent soudain !

Puis les deux copines reviennent s’asseoir. Elles se concertent brièvement, décidées à marquer le coup.

Elles se lèvent et partent chacune dans une direction opposée. Léa enlève son débardeur et elle croise les bras, cachant ses seins ; puis elle parcourt le couloir. Et voilà que Dora fait de même.

Je les vois arpenter le corridor, les bras croisés sur la poitrine.

Elles ne semblent pas décidées à s’arrêter. Léa retire son short, heureusement qu’elle a mis un string ! Mais elle a les fesses presque nues maintenant, et elle continue à parader au milieu des gens ! Bien sûr, Dora fait la même chose que sa copine.

Je n’aurais jamais cru assister à un tel spectacle dans ce train : deux filles à moitié nues qui s’exhibent en toute impunité. Elles sont de plus en plus excitées, rien ne paraît les arrêter !

Elles finissent quand même par se calmer après cinq bonnes minutes ! C’est sûr, personne ne leur a demandé d’arrêter leur petit numéro !

Elles viennent s’asseoir à côté de nous, toujours à moitié nues. Xavier a l’air catastrophé, et quant à moi, je suis plus partagé : au début, je trouvais leur comportement lamentable, mais maintenant, je dois dire que je commence à apprécier le show.

Je suis quand même un peu pris de court quand Léa m’adresse pour la première fois la parole :

Alors comment vous nous avez trouvées ?

Pas mal ! dis-je.

J’aurais dû m’en douter : elle prend ça comme un encouragement. Comme si elle n’était pas déjà allée assez loin.

Alors juste pour toi, je vais en montrer un petit peu plus !

Comme elle a déjà montré son cul et ses nichons, il ne lui reste plus grand-chose à dévoiler… Je vois qu’elle commence à descendre son string, exhibant une belle chatte bien épilée !

Elle a vraiment un sacré culot ! Faire ça dans un train bondé, il faut oser ! Mais je crois comprendre sa motivation : elle veut juste m’émoustiller ! Et le pire c’est que ça marche : j’ai une bosse dans mon pantalon, et Xavier est dans la même situation que moi ! Pourvu qu’elles ne s’en soient pas aperçues !

Malgré tous nos efforts pour rester discrets, Léa nous a repérés :

Regarde, Dora ! je crois qu’ils bandent !

Elle s’approche de Xavier et… je n’en crois pas mes yeux : elle ouvre sa braguette !

Et voilà que sa bite sort comme un diable de sa boîte !

Sans se démonter, elle s’approche de moi, et ouvre également ma braguette, et ma bite va prendre l’air !

J’ai du mal à croire ce qui nous arrive ! Nous ne sommes pas seuls dans le train, il y a plein d’autres passagers qui pourraient nous voir !

Je réalise que Léa et Dora n’ont pas l’intention de nous laisser tranquilles après cela. Elles vont tout faire pour nous exciter encore plus.

Elles sont totalement nues toutes les deux et elles se déhanchent devant nous sur leurs sièges.

Je vois Léa qui agite sa poitrine sous mes yeux, et Dora qui fait de même devant Xavier.

Léa ne se rend pas compte de ce qu’elle provoque en moi : j’ai vraiment une folle envie de lui défoncer la rondelle !

Et dans la tête de Xavier, il se passe apparemment quelque chose d’étrange. Il ne réagit pas comme d’habitude. Oubliant qu’il est timide, voilà qu’il se met à tâter les seins de Léa !

Et comme elle se laisse faire, il n’hésite plus : il place une main sur ses cuisses, une autre sur son cul. Il la palpe comme s’il était tout seul avec elle ! Je ne reconnais plus le Xavier que je côtoie d’habitude !

Puis il s’agenouille devant Léa et il place son visage entre ses cuisses.

Waouh ! Je ne l’aurais pas cru capable d’aller aussi loin ! Il ne tient pas compte des autres voyageurs qui pourraient le surprendre.

Et voilà qu’il colle sa langue sur le berlingot de Léa, il la lèche avec ardeur.

Il semble abandonner après un certain temps, mais voilà qu’il attaque à nouveau : cette fois, ses doigts s’approchent de l’entrecuisse de Léa.

Il pourrait glisser un doigt, mais non, il va carrément la fister ! Il a complètement pété les plombs, le garçon !

J’observe Léa : elle semble apprécier ces caresses plutôt intimes ! Alors je me décide à intervenir : je m’approche du postérieur de Léa, alors que Xavier est toujours occupé de l’autre côté.

Je glisse un doigt dans la raie, en guise de prise de contact. L’orifice me paraît assez distendu, je peux donc accomplir mon forfait !

Je n’ai même pas débandé depuis tout à l’heure et j’introduis doucement mon sexe dans le rectum de Léa ! Elle ne fait rien pour m’en empêcher, je rentre de toute ma longueur. Je fais de petits mouvements de plus en plus amples, qui vont faire monter mon plaisir.

Son fondement est parfaitement adapté à la taille de mon engin, les sensations sont incroyables !

Xavier continue à fister Léa tandis que je suis en action entre ses fesses ! Elle a vraiment de la chance ! Deux hommes pour elle toute seule !

Et pendant ce temps-là, Dora semble dépitée. Elle nous regarde faire avec envie ! Comme je la comprends ! J’ai vraiment pitié d’elle, mais que faire ?

Je ne voudrais pas laisser Léa, mais je peux essayer de caresser Dora avec ma main libre. D’abord, je lui pince les tétons. Et ensuite, je glisse un doigt entre ses cuisses ! Je titille son petit berlingot en finesse !

Et Dora frétille déjà de plaisir !

Alors j’abandonne Léa pour tenter une incursion dans le cul serré de Dora ! Elle me laisse faire sans broncher, je lui défonce la rondelle à son tour jusqu’à ce qu’elle crie grâce. C’est si bon que je voudrais ne jamais m’arrêter !

Pendant ce temps, Xavier se déchaîne sur Léa comme jamais, il la fait jouir à plusieurs reprises ! Et elle en redemande !

Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin ; le train ralentit avant de s’arrêter en gare, c’est notre destination.

Nous descendons en toute hâte, laissant les deux jeunes filles allongées nues sur les banquettes, en vrac, complètement harassées !

Nous ne sommes pas mieux, tout dépenaillés et presque épuisés ! Mais alors… quel pied, mes amis !

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